person:bruno lemaire

  • Dioxyde de titane E171 : c’est quoi cet additif qui devrait bientôt être interdit ? (Leparisien)
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/15928-dioxyde-de-titane-e171-c-est-quoi-cet-additif-qui-devrait-bientot-e

    He bien il y a une ame charitable qui a expliqué a Bruno Lemaire les danger des nanos particules ? (vidéo ci-dessous)

    Alors qu’il s’y opposait, Bruno Le Maire aurait finalement décidé d’interdire le dioxyde de titane.

    Les associations le réclamaient depuis des mois, les parlementaires avaient voté pour, Brune Poirson l’avait annoncé pour fin 2018 mais l’interdiction du dioxyde de titane (E171 ou TiO2) était toujours bloquée à Bercy. Bruno Le Maire refusait de signer l’arrêté ministériel menant à suspendre cet additif controversé.

    Mais selon Europe 1, le ministre de l’Économie aurait toutefois changé d’avis après avoir reçu le rapport de l’agence de sécurité sanitaire des aliments (Anses), qui estime qu’il est impossible à ce stade de « lever les incertitudes sur l’innocuité » du dioxyde de titane.

    C’est quoi (...)

  • Un impact limité des mouvements sociaux sur la croissance en 2018
    https://www.latribune.fr/economie/france/un-impact-limite-des-mouvements-sociaux-sur-la-croissance-en-2018-811592.h

    Dans sa note de conjoncture pour mars 2019, l’Insee propose une mesure de l’effet économique des deux principaux mouvements sociaux de 2018, la grève de la SNCF et le mouvement des « Gilets jaunes ». Pour l’institut public, leur impact final reste faible, et n’aurait pas pesé pour plus de 0,2 point de PIB en 2018.
    […]
    Les conclusions de l’institut statistique restent prudentes, en rappelant la difficulté à isoler des liens de cause à effet en économie, et l’absence de contrefactuel ("ce qu’il se serait passé sans les manifestations"). Mais elles n’en restent pas moins claires : pour l’Insee, l’impact global des mouvements sociaux sur la croissance « apparaît relativement modéré ». Loin, donc, de la « catastrophe pour notre économie » qu’annonçait le ministre Bruno Lemaire au lendemain des manifestations de « Gilets jaunes » du 8 décembre.

    Dans le détail, la grève filée de la SNCF entre avril et mai aurait coûté tout au plus 0,1 point de croissance à la France, principalement dans le secteur des transports. Il en va de même des manifestations des « Gilets jaunes » en novembre et décembre, qui n’auraient pas pesé pour plus de 0,1 point sur le PIB selon l’Insee.

    Pourtant, la consommation des ménages a ralenti fortement en fin d’année (0,0% contre + 0,4% au troisième trimestre), ce qui avait été imputé dans un premier temps aux mouvement contestataire. Mais pour l’Insee, cet affaissement de la consommation « provient essentiellement de l’énergie et de l’automobile, de façon en partie indépendante du mouvement des ’Gilets jaunes’ ». La baisse des achats de voiture pourrait provenir des nouvelles normes antipollution ou d’un report à 2019 pour profiter de la revalorisation de la prime à la conversion. Le seul impact clairement établi concerne l’hôtellerie, dont la fréquentation a fortement baissé en décembre 2018, notamment à Paris (-5,3% par rapport à décembre 2017).

    En combiné, les deux mouvements sociaux auraient donc pu amputer le PIB français de 0,2 point, ce qui constitue un effet d’ampleur perceptible mais limitée. Au sujet des « Gilets jaunes », l’Insee rappelle d’ailleurs que « certains achats peuvent avoir été simplement reportés du mois de décembre au mois de janvier », ce qui contribuerait à en limiter encore plus les effets économiques négatifs.

    • … effets indirects, …

      Ces estimations se cantonnent toutefois aux effets directs des mouvements sociaux, ceux qui peuvent se mesurer immédiatement dans les comptes nationaux. Mais des effets indirects pourraient également en résulter, avec un impact de moyen terme sur l’économie. Ceux-ci sont évidemment beaucoup plus difficiles à estimer, d’autant qu’ils évoluent dans des directions contradictoires.

      D’un côté, les violences qui entourent le mouvement des « Gilets jaunes » pourraient peser sur l’attractivité de la France à moyen terme, que ce soit pour le tourisme ou pour les investissements étrangers. Si le mouvement se poursuit, il pourrait également conduire à un certain blocage politique, aux effets incertains sur l’économie. De l’autre, les premières concessions obtenues du gouvernement par les « Gilets jaunes » auront très certainement un impact économique positif en 2019. L’OFCE a calculé que la dépense publique viendrait soutenir le pouvoir d’achat des ménages à hauteur de 11,7 milliards d’euros, dont 10,3 milliards proviennent des mesures annoncées en décembre par Emmanuel Macron.

      L’institut de recherche conclut que « la politique budgétaire nationale aurait un impact élevé sur la croissance du PIB, de 0,5 point, les mesures issues de la crise des gilets jaunes améliorant, à elles seules, le taux de croissance du PIB de 0,3 point ». N’entre pas dans ce calcul, par ailleurs, l’annulation de la hausse de la taxe carbone, qui aurait à l’inverse pesé à la baisse sur la consommation des ménages.

