person:david douillet

  • David Douillet arrête la politique et se prend deux balles dans les épaules.
    Etats-Unis : il cache son arme dans le four « pour vivre et profiter de ses proches ».

    source : 20minutes
    #de_la_dyslexie_creative

    ça marche aussi avec l’autre tête de noeud :
    En Auvergne-Rhône-Alpes, l’opposition se prend deux balles dans les épaules.
    Etats-Unis : il cache son arme dans le four et tire #à_boulets_rouges sur Wauquiez.

  • A l’Assemblée, l’UMP s’en prend aux tribunes du public | Chambres à part
    http://parlement.blog.lemonde.fr/2013/02/07/sen-prendre-aux-personnes-en-tribune-le-nouveau-truc-de-lump

    Appuyée sur la rambarde, je suis en train de rédiger un tweet depuis mon iPhone – je ne sais même plus à quel sujet – et un député, que je ne reconnais pas, me pointe du doigt en me disant : « il est interdit de faire des photos ! » Je lui réponds que « je ne fais pas de photos », mais un autre prend le relais : « Madame la présidente, on a un problème ici ! » Puis trois, quatre, cinq, six députés qui se lèvent de leur siège, s’agitent et me montrent du doigt en étant de plus en plus véhéments pendant que j’essaie de leur dire que « je ne fais pas de photos ». C’est peine perdue et ils vocifèrent tellement que je ne comprends même plus ce qu’ils disent. Ah si, j’entends juste un « le monsieur fait des photos ! » qui fait rigoler toute la gauche et moi aussi... Bon, j’ai les cheveux courts et j’étais deux étages au-dessus d’eux...

    En revanche, rien n’excuse une telle agressivité, une telle haine dans le regard et dans les gestes. D’autant que je me trouvais en fait sans le savoir en tribune du public. Ce qui veut dire que les députés de la droite hurlaient sur quelqu’un qu’ils pensaient être une personne lambda du public... Merveilleux. Sans conteste, la palme de l’agressivité la plus hargneuse revient à David Douillet suivi de près par Laurent Wauquiez qui me regardait les bras levés en criant « oui bon, ça va maintenant ! ça va ! » "Ça va", quoi ? Il ne faut pas se défendre quand on se fait agresser gratuitement, c’est ça ? Et ces deux-là, pratiquement jamais présents depuis le début des débats, n’étaient sûrement pas fatigués ou à bout de nerfs !

    Et quelle classe M. Douillet, quelle classe que de pointer du doigt un à un tous les journalistes en tribune et de demander aux huissiers d’aller y voir plus clair.

  • Les gros bidouillages du « Petit Journal » de Canal Plus | Mathias Reymond (Acrimed)
    http://www.acrimed.org/article3779.html

    Programme d’infotainment qui mélange l’information et le divertissement, « Le Petit Journal » diffusé sur Canal Plus, s’acharne depuis plusieurs mois sur Jean-Luc Mélenchon et le Front de Gauche. Quitte à truquer les informations et à détourner les images. A des fins politiques partisanes ? Rien n’est moins certain, puisque Nicolas Dupont-Aignan ou David Douillet ont également fait les frais de ces trucages et de ces détournements. (...) Source : Acrimed

  • Arrêt sur images - Dupont-Aignan/Petit journal : nouvelle manip
    http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=12971

    Ce n’est pas la première polémique concernant des accusation de manip par l’émission. Ici, nous vous parlions d’un déplacement de Jean-Luc Mélenchon et d’Eva Joly au cours duquel le Petit Journal soulignait, à tort, que les deux candidats ne s’étaient jamais salués. David Douillet s’est plaint, lui, d’un montage qui le montrait en difficulté lors d’une audition dans une commission de l’Assemblée Nationale. L’équipe de Jean-Luc Mélenchon a par ailleurs refusé l’entrée à une réunion avec des chômeurs à l’équipe de l’émission, et s’en explique ici. Suite à ces polémiques, nous avons également interviewé le président de la Commission de la carte d’identité des journalistes professionnels, Eric Marquis, qui estime à titre personnel, que la question se pose, du renouvellement de la carte de presse aux reporters du Petit journal.

    #infotainement

  • Le premier mystère, déjà, c’était la disparition de tous mes maillots de bain. J’avais beau faire tous les placards, je n’en avais plus un. Disparus, envolés, volés, mais par qui ? Je peux comprendre à la rigueur qu’on collectionne les petites culottes de Madonna, qu’on s’arrache les dentelles d’une jeune demoiselle, mais MES MAILLOTS DE BAIN ?

    N’empêche, il fallait bien se rendre à l’évidence. La cata. Obligé de mettre un slip sous ma combinaison néoprène. (Et encore, j’avais de la chance : des slips, il m’en restait encore quelques uns. Une chance inouïe, vous verrez, car les slips aussi, ça disparaît).

    Le lundi suivant, à 17h tapantes, je me rue donc à Décalthon, bien décidé à m’acheter des maillots de substitution. Et là, stupéfaction : des maillots de bain, il y en a des trouzaines, de toutes marques et de toutes couleurs, mais TOUS, JE DIS BIEN TOUS, en taille S. (Je suis médisant, il y avait bien quelques L, mais absolument rien dans les tailles non-présidentielles).

    Sauf au rayon des boxers. Alors là, les boxers, vous en aviez en taille XL, en XXL, en taille David Douillet même, mais pour ce qui est des slips, queudalle, ceinture : taille S ou rien.

