person:emmanuel macron

  • Marine Le Pen peut-elle gagner en 2022 ? LCI et CNews y travaillent | Samuel Gontier
    https://www.telerama.fr/television/marine-le-pen-peut-elle-gagner-en-2022-lci-et-cnews-y-travaillent,n6273876.

    Sur LCI, David Pujadas salue la nouvelle résurrection de Marine Le Pen et Audrey Crespo-Mara recueille les odes de Daniel Cohn-Bendit à Emmanuel Macron. Sur CNews, Pascal Praud explique l’échec de La France insoumise par l’emploi de l’écriture inclusive et recueille les félicitations de l’extrême-droite. Source : Ma vie au poste

  • Macron en naufrageur de l’industrie
    https://www.mediapart.fr/journal/france/310519/macron-en-naufrageur-de-l-industrie

    Alstom, Whirlpool, Ascoval… dans la foulée des élections européennes, le gouvernement se trouve confronté au bilan de la politique voulue par Emmanuel Macron : une destruction massive et organisée de l’industrie. Le pays court le risque d’être entraîné dans une régression sans fin et d’être coupé de son avenir.

    #INDUSTRIE #Whirlpool,_politique_industrielle,_Emmanuel_Macron,_Alstom,_Ascoval,_industrie,_Renault,_A_la_Une

  • A Bruxelles, Macron entend jouer les faiseurs de rois
    https://www.mediapart.fr/journal/france/310519/bruxelles-macron-entend-jouer-les-faiseurs-de-rois

    Face au repli des partis traditionnels, Emmanuel Macron se présente comme le pivot de la composition d’une nouvelle majorité au Parlement européen. Mais les inconnues sont encore nombreuses. Et rien ne dit que les eurodéputés qu’il a fait élire parviendront à peser dans les futures négociations.

    #EUROPE #Emmanuel_Macron,_Commission_européenne,_europe,_Parlement_européen,_Spitzenkandidaten

  • Les hauts fonctionnaires récalcitrants bientôt remplacés ? Sibeth Ndiaye explique le projet de Macron (RT)
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/16079-les-hauts-fonctionnaires-recalcitrants-bientot-remplaces-sibeth-ndi

    Sibeth Ndiaye (image d’illustration).

    En Conseil des ministres, la porte-parole du gouvernement a expliqué le projet d’Emmanuel Macron, visant à remercier les hauts fonctionnaires se montrant réticents aux choix politiques de l’exécutif. Des annonces sont prévues pour le mois de juin.

    Lors du Conseil des ministres du 29 mai, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a confirmé la volonté d’Emmanuel Macron de remplacer les hauts fonctionnaires hostiles à la politique du gouvernement. « Le président de la République a souhaité que les nominations à la tête des administrations centrales puissent refléter notre volonté [d’accélerer] les réformes », a-t-elle ainsi déclaré.

    Et la porte-parole du gouvernement d’expliquer : « Il est évident que le déploiement des politiques publiques (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Les effectifs de la police et de l’armée augmentent-ils alors qu’ils baissent à l’Ecologie et à l’Education ?
    https://www.liberation.fr/checknews/2019/05/30/les-effectifs-de-la-police-et-de-l-armee-augmentent-ils-alors-qu-ils-bais

    Le gouvernement veut supprimer 50 000 postes d’ici 2022, tout en épargnant certaines missions régaliennes. Une choix intenable, selon la Cour des comptes, sans risquer de passer à côté de son objectif.

    Question posée sur Twitter le 29/05/2019

    Bonjour,

    Vous nous interrogez sur une capture d’écran circulant sur les réseaux sociaux depuis quelques jours, où l’on voit le nombre de suppressions et créations de postes qu’auraient subi les différents ministères en 2018 et 2019. Alors que l’armée et l’Intérieur voient leurs effectifs augmenter, la santé, l’écologie et l’éducation nationale baissent drastiquement.