      De manière paradoxale, les « Gilets jaunes » pourraient donc bien contribuer positivement à la croissance française en 2019, par le biais des mesures de soutien au pouvoir d’achat obtenues du gouvernement. La nature contracyclique de ces mesures, dans un contexte de ralentissement global de l’économie mondial, pourrait ainsi permettre à la France de mieux résister aux tendances négatives que ses voisins. Pour mémoire, une croissance de 1,3 à 1,7% est attendue en France en 2019, contre 1% pour la zone euro et 0,7% pour l’Allemagne.

  • Europe : pourquoi la taxe GAFA ne passera pas l’hiver
    https://www.zdnet.fr/actualites/europe-pourquoi-la-taxe-gafa-ne-passera-pas-l-hiver-39876065.htm

    Technologie : Bruno Lemaire s’est dit ce mardi « ouvert à un report » de son entrée en vigueur. Une report qui sent clairement le sapin. Et de joyeuses fêtes de fin d’année aux géants de la tech. Ce devait être l’acte fondateur d’une fiscalité commune européenne. L’idée ? Imposer aux géants (souvent américains) du numérique une taxe harmonisée sur les bénéfices réalisés sur le territoire européen. Et le moins que l’on puisse dire c’est que c’est mal parti. Certes, Emmanuel Macron y croit encore. Mais son ministre (...)

    #bénéfices #législation #taxation #GAFAM

  • Qui a peur de la langue arabe ?

    https://orientxxi.info/magazine/qui-a-peur-de-la-langue-arabe,1620

    Les polémiques autour de la langue sont souvent idéologiques et servent des intérêts politiques. Qu’il s’agisse, pour une puissance coloniale, de contrôler sévèrement l’usage d’une langue maternelle pour mieux asseoir sa domination économique et politique, sous prétexte de « mission civilisatrice » ou, inversement, pour un régime du Sud en quête de légitimité, d’une politique d’arabisation à outrance, éradicatrice de la diversité, contre-productive pour les classes populaires au profit de l’élite sous prétexte d’émancipation, c’est d’une certaine manière le même bégaiement de l’histoire.

    La querelle récente autour du danger d’enseigner à nos chères têtes blondes et brunes cette « langue communautaire » que serait l’arabe est bien du même ordre : celui d’une instrumentalisation de la question à des fins électorales sous prétexte de « sécurité », et « d’identité culturelle ». La polémique lancée en ce sens par la députée Annie Genevard1, et reprise avec ardeur par Bruno Lemaire, candidat malheureux à l’élection primaire « de la droite et du centre »2 a cependant suscité dans la presse suffisamment de tribunes pertinentes sous la plume d’intellectuels, d’enseignants et... d’humoristes, tels que le malicieux Gorafi sur les chiffres arabes.

  • Le Pape, premier de corvées
    Pédophilie dans l’église : un prélat accuse Edouard Philippe d’avoir couvert un cardinal américain

    Pédophilie dans l’église : un prélat accuse le pape sur le pouvoir d’achat des retraités
    Bruno Lemaire nie l’évidence d’avoir couvert un cardinal américain

    Rohingya : le pape doit être poursuivi pour génocide selon l’ONU
    Pédophilie dans l’église : un prélat accuse le chef de l’armée birmane d’avoir couvert un cardinal américain

    Europe, Syrie, Libye... le pape François dévoile sa feuille de route diplomatique
    Pédophilie dans l’église : Macron fait trop peu, trop tard

    A la Rochelle, Le PS en sursis
    Les petites lignes ferroviaires tentent de mettre le cap sur les municipales

    Liam Gallagher en chef contesté d’une famille éclatée
    Wauquiez célèbre Oasis à Rock en Seine

    Pour réserver sur Airbnb l’ONU relance le débat autour du port du foulard
    Créche de Baby-Loup : mieux vaut s’appeler Isabelle que Djamila

    Les syndicats étudiant accusés de ne pas toujours décrocher
    Appels aux urgences : les SAMU se divisent sur le coût de la rentrée.

    #de_la_dyslexie_creative

  • La guerre selon The-Donald
    http://www.dedefensa.org/article/la-guerre-selonthe-donald

    La guerre selon The-Donald

    5 juin 2018 – Il y a de cela quatre ans, le G8 décidait, dans un élan à la fois héroïque et symbolique, de se défaire de la Russie et de devenir officieusement G7. Comme à l’habitude, les USA (ceux d’Obama) avaient conduit avec discrétion la manœuvre, face à des alliés qui étaient des obligés et des amis obligeamment alignés. Il y a de cela trois jours, sortant de la réunion des ministres des finances du G8-1 préparant le sommet des chefs d’État et de gouvernement, le ministre français des finances Bruno Lemaire eut donc un mot destiné à être fameux : « une rencontre tendue et difficile[...] un G6+1avec des États-Unis seuls contre tous, qui font courir le risque de déstabilisation économique à la planète. » Pendant ce temps, la très belle Sarha Wagenknecht, co-ditigeante du parti (...)

  • Privatisation de la SNCF, des routes nationales, des aéroports : Macron brade la France en appliquant les ordres de l’UE MEDEF
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/14679-privatisation-de-la-sncf-des-routes-nationales-des-aeroports-macron

    Privatisation de la SNCF, des routes nationales, des aéroports : Macron brade la France en appliquant les ordres de l’UE MEDEF

    “Je vous confirme simplement que nous ferons des privatisations importantes” Bruno Lemaire – ministre de l’économie de Emmanuel Macron

    En catimini et sans vouloir que les Français le sachent, le régime Macron s’apprête à brader le patrimoine de la Nation, à privatiser à bas prix les services publics : routes, autoroutes, canaux, voies navigables, barrages hydroélectriques, aéroports internationaux, SNCF, la Poste, la Française des Jeux… des dizaines de secteurs, de grandes infrastructures, d’entreprises publiques stratégiques parfois très rentables vont être bradées par le gouvernement.

