Psst j’ai besoin d’un coup de main, vous pourriez me dire les #romans adultes que vous avez aimés récemment ou non, du genre pas trop connus ?
#livre #littérature #fiction (dont #science-fiction)
Psst j’ai besoin d’un coup de main, vous pourriez me dire les #romans adultes que vous avez aimés récemment ou non, du genre pas trop connus ?
#livre #littérature #fiction (dont #science-fiction)
Bonjour, parmi les découvertes de Noël
Les huit montagnes de Paolo Cognetti
Le garçon sauvage, du même auteur
Travaux de Georges Navel
Dons, voix et pouvoirs, d’Ursula Le Guin (relecture, 3 volumes incontournables en SF)
Mes amis devenus de Jean Claude Mourlevat
et tant d’autres !
En ce moment, je suis sur « Jerusalem », de Alan Moore.
En train de lire Deux fois né de @tintin
Avant cela :
Ronce-rose de Chevillard
La horde du contrevent de Damasio
Pastorale américaine de Roth
▻http://www.payot-rivages.fr/rivages/sites/rivages/files/styles/book/public/catalog/cover-images/9782743636500.jpg?itok=WlJrZRFO
Défoncé
Mark Haskell Smith
Julien Guerif (Traducteur)
Miro Basinas, passionné de botanique, cultive ses plants avec amour. Il ne s’agit ni de fleurs ni de fruits et légumes, mais de marijuana. Comme c’est un artisan doué et consciencieux, il remporta la prestigieuse Cannabis Cup d’Amsterdam, une véritable consécration qui doit lui ouvrir les portes de la gloire. Dès lors, tout ce que l’univers compte de plus défoncé se met en quête de son produit. Gangsters, mormons, belle Portugaise enceinte, hommes d’affaires douteux : tous n’ont plus d’yeux que pour Miro. Et bien sûr, les ennuis commencent... « Sans doute le chef-d’oeuvre de MarkHaskell Smith. » (Jerry Stahl)
à lire avec un spliff d’éléphant crush.
Que la mort vienne sur moi
James David Osborne
Pierre Bondil (Traducteur)
Premier roman d’un jeune éditeur américain passionné de littérature noire.
Entre Carver et Thompson, l’histoire des rêves fracassés de jeunes gens désespérés dans une petite ville de l’Oklahoma.
Lors d’une partie de pêche, deux frères, Arlo et Sepp trouvent une tête dans la vase, mais ne préviennent pas la police. Parallèlement, Danny qui joue les gros bras pour un caId local est à la recherche de son frère disparu...
à lire la tête dans l’oreiller
Mets le feu et tire-toi
James McBride
Traduit par François Happe
« Au cours de ses quarante-cinq ans de carrière, James Brown a vendu plus de deux cents millions de disques, il a enregistré trois cent vingt et un albums, dont seize ont été des hits, il a écrit huit cent trente-deux chansons et a reçu quarante-cinq disques d’or. Il a révolutionné la musique américaine. Il était extraordinairement talentueux. Un danseur génial. Un spectacle à lui tout seul. Un homme qui aimait rire. Un drogué, un emmerdeur. Un type qui avait le chic pour s’attirer des ennuis. Un homme qui échappait à toute tentative de description. La raison ? Brown était l’enfant d’un pays de dissimulation : le Sud des États-Unis. »
Jazzman et romancier, lauréat du National Book Award, James McBride se lance sur les traces d’une icône de la musique américaine. De rencontres en entretiens, il nous offre un tableau magistral de l’univers de James Brown et nous livre une vision troublante de la société américaine actuelle.
à lire avant de mettre le feu.
Dons, voix et pouvoirs, d’Ursula Le Guin (relecture, 3 volumes incontournables en SF)
jamais lu Ursula Le Guin faut que je l’a lise avant de partir pour les étoiles.
voilà @nicolasm sympa ta chronique.
demain je complète si ma grippe du soir guérit pendant la nuit !
Don Winslow : Cartel
▻http://www.seuil.com/ouvrage/cartel-la-suite-de-la-griffe-du-chien-don-winslow/9782021213157
Marc Elsberg : Black-Out
▻http://www.livredepoche.com/black-out-marc-elsberg-9782253098690
▻http://www.livredepoche.com/sites/default/files/styles/cover_book_focus/public/media/imgArticle/LGFLIVREDEPOCHE/2016/9782253098690-001-T.jpeg?itok=LZHHp-pz
j’avais oublié :
▻http://www.grasset.fr/sites/default/files/styles/couv_livre/public/images/livres/couv/9782246812876-001-T.jpeg?itok=SwVOttRW
▻http://www.grasset.fr/vip-9782246812876
Laurent Chalumeau, en pleine forme, jubilatoire !
Et, mea-culpa, comment ai-je pu oublié New Moon café de nuit joyeux de @davduf
Bon la grippe c’est pas top. Je cherche des titres plus anciens et pas trop connus.
De « Don Rearden », deux polars, « un dimanche soir en Alaska », « le présage du corbeau ».