    J’en étais là, dans mes réflexions, quand mon ancien collègue de bureau a débarqué fortuitement dans le rayon. Je le voyais bien, il était grognon.

    Il lui était arrivé la même chose aux rayons chaussures. Lui, qui chausse du 47 (comme tout le monde), il n’avait pas trouvé chaussure à son pied. « Les chaussures, y en a que pour les nains », a-t-il grommelé. « C’est des décisions qui doivent venir d’en haut », j’ai dit. (Pour ce qui est de la politique, je préfère toujours l’insinuation).

    « On peut comprendre à la limite qu’on ne trouve pas de bottines roses en taille 49 dans toutes les grandes surfaces », j’ai concédé, « c’est une question d’offre et de demande ». « M’enfin, des baskets, en 47... ».

    Ceci dit, ça ne résolvait pas la question de mes slips. Je lui ai fait part, évidemment, de mon intense préoccupation du moment. Lui qui a des pieds qui chaussent du 47, vous imaginez bien que pour les slips, il avait forcément rencontré les mêmes problèmes que les miens...

    Hé bien oui : lui aussi, à la rentrée, il lui était arrivé la même chose. Impossible de mettre la main sur des maillots de bain à sa taille : il avait dû se rabattre sur les boxers de bain !

    Le plus fou, c’est que la même scène - peu ou prou - s’était produite quelques semaines auparavant. Quand j’étais tombé sur le Fred, au Carrefour. Je sortais juste du rayon des slips, justement, là-bas aussi : bredouille, presque abasourdi.

    Je lui avais dit exactement la même chose : qu’il n’y avait plus de slips à ma taille. (Alors que j’avais fait vachement gaffe à la crème fraîche tout l’hiver, justement, c’était pas ça : non, il n’y avait tout simplement plus de slips en taille 4. Ni 5 d’ailleurs. Les slips ça s’arrêtait en taille 3. Au-delà, il n’y avait plus que les boxers).

    Et le Fred, qui n’avait pas forcé plus que ça sur la crème fraîche ni sur le reste, il m’avait dit pareil : « ben non, c’est vrai, maintenant que tu le dis, je m’étais dit la même chose, et puis j’avais pris des boxers, du coup ».

    Je me souviens qu’on était resté un bout de temps à discuter de ça dans les rayons. Et si c’était pas mieux de mettre des boxers, finalement.

    Mais enfin, MERDE, que les boxers soient plus agréables que les slips, peut-être, mais qui a décidé, une fois pour toutes, que seuls les non-grands pouvaient avoir un désir de slips ?

    Si vous voulez mon avis, ça doit venir une sombre querelle de personnes dans l’équipe marketing. Il doit y avoir un petit qui kiffe les slips (qui rassurent le client et lui offrent une expérience client unique), et un grand qui déclame à longueur de réunion qu’il n’y a que les boxers pour sentir vraiment sa liberté dodeliner (dans une expérience client unique). Et au-dessus d’eux il doit y avoir une directrice marketing qui n’a pas d’idée arrêtée sur le sujet et qui les laisse gérer chacun comme ils l’entendent leurs segments de marché...

    Tout ça, c’est comme les chemises rouges à Rennes. Une fois, il y a 15 ans, j’avais voulu acheter une chemise rouge à Rennes. J’ai fait toute la ville. 200.000 habitants, j’ai bien dû faire 20 magasins de vêtements. Impossible de trouver une chemise rouge. « Cette année, c’est surtout le kaki qui se fait. Et le beige. C’est très beige, cette année ».

    Au dixième magasin, je bouillais. « Vous ne voulez pas une chemise beige ? C’est très recherché, vous savez ». JE VOULAIS UNE CHEMISE ROUGE. Bordel, à quoi ça sert d’avoir 500 boutiques de fringues si on peut pas choisir la couleur d’une chemise ? S’il n’y a qu’une seule couleur QUI SE FAIT ?

    Hé ben non. Il y aura toujours des marketeurs pour choisir pour vous la couleur de vos chemises, et la découpe de vos slips. Et le pire, c’est que vu ce que l’on trouve en rayon, ils finiront l’année en disant à leur chef : « tu vois, je te l’avais dit qu’on cartonnerait cette année avec les boxers kakis en 44 ».

    Alors que si ça se trouve, tout le monde rêvait juste d’un slip rouge.

    #Chronique_du_Menteur #slips #marketing

  • David Douillet se vautre dans le nettoyage ethnique des maternités « # numéro lambda #
    http://numerolambda.wordpress.com/2010/10/07/david-douillet-se-vautre-dans-le-nettoyage-ethnique-des-mate

    La question s’est posée au détour de l’examen de la loi Besson sur l’immigration, qui a éclipsé celui sur la LOPPSI-2 (reporté à la mi-novembre) en ce mois d’octobre. Un projet qui laisse libre cours aux idées nauséabondes des députés de la majorité. Au point que le ministre Besson, comme le rapporteur du texte à l’Assemblée, Thierry Mariani (un expert : c’est l’homme des « tests ADN » de la précédente réforme en 2007/08…), ont du siffler la fin de la récré devant des propositions si radicales. L’idée de Douillet serait de créer des maternités extraterritoriales en Guyane et à Mayotte… Pour qu’un enfant de clandestins ne soit pas automatiquement français à sa naissance. « Votre hôpital extraterritorial, l’a recadré Christine Taubira, députée de la Guyane, ce serait en fait un centre de rétention administrative à l’hôpital… Merci pour l’innovation ! »

    #honte #racisme #for:rezo.net #for:twitter