La vérité cachée sur le #système_scolaire
–-> « C’est en ce monde que je crois. Un monde où les poissons ne sont plus forcés de grimper aux arbres »
#éducation #école #compétition #pladoyer #collaboration #Finlande
La vérité cachée sur le #système_scolaire
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#Daniel_Pennac : “J’étais un mauvais élève parce que j’avais peur”
Qu’est-ce qui fait qu’un enfant est mauvais élève et que faire pour qu’il progresse ? À ces questions, Daniel Pennac a des tas de réponses touchantes et passionnantes à nous donner. Et pour cause, lui qui a justement été un mauvais élève dans sa jeunesse est devenu un auteur à succès ainsi qu’un professeur admiré. Quel a été le déclic ? Quels conseils donnerait-il aux gamins d’aujourd’hui ? Découvrez-le dans ce joyeux et formidable entretien qu’il a accordé à Playground.
▻https://positivr.fr/daniel-pennac-education-curiosite
#enseignement #peur #solitude #projets_communs #collaboration #théâtre #passivité #besoins_fondamentaux #désir #société_de_consommation #société_marchande #enfants #enfance #bonheur #besoin #comprendre #compréhension #amour #passeur #curiosité
Nel mare ci sono i coccodrilli
In questo libro Fabio Geda scrive la storia di Enaiatollah Akbari. Costui è un ragazzo afghano e appartiene alla minoranza degli Azara considerata inferiore in particolar modo dai talebani che hanno come loro obiettivo quello di colpirli. Egli racconta come suo padre sia morto, stava lavorando per un ricco signore, il cui carico del camion che guidava è andato perduto e Enaiatollah doveva esserne il risarcimento. Ad ogni ora del giorno i talebani bussano alla porta e lui deve correre a nascondersi. Ma sta diventando troppo grande per la buca in terra che sua mamma gli ha scavato nel campo di grano dietro casa. Così, un giorno, gli dice che deve intraprendere un lungo viaggio .
All’età di undici anni la madre lo trasferisce in Pakistan, a Quetta, ed è qui che gli fa promettere di non rubare, di non drogarsi e di non usare armi. Poi, prima di lasciarlo, gli da un ultimo bacio in fronte.
Quando il mattino Enaiatollah si sveglia e cerca sua madre, non trovandola, chiede notizie al portinaio del dormitorio che gli risponde che è ritornata a casa. Il ragazzino ci rimane male, deve trovare un lavoro e riesce a convincere il portinaio ad assumerlo. Dopo tanti giorni di lavoro, incontra un signore che nota la sua bravura e l’intelligenza e gli propone di lavorare per lui. Enaiatollah deve comprargli la merce e poi venderla per la città. Il giorno dopo si mette a lavorare per le strade del Pakistan. Continua così finché non conosce un gruppo di ragazzini nelle sue stesse condizioni. Loro vogliono partire per arrivare in Iran e col cuore ricco di speranza, Enaiatollah si unisce a loro. Tra questi c’era anche Sufi. Dopo una settimana di ricerca vengono assunti come muratori in un cantiere dove costruivano case per i signori. Una volta arrivati il controllo della polizia e il ragazzino rischia di essere rispedito in Afghanistan. Allora il suo amico Sufi, preso dalla paura dei poliziotti, decide di andare in Iran e Enaiatollah dopo qualche giorno, lo raggiungerà. Anche lì trovano lavoro come muratori, nel cantiere li pagano bene e il venerdì, che era il loro unico giorno libero, come tutti gli altri bambini vanno a giocare. Enaiatollah conosce un altro gruppo di ragazzini che gli propone di andare in Turchia. Lui accetta ma Sufi decide di rimanere in Iran. Si salutano nella speranza che si possano rincontrare. I ragazzi attraversano a piedi le montagne per circa un mese e vivono al freddo con la paura dei lupi. Per non essere scoperti dalla polizia si nascondono per tre giorni di viaggio nel cassone di un camion con un doppio fondo alto poco più di cinquanta centimetri che li porta in Turchia. Scesi dal camion gli fanno male le gambe, la schiena e tutte le ossa poiché sono state in una posizione scorretta. Senza fare la pipì e senza bere e mangiare. Questo gli portò una grave infezione urinaria, e perde sangue per molti giorni. In Turchia vivono sotto un ponte, e la ricerca di un lavoro è vana, così Enaiatollah e i suoi amici partono di notte con un gommone, a remi, per la Grecia.
