person:charlotte bienaimé

  • UN PODCAST A SOI

    Féminismes, #genre, #égalité : tous les premiers mercredis du mois, Un podcast à soi mêle documentaires et entretiens, récits intimes et paroles d’expert.e.s, textes inspirants et réflexions personnelles, pour évoquer les questions de société liées à l’égalité entre les #femmes et les #hommes. Travail, éducation, santé, écologie, sport, parentalités, sexualités, violences, discriminations...Charlotte Bienaimé invite à la réflexion sur un enjeu de société majeur.


    https://www.arteradio.com/emission/un_podcast_soi
    #podcast #audio #féminisme #arte_radio

  • https://soundcloud.com/radiofranceinternationale/feminisme-podcast-mathilde-saliou

    Pourquoi le #féminisme, longtemps considéré comme trop militant pour mériter un traitement journalistique, est-il aussi présent dans ce nouveau média ? Pour répondre à cette question, quatre créatrices de #podcast ont répondu à Mathilde Saliou :

    Lauren Bastide, de La Poudre
    Siham Jibril, de Génération XX
    Charlotte Bienaimé, de Un podcast à soi
    Victoire Tuaillon, de Les Couilles sur la table

    http://atelier.rfi.fr/profiles/blogs/quand-le-feminisme-rencontre-le-podcast

  • Qui sont les féministes du monde arabe ? - ChEEk Magazine
    http://cheekmagazine.fr/societe/qui-sont-les-feministes-du-monde-arabe

    Nasawiyat ! sonnerait presque comme une injonction cinq années après le début des printemps arabes : ce nom, qui signifie féministe en arabe, est aussi le titre de la série de portraits de jeunes femmes militantes, réalisés par la jeune journaliste Charlotte Bienaimé et diffusés dès 2014 sur France Culture. Ce sont ces rencontres radiophoniques qui lui ont inspiré le livre, paru en début d’année, Féministes du monde arabe, Enquête sur une génération qui change le monde.

    Je mets cette référence sur seenthis, en fait je cherchais un texte féministe écrit en arabe (je ne parle pas arabe) je croyais facile de passer d’une langue à l’autre sur internet, pff, naïve que je suis. Ou alors ignorante des passerelles … mais vous, vous êtes déjà allé sur un site chinois, arabe, inuits, que sais-je, ça doit être facile depuis un moteur de recherche, je ne parle pas de commerce hein, juste comme ça, par curiosité, du tourisme web.

    Et quand je demande à google de traduire « féministe » en arabe il me donne #نسوية et me suggère

    Définitions de féministe
    nom
    Personne qui favorise le féminisme.
    C’est un féministe, un homme rose !

    Mais franchement où est-ce qu’il sont allés trouver cette définition de l’#homme_rose ?

    #Nasawiyat

    • Enorme cet homme rose ! Il ressemble en fait à la définition d’origine du mot féministe ; un homme malade qui est tellement faible qu’il ressemble à une femme...

      Pour ta recherche, je passerait par wikipédia pour trouvé des noms de féministes arabes et à partir des titres que je trouve je chercherait ce qui est dispo dans les autres langues et à partir de là j’irais sur un moteur de recherche et puis je le mettrais sur @seenthis et je demanderait à @simplicissimus si c’est bien ce que je cherche.

      Ici une liste de féministes qui est dispo en arabe aussi
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_f%C3%A9ministes

    • héhé, c’est à peu près ce que j’ai fait, en essayant d’éviter WP le plus possible, j’ai du coup repéré quelques féministes marocaines, palestiniennes, iraniennes, mais qui s’expriment en français ou dont on parle en français.
      J’ai aussi cherché des journaux arabes en ligne et j’ai tapé dans leur recherche

      #نسوية

      pour tomber sur des articles que je traduis dans un traducteur auto et qui parle pas du tout de féminisme au final :D

      Bon tant pis, j’ai fait un plugin SPIP aujourd’hui, inspiré du traducteur de @seenthis pour permettre d’utiliser Yandex en traducteur à la volée. Je voulais en profiter pour faire des exemples avec quelques textes courts revendicatifs et féministes en différentes langues tant qu’à faire :)

      Il faut attendre qu’il soit publié
      https://contrib.spip.net/Traducteur-Yandex

