person:eisenhower

  • Every US President Makes Unilateral Nuclear Threats. It’s an American Tradition | Black Agenda Report
    https://www.blackagendareport.com/every-us-president-makes-unilateral-nuclear-threats-its-american-

    In 1946 and 1948 President Harry Truman threatened the Soviets over Iran and Berlin, respectively, and the Chinese in 1950 and 51.

    President Eisenhower also threatened the Chinese over Korea in 1953, and again in 1956 over Quemoy and Matsu. He offered the French nukes to use against the Vietnamese at Dienbienphu in 1954.

    President Kennedy threatened a nuclear strike at the Soviets over Berlin, and sent nuclear armed missiles to Turkey on the Russian border in 1961. Though these were later wisely withdrawn after the nuclear standoff of the Cuban missile crisis, the US has consistently based its nukes on its fleets and bases in the Pacific, in Europe and Asia, and for decades in South Korea.

    Presidents Johnson and Nixon menaced North Korea, Vietnam and the Soviet Union with air and seaborne nukes, and President Gerald Ford ordered nuclear armed bombers from Guam to loiter for an extended time off the coast of North Korea. Jimmy Carter issued the Carter Doctrine, reaffirmed by Ronald Reagan which committed the US to a nuclear response if its vital interests in the Middle East were every threatened. Ronald Reagan terrified the world, though he did briefly consider a lasting arms treaty with the USSR.

    Bush 1, Bush 2 and Bill Clinton all menaced North Korea and Iraq, and Obama declared “all options on the table” against Iran.

    The AFSC list does not include vital US assistance in developing nuclear weapons technology given to apartheid South Africa which later relinquished its nukes, and apartheid Israel, which currently has missiles aimed at every Arab capital within a thousand miles, and at Iran.

    So while Donald Trump’s “fire and destruction” bombast IS criminal and detestable, it’s not new. It’s merely the latest installment in a long running crime wave by the planet’s number one nuclear armed felon, the United States of America.

    #Etats-Unis #traditions

  • Une fin de règne sans gloire pour Barak Obama. Un Nobel qui a fait la guerre à la paix. - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/01/une-fin-de-regne-sans-gloire-pour-barak-obama.un-nobel-qui-a-fait-

    « La paix n’est pas l’absence de guerre, c’est une vertu, un état d’esprit, une volonté de bienveillance, de confiance, de justice. »

    Baruch Spinoza, philosophe (1632 – 1677)

     

    Ça y est, le président Obama s’en va laissant Donald Trump prendre en charge le pouvoir ! Avant de revenir sur la dernière partie de la présidence, à savoir l’engagement sans retenue de Obama pour l’élection de Hillary Clinton, nous allons à notre façon donner un point de vue parmi tant d’autres de citoyens lambda appartenant à ce continent des ténèbres qu’est l’Afrique et cher à Hegel, mais aussi à cette espérance religieuse diabolisée car instrumentalisée du fait de ses dirigeants complaisants avec l’Empire qui les adoube et d’où ils tirent leurs seules légitimités pour le plus grand malheur de leur peuple.

    Souvenons-nous de l’espoir suscité par la candidature de Obama, sa venue était vue comme une bénédiction du ciel après les années de feu, de sang, de malheur des deux mandatures de George Walker Bush. Le discours de rupture d’Obama, et même sa nomination, nous faisait espérer- grands naïfs que nous sommes- le retour de l’american way of life, celle d’Armstrong marchant sur la Lune, celle des pères fondateurs de la démocratie et de la liberté. Cette Amérique qui a pris le pari d’élire un Afro-Américain consacrant ainsi le rêve de Martin Luther King « I have a dream… ».

    Le capital de confiance et d’espoir des damnés de la Terre était immense, d’autant qu’à tort ou à raison, nous Africains nous nous sentions rétablis dans notre dignité après deux siècles d’esclavage. Ce fut d’autant plus beau que malgré les dénégations d’Obama affirmant qu’il est chrétien, beaucoup d’entre les naïfs que nous sommes pensaient à tort qu’un président qui a dans sa famille des parents musulmans ne peut que développer de l’empathie avec l’Islam.

    Ceci nous fut confirmé par le fameux discours du Caire Salem Alikoum., « Je vous salue »

    Il parle à cette occasion de « nouveau départ » pour qualifier la relation que l’administration qu’il dirige veut développer entre son pays et le monde arabo-musulman. Le président a su choisir trois bonnes citations du Coran, des allusions à l’âge d’or de l’islam et à sa contribution scientifique dont a pu bénéficier l’Occident ; il a réaffirmé très fortement la liberté de conscience en faveur des musulmans aux États-Unis, et plus généralement Obama aura apporté à la sensibilité inquiète du monde musulman, les apaisements que celui-ci attendait depuis longtemps.

    Dans ce qui suit nous allons montrer les faits les plus saillants vus encore une fois du Sud, nous survolerons rapidement l’aspect économique et l’obamacare qui est en passe d’être détricoté avant même la fin du mandat d’Obama et les meurtres racistes qui ont augmenté.

