person:claude guéant

  • Guéant, Gobineau et les « valeurs républicaines » - PERFORMANCES. (Science, culture et politique)
    http://noiriel.over-blog.com/article-gueant-gobineau-et-les-valeurs-republicaines-99094335.htm

    Ce n’est pas un hasard si le mot « racisme » apparaît en France au début du XXe siècle (pendant l’affaire Dreyfus). En tant que doctrine politique, le racisme présuppose l’égalité et l’homogénéité des citoyens appartenant à un même Etat national. C’est le peuple français tout entier qui est désormais érigé en « aristocratie » face aux autres peuples de la terre. Ceux qui tentent de discréditer les propos de Claude Guéant en affirmant qu’ils ne sont pas « républicains » font fausse route. Ils ne veulent retenir qu’une facette de la République : les droits de l’homme. Mais la République c’est aussi le régime politique qui a justifié la colonisation au nom de la supériorité de la civilisation française ; le régime qui a placé, dès la Première Guerre mondiale, les travailleurs immigrés issus des pays en guerre avec la France, dans des camps de concentration.

    #Histoire #Gérard_Noiriel

  • Spoke : « Claude Guéant a raison : toutes les civilisations interstellaires ne se valent pas » - Allô la terre ? - Basta !
    http://www.bastamag.net/article2118.html

    Ce qui l’a d’abord intrigué en survolant ce que les terriens nomment « la France », ce sont ces vastes arènes à proximité des grands centres urbains. Des stades dont les pelouses sont chauffées par des systèmes de soufflerie au fioul ou de panneaux électriques, afin que le spectacle footballistique puisse avoir lieu malgré les températures glaciales. Plus surprenant : pendant que certains humains déploient de coûteux efforts d’ingéniosité pour que ces pelouses ne gèlent pas, à quelques centaines de mètres de ces arènes, d’autres êtres humains dorment congelés dans leur voiture, sous une tente, ou à proximité d’une bouche de chauffage.

    En captant les ondes qui circulent – les terriens parlent beaucoup par écrans interposés –, le visiteur s’étonne encore davantage des propos tenus par l’une des membres de ce qui pourrait être l’équivalent, sur sa planète, d’un conseil des sages, en charge de l’intérêt général. Nora Bera se prénomme-t-elle, à la tête d’un « secrétariat d’État à la santé », « recommande aux personnes les plus vulnérables d’éviter de sortir », parmi lesquelles les « sans-abris »… Décidément, bien des aspects du raisonnement des humains lui échappent encore ! D’autant que Nora Bera, parmi d’autres conseils, ne semble pas manquer de bon sens : « Pensez à vous couvrir la tête et à vous munir d’une écharpe pour recouvrir le bas du visage et particulièrement la bouche. Habillez-vous très chaudement », conseille-t-elle à ses concitoyens, qu’elle semble considérer comme des demeurés (Nora Bera est quand même rémunérée 13 411 euros bruts par mois pour distiller ce type de recommandations essentielles). Leur rappelle-t-elle d’enfiler leurs pyjamas avant d’aller au lit ou d’ajuster leurs maillots de plage en plein été ? Il faudra qu’il revienne.

  • Claude Guéant a raison : Premières Lignes
    http://premiereslignes.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/02/09/claude-gueant-a-raison.html

    Claude Guéant a raison.

    Le relativisme de la gauche est désespérant. Cette propension a vouloir toujours rester subtil, à intellectualiser, à culpabiliser...

    La droite de Claude Guéant, elle, n’a pas ces émois de violette. Elle cogne. Univoque et compacte comme une barre de fer. Elle occupe le centre du débat et elle gagne la suprématie culturelle.

  • #Copwatch : Who’s fucking Next ? | Reflets
    http://reflets.info/whos-fucking-next

    Claude Guéant revenait à la charge sur la censure de Copwatch, et ce, de manière bien plus violente puisque le ministre a demandé la #censure par blocage, non pas des pages, mais de l’intégralité des sites miroirs. Une demande particulièrement choquante, puisqu’elle s’effectuerait au doigt mouillé, sans décision de justice ! Sur simple demande du ministre de la police !

    voir aussi http://signal.eu.org/blog/2012/02/07/compte-rendu-de-laudience-copwatch-version-2 et on parle un peu du coût du #DPI

  • Discours sur le colonialisme, par Aimé Césaire

    En hommage à Aimé Césaire, et en réponse aux propos de Claude Guéant sur l’inégalité entre les civilisations, décalque à peine modifié du propos célèbre de Jean-Marie Le Pen sur l’inégalité entre les races, nous publions ci-dessous les premières pages du Discours sur le colonialisme, paru en 1950 aux éditions Présence Africaine.

    http://lmsi.net/Discours-sur-le-colonialisme

    […] On s’étonne, on s’indigne. On dit : « Comme c’est curieux ! Mais, Bah ! C’est le nazisme, ça passera ! » Et on attend, et on espère ; et on se tait à soi-même la vérité, que c’est une barbarie, mais la barbarie suprême, celle qui couronne, celle qui résume la quotidienneté des barbaries ; que c’est du nazisme, oui, mais qu’avant d’en être la victime, on en a été le complice ; que ce nazisme-là, on l’a supporté avant de le subir, on l’a absous, on a fermé l’oeil là-dessus, on l’a légitimé, parce que, jusque-là, il ne s’était appliqué qu’à des peuples non européens ; que ce nazisme là, on l’a cultivé, on en est responsable, et qu’il est sourd, qu’il perce, qu’il goutte, avant de l’engloutir dans ses eaux rougies de toutes les fissures de la civilisation occidentale et chrétienne.

