person:edouard guillaud

  • L’amiral quitte le bord, par Philippe Leymarie
    Les blogs du Diplo, 30 janvier 2014
    http://blog.mondediplo.net/2014-01-30-L-amiral-quitte-le-bord

    Fils du journaliste Jean-Louis Guillaud, créateur de la troisième chaîne de l’ORTF et ancien PDG de TF1 et de l’AFP, l’amiral Edouard Guillaud, chef d’état-major des #armées depuis 2009, n’a pas été pour autant le super-communiquant dont on aurait pu rêver. Alors qu’il doit céder son poste le 15 février prochain à son adjoint, le major général Pierre de Villiers, il s’est tout de même un peu « lâché » devant les journalistes de #défense, lundi dernier, tout en se défendant de se livrer à un quelconque « testament », et en convenant qu’il n’aura fait que « passer ». Verbatim.

    (...)

    Droite, gauche — « La continuité de notre politique de défense est un grand motif d’optimisme. A droite, on disait : les armées sont le fer de lance de notre diplomatie. A gauche, on entend : une armée forte permet une diplomatie forte ».

  • Il n’est hélas pas sûr que son départ en retraite mette un terme au projet des docteurs Folamour de la Méditerranée

    La France évoque une opération en Libye

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/27

    La France évoque une opération en Libye
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    Par Le Figaro.fr avec Reuters

    Une opération internationale pour mettre un terme à l’instabilité qui prévaut actuellement dans le sud de la Libye serait un scénario idéal, a déclaré aujourd’hui le chef d’état-major des armées françaises, l’amiral Edouard Guillaud.

    Les violences se sont intensifiées ces dernières semaines dans le sud du pays, notamment dans la ville de Sebha qui s’est retrouvée au coeur d’affrontements entre tribus rivales. L’armée libyenne a imputé ces violences à des forces loyales à l’ancien dirigeant Mouammar Kadhafi, renversé en 2011 par un soulèvement populaire appuyé par une intervention militaire occidentale menée sous l’égide de l’Onu.

    « L’idéal serait de pouvoir monter une opération internationale avec l’accord des autorités libyennes », a déclaré à la presse l’amiral Edouard Guillaud, qui quittera ses fonctions le 15 février après quatre années passées à la tête de l’état-major des armées. "Mais quelles autorités ?", a-t-il ajouté. « Le problème du sud libyen, c’est qu’il faut d’abord qu’il y ait un Etat dans le Nord. Ensuite il y a plusieurs sud-libyen, il y a Koufra, à coté de la frontière égyptienne, et la zone de Sebha », a-t-il souligné, évoquant l’existence d’un « trou noir » susceptible de devenir le « nouveau centre de gravité du terrorisme ».

    Une vision partagée selon lui par nombre de ses homologues étrangers qui estiment « qu’il va falloir que la communauté internationale y aille mais, pour cela, il faut d’abord que le Nord soit stabilisé ».