person:cyril lignac

  • Il est temps pour moi de faire une #recension sur #appropriation_culturelle et #Palestine, qui recouvre des sujets aussi larges que : #Houmous #Hummus #rrroumous #Chakchouka #falafel #couscous #Shawarma #zaatar #Nourriture #Cuisine #Danse #dabke #vêtements #langage #arabe #Art #Cinéma #Photos #Littérature #Poésie #Photographie #Documentaire ...

    Le Rrrizbollah aime le rrroumous
    @nidal, Loubnan ya Loubnan, le 10 octobre 2008
    https://seenthis.net/messages/97763

    Israel’s cuisine not always kosher but travelling well
    Stephen Cauchi, The Age, le 22 mai 2011
    http://seenthis.net/messages/493046

    Make Hummus Not War
    Trevor Graham, 2012
    https://seenthis.net/messages/718124

    NYC Dabke Dancers respond to ZviDance "Israeli Dabke"
    Dabke Stomp, Youtube, le 3 août 2013
    http://seenthis.net/messages/493046
    https://www.youtube.com/watch?v=JM9-2Vmq524

    La Chakchouka, nouveau plat tendance (PHOTOS)
    Rebecca Chaouch, HuffPost Maghreb, le 15 avril 2014
    http://seenthis.net/messages/493046

    Exploring Israel’s ‘ethnic’ cuisine
    Amy Klein, JTA, le 28 janvier 2015
    http://seenthis.net/messages/493046

    International Hummus Day : Israeli Entrepreneur’s Middle Eastern Food Celebration Is Still Political For Some
    Lora Moftah, IB Times, le 13 mai 2015
    http://seenthis.net/messages/493046

    Israel’s obsession with hummus is about more than stealing Palestine’s food
    Ben White, The National, le 23 mai 2015
    http://seenthis.net/messages/493046

    Palestine : étude d’un vol historique et culturel
    Roger Sheety, Middle East Eye, le 15 juillet 2015
    https://seenthis.net/messages/646413

    La « guerre du houmous »
    Akram Belkaïd, Le Monde Diplomatique, septembre 2015
    https://seenthis.net/messages/718124

    L’appropriation culturelle : y voir plus clair
    LAETITIA KOMBO, Le Journal En Couleur, le 31 août 2016
    https://seenthis.net/messages/527510

    Hummus restaurant
    The Angry Arab News Service, le 5 novembre 2016
    https://seenthis.net/messages/539732

    Le Houmous israélien est un vol et non une appropriation
    Steven Salaita, Al Araby, 4 September 2017
    https://seenthis.net/messages/632441

    Looted and Hidden – Palestinian Archives in Israel (46 minutes)
    Rona Sela, 2017
    https://seenthis.net/messages/702565
    https://www.youtube.com/watch?v=0tBP-63unME


    https://www.youtube.com/watch?v=KVTlLsXQ5mk

    Avec Cyril Lignac, Israël fait découvrir son patrimoine et sa gastronomie
    Myriam Abergel, Le Quotidien du Tourisme, le 27 janvier 2018
    http://seenthis.net/messages/493046

    Why does Virgin find “Palestinian couscous” offensive ?
    Gawan Mac Greigair, The Electronic Intifada, le 10 février 2018
    https://seenthis.net/messages/668039

    Maghreb : une labellisation du couscous moins anodine qu’il n’y paraît
    Le Point, le 13 février 2018
    https://seenthis.net/messages/764021

    Medieval Arabic recipes and the history of hummus
    Anny Gaul, Recipes, le 27 mars 2018
    https://seenthis.net/messages/744327

    Que font de vieilles photos et de vieux films de Palestiniens dans les archives de l’armée israélienne ?
    Ofer Aderet, Haaretz, le 2 juillet 2018
    https://seenthis.net/messages/612498

    En Israël, une exposition montre des œuvres arabes sans le consentement des artistes
    Mustafa Abu Sneineh, Middle East Eye, le 17 juillet 2018
    https://seenthis.net/messages/708368

    Yalla
    https://seenthis.net/messages/716429

    Houmous, cuisine et diplomatie
    Zazie Tavitian, France Inter, le 21 août 2018
    https://seenthis.net/messages/718124

    Pourquoi un éditeur israélien a-t-il publié sans agrément un livre traduit d’essais en arabe ?
    Hakim Bishara, Hyperallergic, le 13 septembre 2018
    https://seenthis.net/messages/723466

    La nouvelle cuisine israélienne fait un carton à Paris
    Alice Boslo, Colette Monsat, Hugo de Saint-Phalle, Le Figaro, le 26 septembre 2018
    https://seenthis.net/messages/725555

    Cuisine, art et littérature : comment Israël vole la culture arabe
    Nada Elia, Middle East Eye, le 3 octobre 2018
    https://seenthis.net/messages/726570