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“Eux, c’est nous” sensibilise les #jeunes à la situation des réfugiés
À l’initiative d’une réflexion collective menée par plus de 40 grands éditeurs jeunesse, “Eux, c’est nous” amène les plus jeunes à réfléchir sur les problématiques migratoires, tout en les incitant à porter un regard bienveillant sur les personnes réfugiées. L’écrivain Daniel Pennac, déjà connu pour son engagement associatif, signe une nouvelle édition de ce livre d’une trentaine de pages illustré par Serge Bloch et préfacé par Christophe Deltombe, président de l’association La Cimade.
Un livre porteur d’espoir et de solidarité
Eux c’est nous est un ouvrage unique en son genre : rares sont les livres qui s’adressent aux plus jeunes en traitant d’une thématique aussi complexe que celles des réfugiés et des migrants. Souvent construits autour d’un portrait d’enfant, les quelques ouvrages livres sur le sujet traitent rarement la question de manière frontale, ou préfèrent s’adresser aux parents, à l’image du Petit guide de survie : répondre aux préjugés sur les migrations (éditions ritimo).
Paru symboliquement en librairie le 20 novembre, Journée internationale des droits de l’enfant, la nouvelle édition du livre Eux, c’est nous, trois ans après sa première version, a été distribuée dans les écoles primaires, collèges, lycées et bibliothèques jeunesse. L’objectif : sensibiliser les jeunes à la situation des réfugiés, en leur expliquant de manière pédagogique le contexte et les enjeux du défi migratoire que connaît l’Europe depuis quelques années.
Ce livre se veut être un outil pédagogique et un support de discussion pour inviter les jeunes à la réflexion avec leurs professeurs, leurs parents ou d’autres adultes. Comme lors de la première édition, l’intégralité des bénéfices de l’ouvrage, disponible en librairie au prix de 3 euros, sera reversée à La Cimade, une association qui œuvre pour aider les réfugiés, les migrants et les demandeurs d’asile dans leurs démarches administratives.
Un ouvrage collectif porté par l’engagement de Daniel Pennac
L’écrivain Daniel Pennac, déjà connu pour son engagement envers les réfugiés (il soutient notamment l’association SOS Méditerranée et a participé aux levées de fonds pour les missions de son bateau l’Aquarius), a pris la plume bénévolement pour rédiger ce livre de 32 pages. Un engagement naturel, pour celui qui est né au Maroc dans les années 1940 et qui a vécu sa jeunesse sur plusieurs continents.
Ancien professeur de français, Daniel Pennac se fait conteur et historien pour rappeler à ses jeunes lecteurs toutes les vagues migratoires accueillies par la France depuis plus d’un siècle. “Et ce sont eux, tous ces réfugiés du vingtième siècle, jugés chaque fois trop nombreux, qui font, avec nous, la France d’aujourd’hui”, souligne l’écrivain.
Les auteures jeunesse Jessie Magana et Carole Saturno présentent ensuite un lexique pédagogique, construit autour des huit lettres du mot “Réfugiés” : Réfugié, Étranger, Frontière, Urgence, Guerre, Immigration, Économie, Solidarité. Les illustrations de Serge Bloch, simples mais frappantes, viennent compléter cet ouvrage engagé et solidaire.
▻http://www.carenews.com/system/article/b9a33f884f3b8f60236486e97c4a6814d4c480bd.png?1546508392
▻http://www.carenews.com/fr/news/12154-livre-eux-c-est-nous-sensibilise-les-jeunes-a-la-situation-des-refug
Pour adolescents à partir de 13 ans
Basile sait que de nombreux migrants passent dans la région. Il a entendu parler des camps et des trafics, des jeunes gens qui s’accrochent sous les camions et en meurent parfois. Il sait tant et tant de choses qui le concernent si peu ! Tout change lorsqu’il croise quatre garçons dans une gare désaffectée. Ils sont à cran, ils se cachent, la police les cherche depuis qu’ils ont fui le centre pour mineurs isolés.
Quand l’un d’entre eux se fait enlever par des passeurs, Basile n’a plus le choix. Il s’embarque dans une nuit sans fin à la recherche de ce garçon qu’il ne connaît pas, cet étranger, prisonnier de la mafia.
Daniel Pennac : “Faire payer la lecture publique, c’est non !”