    Bref inventaire de l’héritage d’Obama ayant consensus en Occident

    Obama c’est avant tout le verbe et la verve. Retour sur trois paroles qui ont marqué l’opinion lors des années de présidence de Barack Obama. « Oui nous pouvons » : « « Yes we can. » Le slogan choisi pour la campagne de Barack Obama en 2008 est indissociable de sa présidence. Il a eu deux significations : celui d’une Amérique qui veut en finir avec les années Bush et celui d’une communauté afro-américaine qui voit pour la première fois un président métis s’installer à la Maison-Blanche. « L’audace d’espérer. » « L’espoir face aux difficultés, l’espoir face à l’incertitude, avait-il martelé. L’audace d’espérer est le plus grand don que Dieu nous a donné. » « Je parie que demain, vous rejetterez la peur, et choisirez l’espoir. » « L’Amérique que j’aime. » L’Amérique qui se dessine dans les discours de Barack Obama est celle qui aurait assumé ses divergences politiques et assimilé ses différentes communautés. « Il n’y a pas d’Amérique blanche, ou d’Amérique noire, d’Amérique asiatique ou latino. Mais les États-Unis d’Amérique. » (1).

    Les avis divergent sur l’héritage de la présidence de Barack Obama. La Tribune de Genève dresse un bilan avec quelques témoignages : « Grâce à l’Obamacare, 20 millions d’Américains qui n’avaient pas d’assurance-maladie ont pu s’en offrir une. Barack Obama n’a toutefois jamais réussi à vendre à ses concitoyens cette réforme qui les oblige à contracter une assurance-maladie, et les républicains ont entamé l’abrogation de la loi la semaine dernière. En matière d’environnement, M. Obama a soutenu l’accord de Paris sur le climat en 2015. Il a aussi protégé 141 millions d’hectares de terres et de mers contre leur exploitation à des fins énergétiques, tout en réduisant de moitié l’importation de pétrole des Etats-Unis. » (2)

    Le lynchage d’El Gueddafi

    A la suite des printemps arabes mis en oeuvre par les officines occidentales, les pays occidentaux pensaient rechaper le Monde arabe à moindre frais d’une façon soft. Ainsi, le président Obama a laissé faire Hillary Clinton en l’occurrence dans cette mise à mort voulue par Sarkozy conseillé par Bernard-Henry Lévy et Cameron. Pour Hillary Clinton, l’élimination du « dictateur » El Gueddafi qui eut pour épitaphe – Je suis venu, j’ai vu, il est mort » fut son plus grand succès et devait la qualifier pour la présidence grâce au succès de sa « stratégie de changement de régime ». Ses emails révélés par le FBI sont la preuve de cette attente. Hillary avait adopté avec enthousiasme la politique des néoconservateurs et des interventionnistes libéraux prônant le renversement de gouvernements qui manquaient de respect pour la seule superpuissance, nation exceptionnelle, indispensable et unique leader du monde.

    La mort de Ben Laden : la promesse tenue, gage de la réélection

    Une autre prouesse à l’actif d’Obama, le meurtre en direct de Ben Laden à la télévision américaine et sous les yeux ravis du président des Etats-Unis et des principaux membres de son gouvernement tombés en extase a été un « bon point » pour le deuxième mandat. la traque d’Oussama Ben Laden a été autant une mission des différents présidents de Bill Clinton en passant par George W. Bush « Je veux Ben Laden mort ou vif » jusqu’à Barack Obama.Annonçant la mort de l’ennemi numéro un des Etats-Unis, il déclare : « Peu de temps après ma prise de fonction, j’ai demandé au directeur de la CIA de faire de la mort ou de l’appréhension de Ben Laden notre première priorité dans la lutte contre Al Qaïda. » Obama clamera qu’il est celui qui a éliminé la menace. Ben Laden sera jeté à la mer.

    Politique étrangère : Syrie, Libye

    « Le récent déplacement du président américain à La Havane lit-on sur cette contribution de Ouest France a bien sûr couronné de succès l’ouverture des États-Unis vers Cuba. Obama peut également s’attribuer une partie du mérite quant à l’accord nucléaire avec l’Iran. Pourtant, le bilan d’Obama en matière de politique étrangère est loin de faire l’unanimité. En atteste le débat suscité par le très long entretien accordé par le président à la revue The Atlantic dans son édition de mars. Concernant la Syrie, le fait marquant reste la décision de la Maison-Blanche de ne pas intervenir militairement en août 2013. Obama revendique cette décision, au prétexte que « les États-Unis ne peuvent pas tout ». Revenant en détail sur l’intervention en Libye en 2011, Obama déclare « qu’il faisait peut-être trop confiance aux Européens « pour faire le suivi de cette intervention ». Et de mentionner la défaite de Nicolas Sarkozy à la présidentielle de 2012. Bref, un fiasco qui fait aujourd’hui de la Libye l’un des terreaux du djihadisme salafiste. Barack Obama accuse les Européens et les pays arabes d’être des free-riders (profiteurs), relayant hélas le discours de certains candidats républicains, comme Donald Trump qui appelle au désengagement de l’Amérique face aux « coûts énormes » de l’Alliance transatlantique. Très critique vis-à-vis de l’Arabie saoudite, Obama demande à celle-ci de « partager le Moyen-Orient » avec son ennemi iranien. (..) Barack Obama témoigne d’un grand intérêt pour l’Asie-Pacifique depuis l’invention du terme « pivot asiatique » au début de sa présidence. Selon lui, c’est dans cette région que se trouvent les intérêts des États-Unis, et c’est là que se trouve le concurrent – ou partenaire ? – principal : la Chine. » (3)

