person:dharmesh vyas

    •  ??? Ils sont parfaitement vaccinés contre les oreillons.

      Crosby received a booster shot against the virus before travelling to Russia for the Winter Olympics in February and initial tests done a couple of weeks ago indicated Crosby was not in any danger.

      “It came as a bit of a surprise,” team doctor Dharmesh Vyas said. “Every indication was that he was well protected against the disease.”

      C’est juste la preuve que le vaccin ne protège pas toujours. Pour certains contradicteurs, il serait parfois même à l’origine de la maladie en entrainant également une déficience du système immunitaire.

    • Oreillons — Wikipédia
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Oreillons

      La vaccination a presque complètement supprimé les formes de l’enfance et a paradoxalement augmenté le nombre de cas chez l’adulte jeune, souvent ayant reçu une vaccination incomplète, mais parfois correctement vaccinés.

      La note de ce paragraphe renvoie vers un article de 2008
      Recent Resurgence of Mumps in the United States
      http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa0706589

    • Le vaccin contre la polio est aussi à l’origine de nouveaux cas comme de la propagation de la maladie via une contamination féco-orale. Le poliovirus se distingue entre un sauvage et un vaccinal.
      Je laisse wiv-isp.be expliquer ce processus particulier de propagation.

      Institut Scientifique de Santé Publique (Belgique)
      Poliomyélite – version Décembre 2013
      https://www.wiv-isp.be/matra/Fiches/Polio.pdf

      Au sujet de la poliomyélite vaccinale

      Les risques associés au Vaccin Polio Oral OPV comprennent la poliomyélite paralytique post-vaccinale (PPPV), les flambées épidémiques causées par des poliovirus circulants dérivés de la souche vaccinale, et le portage à long terme de virus dérivés de la souche vaccinale par les immunodéprimés.
      Lors de la vaccination OPV (vivant atténué), la souche non virulente se réplique dans l’intestin le temps que l’organisme développe des anticorps. Dans les zones d’assainissement inadéquat, la souche vaccinale peut se disséminer dans la population (ce qui permet une vaccination passive de cette population) et qui s’éteint spontanément.
      En de rares cas, si la couverture vaccinale est très faible, la souche peut survivre sur une plus longue période et peut muter (si elle circule au moins 12 mois). Ces modifications génétiques peuvent aboutir à des souches virulentes pouvant provoquer une paralysie. La résolution de ces épidémies passe par une vaccination à large échelle de la population pour obtenir une couverture vaccinale empêchant la propagation du virus.
      Après administration du vaccin atténué oral, une réversion du virus vaccinal ou un terrain immunodéprimé peut être à l’origine de la survenue exceptionnelle de paralysies chez le sujet vacciné (dans les trente jours suivant la vaccination) ou dans son entourage non vacciné (dans les soixante jours). En France, ce risque a été estimé à environ un cas sur 7,8 millions de doses distribuées chez le vacciné et un cas sur 5,5 millions de doses distribuées chez les contacts (surtout poliovirus de sérotype 3). Rappelons que le vaccin oral n’est plus disponible en Belgique, mais qu’il est utilisé par l’OMS dans les campagnes d’éradication de la poliomyélite.
      Le nombre annuel de cas de PPPV est actuellement estimé à 250-500 par an, estimation basée sur le chiffre de 2 à 4 cas de PPPV par million de naissances attendues par an.