    Une civilisation n’est qu’un processus qui progresse ou qui recule. Une culture, c’est autre chose. Une chose est certaine : les cultures s’additionnent, elles ne se soustraient pas.

  • Bronca à l’Assemblée autour des « civilisations » de Guéant - Libération
    http://www.liberation.fr/politiques/01012388460-les-civilisations-de-gueant-declenchent-une-bronca-a-l-assemb

    Le député de Martinique apparenté PS Serge Letchimy a évoqué le « régime nazi » au sujet des déclarations de Claude Guéant, provoquant le départ de l’hémicycle des membres du gouvernement.

    Gauche et droite tout aussi stupides ; mais ne votons pas Marine pour autant ...
    #civilisations

  • Who’s fucking Next ? | bluetouff
    http://reflets.info/whos-fucking-next

    Ce matin, c’est PCInpact qui nous apprenait que Claude Guéant revenait à la charge sur la censure de Copwatch, et ce, de manière bien plus violente puisque le ministre a demandé la censure par blocage, non pas des pages, mais de l’intégralité des sites miroirs. Une demande particulièrement choquante, puisqu’elle s’effectuerait au doigt mouillé, sans décision de justice ! Sur simple demande du ministre de la police ! Numerama explique que la formulation est assez large pour inclure un site de presse qui reprendrait une information du site copwatch, et ainsi se retrouver sous le coup d’une censure par blocage de son nom de domaine ! Odieux ! L’ami Sebsauvage a d’ailleurs reçu une assignation en référé l’invitant au retrait des contenus sous peine de se faire bloquer son domaine. Sebsauvage mirrore aussi Reflets.info, nous nous sentons donc directement concernés. Cependant Reflets.info a une pensée émue pour Claude Guéant quand il découvrira les URL Tor et I2P qui hébergeront bientôt copwatch… bon flamby à toi Claude. Streisand.me est donc de fait devenu illegal en France. Streisand.me, une initiative de Telecomix, héberge de nombreux sites de défenseurs des droits de l’Homme censurés dans leur pays. Par cette action, Claude Guéant couvre de honte la (...)

  • Civilisation, le Gud des autres | Bakchich
    http://www.bakchich.info/france/2012/02/07/civilisation-le-gud-des-autres-61133

    Piraté par le collectif anonymous, le GUD, très droitier syndicat étudiant, souffre aussi de voir son leader lyonnais poursuivi pour incitation à la haine raciale. De la richesse des civilisations….

    Les forts peu primesautiers syndicats étudiants de droite se disputent l’actualité par grand froid. Grâce à Claude Guéant, pour l’UNI, devant laquelle le ministre de l’Intérieur, des libertés locales et des Cultes (si, si) a exprimé un point de vue. « Tous les civilisations ne se valent pas » assure-t-il, s’appuyant sur des exemples audacieusement choisis en ces temps d’islamophobie. Un relent du « vent mauvais qui souffle sur notre pays depuis de nombreuses année » dénoncé par le procureur de Castres, lors du procès de la profanation d’un cimetière musulman en 2011 ?

    Du tout voyons ! Une réflexion frappée de « bon sens » selon Nicolas Sarkozy, chef de l’Etat.

    Tout occupé à réparer les dégâts provoqués par le hacking de son site par les Anonymous, le Groupe Union Défense, autre sympathique association estudiantine, n’a pas encore apporté son attendu point de vue dans ce débat des bas-fonds. Au moins l’opération Gud-Leaks a-t-elle révélé les us et coutumes en cours chez ces gentlemen fascistes, fort bien détaillés par Stress Press. « Être présent à toutes les soirées ou réunions étudiantes, mettre le côté gentleman fasciste en avant. (…) Inscription des adhérents à des clubs de combat (…) pour instaurer un climat de peur pour les gauchistes ». Un réjouissant programme de civilisation dont on peut apercevoir quelques bribes également en justice

  • La (non) preuve numérique | kitetoa
    http://reflets.info/la-non-preuve-numerique