    Pins Daddy - Israel Costume
    https://seenthis.net/messages/726570

    Shawarma, the Iconic Israeli Street Food, Is Slowly Making a Comeback in Tel Aviv
    Eran Laor, Haaretz, le 8 janvier 2019
    https://seenthis.net/messages/493046

    What is Za’atar, the Israeli Spice You Will Want to Sprinkle on Everything
    Shannon Sarna, My Jewish Learning, le 7 mars 2019
    https://seenthis.net/messages/767162

    #Vol #appropriation_culinaire #racisme #colonialisme #Invisibilisation #Histoire #Falsification #Mythologie #Musique #Musique_et_Politique #Boycott_Culturel #BDS

    ========================================

    En parallèle, un peu de pub pour la vraie cuisine palestinienne ou moyen-orientale :

    Rudolf el-Kareh - Le Mezzé libanais : l’art de la table festive
    https://seenthis.net/messages/41187

    Marlène Matar - Ma’idat Marlene min Halab
    https://seenthis.net/messages/537468

    La cuisine palestinienne, c’est plus que ce qu’on a dans l’assiette
    Laila El-Haddad, Electronic Intifada, le 15 Juin 2017
    https://seenthis.net/messages/612651

    Palestine : la cuisine de Jerusalem et de la diaspora
    Alain Kruger, France Culture, le 25 février 2018
    https://seenthis.net/messages/671981

    La Palestine, ce n’est pas seulement de la géographie, c’est notre façon à nous de faire la cuisine, de manger, de bavarder
    Shira Rubin, Eater, le 9 novembre 2018
    https://seenthis.net/messages/737305

    Une écrivaine décrit la cuisine palestinienne et le monde qui l’entoure
    Mayukh Sen, The New-York Times, le 4 février 2019
    https://seenthis.net/messages/760255

    La Troika Libanaise
    https://www.facebook.com/LaTroikaLibanaise

    Les Ptits Plats Palestiniens de Rania
    https://lesptitsplatspalestiniensderania.wordpress.com

    Une Palestinienne à Paris
    https://unepalestinienneaparis.wordpress.com

    Hind Tahboub - Bandora
    https://www.bandoracuisine.com/bandora-cuisine

    Askini
    195 rue Saint-Maur
    75010 Paris
    https://www.facebook.com/askiniparis

    Ardi
    10 rue Lydia Becker
    75018 Paris
    https://www.facebook.com/ardiconceptstore

    Sharqi’s
    24 rue de l’Université
    34000 Montpellier
    https://www.facebook.com/Sharqis-1837468433036940

    La Palestine
    24 Rue Mazenod
    13002 Marseille
    https://www.lapalestine.fr

    #Livres_de_recettes #Restaurants #Traiteurs #Cheffes

  • Lettre de Rania, palestinienne à Cyril Lignac - Altermonde-sans-frontières
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article35570

    Lettre de Rania, palestinienne à Cyril Lignac
    mercredi 6 septembre 2017

    Cher Cyril Lignac,

    Je t’écris car depuis deux jours, on ne cesse de m’interpeller par rapport à la vidéo que tu as faite lors de ton voyage à Tel Aviv. Je m’appelle Rania, française originaire de Palestine (de Jérusalem et de Jaffa) et je suis traiteur de cuisine palestinienne et créatrice du blog « Les ptits plats palestiniens de Rania ». Tu ne me connais sûrement pas, sinon, tu aurais probablement évité de parler de gastronomie israélienne dans cette fameuse vidéo. Soit. J’apprécie ton travail et ton évolution depuis des années, de même que ceux qui m’ont signalé ta vidéo, c’est pour cela que, d’une part, je prends la peine de t’écrire, et que d’autre part, je vais prendre la peine de t’expliquer certaines choses notamment pourquoi tu as provoqué tant de déception.

    Le pays que tu as décidé de visiter, cher Cyril, n’est pas n’importe quel pays. Afin d’éviter de faire un long cours d’histoire et de géopolitique, je vais faire simple. Très simple. Israël est un pays créé en 1948, aux dépens d’un peuple qui était déjà sur cette terre, les Palestiniens, et qui ont été, pour une grande majorité, chassés de leur terre. Les Palestiniens se sont retrouvés, d’un coup, réfugiés dans les pays alentour ou dans des pays plus éloignés. D’autres Palestiniens, sont restés malgré les spoliations de leurs terres, accrochés coûte que coûte à leurs oliviers millénaires, d’où coule la célèbre huile d’olive palestinienne. Ceux-là, se trouvent en Cisjordanie et à Gaza (entre autres, comme je te l’ai dit, je vais faire très bref).