    @CheckNewsfr , ils sont vrais ces chiffres ? https://t.co/iQxcycLdE1
    — Ray_le_gnou (@babbouze) 29 mai 2019

    Ces chiffres sont issus du document « chiffres clés » du projet de loi de finances 2019, adopté le 20 décembre 2018. S’appuyant sur la page, « schémas d’emplois », qui recense les créations et suppressions d’emplois prévues dans les ministères en calculant en équivalent temps plein (ETP), l’internaute a additionné les colonnes 2018 et 2019. Notons que les chiffres de 2018 sont ceux votés en 2017 dans la loi de finances initiale, et ceux de 2019 sont ceux prévus pour 2019 dans le projet de loi de finances.

    A chaque fois, les internautes partageant ces chiffres ne mentionnent pas le ministère devant subir la plus forte baisse : celui des Comptes publics. Après avoir voté la suppression de 1450 ETP en 2018 au sein de ce ministère, les parlementaires en ont approuvé 1947 ETP en 2019.

    En deuxième position arrive l’Education nationale, qui voit 1800 postes supprimés, mais qui n’en avait eu aucun en 2018. Puis la Transition écologique et solidaire (811 et 828), la Santé (258 et 250), l’Economie (198 et 280), le Travail (239 et 233), l’Agriculture (130 et 140), les Affaires étrangères (100 et 130), la Culture (110 et 150) et enfin la Cohésion des territoires (15 et 15).

    A l’inverse, le ministère de l’Intérieur, après s’être vu promettre 1420 ETP supplémentaires en 2018, devrait en avoir 2153 en 2019. Suivi de la Justice (1000 et 1300), les armées (518 et 466), les services du Premier ministre (75 et 181) et l’outre-mer (20 et 23). Seuls les ministères des Sports et de l’Enseignement supérieur sont censés rester à périmètre constant sur ces deux années.

    Ces chiffres ne prennent pas en compte, par ailleurs, les suppressions de postes chez les « opérateurs » des ministères, c’est-à-dire des opérateurs privés ou publics des ministères, mais à qui sont confiées des missions de service public.

    L’exposé des motifs du projet de loi de finances 2019 résumait ainsi : « Pour 2019, le solde global des créations et des suppressions d’emplois s’élève à - 4 164 équivalents temps plein (ETP), dont 1 571 ETP pour l’État et 2 593 ETP pour les opérateurs. Ce solde net permet de financer de manière soutenable les priorités du Gouvernement ». Et affirmait : « le projet de loi de finances pour 2019 marque le renforcement de la dynamique des suppressions nettes d’emplois pour l’État et ses opérateurs initiée en 2018. »

    Diminuer le nombre d’emplois dans la fonction publique est une promesse de campagne d’Emmanuel Macron, qui avait annoncé aux Echos vouloir supprimer 120 000 postes de fonctionnaires, dont 50 000 dans la fonction publique d’Etat. Un objectif inscrit dans la loi de programmation des finances publiques 2018-2022, promulguée en janvier 2018, qui prévoit donc la suppression de 50 000 emplois pour l’Etat et ses opérateurs d’ici 2022.

    Un peu avant l’été, la Cour des comptes avait par ailleurs rappelé qu’étant donné que des créations de postes étaient prévues dans plusieurs missions (justice, intérieur, armée), « pour atteindre l’objectif d’une réduction nette de 50 000 emplois prévue par la trajectoire de la LPFP, ce seront donc 70 000 emplois qui devront être supprimés ». Et concluait ainsi que, si les effectifs de l’Education nationale devaient rester stables, « un tel effort [de suppression de postes] ne pourrait être concentré sur les seuls autres ministères ne bénéficiant pas de ces créations, qui ne représentent que 300 000 emplois, soit 15 % des effectifs de l’État : cela correspondrait en effet à une réduction de leurs effectifs près de 25 % en cinq ans ».

    Comme Libération l’écrivait en septembre dernier, « dans la majorité, on commence à espérer que la pyramide des âges fera l’affaire et que les "500 000 départs à la retraite d’ici à 2022 dans le périmètre Etat" suffiront. "Le non-remplacement des départs à la retraite sur ces autres missions serait largement insuffisant, répondait déjà la Cour. Pour être réalisée, la diminution de 50 000 effectifs dans la fonction publique d’Etat implique que tous les ministères soient concernés par ces diminutions". Pour l’instant, ce n’est pas le choix du gouvernement. »

    Cordialement

  • Le procès des décrocheurs de portraits : l’urgence climatique face à l’ordre
    https://reporterre.net/Le-proces-des-decrocheurs-de-portraits-l-urgence-climatique-face-a-l-ord