▻https://www.actualitte.com/article/monde-edition/daniel-pennac-faire-payer-la-lecture-publique-c-est-non/86701?origin=newsletter
C’était en 1999, et voici que 17 ans plus tard, la Société Civile des Éditeurs de Langue Française, qui se charge des droits de représentation, remet sur la table cette rengaine. « J’ai toujours été pour la gratuité absolue du livre en bibliothèque », souligne Daniel Pennac à ActuaLitté. « Parce que le prix du livre est déjà payé, que c’est par les impôts locaux et l’inscription des usagers. »
Alors, « à plus forte raison, si l’on veut faire payer les lectures à voix haute maintenant, oui, je m’engage », ajoute-t-il. L’ouvrage cosigné par les cinq auteurs, Prêter (un livre) n’est pas voler (son auteur), dénonçait déjà cette approche : réclamer l’instauration d’un système de prêt payant, n’était-ce pas alors « entrer dans une logique contre la lecture » ?
La lecture publique est en danger :
monsieur Pennac, au secours !
Aujourd’hui, le romancier est remonté : « Il y en a marre de tondre le tondu : cette idée de redevance sur les lectures publiques ne tient compte ni de la réalité des besoins ni de l’organisation. Quand des gosses viennent dans une bibliothèque, c’est tout naturellement, parce qu’ils sont là, qu’on va leur lire des textes, leur faire découvrir. »
Que les bibliothèques doivent « signaler à l’avance qu’elles vont faire faire une lecture, tout cela n’est pas sérieux. Les gamins en banlieue, on a besoin de les accueillir avec des livres : je suis absolument opposé à cette idée ». Alors, imposer une redevance sur la lecture publique, « c’est non. Et oui, je signe cette pétition. », affirme Daniel Pennac.
Daniel Pennac met à jour Les droits du lecteur :
un 11e commandement
N’oublions pas les droits imprescriptibles du lecteur, établis par Daniel Pennac dans le livre Comme un roman, et qui aujourd’hui ont force de loi. Et plus spécifiquement encore, le 9e : « Le droit de lire à haute voix. » À cette heure, plus de 16.000 personnes ont signé la pétition mise en ligne par Shéhérazade.
La lecture publique est en danger : monsieur Pennac, au secours !
▻https://www.actualitte.com/article/tribunes/la-lecture-publique-est-en-danger-monsieur-pennac-au-secours/86677
L’heure du conte va-t-elle disparaître dans les bibliothèques ? Va-t-on nous priver de la lecture d’ouvrage, même sans billetterie, sous prétexte que celle-ci est assujettie d’une redevance « ubuesque » ? À l’approche de la Nuit de la lecture, le collectif Shéhérazade, qui réunit des auteurs, des bibliothécaires et autres gens du livre, interpelle Daniel Pennac, le parrain de la manifestation. Taxer les lieux de la lecture ? Réprimer le 9e droit du lecteur, de « lire à voix haute » ? Alors, que fait-on, monsieur Pennac ?
Taxer les lectures offertes, et les enfants déserteront les bibliothèques
▻https://www.actualitte.com/article/monde-edition/taxer-les-lectures-offertes-et-les-enfants-deserteront-les-bibliotheques/86621?origin=newsletter
« Les négociations sont toujours en cours, la réunion de décembre dernier au ministère avec la SCELF, le SNE, la Charte, l’ABF et la SGDL n’ayant pas été concluante », nous assure une proche du dossier. Or, les tarifications 2018 semblent avoir choisi une voie unilatérale pour régler les échanges : la SCELF est bien décidée à faire payer toute lecture de texte, suivant des conditions « arbitrairement décidées ».
Qui veut vraiment taxer les bibliothèques ?
Or cette position déjà décriée met en danger certes les auteurs et les bibliothécaires, mais également « tous les bénévoles et aux associations qui font vivre la lecture dans les zones péri-urbaines et rurales… ce serait détricoter 30 années de politique du livre », déplore une observatrice.
L’une des pistes, vis-à-vis du public, serait de réaliser à l’occasion une communication collective à l’occasion de la Nuit de la lecture, parrainée par Daniel Pennac. Du côté des auteurs, il s’agirait peut-être de mettre à jour, collectivement, les contrats passés avec les éditeurs et refuser de signer les droits de représentation. De la sorte, « on couperait l’herbe sous les pieds de la SCELF ».