    Israël est un pays qui s’est créé sur la colonisation de terres qui ne lui appartenaient pas et qui continue à construire et à s’installer illégalement sur des terres qui ne lui appartiennent pas, tout en faisant fi du Droit international et des résolutions de l’ONU. Ces fameuses terres appartiennent à l’autre peuple qui habite là-bas, et ce, depuis toujours, c’est-à-dire avant même la création d’Israël : le peuple Palestinien. Et c’est là que c’est embêtant cher Cyril. Parce que lors de ton voyage, tu ne prends même pas la peine de rencontrer des palestiniens ni de découvrir leur cuisine, bref… tu les ignores. Déjà, ça, c’est pas sympa. Mais ce qui a offusqué les personnes qui m’ont interpellée, c’est ta description de la cuisine israélienne.

    Oui, cette cuisine est empreinte de la cuisine du Maghreb et des pays « alentour » (donc de la Jordanie, de la Syrie, du Liban, qu’on appelle aussi le Levant ou le Mashrek). Mais elle s’inspire SURTOUT, de la cuisine palestinienne, de la cuisine du peuple qu’elle a colonisé. Et si seulement cela se limitait à de la simple inspiration… Mais non, cher Cyril, cela ne se limite pas à cela. Ce que fait Israël avec la cuisine est dans la continuité du schéma du colonisateur qu’il est : après l’appropriation des terres palestiniennes, de la culture palestinienne, c’est l’appropriation de la cuisine palestinienne. En clair : un processus d’invisibilisation et de négation de l’existence même du peuple Palestinien.

    Le hommous que tu as goûté n’est pas israélien mais palestinien. Il en est de même de toutes les épices et de la majorité des mets que tu as pu goûter là-bas. Mais tu n’as pu le remarquer, toi qui es resté là où on t’a invité et qui n’a même pas eu la curiosité de rendre visite aux superbes restaurants côté palestinien de Jérusalem. Ah oui ! Je précise que Jérusalem n’est pas une ville israélienne. Enfin pas complètement… Donc, avec tout ça, je suis triste de t’annoncer que tu participes à la propagande israélienne qui consiste à normaliser le processus de colonisation en enjolivant la réalité et en niant la vérité historique, politique et culturelle. Et ça, malgré toute l’admiration que j’ai pour ton travail, c’est pas rien.

    Je reste à ta disposition si tu souhaites découvrir les joyaux de la cuisine palestinienne et aussi, te montrer comment utiliser la crème de sésame (qu’on appelle tahina et non pas thina. On t’a mal soufflé).

    Palestinement,
    Rania Talala

    #LaResistanceDanslAssiette

  • Le nouveau programme de Cyril Lignac, « Le chef en Israël » déjà controversé |
    Par Nadir Dendoune | le lundi 4 septembre 2017 | Le courrier de l\’Atlas
    http://www.lecourrierdelatlas.com/france-le-nouveau-programme-de-cyril-lignac-le-chef-en-israel-de

    L’histoire ne dit pas si les légumes cuisinés par Cyril Lignac lors de son séjour en Israël étaient issus ou non des terres expropriés aux Palestiniens ! En service commandé pour M6 et Téva, le très médiatique chef français étoilé, est allé à Jérusalem en juin dernier pour tourner un programme intitulé « Le chef en Israël », qui sera diffusé ce lundi 4 septembre et jusqu’au vendredi 29 septembre, vers 20h20 sur M6, vers 20h35 sur Téva.(...)

    ≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈

    Lettre de Rania, palestinienne à Cyril Lignac
    Par Rania, à l’attention de Cyril Lignac, le 3 septembre 2017
    http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2017/09/04/lettre-de-rania-palestinienne-a-cyril-lignac

    Cher Cyril Lignac,

    Je t’écris car depuis deux jours, on ne cesse de m’interpeller par rapport à la vidéo que tu as faite lors de ton voyage à Tel Aviv.

    Je m’appelle Rania, française originaire de Palestine (de Jérusalem et de Jaffa) et je suis traiteur de cuisine palestinienne et créatrice du blog « Les ptits plats palestiniens de Rania ».

    Tu ne me connais sûrement pas, sinon, tu aurais sûrement évité de parler de gastronomie israélienne dans cette fameuse vidéo.

    Soit. J’apprécie ton travail et ton évolution depuis des années, de même que ceux qui m’ont signalé ta vidéo, c’est pour cela que, d’une part, je prends la peine de t’écrire, et que d’autre part, je vais prendre la peine de t’expliquer certaines choses notamment pourquoi tu as provoqué tant de déception.

    Le pays que tu as décidé de visiter, cher Cyril, n’est pas n’importe quel pays.

    Afin d’éviter de faire un long cours d’histoire et de géopolitique, je vais faire simple. Très simple.
    (...)

  • Israel’s obsession with hummus is about more than stealing Palestine’s food | The National

    http://www.thenational.ae/opinion/comment/israels-obsession-with-hummus-is-about-more-than-stealing-palestines-foo

    Pep Montserrat for The National

    son travail ici http://pepmontserrat.com/artwork

    When Israel expelled hundreds of thousands of Palestinians from their villages and homes in 1948, many left with little more than the clothes on their back. Food was left on the stove. Crops were left unharvested. But the land emptied of its inhabitants was soon occupied by new residents.