    SNCF : la privatisation ordonnée par Bruxelles, comme les autres

    Quatrième paquet ferroviaire : (...)

    • Le plus amusant est de voir cette thérapie de marche ou crève être administrée par des « fédéralistes » européens, qui nous ont bassiné pendant des décennies, à Sciences-Po et ailleurs, avec l’Europe « sociale », la solidarité communautaire, le prêteur en dernier ressort, le budget fédéral à l’américaine, les euro-bonds, les accommodements avec le pacte de stabilité, etc. En fait, ces sociaux-démocrates propres sur eux sont surtout en faveur de la solidarité quand elle s’exerce vis-à-vis de l’Allemagne, quand il faut faire payer à tous la facture de la réunification vers 1992, ou quand ce pays dépasse la barre fatidique de 3% vers 2003-2004. Devant un cas plus dramatique, et alors même qu’ils peuvent emprunter à 0% pour réaliser des transferts vers des gens qui ne sont plus soignés, ils rechignent. Bravo.

    • D’où le statu quo, les négociations secrètes qui s’éternisent, les rétablissements toujours remis à l’année prochaine, les pressions BCE à quelques encablures des échéances obligataires, les notes d’analystes sur les imperfections du régime de retraite hellénique, etc. Tout cela peut continuer longtemps, aussi longtemps que les européens ne réaliseront pas le caractère profondément injuste, anti-européen et illibéral de ce processus. Quand Friedman serait d’accord avec Krugman et Stiglitz, c’est que l’affaire est pliée… ; reste à la faire mieux comprendre au plus grand nombre, d’autant que je ne suis pas certain que Bruno Lemaire s’en chargera !

  • Nicolas Hulot au gouvernement : de la confusion & des exigences politiques à clarifier

    Nicolas Hulot a été nommé ministre d’Etat à la transition écologique et solidaire. Prise de guerre pour les uns, bonne nouvelle pour les autres, cette nomination, au moment où Areva et les lobbies fossiles réalisent une OPA sur Matignon, génère manifestement de la confusion. Confusion qui ne pourra se dissiper qu’à condition de clarifications politiques, tant sur le fond qu’en terme de stratégie.

    https://blogs.mediapart.fr/maxime-combes/blog/170517/nicolas-hulot-au-gouvernement-de-la-confusion-des-exigences-politiqu

    #NicolasHulot #EmmanuelMacron #EcologiePolitique #Autoroutes #centrales_à_charbon #clarification #confusions #diesel #EdouardPhilippe #gaz_de_schiste #NDDL #NicolasHulot #Nucléaire #PESTICIDES

    • Dans le Figaro, ce matin :

      Les investisseurs craignent tout simplement que le successeur de Ségolène Royal ne prenne des décisions très défavorables à EDF. Entre autres, la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim et le refus de prolonger la durée de vie des réacteurs existants.

      EDF est bel et bien une entreprise aux mains du pouvoir politique. Si certains en doutaient encore, la séance boursière de mercredi les aura définitivement fait changer d’opinion. Après l’annonce sur le perron de l’Élysée de la nomination de Nicolas Hulot comme ministre de la Transition écologique et solidaire, l’action de l’électricien tricolore a brutalement dévissé, pour clôturer en baisse de 6,57 % à 8,80 euros.

      Les investisseurs craignent tout simplement que le successeur de Ségolène Royal dans le fauteuil de l’énergie et de l’environnement ne prenne des décisions très défavorables à EDF. Les sujets d’inquiétude ne manquent pas, entre la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin) - annoncée par François Hollande dès septembre 2012, mais qu’il a été incapable de mettre sur les rails -, le refus de prolonger la durée de vie des réacteurs existants (de 40 à 60 ans), ou encore la limitation des marges de manœuvre financières d’un groupe qui a prévu de consacrer plus de 50 milliards d’euros à la modernisation de son parc nucléaire.

      Par un cruel retournement du destin, EDF plonge en Bourse après avoir au contraire retrouvé des couleurs pendant la folle ascension d’Emmanuel Macron. Avant mercredi, le titre EDF avait en effet gagné 27 % en un mois à la Bourse de Paris. Et il a bondi de 7 % pendant la seule journée de mardi. À cela une raison exactement inverse à celle de la nomination de Nicolas Hulot : le nouveau président de la République est considéré par les investisseurs comme un solide partisan du modèle actuel d’EDF.

      Certains observateurs considèrent même qu’il pourrait appuyer la décision d’instaurer un prix de vente garanti pour l’électricité produite par les futurs réacteurs nucléaires français - à l’instar du choix de la Grande-Bretagne. Mais cela, c’était avant l’entrée de Nicolas Hulot au sein de l’équipe gouvernementale. Quoi qu’il en soit, les investisseurs prévoient une période de turbulences pour EDF au cours des prochaines semaines.