    Bourg-en-Bresse (Ain), reportage

    Le mardi 28 mai 2019, à Bourg-en-Bresse, se déroulait le tout premier procès des « décrochages » de portraits d’Emmanuel Macron. Six activistes d’ANV-COP21 Villefranche-Beaujolais-Saône comparaissaient, poursuivis par l’État pour « vol en réunion et par ruse ». Le samedi 2 mars 2019, les prévenus avaient « réquisitionné » une photo du président de la République dans la mairie de Jassans-Riottier (Ain). Ils encourent jusqu’à dix ans de prison et 150.000 euros d’amende. Cette action de désobéissance civile non violente s’inscrit dans la campagne « Décrochons Macron » au cours de laquelle 55 portraits ont été décrochés par des citoyens à travers la France. Les murs, vides des portraits présidentiels qu’ils accueillaient, symbolisent pour les activistes l’inaction climatique du gouvernement.

    #désobéissance_civile #décrocheur·euses

    • Le procureur de la République Éric Sandjivy, dans un long réquisitoire, regrette « l’instrumentalisation » des tribunaux « qui vont être saisis [2] et vont faire office de tribune politique au sens large. On a convié la presse, on a fait une manifestation. C’est là où ça me gêne : on utilise une enceinte de justice pour faire passer des messages. Il y a d’autres lieux pour ça. » Éric Sandjivy a réfuté « l’état de nécessité comme justificatif pouvant dédouaner ces personnes », arguant notamment que « les valeurs qu’ils croient défendre ne sont pas des valeurs partagées par tous. Ils peuvent estimer que c’est malheureux mais, pour être provocateur, je pourrais dire que [Donald] Trump ne les partage pas. »

      Genre le mec qui vient d’approcher un concept sûrement très éloigné de ses préoccupations quotidiennes mais bon, quand ton logiciel est « implémenté » avec du #Trump_code ...

  • Reconstruction pour familles monoparentales -

    Une maison d’accueil de mères célibataires pour repeupler un village de montagnes
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/05/29/dans-l-ariege-une-maison-d-accueil-de-meres-celibataires-pour-repeupler-un-v
    Le village de l’Hospitalet-près-l’Andorre et ses 90 habitants, dans l’Ariège, s’apprêtent à ouvrir « la Maison des Cîmes », lieu de reconstruction pour familles monoparentales.

    Au comptoir de l’hôtel de Puymorens, peu importe l’heure où l’on prend son café, toutes les conversations finissent par se ressembler. Combien de temps pour la plomberie, l’électricité, le placo ? Les ouvriers vont-ils rattraper le retard pris sur le chantier ? « Cela fait si longtemps qu’on attend une bonne nouvelle, il y a forcément de l’impatience », dit Serge Manescou, le tenancier de cet établissement des Pyrénées perché à 1 450 mètres d’altitude, au pied des sommets encore recouverts de neige où serpentent les chemins de randonnée.

    Voilà cinq ans que l’Hospitalet-près-l’Andorre (Ariège) et ses 90 habitants vivent dans l’expectative. Au cœur du village, dans une large bâtisse de trois étages qui donne sur la place Pyrène, un lieu unique en France est en gestation : la Maison des Cîmes. D’ici quelques mois, six mères en difficulté, ces « familles monoparentales » devenues la priorité d’Emmanuel Macron à la suite du mouvement social des « gilets jaunes », viendront s’y installer avec leurs neuf enfants pour « prendre le temps de se reconstruire en douceur », dit le maire. Et repeupler du même coup ce village à flanc de montagne, qui a vu partir plus de la moitié de ses habitants en trente ans.

    –---
    La suite de cette pub pour Macron est sous #paywall je suis surprise de voire que les familles monoparentales sont à reconstruire et qu’on les "aide" en les obligeant à vivre dans des villages sans emploi dont les seuls habitants sont des machos de comptoirs qui ont fait fuir toutes les femmes libres depuis belle lurette.