    Tout est désormais numérique. Nous avons tous, y compris les plus jeunes, une projection de nous-mêmes sur le réseau. Il y a, parait-il des « crimes » numériques. Plutôt des délits, mais ne tente-t-on pas d’assimiler ces délits à du terrorisme, à des guerres ? Ne parle-t-on pas de cybercrime et de cyberguerre à tout bout de champ ? Pourtant, la cyber-guerre et le cyberterrorisme ne font que des cyber morts. Bien moins grave, donc que la vraie guerre disséminée dans toutes les régions de la planète par les civilisations supérieures chères à Claude Guéant. Moins grave aussi que le terrorisme réel mené par des illuminés. Alors, si crime il y a, preuve (numérique) il doit y avoir pour confronter les auteurs à leurs actes, devant des tribunaux. Sauf que ces preuves ne valent pas un kopeck. 1,2,3… coucou, une preuve sortie du chapeau ! Pour avoir été confronté à la justice dans l’affaire Tati/Kitetoa, je sais ce que valent les experts près les tribunaux. Ils ont parfois un titre un rien survendu. Ils sont surtout expert de rien du tout ou de tout autre chose que d’informatique. Même topo dans l’affaire Tegam/Guillermito. Si l’avenir des mis en cause n’était (...)

  • Claude Guéant, néo-féministe ?

    http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/cafouillage/42-cafouillage/1672-claude-gueant-neo-feministe

    Des propos du ministre de l’Intérieur à la nouvelle campagne de l’extrême-droite flamande, la défense des droits des femmes apparaît aujourd’hui comme l’argument idéal pour les tenants du « choc des civilisations »... qui ne semblaient pas trop préoccupés par la question jusqu’ici.

    Merci à Caroline Fourest d’avoir instrumentalisé le combat contre le voile au nom de la femme et de la laïcité pour stigmatiser l’Islam. Elle a ouvert la boîte de Pandore de l’intolérance et a foutu le feu à la France. C’est grâce a elle si le Front National est si haut.

    Être musulman en France aujourd’hui, c’est comme être juif en Allemagne hier.

    #Féminisme, #islamophobie, #instrumentalisation

  • Sans vouloir dauber tous ces excellents papiers qui répondent à Claude Guéant, je signale tout de même que le simple fait d’accepter de discuter, même généralement, de cette histoire de « civilisation », c’est accepter d’être piégé par le discours de la droite.

    C’est le même piège que le précédent débat sur l’« identité nationale » de Sarkozy, c’est le même piège qui a été tendu aux tunisiens par les islamistes qui ont réussi à imposer un débat sur l’« identité » qui a permis de laminer tous les autres partis. Même répondre pour dénoncer les simplifications nauséabondes, même pour proposer une vision progressiste de l’identité… c’est encore accepter de discuter d’une question dont on se (pardon) contrefout royalement. L’Europe se prend des coups de boutoirs du système capitaliste d’une violence inouïe (après avoir imposé ces « ajustements structurels » aux autres peuples de la planète), et il faudrait vraiment qu’on discute de problème de « civilisation » ?

    • tout à fait d’accord @arno ; et c’est insupportable tous ces beaux esprits et leur bonne conscience à peu de frais. On s’indigne, on s’insurge, on accuse Guéant de lepénisme comme si c’était la découverte du jour ; puis quoi on va voter Valls et consorts parce que, décidément, il y a péril en la demeure ? (le week-end les journalistes ont besoin d’une petite phrase scandaleuse sinon ils sont moroses)

    • Ça reste un vieux principe : celui qui gagne dans une discussion, ça n’est pas celui qui a les meilleurs arguments, c’est tout simplement celui qui parvient à imposer le sujet même de la discussion.

    • Je voulais écrire un truc pour dénoncer le tempo des élections, puisqu’il est clair qu’à défaut de programme présentable, l’UMP (et aussi le PS) a décidé de jouer la carte des polémiques stériles en feu roulant. Quant aux médias, détenus pratiquement à 100% par des indistriels qui savent très bien où est leur intérêt, ils font là où on leur dit de faire.

    • @thibnton Je n’ai pas de réponse facile au « pourquoi ça marche ? », ni d’ailleurs à quel point ça marcherait (je suis généralement plus optimiste sur la nature humaine que certains de mes copains ici).

      Mais je ne crois pas, en tout cas, que ça marche facilement, ni naturellement. Ça n’est pas que du « refoulé » qu’il suffit de ressortir pour provoquer un scandale : ce sont des thèmes qui sont testés, répétés, adaptés, modulés, sondés, re-sondés, depuis des décennies. La mise en place d’une idéologie de la haine (et/ou de la peur), si l’on suit le rapport sorti il y a quelques mois par un think-tank démocrate américain, ça n’est pas du « refoulé » : ce sont des millions de dollars déversés sur des politiciens pour développer des saloperies. Si l’on en croit Halimi, les sujets à la con, c’est une stratégie de la droite américaine parfaitement rodée et théorisée, mise en application depuis au moins Reagan.

      C’est-à-dire qu’on n’est pas dans la prise spontanée d’un débat à la con. On est dans le truc très bien planifié et préparé. Ça n’échappe pas à Guéant, et si c’est relayé, c’est parce que le terrain est préparé depuis des décennies.