      Ben, merdalors !!! #qu'est-ce_qu'on_rigole

    • Une confusion politique entretenue par Nicolas Hulot lui-même, lorsqu’il refusa d’entrer dans un gouvernement dirigé par le parti socialiste en 2016, alors qu’il y avait une majorité de "gauche" (même très libérale) à l’assemblée nationale et la nécessité d’embrayer sur la mise en oeuvre de l’Accord de Paris. En acceptant aujourd’hui d’entrer dans un gouvernement dirigé par un élu de droite pro-nucléaire et pro-charbon, et ce alors que l’essentiel des postes ministériels concernant les politiques économiques et sociales sont tenus par la droite et des pro-business, Nicolas Hulot brouille les messages qu’il avait envoyés à l’opinion publique depuis plusieurs années.

      A commencer par le message consistant à dire que le libéralisme n’était "pas compatible" avec l’écologie. «  Osons dire que la violence capitaliste a colonisé tous les cercles de pouvoir » déclarait-il au moment de la publication de son livre "Osons" en amont de la COP21, établissant un réquisitoire sans appel contre les politiques néolibérales faisant primer le business sur l’ensemble des autres domaines de l’existence : à la puissance des marchés et des multinationales, il brandissait la reconnaissance «  de la finalité sociale et écologique de l’écologie  » comme alternative au Business as usual. Comme nous l’avons expliqué ailleurs (ici et ici notamment), les engagements de campagne et les premiers signes envoyés par Emmanuel Macron sont à des années-lumière des déclarations de Nicolas Hulot.

      Disons-le et répétons-le tranquillement : face à l’aggravation du réchauffement climatique et la perte de biodiversité, les politiques écologiques dont nous avons besoin ne sont pas compatibles avec les politiques de compétitivité économique voulues par Emmanuel Macron, Edouard Philippe et Bruno Lemaire.

      D’une certaine manière, en acceptant d’entrer dans ce gouvernement libéral, Nicolas Hulot contribue à un coup bassement politicien d’Emmanuel Macron visant à empêcher que l’écologie politique, qui est loin d’avoir disparu des radars au lendemain de la présidentielle, puisse se recomposer sereinement dans les semaines et mois à venir, sous des formes nouvelles et hybrides

      #gouvernement_macron #résistance_ !

    • @aude_v Comme Fontenelle, ce sera sans moi !
      histoire de contribuer au pluralisme de la vie politique et parce que la candidate est une féministe à vélo. risque de ne pas me suffire. Tu me diras aux dernières législatives ( où j’étais encore bien emmerdé ), j’ai voté pour une candidate PS par ce qu’elle était libraire.

    • @aude_v Ici, parmi les 17 candidat.es aux législatives voici mon tiercé dans le désordre : Didier Chapellon (EELV), Charlotte Marchandise (Divers gauche), Luc Melot (Confédération pour l’homme, l’animal et la planète).
      http://laterredabord.fr/?p=22167
      http://eelv.fr/a-lassemblee-nationale-sergio-coronado-reagit-aux-propos-de-christian-jacob
      http://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/legislatives-17-candidats-dans-la-1re-circonscription-d-ille-et-vilaine

  • Convoqué par les juges, Fillon maintient sa candidature
    https://www.mediapart.fr/journal/france/010317/convoque-par-les-juges-fillon-maintient-sa-candidature

    Confirmant sa convocation prochaine par les juges d’instruction en vue d’une mise en examen, #François_Fillon, fustigeant un « assassinat politique » et une enquête « menée exclusivement à charge », a annoncé qu’il restait candidat à l’élection présidentielle. Bruno Lemaire annonce sa démission de l’équipe de campagne du candidat LR.

    #France #2017 #affaire_Fillon #élection_présidentielle #Justice #Les_Républicains

  • Franck Lepage : « Le revenu universel (revenu de base) est une mesure de droite »
    https://www.youtube.com/watch?v=cQQh67cdYu8

    Quand une mesure présumée "de gauche" recueille les applaudissements de Frédéric Lefebvre, Nathalie Kosciusko-Morizet, Christine Boutin et des économistes du FMI, la méfiance est de mise.

    Donner 800 euros à tous sans condition de revenus. Cette mesure proposée notamment par Benoît Hamon à gauche peut sembler une bonne idée. C’est un piège pour Franck Lepage.

    Dès 2003, le « dividende universel » est une proposition prioritaire du programme politique de Christine Boutin.

    En 2011, lors de la précampagne électorale des présidentielles de 2012, Dominique de Villepin a intégré à son programme l’idée d’un « revenu citoyen » de l’ordre de 850 €

    En novembre 2015, le député Les Républicains Frédéric Lefebvre pose un amendement demandant la rédaction d’un rapport sur le sujet52.

    Devenu candidat à la primaire de 2016, il met l’instauration d’un revenu de base au centre de son programme pour 2017.

    En 2015, Bruno Lemaire, le conseiller économique de Marine Le Pen, propose quant à lui un « Revenu minimum de dignité » (RMD), idée qu’il avait déjà avancé en 2011 sur son blog personnel53. Le 19 avril

    2016, Marine Le Pen se prononce lors d’une interview pour l’instauration d’un revenu universel, mais le Front national ne l’a pas encore inscrit officiellement dans son programme

    Durant la primaire de la droite et du centre de 2016, Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Frédéric Poisson l’ont inclus dans leur programme.

    Source : http://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/franck-lepage-le-revenu-de-base-72190

    #revenu_universel #revenu_de_base #Franck_Lepage #Piege_à_cons

    • Je ne suis pas spécialiste, mais ça me semble un peu caricatural. Si le revenu de base sert juste à supprimer la solidarité nationale ou à baisser le prix des salaires, effectivement. Mais rien n’empêche qu’il vienne en complément au reste (bon ça se budgétise), notamment dans une optique de gauche.