    From 1948 to 1953, almost all new Jewish settlements were established on refugees’ property. The myth of making the desert bloom is belied by the facts: in mid-1949, two-thirds of all land sowed with grain in Israel was Palestinian land. In 1951, “abandoned” land accounted for nearly 95 per cent of all Israel’s olive groves and almost 10,000 acres of vineyards.

    During these early years, many Palestinian refugees attempted to return to their lands. By 1956, as many as 5,000 so-called “infiltrators” had been killed by Israeli armed forces, the vast majority of them looking to return home, recover possessions, or search for loved ones. Palestinian women and children who crossed the frontier to gather crops were murdered.

    The Nakba in 1948 was the settler colonial conquest of land and the displacement of its owners, a dual act of erasure and appropriation. Citing “reasons of state”, Israel’s first premier David Ben-Gurion appointed a Negev Names Committee to remove Arabic names from the map. By 1951, the Jewish National Fund’s “Naming Committee” had “assigned 200 new names”.

    http://www.geog.bgu.ac.il/members/yiftachel/books/Hagar-Bedouins-%20articles.pdf
    reference page 6 (State Archives; Prewar Archive, C/2613, cited in Benvenisti, 1997:8–9).

    But it did not stop with dynamite and new maps. The Zionist colonisation of Palestine has also included culture, notably cuisine. This is the context for the so-called “hummus wars”: it is not about petty claims and counterclaims, rather, the story is one of colonial, cultural appropriation and resistance to those attempts.

    In the decades since the establishment of the State of Israel on the ruins and ethnically cleansed lands of Palestine, various elements of the indigenous cuisine have been targeted for appropriation: falafel, knafeh, sahlab and, of course, hummus.

    Though these dishes are common to a number of communities across the Mediterranean and Middle East, Israel claims them as its own: falafel is the “national snack”, while hummus, according to Israeli food writer Janna Gur, is “a religion”.

    In a 2002 article on recipes, the Israeli embassy in Washington acknowledged that “Israel lacks a long-standing culinary heritage”, adding that “only a few years ago, Israelis even doubted the existence of their own authentic cuisine”.

    Introduction to Israeli Foods | Jewish Virtual Library
    http://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/Society_&_Culture/foodintro.html

    Such an admission is hard to find these days, as appropriation has become propaganda.

    In 2011, Jerusalem-based chef Michael Katz visited Australia and told a local newspaper how the Israeli government had “decided, through culture, to start improving Israel’s image”.

    “They started sending artists, singers, painters, filmmakers and then the idea came of sending chefs.”

    Israel’s cuisine not always kosher but travelling well
    http://www.theage.com.au/entertainment/restaurants-and-bars/israels-cuisine-not-always-kosher-but-travelling-well-20110521-1ey1s.html

    In 2010, the Israeli government decided to distribute pamphlets at Tel Aviv airport, to equip Israelis who go abroad with, in the words of then-public diplomacy minister Yuli Edelstein, the “tools and tips to help them deal with the attacks on Israel in their conversations with people”. Included in the literature was the claim that “Israel developed the famous cherry tomato.”

    http://www.jpost.com/Israel/Israel-to-use-ordinary-people-for-PR

    Now, as the Jewish Telegraphic Agency put it earlier this year, “Israel has been on the culinary ascent of late, with dozens of food blogs, new high-end restaurants, cooking shows and celebrity chefs, and a fascination with everything foodie”.

    http://www.jta.org/2015/01/28/arts-entertainment/exploring-israels-ethnic-cuisine

    It is not just food that is enlisted in Israel’s global PR initiatives. A few year ago, pro-Israel students at Brandeis University, in Massachusetts, held a “hookah night” with the help of campus-based “hasbara fellows”, professional Israel advocates who noted without any irony that “hookah is not specifically an Israeli cultural facet”.

    In addition to smoking and snacks, the “cultural” evening also included belly dancers. Explaining the rationale for the event, a member of the Brandeis Zionist Alliance said they had found that “students are more receptive to Israel-related education when we use a cultural lens”.

    http://www.hasbarafellowships.org/cgblog/255/Brandeis-Embraces-Israeli-Culture-with-Hookah-Night

    Now we have “International Hummus Day”, launched by an Israeli, Ben Lang, who is explicit about the propaganda value of his project: “The idea was to connect people around hummus and get more people talking about it and hopefully get people to see the good things that are happening in Israel.”

    “I just wanted to make sure that people saw that the initiative started in Israel.”

    http://www.ibtimes.com/international-hummus-day-israeli-entrepreneurs-middle-eastern-food-celebrat

    As everything from food to the keffiyeh is used to “rebrand” the state that colonised Palestine in the first place, Palestinians and their supporters have fought back.