    Trois bombes par heure dans le monde en 2016

    Pour un président de paix, il y eut plus de guerres plus d’armes vendues. Un rapport du Council on Foreign Relations (CFR) a montré que Washington a bombardé la Syrie, le Pakistan, l’Afghanistan, la Libye, le Yémen ainsi que la Somalie en 2016. Pas moins de 26 171 bombes ont été larguées. 72 par jour. Trois par heure. Les frappes militaires américaines ont été nombreuses en 2016. Très nombreuses. Le toujours président des Etats-Unis avait fait du désengagement militaire de son pays une promesse de campagne, pourtant, le think tank basé à New York nous apprend que Washington a bombardé au moins sept nations en 2016 : la Syrie, l’Irak, le Pakistan, l’Afghanistan, la Libye, le Yémen et la Somalie. Sans surprise, la très grande majorité des bombardements américains ont concerné la Syrie et l’Irak. 24 287 bombes y ont été larguées selon les comptes du CFR. (…) En 2008, alors qu’il menait campagne il avait assuré que lorsqu’il deviendrait commandant en chef des forces armées, il « fixerait un nouvel objectif dès le premier jour » : la fin de la guerre en Irak. « Je mettrai un terme à cette guerre en Irak de manière responsable et terminerai la lutte contre al-Qaïda et les Taliban en Afghanistan. » (4)

    Les Etats Unis champion des ventes d’arme

    S’agissant du carburant des guerres, la fabrication et la vente des armes, tout va bien Selon l’organisme suédois Sipri, le marché des armes est florissant. En 2014, les dépenses militaires mondiales se sont élevées à 1 776 milliards de dollars, ce qui représente 2,3% du produit intérieur brut mondial et environ 245 dollars par habitant En 2015, les 100 principales entreprises productrices d’armement dans le monde ont affiché globalement un chiffre d’affaires de 356,7 milliards USD réalisés dans les contrats d’armement (sur un chiffre d’affaires total de 1 118,1 milliards USD), Les Etats Unis , interviennent en moyenne pour 30 % des ventes. (5)

    Là encore, il y eut un désenchantement des partisans de la paix. Pratiquement tous les pays européens, mais aussi la Russie, la Chine et Israël ont alimenté les guerres certaines fois en vendant des armes aux deux belligérants ! A croire le niveau des vies des occidentaux dépend du nombre d’armes vendues en clair du nombre de morts , de blessés et de désolation de pays vulnérables et misérables qui, certaines fois n’ont pas d’argent pour nourrir leurs peuples, mais trouvent toujours moyen de s’endetter pour se battre contre d’autres miséreux ou pour tenir en respect leurs peuples dans des gouvernances interminables où le mot alternance n’a aucun sens. Dans ces pays, il n’y a que le darwinisme providentiel ou l’émeute fomentées bien souvent par les pays occidentaux pour leurs propres intérêts pour arriver à l’alternance généralement aussi catastrophique… Dans ces pays le lobby de l’armement dirige d’une façon invisible le pays . Aux Etats Unis un seul président, Eisenhower, eut le mérite d’avertir le peuple américain contre le danger de la mainmise sur le pouvoir du complexe militaro-industriel.

    Dans ce contexte pour juger du niveau des armes vendues , Nadia Prupis parlant de ce marché de la mort écrit :

    « Les États-Unis ont vendu plus d’armes que n’importe quel autre pays en 2015, malgré une baisse du commerce mondial des armes, selon un nouveau rapport du Congrès. Avec 40 milliards de dollars, les États-Unis ont signé plus de la moitié de tous les accords d’armement l’an dernier et plus du double du pays en deuxième place, la France, à 15 milliards de dollars. Les ventes d’armes américaines comprenaient des bombes, des missiles, des chars blindés, des hélicoptères d’attaque Apache, des chasseurs F-15 et autres articles (…) » (5).