    • @nicolas, Ce qu’explique Franck Lepage, c’est que cette idée servira à à supprimer la solidarité nationale à baisser les salaires, supprimer la Sécurité Sociale, les retraites, l’Ecole encore en grande partie gratuite.
      => Lire la liste des bienfaiteurs de l’Humanité qui en parlent.

      Gauche : Attention, il ne faut pas confondre la Gauche et le ps.

      Le ps trahit toujours ses électeurs.
      hamon, il était ministre d’hollande.

    • Ça dépend surtout de qui le défend.
      – Sécurité Sociale
      – Retraite
      – Ecole Laïque gratuite.
      T’as vu comment ils les défendu, les politiques français ?

      Surtout lit bien le détail des articles sur SeenThis, tu en apprendras beaucoup.

    • Les mots sont importants, #revenu vs #salaire.

      Un salaire à vie, ça vaut mieux qu’un Revenu (de subsistance) Universel Garanti ! (Partie 1) | Article | Réseau Salariat
      http://www.reseau-salariat.info/881077f7d3805a456d4f7c3f33795f07?lang=en

      (...) mais sans modifier ni la #propriété_lucrative ni les rapports sociaux de production et d’échange qui sont structurés autour du #travail et de la valeur travail.

      cf https://seenthis.net/messages/481675 (@gastlag)

    • Une belle illustration entendue à l’instant par Jean-Luc Bennahmias, un revenu de base pour les enfants (200-300€), qui remplacerait les allocations familiales, et qui serait placé sur un compte de l’enfant dispo à ses 16 ans. Bon c’est cool pour le gosse, par contre pour le foyer qui se fait sucrer les allocs qui sont censées couvrir les frais inhérents à la vie des enfants...

    • C’est cette question centrale du travail et du Droit collectif au travail, à la différence du droit individuel de (ne pas) travailler qui sera traitée dans la partie II, ainsi que de la valeur du travail : étant dans l’impossibilité de valider l’utilité économique et sociale du jeu et de l’oisiveté, les partisans du DRUG en revendiquent l’inconditionnalité. On verra alors qu’ils militent de fait pour une individualisation des rapports sociaux qui repose sur une éthique profondément libérale, voire libertarienne. Ne s’attaquant en rien aux fondements du capitalisme, les bénéficiaires du RUG sont maintenus comme des citoyens qui continuent d’avoir néanmoins des besoins qu’il leur faut satisfaire : ce sont essentiellement des consommateurs à qui on conseille de réduire leurs besoins au nom de la décroissance. La section III sera dédiée au Salaire qualifié à vie et au statut politique de producteur de tout-e salarié-e, proposés par le Réseau Salariat.

      J’attends la suite avec impatience. Merci @fredlm pour le lien vers cet article qui repose bien les problèmes liés au travail, et au concept de la valeur.

  • France:Présidentielle de 2017:Le‘sarkozysme’dorénavant dans les ‘poubelles de l‘histoire ’ ! - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/12/france-presidentielle-de-2017-le-sarkozysme-dorenavant-dans-les-po

    (F.Fillon, N. Sarkozy et A. Juppe)
    Bye-Bye Kabila !!! ; Bye-Bye Kabila !!! C’est le nouveau slogan que scandent les jeunes de la République Démocratique du Congo qui sont lassés de voir Joseph Kabila Jr à la tête de leur pays. Et bien ce slogan peut désormais se transporter en France et s’appliquer à l’ancien homme fort de la droite française et ancien président de la République, Nicolas Sarkozy.

    Bye- Bye ‘Sarkozy’ est aujourd’hui une réalité. Ainsi en ont décidé les électeurs de la droite et du centre droite qui ont carrément rejeté l’ancien président de la République, c’était le Dimanche 20 Novembre dernier. Pour une humiliation, c’en était vraiment une !

    Oui en effet ils étaient un peu plus de 4 millions de français de la droite à trancher et le score est sans appel :

    44% Pour François Fillon (l’ancien premier ministre sous Sarkozy 2007-2012)

    28% pour Alain Juppé (l’ancien premier ministre et ancien chef de la diplomatie et longtemps proche collaborateur de Jacques Chirac).

    Et un petit 20% pour l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy.

    Les 4 autres candidats se partagèrent le reste.

    A 62 ans l’ancien président a été éliminé in fine. Et il a prononcé le discours de son ‘oraison funèbre politique’. Dans le discours prononcé quelques heures après cette défaite ‘cruelle’ et inattendue Nicolas Sarkozy a dit espérer vouloir dire la vérité aux français. Erreur !!! car la vérité était plutôt du côté des électeurs eux même qui lui ont carrément barré la route pour un deuxième mandat (non consécutif) à la tête de la France. Il a fallu seulement trois (3) petits débats télévisés organisés entre des candidats de cette primaire pour que les électeurs de la droite française ‘appréhendent’ les accents arrogants et la vision belliqueuse de l’ancien président de la République. Toutes choses qui ne suscitaient pas espoir dans un monde déjà perturbé par l’élection de M Donald Trump aux USA.