      C’est un autre aspect du piège : parvenir à faire croire que ces questions intéressent réellement et spontanément les gens. La preuve : on ne cause que de ça quand c’est lancé. Mais je crois au contraire qu’il a fallu des décennies de travail pour réussir à imposer les « sujets à la con ».

      Par exemple Guéant ne se lance pas sur le problème des grossesses adolescentes, sur l’abstinence sexuelle pour les jeunes, il ne pleure pas sur la prière à l’école ou le salut au drapeau par les enfants que ces socialo-communisss ont fait interdire… Sujets qui fonctionnent pourtant très bien ailleurs. Pourquoi ? Ben justement : parce que ça n’a pas fait l’objet d’une préparation du terrain depuis 30 ans en France.

    • @arno :

      si l’on suit le rapport sorti il y a quelques mois par un think-tank démocrate américain

      elle est dispo quelque part cette étude ?

      les sujets à la con, c’est une stratégie de la droite américaine parfaitement rodée et théorisée, mise en application depuis au moins Reagan.

      Que ce soit une stratégie n’invalide pas le fait qu’il s’agisse de « refoulé ». Mais sans doute oui, que celui-là a été sélectionné parmi d’autres, puis qu’ont été mobilisé tout plein de leviers idéologiques à son service, jusqu’à « coloniser » la conscience collective, de sorte qu’il puisse être ressorti (et fonctionner à plein) dès que nécessaire. Donc en fait si je te suis : il ne faut pas négliger la manipulation dans le temps long, et éviter de « naturaliser » en parlant de refoulé.

    • Les nations voisines sont celles qu’ils estiment le plus, toutefois après eux-mêmes. Celles qui les suivent occupent le second rang dans leur esprit ; et, réglant ainsi leur estime proportionnellement au degré d’éloignement, ils font le moins de cas des plus éloignées. Cela vient de ce que, se croyant en tout d’un mérite supérieur, ils pensent que le reste des hommes ne s’attache à la vertu que dans la proportion dont on vient de parler, et que ceux qui sont les plus éloignés d’eux sont les plus méchants.

      Hérodote , Enquêtes , I, CXXXIV, à propos des Perses
      http://fr.wikisource.org/wiki/Histoire_:_Livre_premier_-_Clio

      D’accord avec @ARNO*. Ne pas rentrer dans le débat : la prémisse de la comparaison est se croyant en tout d’un mérite supérieur. C’est d’ailleurs ce qui fait réagir et est un appel au point Godwin…

  • La prévention de la délinquance : une politique à la dérive | Vous avez dit sécurité ?
    http://insecurite.blog.lemonde.fr/2012/02/05/la-prevention-de-la-delinquance-une-politique-a-la-derive

    Exit la prévention, exit les associations, exit l’aide aux victimes. Après la vidéosurveillance, le comble du comble vient d’être atteint avec l’annonce par le secrétariat général du Comité interministériel de prévention de la délinquance (voir la Gazette du 2 février) que le FIPD financerait en 2012 une promesse faite par Claude Guéant lors du congrès des polices municipales à Nice en juin 2011 : celle de payer 50 % de l’équipement des policiers municipaux armés en gilets pare-balles (soit environ 10 000 pièces). Jusqu’où la prévention de la délinquance sera t-elle ainsi dévoyée ? Jusqu’où ira t-on dans cette fuite en avant sécuritaire ?

  • Civilisation : nous sommes tous des Arabes ! - Le Point
    http://www.lepoint.fr/actu-science/histoire-de-l-homme-nous-sommes-tous-des-arabes-27-01-2012-1424481_59.php

    Nous sommes tous des Arabes ! Telle est la dernière révélation fracassante des généticiens. Que cela plaise ou non à Marine Le Pen et à Claude Guéant, tous autant que nous sommes, Français, Américains, Esquimaux, Chinois ou Papous, nous descendons d’ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique ! Après être née en Afrique, l’humanité aurait donc fait une étape dans l’Arabie heureuse, après avoir franchi la mer Rouge. C’est du scoop. En effet, jusque-là, les grands experts des migrations humaines pensaient que la division des troupes s’était plutôt faite au Proche-Orient ou en Afrique du Nord.

    Les paléogénéticiens des universités de Leeds et de Porto ont été amenés à faire cette hypothèse à la suite des confidences d’un indic ! Un indic qui se cache par milliers dans chacune de nos cellules : la mitochondrie. Ce minuscule organite, qui officie en tant que centrale énergétique de nos cellules, possède son propre ADN. Comme les chromosomes, il peut muter. Ainsi, quand les généticiens observent exactement la même mutation chez deux peuples différents, ils peuvent en conclure que ceux-ci partagent un passé commun. En comparant l’ADN mitochondrial prélevé sur des centaines d’individus à travers le monde et dans la péninsule arabique, les chercheurs sont parvenus à la conclusion que tous les hommes, hors les Africains, ont tous effectué un passage de plusieurs milliers d’années très certainement, en Arabie. Voilà pourquoi nous sommes tous des Arabes et fiers de l’être. L’étude est parue dans American Journal of Human Genetics.