    On l’aura compris les dirigeants arabes sont aux premiers loges pour acheter les armes. Nadia Prupis écrit :

    « Les principaux acheteurs, quant à eux, étaient le Qatar, l’Égypte, et l’Arabie saoudite, Beaucoup de ces armes ont été utilisées pour aider la coalition menée par l’Arabie saoudite et soutenue par les États-Unis à combattre les rebelles au Yémen, entraînant des pertes civiles élevées. Le Guardian note que les résultats concordent avec une autre étude récente, qui concluait que l’administration Obama avait approuvé pour plus de 278 milliards de dollars de vente d’armes en huit ans, soit plus du double de l’administration Bush, 128,6 milliards de dollars. » (6)

    La journaliste bien connue, Diana Johnstone décrit la paranoïa qui sévit à la fois dans le parti démocrate, mais aussi au sein de l’Administration actuelle qui accélère les mesures de rétorsion contre la Russie pour les rendre irréversibles, tels que l’expulsion de 35 diplomates fin décembre et l’accélération du déploiement des troupes américaines en Pologne à la frontière avec la Russie.

    « L’impertinence de Vladimir Poutine, écrit-elle, ouvertement en faveur d’un « monde multipolaire », l’a hissé à la première place dans la liste des méchants. Il est promu « dictateur » et « menace existentielle » aux yeux de la nation exceptionnelle, cible numéro un du changement de régime. Hillary Clinton et ses partisans politiques et médiatiques s’accordent pour attribuer sa défaite à un complot mené par Vladimir Poutine visant à changer le régime aux Etats-Unis. Jamais à Washington n’a-t-on vu un parti au pouvoir si incapable d’accepter l’alternance, si vindicatif, si avide de trouver des boucs émissaires, si prêt à violer toutes les bienséances démocratiques et diplomatiques, si prêt à pratiquer la politique de la terre brûlée, même aux dépens de ces « valeurs » dont il se proclame le défenseur indispensable, à commencer par la liberté d’expression ? » (7)

    La folie de fin de règne à Washington : la phobie de Poutine

    S’agissant de la comédie visant à impliquer Poutine dans l’ingérence dans les élections, les Etats-Unis qui ont déclenché 200 guerres en 240 ans d’existence n’ont jamais cessé d’interférer quand leurs intérêts étaient en jeu. : « Tout Washington est scandalisé, tandis que les membres du Congrès rivalisent entre eux pour diaboliser la Russie à cause de sa supposée ingérence dans la récente élection présidentielle américaine. « Toute intervention étrangère dans nos élections est absolument inacceptable », a déclaré Paul Ryan, le président de la Chambre des représentants. Cet éclat de vertueuse indignation serait plus facile à gober si les Etats-Unis n’avaient pas eux-mêmes pris l’habitude chronique d’intervenir dans les élections à l’étranger. Sur une période d’un peu plus d’un siècle, les leaders américains ont utilisé toute une variété d’outils pour influencer les électeurs dans des pays étrangers. Nous avons choisi des candidats, les avons conseillés, financé leurs partis, conçu leurs campagnes, corrompu les médias pour les soutenir et menacé ou calomnié leurs rivaux ».(8)

    Une appréciation rendant compte de ce désamour graduel nous est donné par une diplomate russe : « La politique étrangère de l’administration Barack Obama au cours des huit années de la présidence d’Obama « suscite l’aversion du monde entier », a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zaéskharova. « Je pense que cet homme [Obama] et son équipe – naturellement, parlant de l’homme, nous entendons l’équipe qui s’est révélée mauvaise pour tous sur la scène mondiale », Selon la diplomate russe, du point de vue moral, on peut blâmer l’équipe d’Obama d’avoir commis un « crime » car il a démontré que « le plus fort a des droits illimités à faire le mal ». (9)

    En définitive rien de nouveau sous le soleil ! Tous les président américains à partir de la chute du mur de Berlin furent frappés d’hubris , une sorte de messianisme de la certitude de la « Destinée Manifeste » qui leur donne mission de régenter le monde. Cela a commencer avec Georges Bush père qui parlait déjà après avoir laminé l’armée irakienne en 1991, du nouvel ordre mondial vertueux étant la seule hyper-puissance selon le bon mot de Hubert Védrine et ayant sonné d’après Francis Fukuyama, l’idéologue du Pentagone, la fin de l’histoire et annoncé un âge d’or qui allait durer mille ans.

    On sait comment cette histoire est en train de se dérouler , car nous eûmes après Bill Clinton qui s’illustra par le dépeçage des balkans avec la complicité de l’Europe et notamment de l’Allemagne Ce sera aussi la presque décennie du pétrole contre nourriture, une histoire abjecte dont l’épilogue fut la mort de 500.000 enfants prix à payer – pas cher- selon Madeleine Albright pour faire partir Saddam Hussein qui n’est parti que plus tard. Il a fallu l’avènement de Georges Walker Bush pour que la sentence s sentence « to be hanged by the neck until you are dead » se réalise un matin de janvier de l’aid el adha en guise de sacrifice,’ il y a dix ans sous la gouvernance d’un certain Paul Bremer gouverneur d’un Irak en miettes Ces présidents venaient avec leurs certitudes gravées dans l’arbre ,bouleverser des équilibres sociologiques culturels et cultuels plusieurs fois millénaires en y semant le chaos constructeur selon Condolezza Rice