    Au-delà de la France c’est en Afrique que Nicolas Sarkozy a laissé des souvenirs ‘amères’. En effet le gouvernement de Sarkozy a été ‘la cheville ouvrière’ de la ‘manipulation’ à l’ONU ayant conduit à l’invasion de Tripoli par l’OTAN et à la chute du régime socialiste et panafricaniste de Mouammar Kadhafi. C’est aussi Nicolas Sarkozy qui a conduit la campagne militaire pour déloger l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo avant de le transférer devant la CPI (Cour Pénale Internationale). Le souvenir de Nicolas en Afrique c’est aussi son discours de Dakar qui a totalement discrédité cet homme aux yeux des africains francophones. Que dire ? C’était sous le regard complice de Nicolas Sarkozy que l’ancien président nigérien Mamadou Tandja a élaboré et a exécuté son programme mort-né de Tazarché.

    ‘Sarko’ : l’animal politique au style bling-bling !

    Nicolas Sarkozy a été longtemps le chouchou des jeunes de la droite. Il aimait les foules hystériques et les meeting standup. L’ancien président français était un gaulliste affiché qui avait apporté son soutien à Edouard Balladur face au duel qui opposa ce dernier à Jacques Chirac. Au-delà de Jacques Chirac, ses adversaires au sein de la droite française se nommaient justement Alain Juppé, MAM (Michelle Alliot Marie), Dominique De Villepin etc… Mais Sarkozy fut un animal politique hors pair. Tenez-vous bien, c’est en véritable stratège politique qu’en 2002 il réussit à fédérer toutes les forces politiques de la droite et centre droite. En effet, Jacques Chirac et son RPR (Rassemblement Pour le Républicains) furent mis en ballotage par le vieux leader du FN (Front National) d’antan Jean Marie LePen. Toutes les forces politiques y compris le parti socialiste de Lionel Jospin se mobilisèrent pour barrer la route à M. LePen. Chirac fut réélu pour un dernier mandat. Nicolas Sarkozy en fin stratège transforma le RPR en UMP (Union pour un Mouvement Populaire). Plébiscité pour diriger ce mouvement, Nicolas Sarkozy bat campagne et devient le candidat de la droite avant de remporter la présidentielle de 2007 face de la socialiste Ségolène Royal.

    Après cinq (5) ans de présidence Sarkozy jalonnée par une crise économique sans précèdent et une crise sociale qui a failli basculer tout le pays dans le chaos, Sarkozy fut éliminé en 2012 par l’actuel président François Hollande, qui vint ainsi ‘prendre vengeance’ après la défaite de son ex compagne madame Royal cinq (5) ans plutôt.

    Toujours en fin stratège, Nicolas Sarkozy transforma cette fois l’UMP en « Les Républicains », espérant gagner un autre mandat pour représenter le même parti dont il a changé le nom à deux (2) reprises. Cette fois ci, ce politicien qui aime la provocation et qui est l’incarnation d’une France identitaire vient de tomber. Sarkozy a gonflé ses biceps et finalement patatras il est par terre ! contrairement à ses six (6) adversaires l’ancien président a oublié qu’il avait un bilan à défendre, lui qui a mal dirigé le pays et les électeurs ne dormaient pas. Ils ont vu l’ancien président a l’œuvre pendant 5 ans (Mai 2007-Mai 2012). En plus de son programme c’était aussi le style Sarkozy qui est rejeté et d’une certaine mesure ces idées ‘démesurées’ qui pourriez plonger la France dans un nationalisme qui ne dit pas son nom.

    In finish, il a été rejeté, humilié et même congédié de la famille gaulliste de la droite française : un véritable coup de tonnerre ! M Sarkozy a d’ailleurs reconnu et a tiré sa révérence avec le peu de dignité qui lui restait.

     

    Fillon et Juppé les deux finalistes au bonnet blanc, blanc bonnet !

    Autre lecture qu’on pouvait faire de ces primaires de la droite en France, c’est que l’establishment a été reconduit à la tête du parti. Malgré la défaite du sarkozysme, les deux (2) finalistes sur les 7 sont tous des anciens routiers du system politique français. Autant Nicolas Sarkozy a voulu séduire la droite en jouant sur la peur des militants autant Alain Juppé jouait le rassembleur en cherchant à séduire les électeurs qui s’affichaient au centre-droite. Et c’est au milieu de ce duel qui opposerait Nicolas Sarkozy à Alain Juppé (longuement pronostiqué par les media et les instituts de sondages) qu’un troisième larron très ancré dans la droite traditionnelle réussît à se placer au-dessus de la mêlée.

    Il faut dire que François Fillon a mené une campagne timide mais c’est durant les débats télévisés qu’il a pu convaincre l’électorat de droite. Ils étaient sept (7) candidats au départ (Nicolas Sarkozy, Alain Juppé, François Fillon, Bruno Lemaire, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean François Copé, et Jean-Frédérique Poisson) tous des candidats qui portaient des valeurs de la droite mais au finish ce sont François Fillon et Alain Juppé qui s’affrontent (aujourd’hui) pour le choix du champion qui représentera les Républicains à la présidentielle du mois de Mai 2017.

    Aujourd’hui se joue le 2ème tour et tout porte à croire que c’est François Fillon qui sortira gagnant. Fillon ou Juppé, le candidat issu des primaires affrontera un président de la République socialiste très affaibli dans l’opinion, François Hollande. Ce dernier avait conditionné sa candidature à un 2ème mandat à une reprise de la croissance économique et à la réduction du taux de chômage se rappelle-t-on. Son bilan économique médiocre a rendu M Hollande le président le plus impopulaire de la 5ème République française si bien que ses détracteurs arguent que Brad Pitt (l’acteur américain d’Hollywood) serait plus populaire que le président François Hollande en France.