    • Suis pas certain que les plus emmerdés soient les Guéant ou autres issus du FN. Y’en a du côté PS que cette information va faire chier, mais chier ;-)
      Je pense particulièrement à notre ami défenseur des « blancos » et qui s’est trouvé un attachement éternel à je sais plus quoi.
      Peut-être qu’un jour ils redécouvriront les vrais humanistes type Desproges.

      D’ailleurs, le dernier pour la route qui nous rappellera la jeunesse de botul ou selon notre regretté ami « la vraie nature des cuistres »

      http://www.youtube.com/watch?v=-d7I5xNIYsA


      #humour

    • Et paf, fou rire anti politiquement correct grâce à l’évocation de Claude Guéant. En vrai c’est pas le genre de news qui me fait marrer pourtant. Le rire n’en fut probablement que meilleur. Merci @nidal #lol

  • Claude Guéant ne sait donc pas que la délinquance n’existe pas ? | Sébastien Roché (Rue89)
    http://www.rue89.com/2012/01/17/claude-gueant-ne-sait-donc-pas-que-la-delinquance-nexiste-pas-228463

    Tout d’abord, faut-il rappeler que la délinquance n’existe pas ? Comment se fait-il que le ministre ne le sache pas ? C’est un agrégat de tas de choses différentes, un meurtre et un vol de portable pesant le même poids, le total annuel n’indique pas du tout le niveau de sécurité du pays. Un pays qui compterait 100 vols de portables serait, à prendre les chiffres pour ce qu’ils paraissent, deux fois plus dangereux qu’un pays où on compterait 50 homicides. Il faut absolument mettre un « S » à délinquances et séparer les grands types et ne pas se contenter des atteintes aux biens et aux personnes, qui laissent de côté les émeutes et la drogue, par exemple. (...) Source : Rue89

  • Droit de réponse | COPWATCH Nord - Ile de France

    Droit de réponse

    Copwatch : ce qui se dit, ce qu’on en pense !

    On a entendu parler de nous sur France Culture [1] où Jean-Marc Manach était interviewé sur la question du copwatch le 29 décembre. Entretemps on a pu lire un certain nombre de commentaires à notre Chronique du 7 janvier. Et du coup ça nous a donné envie de répondre à quelques remarques qu’on entend souvent concernant notre action et pour lesquelles on a envie de donner notre vision personnelle des choses.

    Sur la question du « bon flic » à dissocier du « mauvais flic »

    On entend souvent comme remarque : « je comprends ce que vous faites mais on ne peut pas mettre tous les flics dans le même panier, y’en a des corrects aussi, des sympas qui sont VRAIMENT au service de la population.

    A vrai dire, on a pas envie de rentrer dans ce débat-là, tous les flics ont un préfet au-dessus d’eux qui leur donne des ordres et auxquels ils obéissent, certains à reculons, d’autres à cœur joie, en y ajoutant leur touche personnelle. Ce qu’on montre avant tout c’est le résultat d’une politique sécuritaire qui pousse le flic à faire un sale boulot parce qu’il a des chiffres, des ordres, une hiérarchie, etc. Avec cette logique-là on sait où on va : en 61 ça a fini à la Seine avec des dizaines de corps d’algériens tabassés à mort et jetés à l’eau des ponts de Paris par les « gardiens de l’ordre ».

    Autres temps, autres mœurs ? Eh bien on aimerait y croire mais il ne se passe pas une semaine sans qu’on titre un mort, un coma, une bavure grave de la police, et ce sur tout le territoire, pas à un endroit unique, une zone, sous une seule préfecture. Le bon flic on l’a jamais vu tendre la main pour dire à son collègue de se calmer, on a surtout vu des flics s’émuler en groupe et s’exciter en connivence parfaite pour jouer de la matraque. A la limite il y en a un de la bande qui a l’air de se tortiller sur place et qui regarde un peu ailleurs, mais ce qu’on a chaque semaine depuis plusieurs mois dans notre champ de vision, c’est un joli défilé de têtes de flics qui s’en prennent aux pauvres à Barbès et Belleville sans jamais un geste d’hésitation, juste parfois un flottement face à la vanité de leur tâche, quand ça se déroule pas comme prévu.

    On a envie de dire que le « bon flic » c’est celui qui ne finit pas son école de police parce qu’il a compris qu’on lui enseignait à sévir, à être garant du pouvoir et non pas gardien de la paix comme c’était écrit noir sur azur dans la brochure de papier glacé qu’il a signée ; c’est celui qui démissionne quand il se rend compte qu’il passe ses journées à faire du chiffre, à traquer des sans-papiers, expulser des squats, réprimer des gens qui manifestent, dire aux gens de ne pas faire de bruit, de ne pas vivre trop fort, de pas faire ceci ou cela parce qu’il y a une loi liberticide qui sort chaque mois, ou simplement de passer des heures à auditionner des gens arrêtés pour tout et n’importe quoi par des collègues en manque d’action.