    La présidence Obama ne fut pas différente sauf que nous avons cru en ses promesses de désengagement de l’Irak, de l’Afghanistan. Nous seulement ne se fit pas, mais sous l’ère Obama fut inaugurée la terrible guerre des drones reapers et autres ; Pour ne pas risquer la mort des GI’S rien de plus simple : Une salle climatisée du fin fond du Texas, un contrôle par satellite et une décision de mort par drone interposé. Il suffit alors au soldat de jouer au joystick pendant qu’à des milliers de kms de là c’est la mort, le deuil la désolation des vies brisées des pays en miettes. Non content de tout cela après l’épisode Bin Laden, deux conflits marquent l’ère Obama, la Syrie vidée de sa sève ,plusieurs milliers de morts et de blessés, la destruction honteuse de la Lybie avec deux vassaux le tandem Sarkozy – Hollande et David Cameron dont les prouesses envers les faibles aboutirent au lynchage de Kadhafi. Enfin la tolérance envers l’Arabie Saoudite pour causes de contrats d’armements et de pétrole s’avère être une complicité dans la mort silencieuse du peuple yéménite

    L’Occident s’est empressé de décerner le prix Nobel de la paix à Barack Obama pour la promesse d’une paix qui n’est jamais arrivée. Peut-être que le Comité Nobel ne sera plus aussi chaud pour l’octroi de ce prix ? De plus s’agissant justement de la paix du monde, les années Bush ont traumatisé le monde, mais on ne s’attendait à rien de bon. Avec Obama nous avons cru à ses promesses qui comme dit Jacques Chirac n’engagent que les naïfs que nous sommes. A la place nous découvrons en fait « l’american way of war »… de l’empire qui tarde à comprendre que tout le monde aura à gagner avec un monde multipolaire. Peut être là encore un vœu pieux avec le nouveau président Trump avec son obsession protectionniste.

    Professeur Chems Eddine Chitour

    Ecole Polytechnique Alger

     

    1.http://www.la-croix.com/Monde/Ameriques/Trois-grandes-paroles-Barack-Obama-2017-01-15-1200817339

    2. http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/01/16/bilan-d-obama-le-paradoxe-americain_5063393_3222.html#ShE0hJ4U2o3afToz.99

    3.http://www.ouest-france.fr/debats/point-de-vue/politique-etrangere-le-bilan-discute-dobama-4149159

    4.http://reseauinternational.net/les-etats-unis-ont-largue-lequivalent-de-trois-bombes-par-heure-dans-le-monde-en-2016/#EYWYhUfTrZXxOtOX.995.

    5.http://www.grip.org/fr/node/1942

    6.Nadia Prupis http://lesakerfrancophone.fr/alors-que-le-commerce-mondial-declinait-la-vente-darmes-etasunien

    7.https://francais.rt.com/opinions/31994-folie-fin-regne-washington

    8.http://www.mondialisation.ca/usa-nous-intervenons-dans-les-elections-dautres-pays-depuis-plus-dun-siecle/5568909

    9. ttp ://lesakerfrancophone.fr/le-monde-entier-est-degoute-par-la-politique-etrangere-de-ladministration-obama

     

     Article de référence :

    http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur _chitour/258595-un-nobel-qui-a-fait-la-guerre-a-la-paix.html

    La source originale de cet article est Mondialisation.ca
    Copyright © Chems Eddine Chitour, Mondialisation.ca, 2017

  • CENTCOM : ils ont gaulé mes sonovobitches !
    http://www.dedefensa.org/article/centcom-ils-ont-gaulemes-sonovobitches

    CENTCOM : ils ont gaulé mes sonovobitches !

    On connaît la phrase fameuse d’un officiel US haut placé de l’époque Eisenhower, un ambassadeur peut-être bien ou bien même Harriman soi-même, ou l’un et l’autre frères Dulles (département d’État et CIA à cette époque), à propos d’un obscur dictateur sud-américain qui faisait des siennes mais qui était sur la fiche de paie de la CIA : “C’est certainement un fils de pute, mais c’est notre fils de pute”. (En anglo-US type-Patton, avec son of a bitch comprimé et machouillé à mesure, cela donne : « He’s a sonovobitche but he’s our sononovobitche »). C’est dans cet esprit qu’il faut entendre le compte-rendu désolé que le général Joseph Votel, US Army et commandant en chef de Central Command (CinCCENTCOM), a fait devant les éminences réunies au fameux séminaire d’Aspen, dans le (...)

  • CENTCOM : ils ont neutralisé mes sonovobitches !
    http://www.dedefensa.org/article/centcom-ils-ont-neutralisemes-sonovobitches

    CENTCOM : ils ont neutralisé mes sonovobitches !