    Pour finir sur note plus sérieuse, disons que nous sommes tout simplement amenés à constater que le Front National de Marine LePen (fille de Jean Marie LePen) fait des avancées spectaculaires et que si les partis traditionnels français ne se serrent pas la ceinture, le peuple français risquerait de revivre un remake : Républicains contre le Front National ou bien Parti Socialiste contre le même Front National au 2ème tour.

    Pour emprunter le refrain de la chanson du français Johnny Hallyday « Souvenirs, Souvenirs » nous nous disons « Vigilance ! Vigilance ! »

    DJIBRIL OUMAROU, Baltimore, MD USA
    https://wordpress.com/read/blogs/99399829/posts/607

  • Les Primaires : une supercherie antidémocratique ?
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/12743-les-primaires-une-supercherie-antidemocratique

    Cela fait des semaines que nos médias s’étalent à longueur de colonnes, de reportages et d’interviews sur les "petites phrases", les programmes et les portraits des candidats "Les Républicains" aux premières primaires de la droite française. Au-delà du fait que cet événement est l’occasion pour des petits politiciens sans envergure d’asseoir leur notoriété dans leurs fiefs respectifs (Jean-Frédéric Poisson, Bruno Lemaire ou NKM), pour un ex-Président de tenter un retour sur le devant de la scène (avec le résultat pathétique que l’on sait désormais), pour deux ex-premiers ministres aux bilans calamiteux de se refaire une virginité et nous laisser croire qu’ils seraient les hommes du renouveau, les Primaires de droite comme de gauche sont de nouveaux procédés de (...)

    #En_vedette #Liberté,_Égalité,_Fraternité... #Actualités_France

  • La France du présent face à la Russie du futur - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/la-france-du-present-face-a-la-russie-du-futur.html

    La Droite, comme la Gauche française, demeure fondamentalement divisée sur la forme et la nature des relations à entretenir avec la Russie et son président Vladimir Poutine. Il est irrécusable que la Russie impose son retour sur la scène internationale avec une vision différente du Monde que celle ordonnée jusque-là par le camp occidental, avec à sa tête les Etats-Unis. Multiples sont les discours des politiques français à propos de la Russie. Cependant, ces discours politiques dénotent davantage de politiquement correct, et ce dans un but strictement électoral.

    François Fillon, candidat à la présidence de la République Française, participant à la primaire de droite, souhaite mettre la Russie face à ses responsabilités, mais ne définit pas clairement de quelles responsabilités il s’agit. M. Fillon s’exprime ainsi : « La Russie est le plus grand pays au monde en superficie, mais c’est un pays dangereux et instable puisqu’il n’a jamais connu la démocratie. » La question qui mérite d’être posée sans pour autant vouloir défendre la Russie est la suivante : les pays qui ont connu la démocratie tels que les Etats-Unis ou encore la France sont-ils moins dangereux ? N’est-ce pas à cause de certaines démocraties occidentales que le monde est actuellement à feu et à sang ? Peut-être que le temps est venu de redéfinir le concept de la Démocratie.
    Quant à Jean-Frédéric Poisson, candidat du Parti Centre à l’élection présidentielle française et participant également à la primaire de droite, il a pris le contre-pied de tous les candidats en allant en Russie à la rencontre du président Poutine et du peuple russe.

    Tandis que M. Bruno Lemaire n’hésite pas à affirmer que la France est devenue la supplétive des Américains, ce qui signifie précisément que la France a perdu son indépendance face aux États-Unis, voire sa souveraineté dans l’état actuel.
    L’ancien président de la république, Nicolas Sarkozy, semble clairement devenir russophile, notamment depuis son retour sur la scène publique et suite à sa rencontre avec le Président russe en octobre 2015 à Moscou.
    Pour Jean-François Copé, participant également à la primaire de droite en vue des élections présidentielles, le pacte de confiance avec la Russie a été détruit à cause de l’intervention française en Libye, aggravé par la suite par la présidence de François Hollande et sa gestion des relations avec la Russie. Il convient aussi de préciser que le déroulement des événements en Libye a quelque part durci la position russe en Syrie.

    Alain Juppé n’hésite pas à critiquer une certaine russophilie française. Sa compréhension des relations avec la Russie se réduit à châtier la Russie pour son action mondiale par plus de sanctions économiques. Ce qui semble être actuellement une forme dépassée et nullement efficace. D’autant plus que les sanctions économiques n’entravent en rien l’ascension de la Russie.