    Bref, sans caricaturer, on n’est pas loin de la réalité qui fait que pas mal de flics se tirent une balle ou se font radier quand ils disent que le STIC est un fichier abusif qui contrevient aux libertés (l’affaire du Commandant Philippe Pichon en 2008). Restent les mauvais flics, les frustrés qui se sont fait une raison, les nerveux qui ont une vision bourrée de préjugés sur ce que devrait être la société et qui insultent à gogo, les fachos qui cognent parce que ça évite les récidives, les pâlots qui suivent parce que les ordres c’est les ordres, qu’ils ne sont « pas payés pour réfléchir » (dixit un CRS au sommet de l’OTAN à Strasbourg quand on lui demande s’il ne trouve pas la situation absurde). Et on en passe : leurs photos sont sur les miroirs de Copwatch-nord-idf, vous les reconnaîtrez en les croisant …

    Le copwatch c’est « regarder sans agir »

    Déjà il n’y pas UN ou LE copwatch, il y a des copwatcheurs qui n’ont pas tous la même pratique, pas tous les mêmes idées, la même façon de communiquer. On va donc répondre pour ce qui nous concerne à Barbès et Belleville.

    Aux USA le copwatch est presque une institution à certains endroits, avec un code de conduite, des lignes de démarcation, des règles : « tu n’interfères pas, tu n’y vas pas seul, etc. »

    Eh bien nous on n’a pas tout ça : des principes de fonctionnement on en a toujours quand on veut rester discret et quand on risque la répression, ça oui. Mais on ne fait pas que regarder et on n’agit pas non plus systématiquement, question de pertinence, de contexte et de sentiments : on est pas des citoyennistes constitués en assoc., on est plusieurs individus avec des façons de ressentir et d’appréhender les choses différemment, et à ce titre certains d’entre nous vont s’interposer, crier, filmer, photographier, noter, observer, selon les moments, selon les effectifs présents, le ressenti. Mais un principe qu’on ne perd jamais de vue c’est celui de ne jamais agir dans un sens qui puisse faire du tort aux biffins, parce qu’on est là pour qu’ils ne soient plus les victimes invisibles d’un racket et d’un ratonnage hebdomadaire par la police.

    Faire du copwatch c’est déjà agir : ça fait hésiter les flics qui sont devenus beaucoup plus discrets, rapides, fugitifs et paranos depuis qu’ils savent qu’on a l’œil sur eux. On a vu apparaître les capuches, on voit les regards inquiets qui balaient le marché à la recherche de ceux qui les observent. On témoigne aussi d’une réalité qui n’existerait que pour les biffins si on ne la décrivait pas chaque semaine. Et puis surtout ça crée des liens avec ceux qui sont victimes des violences et qui nous rapportent de nombreux témoignages, par le bouche à oreille, jour après jour. On entrevoit quelque chose de bien plus vaste que des incidents isolés : on se rend compte que c’est généralisé, qu’il y a une politique à l’Intérieur qui veut ça, qui provoque ça (si on en doute, il suffit d’écouter Claude Guéant).

    « Vous êtes irresponsables, c’est une incitation à s’en prendre aux policiers »

    Qui s’en prend à qui, on se le demande ? Ça rappelle une petite anecdote bruxelloise où durant le campement autogéré No Border d’octobre 2010, les flics d’Anvers avaient arrêté frénétiquement les militant-e-s, préventivement, les avaient gardé-e-s 12h dans des cellules, tabassé-e-s, humilié-e-s, attaché-e-s à des radiateurs, mimé des viols sur les filles, insulté, provoqué [2] . Et quand certains avaient osé manifester ou faire mine de porter plainte, on a retrouvé 200 flics devant le tribunal de Bruxelles pour manifester contre les violences occasionnées aux flics. C’est l’hôpital qui se fiche de la charité ! Pour le moment la seule chose que les policiers aient eu à déplorer du copwatch c’est la cartouche que l’un d’entre eux à reçu dans une enveloppe (et qu’il a très bien pu déposer lui-même dans sa boîte aux lettres). [3]

    Par contre des victimes des violences policières on en compte pas mal chaque jour, là où personne s’en préoccupe ou n’est là pour le voir et en parler, dans les affaires classées sans suite par l’IGS, dans nos camescopes …

    Le journaliste de France Culture (vous remarquerez qu’il a visiblement déjà une vision préconçue des choses et une orientation très lénifiante, paternaliste, moralisatrice de ses questions) qui interroge J-M Manach lui demande à un moment s’il ne pense pas que notre action accentue encore la haine du policier.

