person:bill murray

  • Un père horrible - le fils de Hunter S. Thompson raconte
    https://www.youtube.com/watch?v=DKxgSqS8ep8

    Who Was Hunter S. Thompson? His Private Life - Biography (2016)

    Hunter Stockton Thompson (July 18, 1937 – February 20, 2005) was an American journalist and author, and the founder of the gonzo journalism movement.

    Hunter Stockton Thompson (July 18, 1937 – February 20, 2005) was an American journalist and author, and the founder of the gonzo journalism movement. About the book: https://www.amazon.com/gp/product/030... The film Where the Buffalo Roam (1980) depicts heavily fictionalized attempts by Thompson to cover the Super Bowl and the 1972 U.S. presidential election. It stars Bill Murray as Thompson and Peter Boyle as Thompson’s attorney Oscar Zeta Acosta, referred to in the movie as Carl Lazlo, Esq. The 1998 film adaptation of Fear and Loathing in Las Vegas was directed by Monty Python veteran Terry Gilliam, and starred Johnny Depp (who moved into Thompson’s basement to “study” Thompson’s persona before assuming his role in the film) as Raoul Duke and Benicio del Toro as Dr. Gonzo. The film has achieved something of a cult following. The film adaptation of Thompson’s novel The Rum Diary was released in October 2011, also starring Johnny Depp as the main character, Paul Kemp. The novel’s premise was inspired by Thompson’s own experiences in Puerto Rico. The film was written and directed by Bruce Robinson.[77] At a press junket for The Rum Diary shortly before the film’s release, Depp said that he would like to adapt The Curse of Lono, “The Kentucky Derby Is Decadent and Depraved”, and Hell’s Angels for the big screen: “I’d just keep playing Hunter. There’s a great comfort in it for me, because I get a great visit with my old friend who I miss dearly.”[78] Fear and Loathing in Gonzovision (1978) is an extended television profile by the BBC. It can be found on disc 2 of The Criterion Collection edition of Fear and Loathing in Las Vegas. The Mitchell brothers, owners of the O’Farrell Theatre in San Francisco, made a documentary about Thompson in 1988 called Hunter S. Thompson: The Crazy Never Die. Wayne Ewing created three documentaries about Thompson. The film Breakfast with Hunter (2003) was directed and edited by Ewing. It documents Thompson’s work on the movie Fear and Loathing in Las Vegas, his arrest for drunk driving, and his subsequent fight with the court system. When I Die (2005) is a video chronicle of making Thompson’s final farewell wishes a reality, and documents the send-off itself. Free Lisl: Fear and Loathing in Denver (2006) chronicles Thompson’s efforts in helping to free Lisl Auman, who was sentenced to life in prison without parole for the shooting of a police officer, a crime she didn’t commit. All three films are only available online.[79] In Come on Down: Searching for the American Dream[80] (2004) Thompson gives director Adamm Liley insight into the nature of the American Dream over drinks at the Woody Creek Tavern. Buy the Ticket, Take the Ride: Hunter S. Thompson on Film (2006) was directed by Tom Thurman, written by Tom Marksbury, and produced by the Starz Entertainment Group. The original documentary features interviews with Thompson’s inner circle of family and friends, but the thrust of the film focuses on the manner in which his life often overlapped with numerous Hollywood celebrities who became his close friends, such as Johnny Depp, Benicio del Toro, Bill Murray, Sean Penn, John Cusack, Thompson’s wife Anita, son Juan, former Senators George McGovern and Gary Hart, writers Tom Wolfe and William F. Buckley, actors Gary Busey and Harry Dean Stanton, and the illustrator Ralph Steadman among others. Blasted!!! The Gonzo Patriots of Hunter S. Thompson (2006), produced, directed, photographed and edited by Blue Kraning, is a documentary about the scores of fans who volunteered their privately owned artillery to fire the ashes of the late author, Hunter S. Thompson. Blasted!!! premiered at the 2006 Starz Denver International Film Festival, part of a tribute series to Hunter S. Thompson held at the Denver Press Club. In 2008, Academy Award-winning documentarian Alex Gibney (Enron: The Smartest Guys in the Room, Taxi to the Dark Side) wrote and directed a documentary on Thompson, titled Gonzo: The Life and Work of Dr. Hunter S. Thompson. The film premiered on January 20, 2008, at the Sundance Film Festival. Gibney uses intimate, never-before-seen home videos, interviews with friends, enemies and lovers, and clips from films adapted from Thompson’s material to document his turbulent life.