    La position d’Alain Juppé est en quelque sorte similaire à celle de l’actuel président français François Hollande et une partie de la gauche socialiste. Le président Hollande s’oppose farouchement au président Poutine, son excès de zèle dépasse largement l’action des vrais ennemis de la Russie tels que les Etats-Unis, au point de refuser récemment de recevoir son homologue russe en France. Cela reste dans les annales diplomatiques comme une première dans les relations franco-russes. Cependant, cette politique antirusse n’est ni dans l’intérêt de la France ni dans celui du peuple français, mais qui est apparemment une préoccupation majeure de tous les candidats de gauche ou de droite. Enfin, le président Hollande semble plonger la France, au moins pour le temps qui lui reste à gouverner, dans un type de guerre froide avec la Russie.
    La gauche française n’est pas épargnée par les divisions au sujet des relations à entretenir avec la Russie. Certaines personnalités politiques de gauche telles que Jean-Luc Mélenchon ont de la sympathie pour la Russie, en opposition à l’hégémonie américaine sur la France et l’Europe. D’autres comme Hubert Védrine, ancien ministre des affaires étrangères, ou Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre de la défense, ont d’autres conceptions des relations internationales réfutant toutes formes d’opposition et de rupture totale avec la Russie.
    Dans l’ensemble la classe politique française paraît favorable à un dialogue avec la Russie, mais dans les faits cela manque de sincérité. Les différents candidats à l’élection présidentielle française motivent leur idée d’un dialogue ou d’un rapprochement avec la Russie à travers la notion de l’intérêt de la France et des Français, mais l’idée réelle est davantage électoraliste. Cependant, les candidats à l’élection présidentielle de droite ou de gauche semblent beaucoup évoquer la Russie pour éviter d’être obligés de s’exprimer sur l’alignement total de la France sur la politique étrangère étatsunienne.

    Quant à l’extrême-droite française, elle adule le président Poutine voyant en lui une incarnation de l’autorité, ainsi qu’un chef politique capable d’éradiquer l’Islam radical qui sévit de nos jours dans le monde. De surcroît, les Gaullistes français sont séduits par le concept de la Nation développée par le Président Vladimir Poutine.

    Enfin, le constat est indéniable, la France est alignée sans condition, dans une posture quasi vassalique sur la politique étrangère américaine, au détriment de ses relations avec la Russie. La défaillance chronique de la politique française a poussé les deux pays à s’éloigner l’un de l’autre, ce qui n’est pas bénéfique ni pour la France ni pour les intérêts du peuple français que chérissent tant les politiciens.

  • Cours d’arabe au CP : « Dans le supérieur, l’enseignement de l’arabe n’est pas du tout stigmatisé » (20minutes.fr)
    http://www.20minutes.fr/societe/1858487-20160603-cours-arabe-cp-superieur-enseignement-arabe-tout-stigmati

    Dès la rentrée 2016, la première langue vivante sera étudiée à partir du CP. Si dans l’immense majorité des cas, le choix se portera sur l’anglais, quelques écoles proposeront l’apprentissage de l’espagnol, de l’allemand, de l’italien ou encore de l’arabe. Depuis son annonce, l’introduction de cette dernière ne cesse de susciter la polémique : la député Les Républicains Annie Genevard a dénoncé une « langue communautaire ». Des propos repris par Bruno Lemaire. « L’apprentissage de l’arabe au CP mènera droit au communautarisme », a déclaré lundi le candidat à la primaire de droite. Comment expliquer une telle stigmatisation de l’arabe ?

    Pourquoi l’enseignement de l’arabe est-il mal perçu en France ?

    C’est un peu le même débat que pour l’enseignement de l’allemand : lorsque des parents inscrivent leurs enfants dans des classes germaniques, c’est avant tout pour l’environnement. Ils ne choisissent pas la langue la plus utile mais les élèves qui l’apprennent sont traditionnellement les meilleurs. On a d’ailleurs vu l’enseignement de cette langue s’effondrer lorsque les élèves ont été dispatchés dans différentes classes. C’est exactement le même mécanisme pour l’arabe : les parents rechignent à choisir ce cours parce qu’ils ne veulent pas que leurs enfants soient dans des classes avec en majorité des enfants d’immigrés.

    C’est donc le signe d’un racisme latent ?

    Oui, mais pas uniquement. Les études ont montré que les enfants d’origine étrangères ont un niveau scolaire plus bas que les autres. Ce n’est pas lié à l’origine des familles mais à la pauvreté. A niveau socioprofessionnel égal, les enfants d’immigrés réussissent aussi bien que les autres, voire parfois mieux.

    #éducation #apprentissage_des_langues #Arabe #mixité #stigmatisation

  • Droit de propriété sur les semences : l’agro-industrie obtient sa redevance | Nolwenn Weiler (Basta !)
    http://www.bastamag.net/article1961.html

    Après un débat vif, les députés ont voté la loi sur le Certificat d’obtention végétale, qui supprime le droit de ressemer librement sa propre récolte sans verser de taxe. Les élus UMP, et le ministre de l’agriculture Bruno Lemaire, ont rejeté tous les amendements proposés par l’opposition de gauche. L’industrie semencière peut être satisfaite, tandis que la Confédération paysanne appelle à l’abrogation de la loi, et à son boycott. (...) Source : Basta !

  • Ne jouez pas avec notre nourriture ! » Peuples Solidaires
    http://www.peuples-solidaires.org/ne-jouez-pas-avec-notre-nourriture

    Le #G20, qui réunit les principales puissances économiques du monde, a inclus l’#agriculture parmi ses priorités. C’est l’occasion pour nous d’exprimer haut et fort nos propositions alternatives. Car il y a urgence : si nous ne parvenons pas à nous faire entendre, les élites politiques ne changeront pas le système en profondeur, se limitant à en atténuer les dérives les plus choquantes. C’est pourquoi Artisans du Monde, ATTAC, la Confédération paysanne et Peuples Solidaires/ActionAid appellent à signer cette #pétition qui sera remise au Président de la République, Nicolas Sarkozy, et au Ministre de l’Agriculture, Bruno Lemaire, à la veille du Sommet du G20 sous présidence française, les 3 et 4 novembre, à Cannes.