    Une anecdote n’est pas de trop pour lui répondre : une amie enseignante nous a raconté comment une policière qui vient faire la sécurité routière avec son flingue (normal lui ont dit ses collègues : « ça fait partie de sa fonction ». no comment) demande aux élèves de collège ce qu’ils pensent de la police ; ils répondent à l’unanimité « elle nous fait peur ». Alors la question est « est-ce qu’on est responsables de la sale réputation des flics ou bien est-ce qu’ils devraient pas se remettre sérieusement en question sur leur métier et sur ce qu’on leur fait faire ? On a entendu un policier lors d’une interpellation dire « de toutes façons, quoi qu’on fasse on nous déteste toujours, alors comment vous voulez qu’on réagisse ? ». En poussant et en gueulant fut la réponse donnée quelques secondes plus tard …

    A Calais, lors de l’évacuation de la « Jungle », un tract du syndicat de police Alliance était sorti a posteriori pour protester contre les conditions dans lesquelles les flics avaient dû intervenir (35h de service d’affilée sans grand chose à grailler) [4]. Peut-être que finalement on est bien plus sympas en les traitant de tous les noms que leur hiérarchie qui les traite comme du bétail et les forme au lance-pierre (dans tous les sens de l’expression).

    On est pas là pour éduquer la police et on en a pas du tout, mais alors pas du tout du tout, envie. On dénonce ce qu’ils sont, ce qu’ils font, l’Etat qu’ils représentent et tout le dispositif policier (qui sert juste à maintenir un système de pouvoir et d’argent qui criminalise la pauvreté, les étrangers, les gens qui ne pensent et n’agissent pas dans les lignes de démarcation de la loi et de l’ordre, tel que pensé et institué par les mêmes qui en retirent les dividendes).

    La Police Nationale remplit de plus en plus la fonction de ces mercenaires qui en Irak veillent au grain des entreprises pétrolières : ils sont les exécutants de la politique du chiffre qui rapporte du vote et du chiffre, qui remplit les poches des industriels de la sécurité et de leurs copains politiques mafieux (Sarko, Bauer, Guéant &co) . Ils sont les fers de lance de la politique de gentrification des villes, les expérimentateurs du concept de prévention situationnelle vendu à qui mieux mieux par Alain Bauer, le monsieur sécurité de Sarkozy qui est l’auteur de tous les plans de videosurveillance, LOPPSI, prévention situationnelle, Livre blanc de la sécurité, bref tout ce qui fait vendre de la sécurité avec les deniers des collectivités locales et de l’État. [5]

    Mais enfin, on peut pas faire justice soi-même, sinon c’est l’anarchie

    Précisément ! C’est bien de l’anarchiSME, mais pas au sens où on l’entend communément ; au sens politique, au sens historique du terme. On fonctionne sur un mode horizontal, autogestionnaire sans structure ni manuel, sans étiquette ni couleur, juste la somme de toi, toi, toi et moi. Nous ... (et vous ?)

    On ne fait pas justice, on regarde, on réagit, on témoigne de ce qui nous révolte, ce qui nous remue, ce qui nous attriste et ce qui vous concerne, selon nous.

    Et puis si on veut jouer sur les mots, nous surveillons les surveillants, c’est un concept théorisé avec brio par les amis de M. Guéant, le principe du panoptique ou chaque citoyen devient le flic de son voisin pour un contrôle social fondé sur la délation, la parano, la défiance et la dissuasion (de vivre). Mais nous on surveille juste ceux qui surveillent et ils n’aiment pas ça, ils nous le disent, ils nous le crient à la figure et ils nous le font sentir. On inverse juste le rapport qui nous place sous les 60 000 yeux des caméras d’Alliot Marie, à portée de la moindre erreur de jugement ou du moindre dérapage nerveux de flic frustré et rongé de l’intérieur par mille complexes et rancoeurs additionnés avec le temps et les années de terrain.

    En tous cas on remercie M. Guéant pour sa haute conception de la justice, de là où le bras séculier doit sévir pour rétablir l’ordre juste des choses : grâce à son action de censure du site Copwatch-nord-idf, c’est un peu comme s’il avait mis un coup de pied dans une fourmillière, on entend parler d’autres régions de France où l’idée fait son chemin et on peut se prendre à rêver de copwatcheurs qui se multiplient comme aux États-Unis ou près de 80 groupes existent.

    En tous cas si on devait tomber, comptez sur nous pour nous faire justice, on tombera pas tout seul, ça c’est certain !

    [1] http://www.franceculture.fr/emissio...

    [2] http://paris.indymedia.org/spip.php...

    [3] http://www.paris.maville.com/actu/a...

    [4] http://probe.20minutes-blogs.fr/med...

