person:colette fellous

  • Où l’on découvre que l’arrosoir est percé… (Trop d’la boule)
    http://radiofanch.blogspot.com/2015/07/ou-lon-decouvre-que-larrosoir-est-perce.html

    Logo, un peu flou, 1963-1974 « M… » on se disait, d’Arvor, le directeur de la chaîne, ne viendra pas au micro de France Culture commenter son départ. Ben si il l’a fait. Bon, l’homme a l’habitude : commenter les sondages de Médiamétrie tous les deux ou trois mois, un déplacement monde-mondial permanent en Afrique, en Turquie ou en Angleterre. La rédaction lui a donc donné la parole et on en a appris de belles. Vous allez « voir ». Bon bien sûr on se demande si Aurélie Charron aurait pu venir au micro commenter son propre départ de la chaîne, mais bon comme elle ne part plus on ne le saura pas ! Je ne me souviens pas que Colombani ait pu s’épancher d’être jeté parce qu’il travaillait aussi à France Inter. Pareil pour Colette Fellous et Sophie Nauleau qui quittent la chaîne à (...)

  • Olivier Poivre d’Arvor, France Culture : “Des émissions ne reviennent pas à la rentrée” - Radio - Télérama.fr
    http://www.telerama.fr/radio/olivier-poivre-d-arvor-france-culture-des-emissions-ne-reviennent-pas-a-la-

    Il a choisi d’arrêter les émissions de Sophie Nauleau sur la poésie (Ça rime à quoi), de Colette Fellous sur la littérature (Carnet nomade) ou d’Antoine Garapon sur la justice (Esprit de justice). Olivier Poivre d’Arvor, directeur de France Culture, évoque la grille de rentrée de la station.

  • France Culture remercie Colette Fellous et Sophie Nauleau
    http://www.telerama.fr/radio/france-culture-remercie-colette-fellous,127591.php

    L’une des voix emblématiques de #France_Culture ne viendra plus bercer les oreilles des auditeurs à la rentrée : Colette Fellous, 65 ans, ne fera pas partie de la nouvelle grille. Productrice à Radio France depuis 1980, elle a animé Les Nuits magnétiques de 1990 à 1999 et présente Carnet nomade, chaque samedi à 20h. Autant de voyages radiophoniques portés par son charisme  : « Je voulais faire de la radio comme on écrit, comme on rêve, comme on invente, comme on compose… », confiait la romancière l’année dernière à Télérama.

    Après le départ d’Alain Veinstein, animateur et producteur de l’émission littéraire Du jour au lendemain jusqu’en juin 2014, la direction pousse ainsi vers la sortie un autre pilier de la station. Après lui avoir reproché de fournir une émission « trop littéraire », son directeur Olivier Poivre d’Arvoir lui aurait toutefois proposé de réfléchir à une longue série d’été pour l’été 2016.

    Les amoureux des mots ne retrouverons pas non plus l’émission Ça rime à quoi produite par Sophie Nauleau, qui était à l’antenne depuis 2008. Le seul rendez-vous de #poésie à #Radio_France disparait lui aussi de l’antenne. « Olivier Poivre d’Arvor m’a dit que l’émission ne générait pas assez de #podcasts, rapporte Sophie Nauleau, dépitée. Et il estime que d’autres sujets méritent d’être davantage mis en avant, comme la photographie ». La productrice ne décolère pas : « C’est cavalier, et sans argument qui tienne la route ». D’une façon générale et pour des raisons d’économie, il semble que le nombre de producteurs doive diminuer sur France Culture.

    • La poésie, ça ne fait pas partie du cahier des charges de Culture, quelle que soit l’#audience ?!