Variation(s) - Exil | La petite agitée
▻http://audioblog.arteradio.com/post/3082610/_1_variation_s__-_exil
Les pensées sauvages ou l’ivresse des mots. De la poésie qu’on débouche, du politique qu’on éclabouche Première sur le thème de l’exil. Extraits de : Denis Boiron, Daniel Pennac, Gaël Faye, Anne Delsault, lola Lafon, Denis Péan, JP Siméon, EE Schmidt. Durée : 50 min. Source : Radio St Ferréol
▻http://sons-audioblogs.arte.tv/audioblogs/sons/3048119/3084884_variationexil.mp3
« Quand la vie ne tient qu’à un fil, c’est fou le prix du fil ! » : Daniel Pennac.
▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/35448020032
ValK. a posté une photo :
Nantes, le 28 juin 2017
Réflexion | Asile et humour
►http://asile.ch/2016/06/13/reflexion-asile-humour
« L’humour, cette expression irréductible de l’éthique. » Daniel Pennac Au bonheur des ogres, 1985, p. 176. En guise d’introduction Le titre de cet article peut paraître surprenant : asile et humour, n’est-ce pas un couple quelque peu détonnant ? Quand on connaît toutes les expériences de détresse vécues par les migrants dans leurs pays d’origine et sur leurs […]
Discussion:Benjamin Malaussène/Suppression - #Wikipédia
▻http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Benjamin_Malaussène/Suppression
@grommeleur, ah oui, excellent ! Pauvre Monsieur Malaussène, il n’a pas fini de souffrir avec wikipédia.
Conservation traitée par Chris a liege (d) 4 juillet 2013 à 00:32 (CEST)
Raison : Pas de consensus. Personnage notoire.
« Une leçon d’ignorance » (Daniel Pennac)
►http://www.lexpress.fr/culture/livre/daniel-pennac-une-lecon-d-ignorance_1236766.html
Pour vous parler de quoi ? De pédagogie, de démagogie, de consumérisme, et de ce que peut la lecture sur notre sentiment de solitude.
Je l’ai déjà dit, le désastre scolaire procède toujours de la même chaîne de causes à effets : Peur de l’échec, honte d’avoir échoué, sentiment d’indignité, peur de l’avenir, solitude mentale.
Une solitude saturée par le sentiment d’indignité :
Je n’en peux plus de me fréquenter.
Je ferai n’importe quoi pour cesser d’être seul.
Ce que ce solitaire ignore, c’est qu’ils sont innombrables à partager le même sentiment de solitude.
Et que tous se lancent - comme lui - dans toutes sortes de stratégies pour s’offrir le réconfort d’une identité : Addictions diverses, consommation tous azimuts, constitution de bandes, communautés en tout genre - y compris aujourd’hui sur la toile - histoire d’être accepté par un groupe, quel qu’il soit.
Or, la particularité commune à ces groupes est le mépris des"intellectuels".
Je souligne le mot « intellectuels », parce que je l’entends de plus en plus souvent prononcé comme une insulte. D’abord par bon nombre d’adolescents pour qui l’adjectif « intellectuel » suggère je ne sais quel déficit de virilité et d’adaptabilité au monde réel. Ensuite par les plus populaires de nos médias où l’adjectif « intellectuel » est associé à l’ennui le plus profond, l’ergotage vain et le snobisme. Enfin, à l’échelle européenne, par nombre d’hommes politique qui présentent l’intellectuel comme le prototype de l’idéaliste irresponsable, du privilégié arrogant, de l’ennemi de l’entreprise, voire de l’intelligence corrompue.
Ainsi bruit l’air de notre temps. Et, ce que nous dit ce bruissement, c’est la victoire, de plus en plus fréquente, du démagogue sur le pédagogue.
Daniel Pennac : « Une leçon d’ignorance » - L’EXPRESS
►http://www.lexpress.fr/culture/livre/daniel-pennac-une-lecon-d-ignorance_1236766.html
#littérature #enseignement #lecture
Les droits du participant à un MOOC | ActionsFLE
►http://www.actionsfle.com/?p=822
A la manière de Daniel Pennac, Comme un roman
le droit de ne pas participer
le droit de sauter des semaines
le droit de ne pas finir le cours
le droit de creuser un thème, même si la semaine est finie
le droit d’utiliser n’importe quel outil pour participer au MOOC
le droit de vous regrouper autour de domaines d’intérêts communs
le droit de participer au MOOC de n’importe où
“le droit de grapiller”
le droit de publier abondamment sur son blog, Twitter, Facebook, diigo,…
le droit de participer silencieusement
Les MOOCs, des cours où les participants ont des droits.