De Mimmo Gangemi, trois polars italiens (Calabre), « le pacte du petit juge », « la vérité du petit juge », « la revanche du petit juge », bonne série qui tient la route.
Toujours polar italien, de Valerio Varesi, « le fleuve des brumes », « la pension de la via saffi ».
André Bucher, « la vallée seule », montagne, neige et pré-Alpes, superbe...
Voilà la fin, il m’en manque bien une cinquantaine découverts ces dernières années !
Vivre et penser comme des DRH | Frédéric Lordon
►http://blog.mondediplo.net/2017-09-18-Vivre-et-penser-comme-des-DRH
C’est drôle, mais ce n’est pas très sérieux.
à l’intersection du totalement flippant, de l’ignoble en roue libre et du grotesque à se rouler par terre.
Me fait beaucoup rire, en revanche la comparaison entre les penus qu’on change hyper vite sur une voiture de course et les employés est capillotractée et inopérante surtout en regard quelques lignes plus loin de
« Nous proposons aux entreprises du matériel humain bon marché »
... qui est au contraire à prendre au sens littéral. Et qui donc ne fait plus rire du tout.
Direction des Ressources Heureuses
par Julien Brygo & Olivier Cyran
►https://www.monde-diplomatique.fr/2016/10/BRYGO/56417
La ritournelle du bien-être signale une autre fracture. Dans La Griffe du chien son roman sur l’économie de la cocaïne, l’auteur américain Don Winslow décrit la mise en place, au tournant des années 1980 et 1990, d’une nouvelle organisation du travail au sein d’un puissant cartel de la drogue mexicain. Son chef, double fictionnel de Joaquín Guzmán Loera, dit « El Chapo », leader du cartel de Sinaloa, est présenté dans le livre comme un pionnier du néolibéralisme. Il aurait apporté sa propre touche à la doctrine reaganienne en décidant de transformer son armée de truands rémunérés au mois en un réseau de petits entrepreneurs autonomes, liés à lui par un simple — mais inviolable — serment d’allégeance. « Nous voulons des entrepreneurs, pas des employés. Les employés coûtent de l’argent, les entrepreneurs en font », explique-t-il à l’un de ses lieutenants. On ignore le degré de véracité historique de ce passage (Winslow dit s’être appuyé sur des recherches solides), mais on retient volontiers l’hypothèse que l’un des narcotrafiquants les plus sanguinaires de l’histoire soit aussi l’un des précurseurs de l’autoentrepreneuriat. Le gouvernement français s’abreuve à bonne source, lui qui a favorisé l’extension de ce régime à près d’un million de travailleurs. Tenus de payer eux-mêmes leurs cotisations sociales et livrés au bon vouloir d’employeurs « clients » qui n’ont pas à répondre de leur sort, les autoentrepreneurs se trouvent aux avant-postes d’un salariat de plus en plus fragmenté, atomisé, où chacun cavale pour sa survie. Dans ce modèle, entraide et solidarité ne subsistent plus qu’en contrebande. A contrario, la poignée de « cols blancs » gavés de pilules du bonheur monopolisent, semble-t-il, les valeurs de camaraderie, d’appartenance de classe et d’esprit d’équipe. Peut-être préfigurent-ils un monde où la notion même de collectif de travail n’existera plus que sous la baguette scintillante des chief happiness officers .
How a Lime Grower Led an Uprising Against One of Mexico’s Bloodiest Drug Cartels
▻https://theintercept.com/2016/06/29/lime-grower-uprising-against-mexico-drug-cartel
They called themselves autodefensas, self-defense groups. For a moment, their uprising was Mexico’s biggest story. For some, they symbolized a courageous effort on the part of ordinary citizens to accomplish what the government was unable or unwilling to do, dismantling a notorious criminal organization that had terrorized the Hot Land for years. For others, they were unaccountable vigilantes representing a dangerous slide into anarchic chaos.
The story Mora told was part of a broader narrative, relayed by other anti-cartel fighters, reporters in the Hot Land, and human rights investigators in the state capital during two weeks of interviews across Michoacán in early December. Together they provide a snapshot of the frustrations and complexities wrought by more than a decade of violence in one of Mexico’s toughest places, offering a window into the changing face of a conflict to which the United States is inextricably linked.
Pas encore lu cet article, marqué pour plus tard.
Je suis en train de lire The Cartel, de Don Winslow.
▻http://don-winslow.com/books/cartel
Une sorte de suite à The Power of the Dog (La griffe du chien), qui m’avait bien marqué.
#mexique #narco #usa #dea
Down by the river par Charles Bowden.
►http://www.goodreads.com/book/show/82957.Down_by_the_River
Bouquin évoqué par DOA comme une des sources de Don Winslow pour La griffe du chien.
►http://www.democracynow.org/2010/3/16/charles_bowden_on_the_war_next
Ou comment il était plus important de signer le #NAFTA que d’évoquer les liens entre les narcos et le pouvoir mexicain ...