    #USA #littérature #journalisme #famille #violence

  • Dans le Kentucky, les retraités-campeurs d’Amazon
    https://www.crashdebug.fr/international/14328-dans-le-kentucky-les-retraites-campeurs-d-amazon

    Des travailleurs nomades convergent à l’automne vers les sites du géant du e-commerce pour préparer les colis de Noël. Longues journées garanties, pour 11 dollars de l’heure.

    Kelly Murray et son mari Bill Murray devant leur mobil-home, à Campbellsville (Kentucky), le 19 décembre. NATHAN

    MORGAN / MVI MMS POUR LE MONDE

    On était parti pour décrire l’univers de Charles Dickens adapté au XXIe siècle. L’exploitation de retraités américains, n’ayant pour maison que leur caravane, par le géant du commerce en ligne Amazon. On a surtout découvert des campeurs vagabonds, dignes des road-movies américains, rappelant l’errance en Alaska du héros de Into the Wild (2007) ou la cavale tragique de Thelma et Louise (1991).

    Pourtant, tout était réuni pour pleurer misère, en cette terre perdue du Kentucky, le pays de la (...)

  • Meatballs
    http://www.nova-cinema.org/prog/2017/161/summer-camp/article/meatballs

    Ivan Reitman, 1979, CA, 35mm, VO ANG ST ANG, 99’

    De par l’essence potache de son titre français, « Arrête de ramer, t’es sur le sable », on pourrait penser à un film de Max Pécas. Il n’en est rien. Réalisé par Ivan Reitman, co-écrit par Harold Raimis (comme plus tard « Ghostbusters »), le film met en scène Bill Murray sorti tout droit du Saturday Night Live. Le rôle de moniteur je-sais-tout, fumiste futé dans une colo fauchée lui va comme un gant. Le public de cette toute fin des années 70 s’attend donc à de l’humour branché et de la subversion. Les comédies cool vieillissent souvent mal... celle-ci n’échappe pas à la règle. Mais grâce à la patine du temps et de bonnes sorties de Bill Murray, elle nous renvoie un charme d’époque estival fort plaisant.

    samedi 1er juillet 2017 à (...)

  • Neuilly fait de la Résistance, critique du Splendid par Pacôme Thiellement
    http://sedition-revue.fr/neuilly-fait-de-la-resistance

    Merci Pacôme, de mettre le doigt sur une troupe qui n’a jamais réussi à me faire vraiment rire.

    Franchement, on se sent un peu seul quand depuis l’école-collège tous les amis ou famille, etc, te parle du Père noël, des Bronzés, toussa (et continuent d’en parler en 2015), mais que toi, c’est Hara Kiri, les Monty Python ou Bill Murray qui te font rire.

    #Pacôme_Thiellement #Splendid #humour #lutte_des_classes #classes_sociales #Neuilly #racisme #classisme

    • Ce n’est pas surprenant que, contrairement à Swift, Topor ou South Park, leur humour noir soit imperméable à la poésie, et étranger à la grâce. Le monde imposé par le Splendid à un peuple soumis à l’absorption de son amère ironie est également dominateur et dominé, dévorateur et dévoré. Il est prêt à sacrifier la Terre entière pour tenter d’assouvir sa passion et sa colère, mais rien ne peut même lui suggérer le commencement d’une délivrance. Comme dit le graffiti espagnol, ce n’est pas la fin du monde qui est infernale, c’est la continuation incessante de celui-ci.

    • Un (gros) bémol quand même, Hara-Kiri/Charlie ne s’est jamais privé de taper sur les prolos (je pense à Reiser et Cabu notamment), le Splendid n’avait pas besoin de chercher bien loin pour ça.

      Quant aux Bronzés, j’ai toujours pris ça pour une gentille satire du Club Med.

  • Leur rythme dans ma peau
    http://www.lemonde.fr/sciences/article/2015/07/21/leur-rythme-dans-ma-peau_4692223_1650684.html

    Dans le fim Un jour sans fin (1993), chef-d’œuvre d’Harold Ramis, Bill Murray se réveille, jour après jour, dans le même monde. Coincé avec horreur dans la routine d’un travail qu’il déteste. Privé, pour l’éternité, de vacances. Cette satire de la répétitivité du quotidien fascine parce qu’elle ressemble à l’expérience vécue. Et qu’elle s’en distingue immédiatement : notre monde est rythmé, et le cycle journalier, dans lequel est coincé Murray, n’en est qu’un parmi de nombreux autres. Pour nous, mortels, chaque moment diffère de l’autre  : il n’y a eu qu’un seul 12 décembre 2012 à 12 h 12. Mais pour la société, au contraire, chaque jour se reproduira de manière cyclique.