    • « Nasawiyat ! sonnerait presque comme une injonction cinq années après le début des printemps arabes »... Quel début ! Pas certain de savoir ce qu’on appelle « le printemps arabe », mais davantage convaincu en revanche qu’on dit plutôt nisâ’iyya pour féminisme et niswiyya pour l’adjectif. Imaginons un article qui parlerait du « faminisme européen »... Pour l’enquête cela ferait un bon point de départ de remarquer qu’en arabe le pluriel du mot femme (niswân) n’a rien à voir avec son singulier (mar’a), ce qui n’est pas le cas pour les hommes (rajul/rijâl). Je n’ai pas d’explication pour le très surréaliste « #homme_rose » de Google, totalement inexplicable à partir de la langue arabe, mais ce ne serait pas la première fois que Google Trad dit n’importe quoi (ce qui n’est pas une raison pour le prendre au sérieux !)

    • Le concept de féminisme n’est peut-être pas le bon quand on sait que pour nombres de femmes arabes musulmanes du Maghreb par exemple, le mot féministe est associé aux relations coloniales entre occident et orient d’une part et d’autre part à un rejet de la religion et de la culture musulmanes.

    • @ninachani
      Je ne connais pas ce sujet et je préfère le répéter.
      Quelques textes cependant soulignent le même caractère d’émancipation réclamé par le féminisme au Maghreb que celui construit autour du nationalisme arabe. (Il faut que je source)

      Je note ici quelques féministes du monde arabe, pas forcément musulmanes :
      https://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9minisme_musulman
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Ibtissam_Lachgar
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Shahla_Sherkat
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Valentine_Moghadam

    • @touti ce n’est pas le contenu qui est remis en question c’est le terme. Évidemment qu’il y a des femmes qui se battent et réclament leurs droits mais si tu veux réussir à tomber sur des textes issus de militantes et activistes au cœur de la société, je pense que ce n’est pas forcément la bonne entrée pour l’Afrique du nord en tout cas. Quand aux féministes (au sens occidental) non musulmanes, bien sûr qu’elles existent mais elles sont loin d’être majoritaires et la plupart des activistes ne se situent pas hors de la culture musulmane, déjà statistiquement parce que l’écrasante majorité de la population vit selon les préceptes musulmans. Pour le Maroc par exemple, cherche du côté du Rif et des femmes qui se sont engagées dans le mouvement Hirak par exemple. Les activistes sont rarement activistes sur un seul rapport de domination. De la même façon pour la Palestine, les femmes qui s’engagent contre la colonisation sont aussi les femmes qui sont le plus à la pointe du combat pour les droits des femmes. Alors que faire entrer dans ta recherche le fait religieux fera que tu n’accéderas pas à la majorité des militantes.
      Tu vois par exemple, ici elles avaient organisé un grand rassemblement de femmes à Casablanca : https://www.tsa-algerie.com/hirak-appel-a-un-grand-rassemblement-feminin-a-casablanca-le-7-juillet
      C’est juste un exemple.

    • @ninachani je ne souhaite pas polémiquer sur ce que doit être une féministe, le féminisme est pluriel et vise à libérer les femmes de la domination masculine.
      Merci du lien. D’après l’article, ces femmes courageuses prennent beaucoup de risque pour leurs hommes, mais je ne vois pas l’idée de se libérer du patriarcat

      « Aujourd’hui, plus que jamais les voix des femmes doivent porter la voix des femmes d’Al Hoceima qui bravent les matraques quasi-quotidiennement en sortant dans les rues de la ville exprimer leur colère et demander la libération de leurs maris, leurs fils, leurs frères ou camarades aujourd’hui derrière les barreaux »,

      J’ai été - en france- il y a dix ans à LaForge de Belleville à des prises de paroles de femmes algériennes qui disaient s’organiser par nécessité clandestinement contre le pouvoir et contre le patriarcat, elles racontaient comment ce combat se passait à huis clos et comment elles tentaient de se faire entendre à l’internationale, par exemple en venant nous interpeller. C’était super violent ce qu’elles racontaient et on n’était pas là pour dire si le féminisme était occidental ou ouvrier ou pouvait ou non être musulman.