    [5] lire Mathieu Rigouste "LesMarchands de Peur"

    http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:https://copwatchnord-idf.org/%3Fq%3Dnode/102&hl=fr&strip=1

  • 2002-2012 : le bilan de la politique de sécurité de Nicolas Sarkozy (Vous avez dit sécurité ?)
    http://insecurite.blog.lemonde.fr/2012/01/16/2002-2012-le-bilan-de-la-politique-de-securite-de-nicolas-sa

    L’on a déjà à maintes reprises décortiqué les chiffres annoncés, souligné les artifices utilisés pour les rendre favorables, rappelé comment ils sont produits et expliqué au final pourquoi ils ne peuvent malheureusement pas constituer une véritable mesure de l’évolution des délinquances (voir le commentaire du bilan 2010). De plus, la presse a révélé en octobre dernier une note interne du Directeur général de la Gendarmerie nationale, en date du 15 septembre 2011, qui expliquait en détail à ces troupes quelles étaient les consignes du ministère de l’Intérieur pour produire à la fin de l’année les « bons chiffres » (voir par exemple ici et ici). Il faudrait donc être particulièrement ignorant ou hypocrite pour prendre pour argent comptant ceux mis en avant aujourd’hui par Claude Guéant. C’est pourquoi, plutôt que de faire un énième exercice de critique statistique, il a paru ici plus intéressant - à quelques mois des élections présidentielles et législatives - de dresser un rapide bilan des dix années écoulées au cours desquels ce sont les mêmes hommes (l’entourage de Nicolas Sarkozy) qui nous ont gouverné. (...) Source : Vous avez dit sécurité (...)

  • Du « FLI » aux flics, il n’y a qu’un pas

    Depuis le 1er janvier, tout étranger souhaitant accéder à la nationalité française par naturalisation ou mariage doit s’exprimer à l’oral comme un élève de troisième et connaître les droits et devoirs du citoyen. C’est ce que Claude Guéant, le ministre de l’Intérieur, nomme le « Français langue d’intégration » (FLI). Avant la loi sur l’immigration du 16 juin 2011, le français était enseigné comme une langue étrangère (FLE) ; désormais il devient une langue d’intégration à une société. En 2010, ils étaient 130 000 a obtenir la nationalité française au niveau national, mais impossible de savoir combien en région Paca ! « Les préfectures ne communiquent pas là-dessus. Même nous, nous l’ignorons », déplore François Nadiras, de la Ligue des Droits de l’Homme à Toulon.

    « Le gouvernement semble confondre intégration et assimilation », s’indigne Jean-Pierre Cavalié, délégué régional de la Cimade, association implantée à Marseille, Avignon et Nice et qui aide les migrants dans leur quotidien. Le texte de loi ne s’en cache pas : « Nul ne peut être naturalisé s’il ne justifie de son assimilation à la communauté française » (Art 21 à 24). Plutôt étrange que le gouvernement, à quelques mois de la présidentielle, s’intéresse au niveau de langue des futurs Français alors qu’au même moment il cherche à se débarrasser des étudiants étrangers lettrés et qu’il réduit les subventions des associations. « De nombreuses structures qui donnaient des cours d’alphabétisation et de FLE ont été obligées de fermer par manque de financement alors que les gens sont en demande », s’inquiète Jean-Pierre Cavalié. Désormais, les structures devront être labélisées FLI et les formateurs se substitueront aux agents de préfecture pour décider de l’éligibilité d’un candidat.

    http://www.leravi.org/notre-belle-region/notre-belle-region-decembre-2011/article/du-fli-aux-flics-il-n-y-a-qu-un

  • La lutte irrationnelle contre la #délinquance | Denis Colombi (Une heure de peine)
    http://owni.fr/2011/12/29/la-lutte-irrationnelle-contre-la-delinquance

    En cette période pré-électorale, le ministre de l’Intérieur Claude Guéant cible la délinquance des étrangers. Problème, son raisonnement ne tient pas debout. La preuve par A + B grâce au sociologue Denis Colombi.

    #Politique #Pouvoirs #claude_guéant #démonstration #identité_nationale

  • Dehors, les bronzés ! (Socialisme et vin blanc)
    http://www.socialismeetvinblanc.fr/2011/12/28/dehors-les-bronzes

    plus du tiers de l’effort policier supplémentaire est intégralement consacré aux bronzés, à travers des infractions dont la dangerosité pour les citoyens honnêtes est nulle. Mais lutter contre la délinquance dangereuse n’est pas le problème de Claude Guéant, il a une mission : dehors les bronzés ! C’est pareil dans les autres secteurs. Regardez les universités : on s’interroge gravement sur la capacité de l’enseignement supérieur français à attirer les étrangers au même titre que l’Angleterre ou les USA. Pour Claude Guéant, ce n’est pas compliqué : les étudiants étrangers sont majoritairement des bronzés, donc on les vire tous (...) Source : Socialisme et vin blanc

  • #Takieddine et Safran fichent la France et la Libye | Jean Marc Manach
    http://owni.fr/2011/12/20/takieddine-et-safran-fichent-la-france-et-la-libye

    Quel rapport entre le fichier des « gens honnêtes » de Claude Guéant, le fichage biométrique des Libyens et le sulfureux intermédiaire Ziad Takieddine ? Réponse le groupe Safran (ex-Sagem), leader mondial des empreintes digitales.

    #Enquête #Pouvoirs #Surveillance #biometrie #fichiers #guéant #identité #morpho #politique_sécuritaire #safran #sagem #Thales