person:dominique bussereau

  • http://www.bondyblog.fr/201712131124/messieurs-finkielkraut-bussereau-joffrin-vous-savez-ce-quelle-vous-dit-la-

    Messieurs Finkielkraut, Bussereau, Joffrin, vous savez ce qu’elle vous dit la Seine-Saint-Denis ?
    mercredi 13 décembre 2017

    Plusieurs maires, députés, conseillers municipaux, départementaux et régionaux de #Seine-Saint-Denis et de région parisienne prennent la plume pour dénoncer les propos tenus par trois personnalités publiques sur la prétendue absence des habitants du département à l’hommage rendu à Johnny Hallyday. Des propos que ces élu.e.s jugent “gravissimes“

    #Alain_Finkielkraut s’est plaint de l’absence de “#non-souchiens” à l’hommage rendu à Johnny Hallyday. “Le petit peuple blanc est descendu dans la rue pour dire adieu à #Johnny. Il était nombreux et seul. Les non-souchiens brillaient par leur absence“, avait-il affirmé dimanche 10 décembre sur l’antenne de la radio #RCJ. Des propos qui n’ont pas été condamnés par la puissance publique et les autorités.

    Doit-on rappeler que Monsieur Finkielkraut est coutumier du fait ? Qu’il anime une émission sur une radio du service public, #France_Culture, qu’il est donc payé grâce à notre redevance audiovisuelle et qu’il est de surcroît membre de l’#Académie_française ?

    Sa formule a été reprise le 11 décembre sur l’antenne de #Sud_Radio par un ancien ministre, ancien député, ancien secrétaire d’Etat et actuel président #Les_Républicains de l’Assemblée des Départements de France, #Dominique_Bussereau, : “Je n’ai pas vu en effet le peuple de Seine-Saint-Denis mais peut-être qu’il était là partiellement. C’était une certaine #France qui était là.”

    Enfin, #Laurent_Joffrin, directeur du journal #Libération y est également allé de sa sortie dans un reportage sur la chaîne publique #France_2. “C’est vrai que les #banlieues n’y étaient pas, j’imagine que ce n’est pas leur goût, chacun a ses goûts”.

    Ces propos sont gravissimes, car ils essentialisent la population de tout un département. Ces trois personnalités publiques sous-entendent qu’ils n’ont vu aucune personne #noire ou #arabe lors de l’hommage national rendu à #Johnny Hallyday.

    Dominique Bussereau était-il présent tout le long de cet hommage ? Partout ? Et ce, depuis l’annonce de la mort du chanteur ? Etait-il présent dans chaque foyer de ce prétendu “peuple de Seine-Saint-Denis” pour vérifier si les familles n’étaient pas, elles aussi, touchées par cette disparition ?

    Était-il muni d’un détecteur de souche ? Est-il enfin habilité à décerner un diplôme de bon français “de #souche” donc à certaines catégories de la population ? Si oui, sur quels critères ?

    Que signifie cette injonction à témoigner sa tristesse exclusivement en se déplaçant en famille à #Paris ? Sur les #Champs-Elysées ?

    Monsieur Bussereau serait bien inspiré de s’intéresser au quotidien de ce “peuple de Seine-Saint-Denis” qui dans sa très grande majorité n’a jamais connu les arcanes du pouvoir ou les ors de la #République.

    Une population populaire, qui vit de son travail, qui se bat au quotidien pour que ses enfants aient les mêmes droits, pour une égalité pleine et entière. Une population diverse, assumée avec fierté, tout ce que Monsieur Bussereau semble regretter et rejeter. Nous le répéterons en effet jamais assez mais la Seine-Saint-Denis est forte et fière de toutes ses identités, qui sont autant de richesses.

    En tant que Président de l’Assemblée des Départements de France, on aurait préféré voir Monsieur Bussereau s’exprimer sur les difficultés sociales rencontrées dans certaines villes, le manque de services
    publics, les discriminations, le désengagement de l’Etat…. Mais il a préféré l’anathème et l’insulte.

    Messieurs #Bussereau, #Finkielkraut et #Joffrin, nous ne souhaitons plus être les prétextes de vos frustrations identitaires, ce “peuple de Seine-Saint-Denis” est la France, il faudrait songer à vous y faire.