      Actuellement, un exemple en Tunisie pour l’égalité des femmes https://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/0302115652408-egalite-hommes-femmes-devant-lheritage-un-projet-de-loi-divis

    • Je ne sais pas si j’ai bien compris ce que tu veux mais essaye de checher du coté de Marie Ajami (ماري عجمي Syrie), Houda Shaaraoui et Nabaouia Moussa (هدى شعراوي، نبوية موسى Egypt).

    • @touti bon je n’arrive décidément pas à me faire comprendre. Le lien que je donnais n’était pas une action autour de revendications sur les droits des femmes puisque c’était lié à la répression contre le Hirak. Je voulais juste te montrer que dans le cadre de ces luttes contre la répression étatique par exemple, les femmes s’organisent et dans leurs rangs se trouvent aussi les femmes qui revendiquent leurs droits en tant que femmes, celles qui agissent. Et c’est toujours parmi les activistes, celles qui sont sur le terrain que la pensée concernant les luttes et les droits à défendre est la plus intéressante. D’ailleurs cela va sans dire que toute implication dans la lutte est émancipatrice, que ce soit sur les droits des femmes ou bien sur une lutte plutôt anti-coloniale. Prendre la parole en public, s’engager, manifester c’est s’affirmer et commencer déjà à se libérer. Mais bon voilà c’était juste pour orienter la recherche et trouver une autre entrée.

    • Oui merci @ninachani je comprends ta démarche et la possibilité d’orienter ma recherche par une autre entrée.
      Je reste dubitative sur la porosité des luttes. Pour faire court, j’ai entendu trop souvent qu’il faut libérer les hommes pour que viennent le tour des femmes et je grince un peu des dents quand je vois des féministes présentées comme « militantes des droits de l’homme ».

    • @touti je ne parle pas de porosité des luttes, pour moi ça ne veut rien dire. Les femmes sont des êtres humains et au même titre que les hommes et les enfants elles sont opprimées quand il y a colonisation parce que le colonialisme n’épargne pas les femmes (c’est le moins qu’on puisse dire) donc elles ont tout intérêt à s’y engager. Quand elle lutte pour se libérer de l’occupant israélien par exemple elle lutte en tant qu’être humain et en tant que femme et cette lutte l’émancipe de fait parce qu’elle nécessite une attitude, des actes, une parole, un positionnement qui va la libérer par le chemin qu’elle va emprunter en tant qu’activiste. Être féministe c’est reprendre contrôle de ce qui est possible dans sa vie, c’est choisir et il n’y a pas de lutte sans choix. Sinon ça veut dire que la lutte féministe n’est qu’une lutte contre ses frères, pères etc alors que c’est bien plus global : l’oppresseur ce peut être les hommes de mon clan mais également l’état israélien, les soldats, les juges israéliens etc On n’est pas opprimée en tant que femme par son père et opprimée en tant que palestinienne par les israéliens. L’identité n’est pas morcelable.

    • @ninachani, dans ce cas nous ne sommes juste pas d’accord, ni sur la pensée ni sur ses termes parce qu’il ne me suffit pas qu’une femme lutte pour une cause politique pour la qualifier de féministe.

    • Je ne parle pas simplement des luttes pour une cause politique, je parle des luttes de libération. Dans ce cas c’est une démarche féministe puisque pour moi œuvrer à sa propre libération est une démarche féministe. Mais bon je m’éloigne…

  • Le cout du ticket et le prix de la fraude (R)
    1ère diffusion le 8/12/2014

    https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/le-cout-du-ticket-et-le-prix-de-la-fraude-r
    http://rf.proxycast.org/1378657470032912384/10078-15.12.2017-ITEMA_21525251-0.mp3

    A l’agence de recouvrement des Transports en Communs Lyonnais, dans le métro parisien avec un « super fraudeur », sur le réseau de l’agglomération d’Aubagne où tous les transports sont gratuits, et dans le bureau du président des transports lyonnais : enquête sur le prix des transports en commun.