  • 1000 #emplois supprimés par General Electric : l’histoire d’un #piège américain et d’une #trahison française
    http://www.lefigaro.fr/vox/politique/1000-emplois-supprimes-par-general-electric-l-histoire-d-un-piege-americain

    Quels enseignements tirer de cette catastrophe ? Tout d’abord, le rappel du caractère fondamentalement prédateur des #États-Unis d’Amérique, un État qui n’hésite pas à mettre sa puissance financière et militaire au service direct de ses #multinationales. Ensuite, les désastres provoqués par la #cupidité du #capitalisme français, privilégiant avec constance les profits financiers à court terme aux stratégies industrielles. L’#oligarchie française a cédé aux sirènes des marchés et des analystes financiers, notamment en démantelant les grands conglomérats industriels comme la CGE ou Thomson, à qui elle reprochait d’utiliser les profits des branches en bonne santé pour aider celles qui traversaient de mauvaises passes à se redresser. Soumis à l’#idéologie néo-libérale, donnant la priorité à la #dérégulation et à la « concurrence libre et non faussée », protestant comme le fit Lionel Jospin que « l’État ne peut pas tout », l’État a encouragé en France ces tendances suicidaires.

    Enfin, la clarté est faite quant à la complicité entre Emmanuel #Macron et GE tout au long de cette affaire, jusqu’au point où c’est son conseiller industrie lors du rachat qui est nommé à la tête de GE France pour mettre en œuvre le plan de restructuration…

    #France

  • Après des mois d’inquiétude, la reprise de Whirlpool capote à Amiens
    https://www.mediapart.fr/journal/economie/290519/apres-des-mois-d-inquietude-la-reprise-de-whirlpool-capote-amiens

    Moins d’un an après avoir repris l’emblématique usine de la Somme, l’entreprise WN est placée en redressement judiciaire. L’activité n’avait jamais vraiment démarré, malgré le soutien affiché au projet par Emmanuel Macron depuis octobre 2017. « Qu’est-ce qu’on va devenir, dans notre bassin d’emploi sinistré ? », interroge un délégué syndical.

    #SOCIAL #social,_Whirlpool,_Amiens,_désindustrialisation,_reprise

  • General Electric supprime plus de 1000 emplois à Belfort (Le Figaro)
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/16074-general-electric-supprime-plus-de-1000-emplois-a-belfort-le-figaro

    Crédits photo : SEBASTIEN BOZON/AFP

    VIDÉO - Sur les 4000 emplois de l’usine de Belfort, 1044 vont être supprimés. Emmanuel Macron a affirmé mardi que le gouvernement s’assurerait que les engagements pris par GE en 2015 seraient tenus.

    À Belfort, c’est la douche froide. Les salariés de General Electric (GE) et les élus locaux savaient qu’un plan social était inévitable, mais celui dévoilé mardi matin par le conglomérat américain est pire qu’ils ne l’imaginaient. Ils s’attendaient à la disparition de 800 à 1 000 emplois, alors que GE annonce vouloir finalement en supprimer 1 044 : 792 dans la branche des turbines à gaz, en difficulté, et 252 dans les services supports de ces activités (informatique, comptabilité…).

    C’est un quart des effectifs totaux du groupe américain dans le département (4 300 personnes) et (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Européennes 2019 : un échec personnel pour Macron, selon les Français (Le Figaro)
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/16068-europeennes-2019-un-echec-personnel-pour-macron-selon-les-francais-

    Il est dommage que l’UPR n’ait pas fait mieux que 1.2%, mais leur score est en augmentation de 30%, aussi on y reviendra avec la réaction de François Asselineau le soir du vote.

    Une affiche de campagne déchirée à Cambrai. 63 % des Français estiment que le résultat des européennes est pour

    lui un échec personnel - Crédits photo : PASCAL ROSSIGNOL/REUTERS

    SONDAGE - Une majorité des Français estiment que le président doit tirer les conséquences du vote en changeant de politique.

    Le résultat des européennes de dimanche ne satisfait pas, à 54 %, les Français, selon le sondage Odoxa Dentsu Consulting pour France Info et Le Figaro. Bien entendu, ce sont les électeurs LR qui sont les plus mécontents (75 %).

    Emmanuel Macron a-t-il eu raison de prendre parti dans la campagne ? La réponse est massive : 71 (...)

