person:delphine minoui

  • Regardez le bouleversant documentaire “Daraya, la bibliothèque sous les bombes” - Télévision - Télérama.fr
    https://www.telerama.fr/television/regardez-le-bouleversant-documentaire-daraya,-la-bibliotheque-sous-les-bomb


    (j’entends en ce moment Delphine Minoui sur FC)

    Un autre film sur la #Syrie est possible. La preuve par #Daraya, la #bibliothèque sous les bombes, épopée sensible de trois jeunes hommes qui vont exhumer des milliers de livres des décombres des immeubles de leur ville bombardée par l’armée syrienne, pour les rassembler dans une #bibliothèque_clandestine. A travers eux on assiste à l’éveil d’une génération de jeunes #activistes pacifiques qui prend conscience de la puissance des mots et du pouvoir des #livres.

    Inspiré de l’ouvrage Les Passeurs de livres de Daraya (Seuil), de #Delphine_Minoui, grand reporter et Prix Albert Londres, et coréalisé par le talentueux Bruno Joucla, ce film fait un bien fou. Le duo a l’intelligence de s’effacer derrière les personnages du #film et de le concevoir comme s’il était le leur. On entre de plain-pied dans leur vie, on a peur pour eux, on est heureux avec eux, on partage leurs craintes et leurs espoirs, on les suit dans leur exil. Pas de fioritures dans la réalisation, pas de cadrage pour faire beau ou faire sens, la vie simplement racontée comme le journal intime de jeunes gens ordinaires écrivant une histoire extraordinaire. Et si l’utopie révolutionnaire collective échoue pour laisser place à une reconstruction plus individuelle, restent une amitié indéfectible et une morale en forme d’espoir : si les livres ne peuvent pas stopper les bombes, ils peuvent aider à rester humain. C’est déjà beaucoup.

  • Finlande : Le « passeur de jouets » d’Alep est un escroc - Monde - lematin.ch
    //www.lematin.ch/monde/passeur-jouets-alep-escroc/story/26395060

    Un finno-syrien, devenu célèbre pour avoir distribué des jouets à des orphelins en Syrie, a été condamné à dix mois de prison ferme par un tribunal finlandais mercredi, pour blanchiment d’argent et fraude.

    Rami Adham est surnommé « le passeur de jouets » en raison de ses bonnes oeuvres en faveur des orphelins d’Alep, ville syrienne ravagée par la guerre. Il a été condamné pour avoir détourné des collectes de fonds au profit d’organismes caritatifs et réuni plus de 300’000 euros de dons sans les autorisations requises.

    #syrie

    Pour mémoire : Rami Adham, le livreur de bonheur, Le Figaro, 21/10/2016, signé par Delphine Minoui !!! Rami Adham, http://www.lefigaro.fr/international/2016/10/21/01003-20161021ARTFIG00064-rami-adham-le-livreur-de-bonheur.php

  • A LIRE : Le Figaro censure un article sur l’Égypte « à cause des contrats Rafale » (Dassault)

    La Société des journalistes (SDJ) a été saisie à plusieurs reprises pour des problèmes concernant les pays avec lesquels l’actionnaire du Figaro négocie des contrats de vente d’avions militaires.
    Des journalistes s’émeuvent de l’excès de zèle manifesté par certains membres de la direction dès lors qu’il s’agit d’aborder l’actualité d’Etats qui ne passent pas pour des modèles en matière de démocratie ou de justice.


    La SDJ estime qu’il y a des problèmes avec certains pays acheteurs ou acheteurs potentiels de Rafale. Exemple : dimanche 24 mai, un papier de Delphine Minoui sur l’Egypte a sauté à 19 heures. Il a été réécrit et intégré dans l’édition C. La SDJ estime qu’il s’agit d’un cas de censure.

  • LeTemps.ch | Les murs du Caire refont leur révolution

    http://www.letemps.ch/Page/Uuid/22932ecc-0b38-11e2-82df-61ef7a48a7c2/Les_murs_du_Caire_refont_leur_r%C3%83%C2%A9volution

    lundi1 octobre 2012
    Delphine Minoui

    cc @alaingresh

    Les murs du Caire refont leur révolution

    La rue Mohamad Mahmoud, près de la place Tahrir, lieu de violents affrontements lors des manifestations de 2011. Les graffitis y font acte de mémoire et d’indignation. Repeints par les autorités, les murs arborent de nouveaux dessins. Ici : une langue verte tirée au Ministère de l’intérieur.

    La rue Mohamad Mahmoud, près de la place Tahrir, lieu de violents affrontements lors des manifestations de 2011. Les graffitis y font acte de mémoire et d’indignation. Repeints par les autorités, les murs arborent de nouveaux dessins. Ici : une langue verte tirée au Ministère de l’intérieur. (AP photo/Khalil Hamra)

    Les graffitis de la place Tahrir ont été effacés récemment par les autorités. Mais la jeunesse contestataire a repris aussitôt possession des façades, y apposant de nouveaux tags qui prennent pour cible le nouveau gouvernement au pouvoir

    Les murs du Caire n’auront pas la mémoire courte. Layla Magued s’en est fait la promesse. Alertée, vendredi 21 septembre, par la disparition des graffitis révolutionnaires, elle a été l’une des premières à accourir au début de la rue Mohamad Mahmoud, à l’angle de la place Tahrir, avec son échelle, ses pots de peinture et ses pinceaux. « Qu’on se le dise : on ne nous volera jamais notre révolution ! », s’enflamme la jeune graffeuse,

    #egypte #révoltes-arabes #lecaire #graffitis #art #visualisation #résistance