    Signataires :

    El Madani Ardjoune, 1er adjoint au maire de Tremblay-en-France

    Bally Bagayoko, adjoint au maire de Saint-Denis

    Elsa Bardeaux, adjointe au maire de Villeneuve-Saint-Georges

    Mounia Benail, conseillère municipale de Juvisy-sur-Orge

    Brahim Benramdan, conseiller municipal de Bagnolet

    Habiba Bigdade, adjointe au maire de Nanterre

    Salah Bourdi, adjoint au maire d’Epinay-sur-Seine

    Mehdi Bouteghmes, conseiller municipal de La Courneuve

    Silvia Capanema, vice-présidente du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis

    Fethi Chouder, adjoint au maire d’Aubervilliers

    Amel Jaouani, adjointe au maire de Tremblay-en-France

    Ramej Kassamaly, adjoint au maire d’Epinay-sur-Seine

    Samia Kasmi, conseillère régionale Ile-de-France

    Fatiha Kernissi, conseillère municipale déléguée d’Epinay-sur-Seine

    Rajaa Krata, adjointe au Maire de Parempuyre (33)

    Madjid Messaoudene, conseiller municipal délégué de Saint-Denis

    Abdelfattah Messoussi, conseiller municipal délégué de Stains

    Stéphane Peu, député de Seine-Saint-Denis

    Laurent Russier, maire de Saint-Denis

    Abdel Sadi, vice-président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis

    Samia Saidj, conseillère municipale de Nanterre

    Fouad Sari, conseiller municipal de Vigneux-sur-Seine

    Aissata Seck, adjointe au maire de Bondy

    Azzédine Taibi, maire de Stains, conseiller départemental délégué de Seine-Saint-Denis

    Marie Christine Vergiat, députée européenne

    Mélissa Youssouf, conseillère régionale d’Ile-de-France

    Ali Zahi, adjoint au maire de Bondy

    Wahiba Zedouti-Rhouzli, adjointe au maire de Saint-Ouen

    • On va de surprise en surprise dans ce pays : pour être un bon citoyen, si je résume, faut manger de la charcuterie, aimer la bibine et vibrer aux chansons de Johnny Hallyday. Ça risque de laisser pas mal de gens de côté cette affaire là. Mais on a bien compris qui est visé, faut pas vous donner tant de mal les adeptes de la théorie du grand remplacement !

  • #Revue_de_Presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce jeudi 22 septembre 2016
    https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse/12374-revue-de-presse-du-jour-comprenant-l-actualite-nationale-et-interna

    https://www.crashdebug.fr/images/stories/addons/images/Images+globales/2015/decembre/revue_de_presse_02_12_2015.png

    Bonjour, les premmiere impression son bonne sur le service de vidéos, par contre vous semblez gourmant ! on n’a que quelques vidéos de dispos sur le nouveau site, mais déjà 34.4gb de bande passante sur les 250gb qui nous sont alloué mensuellement on été consomé !, je ne peut donc que vous encourager a faire des dons, pour que nous puissions faire face et éventuellement demander un autre contrat avec plus de bande passante.

    Amitiés,

    f.

    Actualités françaises :

    22.09.2016

    Et Bruno Le Maire créa le job à 5 euros… (Le Point.fr)

    La vente de trente-six avions Rafale à l’Inde sur le point d’être conclue (Le Monde.fr)

    21.09.2016

    Dominique Bussereau : « 40 départements incapables de verser le RSA en fin d’année » (Lelibrepenseur.org)

    Haute-Vienne : des ovnis observés dans le ciel d’Aixe-sur-Vienne ! (...)

    #En_vedette

  • Dominique Bussereau : « 40 départements incapables de verser le RSA en fin d’année »
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/12370-dominique-bussereau-40-departements-incapables-de-verser-le-rsa-en-

    Tout cela serait si facile à résoudre si vous compreniez la gravté de la réalité des faits, et du piège qui a été tendu à notre pays depuis 40 ans.... (informations complémentaire en bas d’article)

    Amicalement,

    L’Amourfou

    La France est en quasi faillite et pourtant les politiciens incompétents qui gouvernent ne cessent de parler islam et burkini. Quelle priorité traiter, le paiement des minimas sociaux, la gestion de la crise profonde qui menace ou des gesticulations sur un burkini à Sisco qui n’existe même pas.Le député Les Républicains de Charente-Maritime Dominique Bussereau était l’invité de Territoires d’Infos, la matinale de Public Sénat et Sud Radio, présentée par Cyril Viguier, avec la presse quotidienne régionale. Il a tiré la sonnette d’alarme sur la situation économique des départements, (...)