    On connaît la phrase fameuse d’un officiel US haut placé de l’époque Eisenhower, un ambassadeur peut-être bien ou bien même Harriman soi-même, ou l’un et l’autre frères Dulles (département d’État et CIA à cette époque), à propos d’un obscur dictateur sud-américain qui faisait des siennes mais qui était sur la fiche de paie de la CIA : “C’est certainement un fils de pute, mais c’est notre fils de pute”. (En anglo-US type-Patton, avec son of a bitch comprimé et machouillé à mesure, cela donne : « He’s a sonovobitche but he’s our sononovobitche »). C’est dans cet esprit qu’il faut entendre le compte-rendu désolé que le général Joseph Votel, US Army et commandant en chef de Central Command (CinCCENTCOM), a fait devant les éminences réunies au fameux séminaire d’Aspen, dans (...)

  • Noam Chomsky: Young Bernie Sanders Supporters are a “Mobilized Force That Could Change the Country” | Democracy Now!
    April 28, 2016
    http://www.democracynow.org/2016/4/28/noam_chomsky_young_bernie_sanders_supporters

    NOAM CHOMSKY: Well, Bernie Sanders is an extremely interesting phenomenon. He’s a decent, honest person. That’s pretty unusual in the political system. Maybe there are two of them in the world, you know. But he’s considered radical and extremist, which is a pretty interesting characterization, because he’s basically a mainstream New Deal Democrat. His positions would not have surprised President Eisenhower, who said, in fact, that anyone who does not accept New Deal programs doesn’t belong in the American political system. That’s now considered very radical.

    The other interesting aspect of Sanders’s positions is that they’re quite strongly supported by the general public, and have been for a long time. That’s true on taxes. It’s true on healthcare. So, take, say, healthcare. His proposal for a national healthcare system, meaning the kind of system that just about every other developed country has, at half the per capita cost of the United States and comparable or better outcomes, that’s considered very radical. But it’s been the position of the majority of the American population for a long time. So, you go back, say, to the Reagan—right now, for example, latest polls, about 60 percent of the population favor it. When Obama put through the Affordable Care Act, there was, you recall, a public option. But that was dropped. It was dropped even though it was supported by about almost two-thirds of the population. You go back earlier, say, to the Reagan years, about 70 percent of the population thought that national healthcare should be in the Constitution, because it’s such an obvious right. And, in fact, about 40 percent of the population thought it was in the Constitution, again, because it’s such an obvious right. The same is true on tax policy and others.

    So we have this phenomenon where someone is taking positions that would have been considered pretty mainstream during the Eisenhower years, that are supported by a large part, often a considerable majority, of the population, but he’s dismissed as radical and extremist. That’s an indication of how the spectrum has shifted to the right during the neoliberal period, so far to the right that the contemporary Democrats are pretty much what used to be called moderate Republicans. And the Republicans are just off the spectrum. They’re not a legitimate parliamentary party anymore. And Sanders has—the significant part of—he has pressed the mainstream Democrats a little bit towards the progressive side. You see that in Clinton’s statements. But he has mobilized a large number of young people, these young people who are saying, “Look, we’re not going to consent anymore.” And if that turns into a continuing, organized, mobilized—mobilized force, that could change the country—maybe not for this election, but in the longer term.

  • Un long et intéressant article de Robert F. Kennedy Jr - oui, oui, c’est bien le fils de Bob... - fait une rétrospective des opérations de changement de régime au Moyen-Orient en lien avec la question de la géopolitique de l’énergie, afin d’éclairer la guerre en Syrie. C’est aussi, bien sûr, un réquisitoire contre ces opérations.
    Certains faits évoqués sur l’actuel conflit syrien ont été déjà largement évoqués par plusieurs seen thissiens. Mais certains faits plus anciens sont cependant moins connus :
    http://www.politico.com/magazine/story/2016/02/rfk-jr-why-arabs-dont-trust-america-213601?o=0
    Why the Arabs Don’t Want Us in Syria
    They don’t hate ‘our freedoms.’ They hate that we’ve betrayed our ideals in their own countries—for oil. / R.F. Kennedy Jr ; 22.02.16

    A titre d’exemple cet extrait sur le choix dès l’époque Eisenhower de jouer le fondamentalisme islamique (aussi bien des Saudiens que des Frères musulmans) contre le nationalisme arabe, ou bien la question des routes de l’énergie dans le choix américain de renverser le chef d’Etat syrien Quwatli par un coup d’Etat militaire en 1949 :

    For Americans to really understand what’s going on, it’s important to review some details about this sordid but little-remembered history. During the 1950s, President Eisenhower and the Dulles brothers—CIA Director Allen Dulles and Secretary of State John Foster Dulles—rebuffed Soviet treaty proposals to leave the Middle East a neutral zone in the Cold War and let Arabs rule Arabia. Instead, they mounted a clandestine war against Arab nationalism—which Allen Dulles equated with communism—particularly when Arab self-rule threatened oil concessions. They pumped secret American military aid to tyrants in Saudi Arabia, Jordan, Iraq and Lebanon favoring puppets with conservative Jihadist ideologies thath they regarded as a reliable antidote to Soviet Marxism. At a White House meeting between the CIA’s director of plans, Frank Wisner, and John Foster Dulles, in September 1957, Eisenhower advised the agency, “We should do everything possible to stress the ‘holy war’ aspect,” according to a memo recorded by his staff secretary, Gen. Andrew J. Goodpaster.
    The CIA began its active meddling in Syria in 1949—barely a year after the agency’s creation. Syrian patriots had declared war on the Nazis, expelled their Vichy French colonial rulers and crafted a fragile secularist democracy based on the American model. But in March 1949, Syria’s democratically elected president, Shukri-al-Quwatli, hesitated to approve the Trans-Arabian Pipeline, an American project intended to connect the oil fields of Saudi Arabia to the ports of Lebanon via Syria. In his book, Legacy of Ashes, CIA historian Tim Weiner recounts that in retaliation for Al-Quwatli’s lack of enthusiasm for the U.S. pipeline, the CIA engineered a coup replacing al-Quwatli with the CIA’s handpicked dictator, a convicted swindler named Husni al-Za’im. Al-Za’im barely had time to dissolve parliament and approve the American pipeline before his countrymen deposed him, four and a half months into his regime.