    Le sociologue Marcel Mauss, dans son Essai sur les variations saisonnières des sociétés eskimos (1904), s’était intéressé aux changements, entre l’hiver, où la vie est collective dans les igloos, et l’été, où la société est moins concentrée. «  La vie sociale ne se maintient pas au même niveau aux différents moments de l’année ; mais elle passe par des phases successives et régulières d’intensité croissante et décroissante, de repos et d’activité, de dépense et de réparation.  »

    #temps

  • New All-Feminist Ghostbusters Is A Punch in the Dick to All of Mankind
    http://jezebel.com/new-all-feminist-ghostbusters-is-a-punch-in-the-dick-to-1682292125

    Les féminazies vont mettre du politiquement correct dans Ghostbusters 3 !!!

    Déjà le casting est sexiste : Il n’y a que des femmes dans l’équipe alors que l’originale était parfaitement équilibrée.

    Bref tout ceci n’annonce rien de bon pour les hommes, les vrais.(Permalink)

    #feminisme

  • Flûte, Harold Ramis est mort.
    http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/02/24/mort-de-harold-ramis-realisateur-de-un-jour-sans-fin_4372691_3246.html

    (Disclaimer : c’est typiquement un #que_je_sais_jamais_son_nom. Mais j’ai zieuté sa filmo, j’en ai vu les deux-tiers.)

    Je dois bien avouer que j’ai un gros penchant pour Chevy Chase et (évidemment) Bill Murray, alors c’est sans honte que j’avais adoré ses premiers films : Chaddyshack (1980), National Lampoon’s Vacation (1983), et évidemment Groundhog Day (1993, devenu tellement culte que ça fait un peu peur).

    Après, dans le récent, Analyse This et Analyse That, ça fonctionne avec moi. Bon, Bedazzled (2000) je te le conseillerais pas forcément, mais c’est le seul film dont je me souviens dans lequel Brandon Frazer m’a fait rigoler.

    Les autres : pas vus. Connus, mais pas vus.

    Sinon, d’accord : c’est le bouclé de S.O.S. Fantômes. Donc souvenirs de faire la queue sur le parking de Velizy II avec les copains.

  • Personne ne vous croira jamais : comment Bill Murray est devenu une légende vivante | Slate
    http://www.slate.fr/story/68273/bill-murray-legende-urbaine-meme-personne-croira-jamais

    C’est l’histoire d’un mec qui rentrait tranquillement un soir chez lui quand, tout à coup, il a senti deux mains se poser sur ses yeux. « Devine qui c’est ?! », a demandé une voix masculine. Le type s’est retourné et là, devant lui : Bill Murray. « Personne ne te croira jamais », a souri l’acteur, avant de s’éclipser.
    C’est l’histoire d’un autre mec qui passait une soirée avec ses amis dans un bar à karaoké de New York quand, tout à coup, il a vu débarquer deux femmes accompagnées d’un homme qui ressemblait beaucoup à Bill Murray. C’était bien lui, et les amis ont proposé à l’acteur de se joindre à leur salle de karaoké. Un quart d’heure plus tard, Bill Murray frappait à la porte et passait la soirée à chanter avec eux.

    #légende #Bill_Murray_Stories #Murraylore

  • «Un jour sans fin» fête ses vingt ans
    http://www.slate.fr/culture/68211/un-jour-sans-fin-murray-ramis-vingt-ans

    Il y a vingt ans, Bill Murray entendait son réveil sonner 6h du matin en lui fredonnant du Sonny & Cher. Puis entendait à nouveau son réveil sonner 6h du matin en lui fredonnant du Sonny & Cher. Puis faisait tomber son réveil qui venait de sonner 6h du matin en lui fredonnant du Sonny & Cher …

    Source : Slate.fr - Jean-Marie Pottier

    #CULTURE #Bill_Murray #Un_jour_sans_fin #Harold_Ramis #cinéma #Sonny_et_Cher