    #En_vedette #Liberté,_Égalité,_Fraternité... #Actualités_France

  • Quand un vent du Nord souffle sur la crise du RSA... - Localtis.info - Caisse des Dépôts
    http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite

    Une semaine avant la réunion conclusive des négociations entre l’Assemblée des départements de France (ADF) et le gouvernement sur la recentralisation du financement du #RSA - avec, à la clef, l’attente d’arbitrages de la part de Manuel Valls -, Dominique Bussereau, le président de l’ADF, n’avait pas choisi au hasard la destination de son premier déplacement de terrain. Direction le département du Nord, l’un des plus fragilisés par le gouffre financier du RSA. Son président, Jean-René Lecerf, en parle haut et fort depuis son élection il y a un peu moins d’un an. Et a lancé un vaste programme de « remise à l’emploi » des allocataires du RSA.

    Ce jeudi 25 février, les représentants des conseils départementaux ont rendez-vous avec Manuel Valls à Matignon. En jeu : conclure les négociations réengagées en octobre dernier avec l’Assemblée des départements de France (ADF) sur le financement du RSA. Et, plus précisément, sur les modalités d’une recentralisation du financement du RSA. (...)

    Remise à l’emploi
    La visite de Dominique Bussereau dans le Nord était également liée à l’approche d’une autre date : ce mardi 23 février, le département et Pôle emploi vont signer une convention visant à « mieux articuler leurs interventions respectives » en faveur du retour à l’emploi des bénéficiaires du RSA. Il s’agit de la déclinaison départementale d’un protocole signé il y a un peu moins de deux ans entre Pôle emploi et l’ADF (voir ci-contre nos articles du 2 avril 2014 et du 19 juin 2015) et déjà mis en œuvre dans de nombreux départements. Il s’agit aussi de l’un des volets d’une délibération-cadre plus large adoptée par l’assemblée départementale en décembre dernier, « Accès à l’emploi des allocataires du RSA ». Cette délibération prévoit en effet entre autres un partenariat renforcé entre les services du département et Pôle emploi mais aussi la région, la CAF, les CCAS, les Plie, etc. Ainsi qu’avec les réseaux d’acteurs économiques du territoire (réseaux consulaires, structures d’IAE...). La visite de Dominique Busserau du 18 février comprenait d’ailleurs un déjeuner de travail des deux présidents avec les têtes de réseaux économiques du Nord pour se pencher sur de nouvelles « pistes de travail en matière de remise à l’emploi » des allocataires.
    Egalement au programme de la journée pour les journalistes présents, la visite de l’une des 44 unités territoriales de prévention et d’action sociale (Utpas), qui représentent les « circonscriptions » de proximité de l’action sociale et médicosociale du département et regroupent à ce titre les services sociaux, l’ASE et la PMI. En l’occurrence l’Utpas de Villeneuve-d’Ascq.

    Un « virage très fort »
    Ici, les travailleurs sociaux ont déjà commencé à mettre en œuvre les nouvelles orientations du département. Et reconnaissent qu’il s’agit d’un « virage très fort ». Jusqu’ici, parmi les allocataires du RSA, ils suivaient avant tout les publics les plus éloignés de l’emploi (environ 30% des allocataires ne sont pas inscrits à Pôle emploi), centrant leur intervention sur l’accompagnement social. Le nouveau mot d’ordre : « l’accompagnement global ». Et désormais, ils sont invités à aider également les allocataires les plus proches de l’emploi, inscrits à Pôle emploi ("perdus à Pôle emploi") mais inconnus des services sociaux, afin de « lever les freins » d’un retour dans le monde du travail, qu’il s’agisse par exemple de problèmes de logement ou de garde d’enfants. Croisement des fichiers d’#allocataires et de demandeurs d’emploi, opérations « vis ma vie » entre agents de Pôle emploi et agents des Utpas... plusieurs outils ont été prévus. Et, surtout, la création de huit « plateformes de l’emploi et de l’insertion » au sein des services départementaux pour rapprocher les offres d’emploi du territoire, les allocataires prêts à être embauchés, les besoins en vue localement, les formations à prévoir... sans oublier des actions de lutte contre la fraude.
    « Si ainsi un tiers des allocataires du RSA du département retrouvait un #emploi (à savoir le tiers déjà le plus proche de l’emploi, NDLR), l’#économie pour le département serait de 220 millions d’euros, soit pratiquement le niveau du reste à charge actuel », résume un collaborateur de Jean-René Lecerf.