    #gaz #pipelineistan #échapper_à_Ormuz #Syrie #regime_change

  • Born In The U.S.A.: How America Created Iran’s Nuclear Program
    http://www.npr.org/sections/parallels/2015/09/18/440567960/born-in-the-u-s-a-how-america-created-irans-nuclear-program

    It’s the story of a historic nuclear agreement — a story we may be tempted to think we know. After all, Congress just finished a chaotic debate that ended when lawmakers failed to block the deal. There was no solemn national moment of decision — no up-or-down vote, as with a treaty or a war.

    But this was just the latest twist in a long and complex tale that dates back more than a half-century.


    President Eisenhower (left) visited Iran’s Shah Reza Pahlavi in Tehran in 1959. The U.S. had begun working with Iran to launch its nuclear program two years earlier and would provide Iran with its first nuclear research reactor in the 1960s, at Tehran University.
    #nucléaire #iran #états-unis

  • Tomgram: Noam #Chomsky, America’s Real Foreign Policy
    http://www.tomdispatch.com/blog/175863/tomgram%3A_noam_chomsky%2C_america%27s_real_foreign_policy

    In the 1950s, President #Eisenhower and Secretary of State John Foster #Dulles explained quite clearly the dilemma that the U.S. faced. They complained that the Communists had an unfair advantage. They were able to “appeal directly to the masses” and “get control of mass movements, something we have no capacity to duplicate. The poor people are the ones they appeal to and they have always wanted to plunder the rich.”

    That causes problems. The U.S. somehow finds it difficult to appeal to the poor with its doctrine that the rich should plunder the poor.

    #Etats-Unis

    • The current issue of the premier journal of media criticism, the Columbia Journalism Review, has an interesting article on this subject, attributing this outcome to the media doctrine of “fair and balanced.” In other words, if a journal publishes an opinion piece reflecting the conclusions of 97% of scientists, it must also run a counter-piece expressing the viewpoint of the energy corporations.

      That indeed is what happens, but there certainly is no “fair and balanced” doctrine . Thus, if a journal runs an opinion piece denouncing Russian President Vladimir Putin for the criminal act of taking over the Crimea, it surely does not have to run a piece pointing out that, while the act is indeed criminal, Russia has a far stronger case today than the U.S. did more than a century ago in taking over southeastern Cuba, including the country’s major port — and rejecting the Cuban demand since independence to have it returned. And the same is true of many other cases. The actual media doctrine is “fair and balanced” when the concerns of concentrated private power are involved, but surely not elsewhere .

  • The New Weapons of Mass Detection | Shoshana Zuboff’s Response to Martin Schulz
    FAZ 13/02/2014
    http://www.faz.net/aktuell/feuilleton/debatten/ueberwachung/shoshana-zuboff-s-response-to-martin-schulz-the-new-weapons-of-mass-detection-1

    #surveillance #tracking #silicon_army

    Shoshana Zuboff, author of The Summons: Our Fight for the Soul of an Information Civilization (Forthcoming, 2015), is the Charles Edward Wilson Professor of Business Administration (retired) at the Harvard Business School.

    The challenge I see is that, thanks to Edward #Snowden, we know that the technology revolution has once again been hijacked by the dream of perfect control. It’s being used as a Trojan horse for a still poorly understood convergence of public and private institutions that wield unprecedented power over information. This new power bloc operates outside our control as citizens and consumers. I’m calling it the military-informational complex, because its power derives from the production and deployment of what I call new weapons of mass detection composed of information and the technical apparatus required for its access, analysis, and storage.

    Eisenhower’s Message in a Bottle
    http://seenthis.net/messages/105043#message105105

    The military-information complex is a convergence of public and private expertise in the control and analysis of information camouflaged by a forest of excuses. The official story is that these growing powers are a necessary response to forces beyond control: technological requirements, digital proliferation, autonomous market dynamics, and security imperatives.

    (...)

