person:claude aubert

  • The role of trade in the greenhouse gas footprints of EU diets
    https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2211912418300361


    Fig. 3. Dietary emissions presented in A) food item groups (categories ‘Meat, eggs’ and ‘Dairy’ also include the emissions from feed production), B) production regions.

    Meat and egg consumption represents the largest share of food supply #emissions in all EU countries (Fig. 3A), ranging from 49% to 64% (EU average 56%), followed by the consumption of dairy products that account for 16–36% of the dietary emissions (EU average 27%). Direct consumption of cereals, rice, and maize account for 2–8% of the emissions (EU average 4%). Beverages and stimulants, and the consumption of vegetable oils for food account on average for less than 5% each. Emissions related to feed embedded in animal product consumption account for approximately 37% of the total emissions.

    Most emissions from the production and trade of the EU food supply are caused by the consumption of domestic products or imports from other European countries (EU average 64%) (Fig. 3B). Latin America (EU average 25%) is the second most important import region followed by Asia (EU average 7%) and Africa (EU average 3%). The dominance of domestic production and intra-EU trade is expected, as most of the emissions accounted in our study are related to animal product consumption. Animal products in the EU are generally produced in nearby countries, and food and feed crops are also traded from regions further away.

    #climat #agriculture


    • Fig. 2. Production- and trade-related dietary emissions of the average diets in EU countries.

      Emissions here account for the direct food consumption and the feed used in the production of the animal products that were consumed. Enteric fermentation (14–30%, EU average 22%) and manure management (15–25%, EU average 22%) are major emission sources followed by inorganic (8–26%, EU average 14%) and organic (2–6%, EU average 3%) fertilizer use (Fig. 2). International transportation emissions account only for approximately 6% of the emissions (3–20%). Non-CO2 emissions dominate the picture and account on average for over 60% of the total emissions. Land use change emissions account for on average 30% of the emissions (min 17% Latvia, max 43% the Netherlands).

  • Espérance de vie : la fin de quelle illusion ? - Mon blog sur l’écologie politique
    http://blog.ecologie-politique.eu/post/Esp%C3%A9rance-de-vie

    Nombre de #maladies ont reculé dans les pays riches mais d’autres sont en plein essor. On les appelle parfois des « maladies de civilisations » et elles tiennent autant à notre mode de vie qu’à notre environnement. Il s’agit des #cancers dus à la #pollution à laquelle nous sommes exposés à titre professionnel ou dans la vie quotidienne, des maladies neuro-dégénératives (Alzheimer, Parkinson) dont les causes environnementales commencent à peine à être étudiées ou bien encore des conséquences des perturbateurs endocriniens sur le développement psychomoteur, le système immunitaire et les fonctions reproductrices. Côté mode de vie, l’abondance d’aliments très caloriques et transformés, le manque de sommeil et le stress, la sédentarité, les grossesses tardives tiennent à l’organisation sociale mais ont des effets marqués sur nos corps. Le tabac et l’alcool font partie de ces facteurs de mauvaise santé mais sont les seuls à faire l’objet de politiques de prévention – très individualisantes. Claude Aubert compare le traitement social dont ils font l’objet avec l’influence de l’industrie du sucre, qui établit des partenariats avec le ministère de l’Éducation nationale pour financer la sensibilisation à la #nutrition. Il en conclut que « le ministère de la #Santé, c’est le ministère de la Maladie, on ne cherche pas à empêcher les gens de tomber malades ».

    #environnement #espérance_de_vie

  • Vers un bouleversement de notre modèle alimentaire, par Claude Aubert (Le Monde diplomatique, 2007... mais toujours d’actulité)
    http://www.monde-diplomatique.fr/atlas/environnement/a53636

    Quel doit donc être le modèle alimentaire de demain ? On peut appliquer à sa recherche trois critères principaux : écologique, en tenant compte des problèmes de pollution et de la limitation des ressources ; sanitaire, en essayant de définir le modèle le plus apte à nous maintenir en bonne santé ; historique et ethnologique, en regardant l’impact du mode d’alimentation d’un certain nombre de peuples sur leur état de santé. Quel que soit le critère choisi, les modes d’alimentation qui s’imposent sont sensiblement les mêmes, et à l’exact opposé de ceux qui se sont généralisés dans les pays riches.

    #alimentation #survivre_ensemble

  • Le pari de la décollectivisation en #Chine | Claude Aubert
    http://www.monde-diplomatique.fr/1982/06/AUBERT/47448

    Fin de la commune populaire, retour à la dynamique familiale et à l’initiative privée Très rapidement, la remise en question du maoïsme a débouché sur une véritable « révolution » silencieuse dans les campagnes. Un grand pragmatisme inspire les réformes, qui doivent toutefois s’insérer dans un ensemble (...) / Chine, #Agriculture, #Développement, Économie, #Maoïsme - 1982/06

    #Économie #1982/06