    Production
    Sonia Kronlund
    Avec la collaboration de Sandrine Chapron

    Production déléguée
    Elise Andrieu, Charlotte Bienaimé, Delphine Dhilly, Leila Djitli, Rémi Douat, Sophie Knapp, Inès Léraud, Bahar Makooi, Pauline Maucort, Olivier Minot, Ilana Navaro, Delphine Saltel, Pascale Pascariello, Stéphanie Thomas, Valérie Borst, Léa Veinstein, Martine Abat, Adila Bennedjaï-Zou, Judith Chetrit, Léa Minod

    Réalisation
    Clémence Gross, Philippe Baudouin, Emmanuel Geoffroy, Cécile Laffon, Alexandra Malka, François Caunac

  • Sexisme ordinaire en milieu tempéré | Charlotte Bienaimé
    https://www.arteradio.com/son/61659100/sexisme_ordinaire_en_milieu_tempere

    Le sexisme ordinaire est partout, tous les jours, dans tous les milieux sociaux. J’ai pourtant l’impression qu’on en parle moins lorsqu’il s’agit des milieux favorisés. J’ai donc voulu creuser, aller chercher ce qui se passe dans les bureaux de la Défense, dans les couloirs des entreprises du CAC 40, chez les catégories socio-professionnelles les plus élevées. Durée : 40 min. Source : Arte Radio

    https://download.www.arte.tv/permanent/arteradio/sites/default/files/sons/04sexismeordinaireenmilieutempere_hq_fr.mp3

  • Projection gratuite du film Les femmes du bus 678
    de Mohamed Diab, le mardi 5 juillet à 20h au cinéma Mac Mahon (Paris 17ème – Métro L1, L2, L6 ou RER A - Charles de Gaulle Étoile).

    A l’issue de la projection, nous accueillerons :
    – Charlotte Bienaimé, journaliste et auteure de l’ouvrage Féministes du monde arabe.

    Elle échangera avec la salle sur la place et les conditions de vie des femmes au Moyen-Orient.

    L’entrée est libre et gratuite sans réservation dans la limite des places disponibles.

    En espérant vous y voir nombreux.
    http://distrib.pyramidefilms.com/node/358

    #cinéma #féminisme

  • Les féministes islamiques - Information - France Culture
    http://www.franceculture.fr/emission-sur-les-docks-les-feministes-islamiques-2014-12-22


    Symbole du féminisme islamique © Wikicommons

    Un documentaire de Charlotte Bienaimé et Annabelle Brouard

    Un mouvement important de femmes, dans le monde musulman, mais aussi en occident, conçoit l’engagement féministe au sein de l’islam. Ces femmes pensent que l’égalité est au fondement de la religion musulmane. Elles sont croyantes et relisent les textes sacrés pour l’égalité, contre le patriarcat. Elles s’élèvent contre les autorités religieuses qui « bafouent » les droits des femmes. Elles veulent démontrer que ce n’est pas le Coran qui est patriarcal mais ses interprétations. Une dynamique féministe musulmane prend de l’ampleur dans le monde musulman, mais aussi en Europe et aux États-Unis où des femmes, « ré-islamisées », protestant contre l’injonction intégrationniste, veulent « décoloniser et renouveler le féminisme ».

    De l’Egypte à l’Iran, du Maroc à la Syrie, en France, aux États-Unis et jusqu’en Malaisie, des intellectuelles, des chercheuses, des militantes sont donc engagées dans une démarche féministes à l’intérieur du monde musulman. « Féministes et islamiques. L’association peut étonner voire choquer, y compris parmi celles et ceux qui se pensent à l’abri de tout préjugé, tant le stéréotype « islam = oppression de la femme » croise partout comme un sous-marin, tantôt en surface et pavillon haut, tantôt dans les profondeurs de l’inconscient » (Ali Zahra, Féminismes islamiques, La Fabrique).

    Ce mouvement ne manque pas de détracteurs : d’un côté il est contesté par certaines féministes qui considèrent la religion comme antinomique à l’émancipation des femmes et pour qui la lutte pour l’égalité des sexes ne peut passer que par une mise à distance du religieux. De l’autre côté, un certain nombre de religieux musulmans considèrent qu’il s’agit d’une occidentalisation de l’islam et que la pensée musulmane ne peut se concevoir que comme un cadre fini, hostile à une dynamique de relecture.

    Entre la France et le Maroc, nous allons à la rencontre de ces femmes et donnons aussi la parole à leurs détracteurs.

