person:david monniaux

  • Le racket de l’édition scientifique {sciences²} (Libération)
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2011/10/une-tribune-le-racket-de-l%C3%A9dition-scientifique.html

    Sciences² publie une tribune de David Monniaux, chercheur au CNRS (laboratoire VERIMAG, Grenoble) et professeur à l’École polytechnique (Palaiseau). Elle dénonce ce que son auteur nomme : « Le racket de l’édition scientifique ». Elle prend comme point de départ un procès en cours aux Etats-Unis qui pourrait se terminer par la condamnation d’Aaron Swartz, un jeune chercheur qui a diffusé sur le net, gratuitement, des articles parus dans des revues scientifiques. Voici cette tribune. Source : Libération

  • Les rapaces de l’édition scientifique | David Monniaux (Libération)
    http://www.liberation.fr/sciences/01012365543-les-rapaces-de-l-edition-scientifique

    Une poignée de grands groupes se partagent l’essentiel du marché. Cet oligopole fait des bénéfices considérables aux dépens des institutions scientifiques. Les chercheurs peuvent difficilement s’y opposer : ils sont évalués en fonction du nombre d’articles publiés dans les revues les plus prestigieuses. Qui voudrait risquer sa carrière en ne publiant que chez les moins rapaces ? Aaron Swartz a voulu mettre à disposition de tous des articles anciens, archivés par un site appelé JSTOR, pour lequel l’abonnement coûte typiquement plusieurs dizaines de milliers d’euros par an aux universités. Certains de ces articles sont trop anciens pour être encore protégés par le droit d’auteur, mais les éditeurs invoquent alors d’obscurs droits de numérisation, au fondement légal douteux. (...) Source : Libération

  • Les rapaces de l’édition scientifique, par David Monniaux - Libération
    http://www.liberation.fr/sciences/01012365543-les-rapaces-de-l-edition-scientifique

    Une poignée de grands groupes se partagent l’essentiel du marché. Cet oligopole fait des bénéfices considérables aux dépens des institutions scientifiques. Les chercheurs peuvent difficilement s’y opposer : ils sont évalués en fonction du nombre d’articles publiés dans les revues les plus prestigieuses. Qui voudrait risquer sa carrière en ne publiant que chez les moins rapaces ?

    Aaron Swartz a voulu mettre à disposition de tous des articles anciens, archivés par un site appelé JSTOR, pour lequel l’abonnement coûte typiquement plusieurs dizaines de milliers d’euros par an aux universités. Certains de ces articles sont trop anciens pour être encore protégés par le droit d’auteur, mais les éditeurs invoquent alors d’obscurs droits de numérisation, au fondement légal douteux.

    #sciences #propriété_intellectuelle #édition