    When an Israeli choreographer included the dabke traditional dance in his company’s repertoire in 2013,

    http://www.nytimes.com/2013/08/02/arts/dance/dance-listings-for-aug-2-8.html?_r=0

    a New York-based dabke troupe responded with a thoughtful critique that noted how, by “appropriating dabke, and labelling it Israeli”, the “power imbalance” is only furthered.

    They added: “This makes us feel taken advantage of. Exploited. Commodified.”

    NYC Dabke Dancers respond to ZviDance “Israeli Dabke” https://www.youtube.com/watch?v=JM9-2Vmq524

    In December 2014, after a campaign by Palestinian students and their allies, the student assembly at Wesleyan University in Connecticut agreed to remove Sabra hummus from campus dining facilities. The product symbolises Israeli appropriation and ongoing brutality; its parent company, the Strauss Group, donates to the Israeli military.

    http://www.huffingtonpost.com/2014/12/10/wesleyan-hummus-boycott_n_6289238.html

    Accusations of cultural appropriation can produce some misleading responses. It’s not about who is “allowed” to eat what, or even about an objection to the natural cross-pollination that occurs in culture through language, cuisine and more.

    That is not the point. It is about the claim of ownership in a context of historic and ongoing violent erasure and displacement.

    It is about efforts to create an artificial history that justifies the establishment and continued existence of a settler colonial state.

    Even a mainstream Israeli food writer like Gil Hovav has pointed to this reality. “Food is about memory and identity,” he told the Israeli media last year. “Claiming ownership over a food is a way to assert a nation’s narrative. Israeli Jews have made hummus their own.”

    http://www.haaretz.com/misc/iphone-article/.premium-1.571496

    Cuisine is where efforts to both deny the existence of Palestine and appropriate its land and heritage meet. It is both an act of theft itself, and a way of justifying that theft.

    Ben White is a journalist and the author of Israeli Apartheid: A Beginner’s Guide

    On Twitter: @benabyad

    #Palestine #Israel #Appropriation_Culturelle #Cuisine #Houmouss #Propagande #Héritage

    • Ici au Canada, ils ont aussi inventé le « israeli couscous », c’est très énervant ! C’est juste une céréale, une autre céréale, du moyen orient, qui existait bien avant 1948 (on me dit que c’est du Maftoul), mais c’est un outil de propagande très efficace, les gens ne pensant pas faire de la politique en utilisant ce terme...

    • @sinehebdo de plus le terme couscous n’a rien à voir avec la région

      Le couscous est un plat berbère originaire du Maghreb . Il est à base de semoule de blé dur. Les légumes qui composent le couscous varient d’une recette à l’autre.
      ...
      Le mot seksu (devenu kuskus, kuskusūn en arabe d’Afrique du Nord, puis couscous en français[1]), existe dans tous les parlers berbères de l’Afrique du Nord et désigne le blé bien modelé et bien roulé [2],[3]. Suivant les régions, le mot a plusieurs prononciations comme kseksu et seksu[4] . Un autre terme qui dérive de la même racine que seksu est le verbe berkukkes, de kukkes « rouler la semoule » et de ber qui signifie « redoubler le travail dans le but d’agrandir les grains »[3]. Le mot taseksut (prononcé en français thasseksouth) est la passoire dans laquelle on fait cuire le couscous.

      Un verbe seksek est utilisé par les Touaregs dans le sens de « passer au crible », rappelant l’usage du tamis dans la préparation[4].

      https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Couscous

      #couscous

    • La Chakchouka, nouveau plat tendance
      http://www.huffpostmaghreb.com/2014/04/15/chakchouka-plat-tendance_n_5153680.html

      Une origine qui fait débat

      Aux Etats-Unis, la plupart des restaurants israéliens servent de la Chakchouka, et c’est notamment le chef israélien Yotam Ottolenghi qui a fait la réputation de ce plat au Royaume-Uni, d’où un amalgame quant à son origine.

      Ce dernier précise toutefois dans son livre de recettes « Jerusalem » que _ "la Chakchouka est à l’origine un plat tunisien, mais est devenu extrêmement populaire à Jerusalem". _

      Sa provenance exacte fait néanmoins toujours débat, cette spécialité étant également un incontournable des cuisines algérienne, marocaine, égyptienne et libyenne.

      Dans un autre article du site Buzzfeed, la Chakchouka est citée en tant qu’une des « 13 spécialités gastronomiques qui ne sont pas israéliennes », dénonçant une « colonisation » culinaire et soulignant que « l’appropriation culturelle est pour le moins inappropriée ».

      Essayez (à vos risques et périls) de dire à un Tunisien que la Chakchouka est un plat israélien ou américain !