    #austérité #contrôle #travail

  • #RSA : les négociations Etat-départements sont rompues - Localtis.info - Caisse des Dépôts
    http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250270170305&cid=1250270138593

    Depuis son congrès d’octobre, l’ADF fait valoir que la réforme devra impérativement intervenir - par une loi de finances rectificative - avant fin mars, date à laquelle toutes les assemblées départementales devront avoir voté leur budget. La très grande majorité des départements ont d’ailleurs de ce fait renoncé à voter leur budget fin 2015. Parmi les autres, des parades ont été élaborées, comme le fait d’inscrire au budget 2016 le même volume de crédits pour le RSA qu’en 2015, sans tenir compte de la hausse prévisible. C’est par exemple ce qu’a fait Dominique Bussereau pour son département de Charente-Maritime, tout comme l’a décidé Stéphane Troussel en Seine-Saint-Denis (voir encadré ci-dessous).
    Mais aujourd’hui, les représentants du gouvernement parlent d’inscrire la réforme… dans la loi de finances initiale pour 2017. Ce qui signifie que rien ne se passerait en 2016. « C’est inacceptable », a commenté ce 20 janvier Dominique Bussereau.
    Tout aussi « inacceptable » : à l’ADF, il était apparu juste de choisir l’exercice 2014 comme année de référence (année sur la base de laquelle serait déterminé le volume des ressources concernées), 2014 étant « la dernière année où tous les départements avaient pu assumer le financement » du RSA. Lors de son assemblée générale extraordinaire de décembre dernier (lire notre article du 21 décembre), l’association en avait même fait un « prérequis ». Or les représentants du gouvernement font aujourd’hui savoir que l’année de référence serait non pas 2014… mais 2016.

  • RSA : l’Etat pourrait reprendre à sa charge une partie du financement
    http://www.leparisien.fr/economie/rsa-l-etat-pourrait-reprendre-a-sa-charge-une-partie-du-financement-27-09

    L’urgence est telle que l’ADF [asso des départements de France] a fixé un ultimatum au gouvernement. « Le congrès des #départements se tient les 15 et 16 octobre. Il faut avoir trouvé une réponse d’ici là, ajoute Dominique Bussereau. Au-delà du #RSA, c’est l’investissement qui commence à être touché. La Seine-Saint-Denis, par exemple, n’est pas en mesure de construire les collèges rendus nécessaires par sa croissance démographique ! »

    Si les départements sont dans l’incapacité de payer, les 2,5 millions d’#allocataires risquent-ils de ne rien percevoir ? « Pas forcément, dans la mesure où (les allocations) sont versées par les Caisses d’allocations familiales, rassure le patron de l’ADF. En revanche, les départements, qui sont censés rembourser la Caisse, ne le feront pas. »

    La solution d’une renationalisation du RSA est donc sérieusement envisagée par le gouvernement. « Cela fait partie des pistes mises sur la table par Manuel Valls lors des universités d’été du PS à la Rochelle », explique André Viola, le président du Conseil départemental de l’Aube dans le JDD.

    Une solution intermédiaire pourrait voir le jour dans un premier temps. « L’’Etat pourrait reprendre le versement du RSA à son compte, explique Dominique Bussereau. Les départements, dans ce cas, ne garderaient que le volet insertion, qui doit continuer d’être géré au plus près du terrain. » Avant cette solution, il est possible que l’Etat gèle le « reste à charge » des départements, estimé à 3,3 milliards d’euros au niveau de 2014, et assume les nouvelles dépenses de 2015, estimées à au moins 700 millions d’euros.

    #CAF #précarité