person:dennis ross

  • Front-page article in ‘NYT’ exposes the lie that wall is a security barrier
    US Politics James North and Philip Weiss on June 21, 2016
    http://mondoweiss.net/2016/06/exposes-security-barrier

    (...) So why the wall?

    That’s the big flaw in the article. It doesn’t address the political purposes of the wall: to grab as much Palestinian land with maximum Jews on it. The wall travels for most of its course to the east of the Green Line, taking Palestinian territory and protecting illegal Israeli settlements/colonies to its west. It is a de facto apartheid border. And just in case you missed that point, Dennis Ross, the former White House negotiator, said last week in New York that Israel should take measures to hold on to all the land to the west of the wall, leaving the other 93 percent of the West Bank to Palestinians for a state, some day. (...)

  • The Blurred Lines of Religious Zealotry
    http://www.lobelog.com/the-blurred-lines-of-religious-zealotry

    #Paul_Pillar, sur les très grossiers radotages du sioniste #Dennis_Ross,

    Where Ross’s schema completely breaks down is with some of the biggest and most contorted squiggles in the line he has drawn. He places Saudi Arabia in the “non-Islamist” camp because it has supported el-Sisi in his bashing of the Brotherhood and wasn’t especially supportive of Hamas when Israel was bashing the Gaza Strip. Saudi Arabia—where the head of state has the title Custodian of the Two Holy Mosques, the country’s constitution is the Koran, and thieves have their hands amputated—is “non-Islamist”? Remarkable. Conversely, the Assad regime in Syria, which is one of the most secular regimes in the region notwithstanding the sectarian lines of its base of support, is pointedly excluded from Ross’s “non-Islamist” side of the line because of, he says, Syrian dependence on Iran and Hezbollah. Of course, any such alliances refute the whole idea of a “fundamental division” in the region between Islamists and non-Islamists, but Ross does not seem to notice.

  • Obama espère régler le problème de l’Irak... et aussi de la Syrie
    par M K Bhadramkumar / Traduction [JFG-QuestionsCritiques]
    http://questionscritiques.free.fr/edito/AsiaTimesOnline/M_K_Bhadrakumar/John_Kerry_Obama_Irak_Syrie_240614.htm

    En tout cas, les signes sont là qu’une intervention militaire majeure des Etats-Unis en Irak se prépare. On ne sait pas trop si les USA consultent l’Iran à travers des voies diplomatiques officieuses et si une forme ou une autre d’entente a été négociée entre les deux anciens adversaires, selon laquelle écraser l’EIIL est un intérêt partagé. En effet, l’ambiance est restée très calme lundi à Téhéran. Personne ne parle, ce qui signifie que le silence est plus éloquent que les discours.

    De façon inquiétante, les ministres des Affaires étrangères de l’Otan se réunissent ce mardi pour discuter de l’Irak. Kerry est en route pour Bruxelles. La position du secrétaire-général de l’Otan, Anders Fogh Rasmussen, a pour l’instant été que l’alliance n’avait aucun rôle à jouer en Irak, mais là encore, ils s’agit de choses où il exécute au final les directives de Washington.

    Autre chose importante, Obama a ignoré l’ONU et préfère la voie de l’Otan. Evidemment, l’affrontement entre les Etats-Unis et la Russie sur l’Ukraine l’explique. Pour le dire simplement, Obama pourrait ne pas vouloir accepter d’aide de la part de Vladimir Poutine, parce qu’en Ukraine, il maintient une ligne dure et insiste sur le fait que Moscou devrait faire marche arrière inconditionnellement.

    Par ailleurs, il pourrait y avoir un autre programme caché. Tout le monde sait qui est Dennis Ross et que son influence dans le circuit de Washington est des plus importantes lorsqu’il s’agit de la politique étrangère des Etats-Unis au Moyen-Orient. Les gouvernements vont et viennent, mais Ross est toujours là - soit en tant que conseiller politique, soit en tant que diplomate, soit, au minimum, en tant qu’expert.

    Par conséquent, le point de vue qu’il a exprimé lundi dans le LA Times - alors même que Kerry se trouvait à Bagdad - pourrait être un coup d’oeil fascinant sur le futur. Dans son article d’opinion, il appelle à ce que les conflits en Irak et en Syrie soient traités comme une seule zone de guerre.

    C’est un argument audacieux et, évidemment, c’est le programme d’Israël à 100% - et également le souhait de l’Arabie Saoudite. La grande question est de savoir si le cheminement de la pensée de Ross reflète celle qui émerge au sein de l’administration Obama.