    Avec : Asma Lamrabet, Malika Hamidi, Hanane Karimi, Leïla Alaouf, Ndella Paye, Ismahane Chouder et les membres du collectif féministes pour l’égalité

    Wassyla Tamzali

    http://rf.proxycast.org/974606028056305664/10177-22.12.2014-ITEMA_20703682-0.mp3
    #islam #féminisme #radio #femmes

    • Je pense qu’il est essentiel de respecter et de soutenir ces mouvements de femmes musulmanes. C’est à elles seules de trouver les chemins de l’évolution de la situation des femmes dans leurs sociétés. Elles ont raison de partir de leur propre culture et non de la culture occidentale.
      Je pense que l’image occidentale de la femme (souvent dénudée dans les publicités diffusées dans les villes des pays non occidentaux), et certains mouvements féministes occidentaux qui prétendent dicter à d’autres cultures leur organisation sociale, sont contre productifs.
      Ces modes de féminisme peuvent être perçus comme une ingérence coloniale de plus. Ils peuvent déconsidérer les femmes qui localement cherchent à faire évoluer les choses. Ces femmes du coup peuvent être perçues comme un cheval de Troie de l’idéologie du colonisateur (ou du néo-colonisateur).

      Même les femmes occidentalisées des pays musulmans devraient être attentives à ces perceptions. L’étudiante tunisienne ou autre, jeune urbaine éduquée, qui dénude publiquement sa poitrine, même si elle manifeste du courage en faisant cela, fait-elle avancer ou reculer la cause des femmes dans son pays ?

  • Nasawiyat - Épisode 5 : Shayma et Fatima
    par Charlotte Bienaimé

    Je suis tombée sur ça, en zappant les stations de l’autoradio, en allant faire les courses, très intéressants croisements de regards. Je n’ai pas encore tout écouté. Je commence avec celles par qui l’écoute commença.

    Nasawiyat, les nouvelles féministes en France.
    L’été dernier, nous partions à la rencontre de jeunes féministes en Tunisie, au Maroc, en Egypte et en Algérie. Cette année, nous retournons le miroir, et poursuivons le chemin en France, à la découverte de jeunes femmes aux doubles cultures, qui réinventent de nouveaux féminismes, pluriels et métissés, dans les quartiers populaires et les campagnes, dans les maisons, les écoles et les rues.

    Nasawiyat - Épisode 5 : Shayma et Fatima

    Shayma a 22 ans. Française d’origine algérienne, elle vit avec ses parents dans le quartier de la presqu’île de Thau, près de Sète. Étudiante en droit, la jeune femme milite de façon informelle aux côtés des femmes de son immeuble. Elle organise régulièrement rencontres et groupes de paroles pour créer une solidarité entre ces habitantes d’origines sociales et culturelles différentes.

    Fatima, 31 ans, vit dans un squat à Paris. Née au Maroc, arrivée en France il y a cinq ans, elle attend d’obtenir la nationalité française. Il y a deux ans, elle monte son association « Les Effrontées » avec laquelle elle organise de nombreuses actions coups de poing comme des criées dans le métro pour sensibiliser sur les inégalités salariales entre hommes et femmes ou des occupations de magasins pour enfant, déguisée en barbie, pour dénoncer les jouets sexistes.

    Déterminées, les jeunes femmes aux caractères bien trempés, se revendiquent toutes les deux féministes convaincues. Elles sont cependant des militantes bien différentes. Shayma porte le voile. Fatima manifeste cheveux aux vent.

    http://www.franceculture.fr/podcast/5046743
    http://radiofrance-podcast.net/podcast09/rss_13826.xml
    http://rf.proxycast.org/1059485562626383872/13826-08.08.2015-ITEMA_20781286-0.mp3

    #france #Nasawiyat #femmes #féminisme #maghreurope #islam #cultures_populaires #idées #quartiers #squats #Charlotte_Bienaimé #antiracisme #égalité #luttes #radio #audio

  • Les Pieds sur Terre - Le rêve tunisien (2/2)
    http://rf.proxycast.org/m/media/296096201420.mp3?c=culture&p=LES+PIEDS+SUR+TERRE_10078&l3=20131008&l4=

    LES PIEDS SUR TERRE // durée : 00:27:38 - LES PIEDS SUR TERRE - par : kronlund sonia, Fatma Louati, Charlotte Bienaimé - Que sont devenus ces centaines de jeunes immigrants tunisiens, venus s’échouer au square de la villette à Paris, en 2011 juste après la Révolution ? Que font-ils ? Où vivent-ils ? Avec qui ? Qu’est devenu (...)