  • Benedetti : La sociologie du vote Macron est de plus en plus minoritaire !
    http://www.lefigaro.fr/vox/politique/benedetti-la-sociologie-du-vote-macron-est-de-plus-en-plus-minoritaire-2019

    L’essentiel pour Emmanuel Macron était de ne pas perdre la face. Le faible écart entre le RN et LREM lui assure cet objectif. Il ne gagne pas certes, mais il ne perd pas vraiment. La victoire du RN apparaît en soi peu signifiante, puisqu’elle ne sidère pas les professionnels de l’exégèse politique. Or la sidération est un facteur-clef de la nature d’un événement. Macron attache, quoi qu’il en dise, une importance aux commentateurs politiques car il sait qu’ils participent pour une part à la construction de la perception de la situation politique. Ils sont en deuxième rideau, à tort sans doute au demeurant, des « juges de paix » de la représentation politique... après les électeurs. Le storytelling, dans ces conditions, peut perdurer. Le récit communicant suscité par cet échec - Macron avait fait symboliquement de la défaite du RN l’un des enjeux de la consultation - permet d’occulter « ce qui ne se voit pas », pour reprendre la distinction de l’économiste Frédéric Bastiat, au profit de « ce qui se voit ». Qu’est ce qui se voit ? La résistance du socle électoral des marcheurs... Ce qui ne se voit pas ? Le fait que le RN ait gagné 1 million de voix par rapport à 2014, qu’il soit en tête dans 76 départements, que Macron soit confronté à 8 électeurs sur 10 après deux ans de mandat opposés à sa politique, à sa majorité, à son style aussi... L’effet d’optique irradie l’impression immédiate et dissimule la sociologie politique profonde du scrutin qui est loin de jouer en faveur du pouvoir.

    Macron fédère une base sociologique motivée, politisée, consciente que pour défendre ses intérêts il faut qu’elle fasse bloc. Marx eut fait son miel analytique de cette séquence historique. Peut-être comme jamais depuis la moitié du XIXe siècle, la société du haut ne s’était aussi savamment organisée pour assurer la protection de sa vision du monde. Il a su récupérer la droite ordolibérale, conformiste, paternaliste qui a volé à son secours lors de cette élection au détriment de François-Xavier Bellamy...

    • Forte mobilisation des beaux quartiers en faveur de LREM. Les vieux bastions de droite ont préféré la suppression de l’ISF de Macron à L’Iliade et l’Odyssée de Bellamy. La peur du gilet jaune a fonctionné, et la bourgeoisie a fait bloc derrière Macron : du pur vote de classe.

      LREM a siphonné l’électorat de droite qui a préféré le portefeuille aux convictions. Loiseau fait un carton à Neuilly avec 48%, à Boulogne-Billancourt avec 40%, dans le 16ème arrondissement de Paris avec 42% et dans le 8ème avec 47%.

      https://twitter.com/CRE_SciencesPo/status/1133011796237979649

  • En France, le RN reprend la tête face à des oppositions morcelées
    https://www.mediapart.fr/journal/france/270519/en-france-le-rn-reprend-la-tete-face-des-oppositions-morcelees

    Les élections européennes ont confirmé le retour du RN (23%) comme principal adversaire d’Emmanuel Macron (22%). Hors ce duopole, le reste du paysage #POLITIQUE est explosé, avec une abstention de 49%. Les écologistes sont en tête à gauche (13%), LR s’effondre (8%).

    #élections_européennes_2019,_LREM,_RN,_PS,_résultats,_France,_Emmanuel_Macron,_LFI,_EELV,_LR,_A_la_Une

  • Macron : pari perdu, cap maintenu
    https://www.mediapart.fr/journal/france/270519/macron-pari-perdu-cap-maintenu

    Battu par le RN, l’exécutif, qui avait fait de la première place de la liste « Renaissance » l’unique enjeu des européennes, assure avoir reçu « le message 5 sur 5 ». Pour y répondre, Emmanuel Macron a trouvé une solution miracle : faire exactement ce qu’il avait prévu.