      Sinon je n’avais pas vu la charge d’Acrimed contre Fellous la semaine dernière :

      Les éditocrates n’ont pas le monopole des échanges circulaires des invitations et/ou des gratifications. Le microcosme médiatico-culturel compte aussi ses spécialistes en la matière. Parmi eux, une virtuose méconnue, exemple exemplaire de cette pratique consistant à privatiser l’antenne du service public pour ses intérêts propres et ceux de ses amis : Colette Fellous, animatrice sur France Culture de « Carnet nomade », qu’elle devrait rebaptiser « Carnet d’adresses ».

      http://www.acrimed.org/article4683.html

    • Emission littéraire dézinguée par Acrimed, supprimée par France Culture - Arrêt sur images
      http://www.arretsurimages.net/breves/2015-06-06/Emission-litteraire-dezinguee-par-Acrimed-supprimee-par-France-Cultu

      Jointe par @si, Colette Fellous ne décolère pas contre l’article d’Acrimed : « Je suis choquée et dégoûtée par ce torchon. Evidemment j’ai invité Garcin, car j’ai aimé son livre. Haenel, je le connais depuis longtemps. J’aime suivre le parcours des écrivains, c’était aussi le principe de mon émission. Les gens de ma collection, je ne les ai jamais invités pour des livres que je publiais ». Et Fellous de nous raconter son entretien avec le directeur de France Culture, Olivier Poivre d’Arvor : « J’ai lu cet article le matin, et j’avais rendez-vous avec Olivier Poivre d’Arvor. Il m’a dit qu’ils étaient obligés de faire des économies, que ce n’est pas un problème de fond, même si,mon émission était parfois trop littéraire, un peu trop entre soi. Et il m’a dit qu’il y avait un truc qui circulait sur internet. J’ai bondi et il a reconnu que c’était effectivement malfaisant. Je ne sais pas qui est derrière cet article mais je crois que je vais porter plainte pour préjudice moral si ça a joué dans la décision ».

  • VILLE-MONDE REYKJAVIK (1) - Ailleurs - France Culture

    http://www.franceculture.fr/emission-villes-mondes-ville-monde-reykjavik-1-2013-02-03

    Un documentaire de Colette Fellous

    Réalisation : Vincent Decque

    Mixage : Pierrick Charles

    Première escale : « Reykjavik ou le roman des rues »

    « Ville de littérature… » Reykjavik, une ville qui pourrait se donner à lire comme un roman, avec ses couleurs et ses minuscules bruits de tous les jours, avec la tôle ondulée des petites maisons qui scandent l’espace urbain, rouge, jaune, grise, les quelques oiseaux qui n’ont pas encore quitté l’île, le soleil qui vient d’apparaître après la gigantesque tempête de la nuit dernière. Portrait radiophonique d’une toute petite grande ville, posée sur la plus grande calotte glaciaire du monde, là-bas, dans ce bout de l’Europe, face à l’Amérique, sur cette terre d’Islande faite de roches volcaniques principalement et rythmée par les volcans, les solfatars, les geysers et les sources d’eau chaude. Mais aussi par la présence invisible d’elfes, de trolls, d’esprits et de créatures surnaturelles qui viennent malicieusement se faufiler dans la vie de tous les jours, si l’on en croit les légendes de la ville.

    Ici, le nom des rues honore les personnages des sagas islandaises et la ville se rêve d’être une grande capitale. Mais elle est si petite, si fragile (on dit que les enfants doivent rester à la maison en cas de grande tempête car ils risquent de s’envoler !), découpée à l’Ouest d’un pays presque désert, et c’est justement pour cela qu’elle est si forte et si attachante, qu’elle vibre de culture, de musique et de vie artistique. En 2011, l’Unesco l’a désignée « ville de littérature » pour son histoire littéraire extraordinaire et son héritage inestimable en matière de littérature médiévale. Mais aussi parce qu’elle est exemplaire pour son engagement dans le soutien des langues, dans les initiatives de traduction et dans les échanges internationaux.

    Reykjavik, prise entre ses rues, ses cafés branchés et alternatifs, ses galeries, ses boutiques de créateurs, ses piscines, ville à la fois modeste et magique, calme et bouillonnante, moderne et jamais oublieuse de sa mémoire de petit bourg, une ville qu’on apprend à aimer et surtout à écouter se raconter.