    Rewind for a moment to 1961 and President Eisenhower’s farewell address to the American people. He had revised the speech many times over a two year period. In each draft he insisted on retaining a crucial passage, as if he was determined to send a message in a bottle to be discovered, read, and grasped by future generations. American society was under threat from a new “military-industrial complex,” he warned, and only “an alert and knowledgeable citizenry” could ensure that “security and liberty” would both prosper. Guardian readers will recognize the phrase “security and liberty” as the tag line on Glen Greenwald’s now immortal series. Greenwald found the bottle.

    Five years later economist John Kenneth Galbraith, elaborated his concept of the “technostructure” in The New Industrial State. “Power,” he wrote, had “passed to...a new production function... men of diverse technical knowledge, experience or other talent, which modern industrial technology and planning require.” Galbraith’s book celebrated an industrial oligarchy at the heart of the military-industrial complex, enmeshed in state functions and protected by state power, insulated from public accountability, and innocent of responsibility. Why? Because it promoted itself as the inevitable expression of technology’s indisputable “requirements.” Galbraith had fallen under the spell of technological determinism.

    «I’m all about demilitarization»

    Demilitarization had been essential for what Harvard Law Professor Jonathan Zittrain calls the “generative” capabilities of the Internet –– the ways it lends itself to trust, interaction, invention, and creativity. Militarization is already having the opposite effect, as firms withdraw their data from cloud servers and governments explore new regulations and infrastructures that enable nation-specific privacy controls.

    Of equal concern are the economic effects of information militarization. It suppresses the creative adaptation to human needs that is #capitalism’s greatest strength . In the annals of capitalism, the production of prosperity and well-being have depended on a steady flow of commercial “mutations” that better align business with the changing needs of people.

    In at least two cases, at Google and Facebook, one of the plans discussed was to build separate secure portals...in some instances on company servers.” In some cases, the New York Times reported, tech company employees have national security clearance. In others, NSA agents installed their own software on company servers, and even hung out at the company for days or weeks of system monitoring.

    Had Google and Facebook learned surveillance tactics from the NSA in the first place? Or was it the other way around? The identity of the military-informational complex was taking shape along with its assumptions, attitudes, interests, and perspectives. Armaments production was well underway.

    #auto-censure

    That self-censorship is a life sentence to an endlessly repeating present. Nothing new can happen once we curb our thoughts.

    • Je parlais plus haut d’Oppenheimer. Il faut comprendre que les grandes inventions réalisées durant la Seconde guerre mondiale, le radar, la pénicilline, la bombe atomique, les microfilms, les servo-mécanismes... étaient portés par des scientifiques et des techniciens auxquels les militaires donnaient à la fois de l’argent et des objectifs mobilisateurs. Ces scientifiques n’étaient pas a priori des techniciens des armées. Peut-on imaginer Einstein ou Wiener sous un uniforme ? Les militaires avaient les objectifs, et les scientifiques les méthodes, notamment une dont on a encore du mal à mesurer l’importance, qui est l’interdisciplinarité. Mais comme toujours avec les militaires, les objectifs prennent le pas sur les acteurs. Même Eisenhower l’a souligné dans son « testament ».
      Dans l’esprit de Brand, mais aussi des autres acteurs de la Silicon Valley, et cela dès les années cinquante, la technique et les méthodes scientifiques avaient une autonomie qui permettrait de les retourner contre les objectifs premiers des militaires et de leur appareil productif centralisé. C’était réellement une utopie, et encore une fois la surveillance généralisée exercée par la NSA vient nous le rappeler. Mais elle a joué son rôle, en produisant une forme de « démocratie technique », c’est-à-dire une méritocratie, dans laquelle les individus chercheurs ou informaticiens sont évalués en fonction de leurs apports et non des objectifs assignés. Que l’on regarde la teneur du culte de Steve Jobs au lendemain de son décès.
      http://www.davduf.net/stewart-brand-aux-sources-troubles-de-la-belle

  • Macmillan backed Syria assassination plot | Politics | The Guardian
    http://www.guardian.co.uk/politics/2003/sep/27/uk.syria1?INTCMP=SRCH

    Although historians know that intelligence services had sought to topple the Syrian regime in the autumn of 1957, this is the first time any document has been found showing that the assassination of three leading figures was at the heart of the scheme. In the document drawn up by a top secret and high-level working group that met in Washington in September 1957, Mr Macmillan and President Eisenhower were left in no doubt about the need to assassinate the top men in Damascus.

    L’histoire continue

    The plan called for funding of a “Free Syria Committee”, and the arming of “political factions with paramilitary or other actionist capabilities” within Syria. The CIA and MI6 would instigate internal uprisings, for instance by the Druze in the south, help to free political prisoners held in the Mezze prison, and stir up the Muslim Brotherhood in Damascus.

    Ils ont de la suite dans les idées

    • Bien vu !
      Petite erreur à la fin de l’article :

      The following year, the Ba’athists moved against their Communist former allies and took Syria into a federation with Gen Nasser’s Egypt, which lasted until 1963.

      La R.A.U. n’a duré que jusqu’en 1961 et non 63.
      En 63 c’est le coup d’Etat du Baath contre le régime mis en place à la suite de la fin de la RAU.