    #France #exécutif,_Emmanuel_Macron,_élections_européennes_2019,_gilets_jaunes

  • Projet de loi Notre-Dame : un hochet pour la vanité présidentielle | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/france/250519/projet-de-loi-notre-dame-un-hochet-pour-la-vanite-presidentielle?onglet=fu

    ’est un texte qui restera sans doute comme un symbole des pratiques et des priorités de ce quinquennat. Le projet de loi d’urgence sur la restauration de Notre-Dame de Paris, qui sera examiné par le Sénat en début de semaine prochaine, est un blanc-seing de plus donné à l’Élysée. Adopté en première lecture à l’Assemblée nationale, le 10 mai dernier, ce texte court ne contient que neuf articles. Mais cette brièveté n’est que le reflet du pouvoir immense qu’il accorde implicitement au pouvoir exécutif dans ce chantier considérable.

    Le texte établit une « souscription nationale » de façon rétroactive au 16 avril 2019, lendemain de l’incendie de la cathédrale, « placée sous le haute autorité du président de la République ». Cette souscription est confiée à quatre organismes : le Centre des monuments nationaux (CMN), agissant pour l’État, la Fondation de France, la Fondation Notre-Dame et la Fondation du patrimoine. Sa clôture sera décidée par le gouvernement (article 6), tandis que l’article 4 autorise les dons des collectivités locales, ce qui n’était pas prévu jusqu’ici, tandis que l’article 5 élargit la réduction d’impôts pour les entreprises et les particuliers.

    Emmanuel Macron, le soir de l’incendie de Notre-Dame de Paris. © Reuters Emmanuel Macron, le soir de l’incendie de Notre-Dame de Paris. © Reuters

    Les dons en faveur de la restauration de Notre-Dame de Paris effectués entre le 16 avril et le 31 décembre 2019 bénéficieront, jusqu’à concurrence de 1 000 euros, d’une réduction de 75 % contre 66 % actuellement.

    Que faire des surplus ?

    Le vrai problème que pose cette partie du texte est celui de sa destination. Les dons doivent venir assurer la « restauration » et la « conservation » de Notre-Dame de Paris. Or, comme le signale le Conseil d’État dans son avis, « ni le projet de loi, ni l’exposé des motifs ne précise la signification que le gouvernement entend donner à ces deux termes ».

    Autrement dit, on ignore exactement à quoi vont servir les fonds. Ce n’est pas anecdotique car il est possible que la collecte dépasse les besoins. On ne dispose pas actuellement d’une évaluation précise du coût de la restauration. Et pour cause, puisqu’on ignore aussi comment Notre-Dame sera restaurée : à l’identique ou en en « modernisant » certaines parties. Cela fait beaucoup d’incertitudes et, partant, laisse beaucoup de doutes sur la destination des fonds. Car avec désormais près d’un milliard d’euros de promesses de dons et une souscription qui n’est pas close, l’argent risque d’être trop abondant. Le fondateur de la Tribune de l’art, Didier Rykner, souligne que « tous les connaisseurs du dossiers considèrent qu’il y aura plus de fonds que nécessaire pour la restauration ».

    Que faire d’un éventuel « trop-perçu » ? La question est délicate. Et deux hypothèses sont possibles : la première, c’est que l’argent supplémentaire soit utilisé pour l’entretien et le fonctionnement futur de Notre-Dame, et la seconde, c’est qu’il soit affecté à d’autres nécessités de restauration de cathédrales ou de monuments. Didier Rykner estime que l’exécutif pourrait faire le premier choix en se « désengageant pour longtemps de l’entretien de Notre-Dame ».

    Pour lui, ce serait un pas inquiétant : « Avec la TVA récupérée des travaux, les dons des grandes fortunes qui ont renoncé à la défiscalisation et les dons venant de l’étranger, il est possible que l’État ne dépense beaucoup pour Notre-Dame » alors même qu’il est le propriétaire du monument et de 80 % des œuvres d’art (celles acquises avant 1905). Ce serait donc une forme de désengagement de l’État.

    #Notre_Dame #Arnaque #Impôts #Budget

  • ENA : la mission de Frédéric Thiriez sème le doute sur la sincérité du projet présidentiel
    https://www.mediapart.fr/journal/france/240519/ena-la-mission-de-frederic-thiriez-seme-le-doute-sur-la-sincerite-du-proje

    Le travail confié par Emmanuel Macron à Frédéric Thiriez pour étudier les modalités d’une suppression de l’ENA et des grands corps de l’État tourne à la pantalonnade. La lettre de mission adressée par Édouard Philippe à l’avocat n’évoque explicitement… aucun des deux projets.