      #Chakchouka #Tunisie

    • Après lecture je ne comprend toujours pas ce qu’est Le #Shawarma israélien. On peut résumer l’article ainsi : Le Shawarma fait son retour, des restaurants turcs et grecs le font très bien, des restaurants « israéliens » aussi => Le Shawarma Israélien est donc celui fait par des Israéliens descendants des colons Juifs ? (en admétant que les turcs et grecs des restaurants de telaviv sont aussi des citoyens israéliens)

      ici l’article

      The end-of-year summaries are over, and in any case this column doesn’t usually make them – we’d rather eat instead – but if there was one pleasing mini-trend that is worth noting, it’s the ostensible return of shawarma. If in the middle of the last decade, Tel Aviv was full of dozens of shawarma joints, most of which closed pretty quickly, fans of this popular delicacy, frequently called the “queen of the street food,” have lately encountered some new eateries that are making successful attempts to return the dish to its glory days. These include the Mutfak and Babacim Turkish restaurants, and the quasi-Greek Pitos.

      This is all good. In fact it’s very good – but it’s not enough. If it’s to be a true revival we need to talk about what is called “Israeli” shawarma. True shawarma connoisseurs tend to wrinkle their noses when confronted with a skewer of turkey meat, but even they will have to admit that during a time of distress or mere craving, this is the (relatively) lightest, most available and popular solution. Two new places have given us the opportunity to examine the possibility of a shawarma comeback.

      Welcome minimalism

      Mifgash Habracha (65 Hakishon St., Tel Aviv) is the type of place that rarely opens in the city anymore, mainly because it looks and acts as if it has been here for at least 20 or 30 years. Who calls themselves by such a name anymore, unless it’s trying to hint at pseudo authenticity? Who makes do with a simple sign, with no “brand,” no website and no Facebook page?

      This welcome minimalism continues inside, with (turkey) shawarma and schnitzel. The shawarma ranges from 34 to 45 shekels ($9.20 to $12.15); the schnitzel sells for 25 to 35 shekels, depending on whether it’s served in a pita, lafa or baguette, or on a plate. And that’s it.

      Shawarma isn’t at all cheap, for its vendors or its consumers, but I’m happy to say that the portions sold at Mifgash go for somewhat less than the average in Tel Aviv. Take an uncharacteristically generous portion of sliced meat (I ordered it in pita, for 34 shekels), and add to it a counter full of pickles, fried eggplant and grilled hot peppers to be sampled freely, plus classic, fresh, oil-drenched (and addictive) french fries – and you get why this place quickly became a hit among the residents and workers in the Florentine neighborhood (including several employees of Haaretz, whose offices are nearby).

      Condiments and salads for shawarmas at Nurman. Eran Laor

      The retro continues with the turkey meat on the rotating spit, which is huge and coarse in texture, with thick pieces sliced off in a manner that is uncharacteristic of our times – not with some cutting robot, not even with an electric slicer, but with a regular knife by the guy at the counter. The result is uneven meat chunks that are far different from the thin shavings we get elsewhere. The use of the wrong spices (whether too weak or too aggressive) or dry spots on the meat can easily ruin such shawarma, but fortunately that doesn’t happen here. This one doesn’t taste much different from any other turkey shawarma, but one does recognize the cautious use of cumin and turmeric, which makes this shawarma no less tempting, but much less yellowish and phosphorescent.

      Branded design

      A small jump to the center-of-the-center of Tel Aviv and the price for shawarma in pita jumps 10 percent: 38 shekels at Nurman (96 Hahashmonaim St.), whose location under the Gindi Towers left it no alternative but to put on a more sophisticated, modern face. Once – okay, 10 years ago – a place like this would have been called a “high-tech shawarma joint,” but today it is now the standard and it’s places like Mifgash Habracha that are considered a sensation.

      There are two shawarma rotisseries here, with veal/lamb or turkey meat (you can mix them if you like), and a spanking-clean glass case in front of them containing a more than ample selection of toppings: two types of hot pepper (red and green), pickled lemons, pepper spread and the other usual suspects in this genre.

      The turkey shawarma was reasonable. Very thin pieces that were a little less juicy than one might expect (the requisite dome of fat on top was already shrunken when we arrived; while it’s correct to give customers a piece of it if they ask, one must remember that it has a role to play here). The seasoning was the type you find in other places. No complaints, but no special praise here, either.

      The second spit was more successful. The shawarma was dark, soft and juicier – and naturally and understandably less seasoned. I know plenty of people who love meat but still avoid lamb because of its dominant taste that remains long after it’s eaten. That doesn’t happen here, because the lamb mostly takes the form of fat, while the meat itself is decent veal. Forgetting the hummus-tahini option and taking advantage of an unexpected addition of pickled (and sharp) lemon created a portion of shawarma that was relatively original and refreshing.

      In both cases there was nothing sensational. But you know what? We weren’t looking for that. We’d be happy with a few other options like these. If Mifgash Habracha and Nurman survive 2019, we could officially declare that shawarma is back. We hope it won’t ever abandon us again.

    • Avec Cyril Lignac, Israël fait découvrir son patrimoine et sa gastronomie – Le Quotidien du Tourisme
      http://www.quotidiendutourisme.com/destination/avec-cyril-lignac-israel-fait-decouvrir-son-patrimoine-et-sa-gastronomie/160786

      Ici tout y passe : du humous à la chawarma en passant par les aubergines grillées avec la peau et ce petit goût fumé (baba ghanouch) on notera cette phrase qui me file des urticaire

      Il livre aussi une appétissante recette de houmous avec Caleb, « une recette transmise de génération en génération »…

      et sinon,

      Une année record pour le tourisme en Israël
      A l’occasion des vœux de l’Office national israélien du tourisme (Onit) en France, Lina Haddad, sa directrice, a annoncé les bons chiffres de 2017. Une « année record », avec tous les marchés touristiques en hausse qui ont permis de passer la barre des 3 millions de touristes. En 2017, le pays a accueilli « 3.611.800 touristes, soit 700.000 de plus que l’année précédente ». L’Onit explique cette croissance par trois axes : une nouvelle stratégie marketing, des incentives aux compagnies aériennes et des partenariats avec des OTAs (Expedia et Lastminute). La communication sur des destinations (Jérusalem/Tel-Aviv, Eilat et la mer Rouge, le Néguev) comme sous-marques de la destination principale a porté ses fruits. « Ces campagnes ont déclenché l’envie de partir » explique-t-on à l’Onit. Quant aux subventions aux compagnies aériennes, elles ont facilité l’ouverture de routes (low cost notamment) et l’augmentation des rotations. Le premier marché touristique pour Israël reste les Etats-Unis (778.000 arrivées, +20%). La France se classe troisième (308.600, +7%) derrière la Russie (331.500, +25%). Les recettes touristiques ont dépassé l’an dernier les 20 milliards de shekels (environ 4,79 milliards d’euros). Le tourisme a créé 25.000 nouveaux emplois.

  • #Violences en #cuisine : les vieilles traditions ont la vie dure
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/11/29/violences-en-cuisine-les-vieilles-traditions-ont-la-vie-dure_4531560_3224.ht
    On dirait les justifications des conjoints ou des parents violents : inadmissibles. Ce sont des salariés, pas des #esclaves.

    Cinq chefs de renom sont ainsi venus débattre de cette question des violences dans la restauration, lundi 17 novembre, dans un amphi comble de Sciences Po. Christian Etchebest, Grégory Marchand, Ludo Lefebvre, Cyril Lignac et Adeline Grattard ont pris leurs distances avec ces méthodes, mais ces chefs qui ont réussi n’éludent pas certains aspects bénéfiques de cette formation à la dure. « Je me souviens d’avoir dû porter des choses très très lourdes, peut-être pour me faire souffrir, confie la chef Adeline Grattard (Yam’Tcha). Mais j’ai eu besoin de vivre ça pour en arriver là où je suis. Si on ne m’avait pas humiliée, peut-être que je serais restée plus timorée, que je n’aurais pas osé certaines choses. »

    Christian Etchebest (La Cantine du Troquet) partage le point de vue de sa consœur : « Oui, j’ai pris des coups de pied au cul, oui j’ai pris un carré d’agneau dans la tête, mais je ne suis pas choqué. Parce que c’est pas de la violence gratuite. » Grégory Marchand, également intervenant ce soir-là, a, lui, fait les frais de ces pratiques. Victime de « violences morales », il a claqué la porte de l’établissement britannique où il travaillait. Le chef du Frenchie ne condamne pas pour autant cette méthode, à condition qu’elle soit exercée avec « respect » . « La ligne est très fine entre une méchanceté et un apprentissage », reconnaît-il.

    À mettre en perspective avec le fameux « À bas les #restaurants » http://seenthis.net/messages/105016

    • Le syndrome de Stockholm dans l’éducation (au sens large) devrait être un peu plus étudié.
      Enfants maltraités, élèves, étudiants acceptant et, pire, remerciant leurs bourreaux, car c’est « pour leur bien », reproduiront ce système d’éducation dans leur famille et leur travail (ou alors devront faire des années d’analyse et des efforts surhumains pour ne pas le faire).
      Evidemment que si c’est de la violence gratuite. La violence pas gratuite c’est quand tu es agressé-e et que tu réponds dans le même registre.
      Le « je n’aurais pas été aussi bon » si on ne m’avait pas violenté me fait rigoler (jaune) : t’en sais quoi si tu avais eu de l’amour si tu n’aurais pas été meilleur envers toi-même et les autres, et aussi bon dans ton boulot, puisque tu n’en as pas eu, mais que toutes les études le montrent ?
      Merci pour le rappel de à bas les restaurants.

    • J’ai collé quelques fessées à ma fille, mais plus le langage a pris de la place, plus ça m’a paru débile. Je pense que si j’avais un autre enfant, ça ne serait plus possible, j’ai trop évolué sur la question. Cela dit, prendre conscience, cela veut dire qu’on admet avoir été maltraitant : je pense que beaucoup de gens ne peuvent pas assumer de n’être pas aussi beaux dans le miroir que voulu.
      Après, ça ne sert à rien de regretter sans en parler. Ma fille me répond : « oui, mais je l’avais mérité ».
      Donc, là, on en vient à déconstruire notre propre discours antérieur. Quand je raconte que ma mère me battait avec un martinet, ma fille trouve cela barbare. Je lui répond qu’à mon époque, le truc était en vente libre et que beaucoup de parents achetaient le truc à priori, comme faisant partie de « l’arsenal éducatif standard ». Ce qui n’est déjà plus le cas pour sa génération.
      « Oui, mais ça ne fait pas vraiment mal, la fessée. »
      Non, ce n’est pas le but, le but c’est l’humiliation et la domination, tu trouves ça mieux pour expliquer la vie à quelqu’un ? « Non, pas vraiment non plus. »
      Bon ben maintenant que tu es grande et que tu as tout compris, tu va faire ta part dans cette maison et faire la vaisselle. « Ah non, j’ai mieux à faire et tu ne peux plus me coller de fessée pour me contraindre. » Le but n’est pas la contrainte, mais la participation volontaire à l’effort collectif... Si tu ne nous aides pas, tu es privée d’écrans. « Mais c’est dégueulasse, c’est du chantage ! » Yep, mais sans adhésion volontaire de ta part, pour l’instant, on n’a pas encore trouvé mieux... et toi ?

    • Sur un autre registre, avec mon compagnon, on se retrouver régulièrement à expliquer à des personnes extérieures que non, se faire engueuler, insulter ou humilier n’est pas admissible en entreprise, que ce n’est pas le mode de fonctionnement normal et que rien ne les oblige à supporter ça. Pourtant, autour de nous, ça ressemble beaucoup à la manière normale de confondre ses employés avec des serpillières. Mais cette soumission totale est d’autant plus ancrée dans les esprits qu’avec l’ assouplissement du droit du #travail, les salariés sont de plus en plus fragilisés dans leur poste, que le #harcèlement est devenu le mode habituel de gestion du personnel et que partout, la violence psychologique (voire aussi physique, mais pas trop, la loi protège encore un peu quand il y a des traces) est normalisée, banalisée avec des dégâts invraisemblables dans la population.
      Ces conditions rendent les gens malades et là, la Sécu les traque à son tour comme simulateurs. Cette violence permanente en col blanc est assez terrifiante et monstrueuse.

    • Pour l’éducation des enfants avec des fessées, baffes etc, je sais surtout la difficulté de se sortir d’un schéma violent parce qu’on l’a « dans la peau », que chaque fois qu’il y a une frustration ou un énervement, ce ne sont pas les mots qui viennent mais l’envie de frapper.
      @monolecte Autant j’ai donné quelques fessées à ma fille, autant je m’en excusais ensuite, et désespérais chaque fois de ne pas y échapper, j’avais l’impression que ma mère me contrôlait et guidait mes gestes, j’étais effrayée. Je voyais des gens proches, dans ma famille, donner des fessées à leurs enfants parce qu’ils faisaient pipi au lit et je devais me sortir absolument de ce cercle, parce qu’en théorie j’avais toutes les clefs. J’en ai beaucoup parlé, de la violence que j’avais subi que je risquais de retransmettre, des moyens d’y mettre fin.
      De comment remplacer cette énergie dévastatrice par des mots avant que ça ne déborde, savoir se mettre en colère sans violence, taper sur un coussin au besoin, apprendre à dire aussi pourquoi on devient la maman gorille stupide qu’on ne veut pas être. Pis, ça a marché, j’ai trouvé le chemin des mots, incroyable et splendide, j’en suis encore émue, parce que c’est tout de même nettement plus pérenne et enrichissant comme moyen de transmission, pour tout le monde : l’enfant, le parent mais aussi l’engendrement positif de ce choix sur sa dialectique avec le monde.

      Et je mettrais le tag #sexisme aussi dans toutes ces formations violentes : gynécologie-obstétrique , médecine, cuisine …
      Car à y regarder de plus près, c’étaient et ce sont encore des activités culturellement genrées et réservées dans le quotidien aux femmes : sage-femme, soignante, cuisinière, éducation. Le basculement professionnel en fait des activités masculines, dont les formations leur sont peut-être interdites parce que construites dans cette optique de les empêcher d’approcher, car seuls les hommes sont éduqués à supporter et à valoriser une telle violence.

  • « Top Chef »  : la soupe à la langue- Ecrans
    http://www.ecrans.fr/Top-Chef-la-soupe-a-la-langue,16309.html

    Cyril Lignac a réussi l’exploit d’inventer l’équivalent, en commentaire culinaire, du chamoulesco-tennistique « égalité parfaite » (oui, quand il y a 15-15, égalité parfaite, plus parfaite que 15-16 mais alors c’est plus de l’égalité, et d’ailleurs ce n’est même plus du tennis)  : « Gustativement, c’est bon. » Auquel répond le magique « c’est joli visuellement ».