    #Parti_pris #Oligarchie,_Emmanuel_Macron,_ENA,_Conseil_d’état,_Frédéric_Thiriez,_Inspection_des_finances,_Cour_des_comptes

  • 2019 : l’année où Macron a transformé la France en Etat policier (Lecourrierdesstrateges)
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/16057-2019-l-annee-ou-macron-a-transforme-la-france-en-etat-policier-leco

    C’est exactement la réflexion que je me suis faite hier, et je ne dois pas être le seul....

    Il existe deux façons de créer un Etat policier (non exclusives l’une de l’autre). La première consiste à mener un coup d’Etat brutal et direct, qui permet de confier le pouvoir à la police. La seconde consiste à procéder par petites touches, par flashs successifs, qui diluent la perception qu’on a de la réalité… et qui rend celle-ci plus acceptable. Depuis son arrivée au pouvoir, Emmanuel Macron procède régulièrement de la sorte, en franchissant chaque fois une étape supplémentaire dans l’affaiblissement des libertés publiques face à la répression policière.

    Dans le brouhaha des Gilets Jaunes, et de leurs écarts ou de leurs dérives, des gens de bonne volonté ont pu ne pas voir la réalité du pouvoir politique. Alors (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Le Sénat supprime un article sensible du projet de loi pour Notre-Dame
    https://www.lemonde.fr/culture/article/2019/05/23/le-senat-supprime-un-article-sensible-du-projet-de-loi-pour-notre-dame_54661


    Ouvriers, techniciens, architectes sont à pied d’oeuvre sur le chantier de reconstruction de Notre-Dame de Paris, dévastée par un incendie le 15 avril.
    STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

    L’article 9 devait permettre de déroger aux règles en matière d’urbanisme, d’environnement, de patrimoine, ou de commande publique.

    A l’Assemblée nationale, lors de la présentation du projet de loi pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, voté en première lecture, le feu couvait déjà dans les rangs de l’opposition. Ce dont rêvaient certain(e)s député(e)s, le Sénat l’a fait. « Convaincue qu’autoriser des dérogations aux règles en vigueur pour faciliter la restauration de Notre-Dame est inutile et se révélerait dangereux à la fois pour l’exemplarité de ce chantier et la crédibilité de notre législation, la commission de la culture a supprimé l’article 9 du projet de loi », a expliqué, mercredi 22 mai dans un communiqué, la commission de la culture, de l’éducation et de la communication de la Chambre haute. La suppression de l’article a été votée à l’unanimité moins les voix de la République en marche, le parti présidentiel.

    Le rapporteur du texte au Sénat, Alain Schmitz (Yvelines, LR), qui avait été particulièrement actif lors de l’audition par la commission, le jeudi 16 mai, du ministère de la culture et de la communication, Franck Riester, s’interroge :
    « Comment les autres propriétaires de monuments historiques pourraient-ils encore accepter de se soumettre aux dispositions de nos codes si l’Etat lui-même est autorisé à s’en affranchir pour lancer l’un des chantiers patrimoniaux les plus emblématiques ? Ce serait ouvrir une véritable boîte de Pandore ».

    Que dit l’article 9 du projet de loi ? « Le Gouvernement est autorisé à prendre par ordonnances toutes dispositions (…) de nature à faciliter la réalisation, dans les meilleurs délais et dans des conditions de sécurité satisfaisantes, des travaux de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. » Ces ordonnances « peuvent prévoir des adaptations ou dérogations aux règles en matière d’urbanisme, d’environnement, de construction et de préservation du patrimoine (…), aux règles en matière de commande publique (…) ».

    Le caractère impératif de la procédure est notamment lié à l’injonction du président de la République, Emmanuel Macron, qui, dès le lendemain de l’incendie ayant gravement endommagé Notre-Dame le 15 avril, avait publiquement déclaré « [vouloir] que la reconstruction soit achevée d’ici cinq années. » Une décision hâtive, compte tenu de la méconnaissance, alors, de l’ampleur des dégâts et, donc, de la tâche à accomplir, et de sa durée.

    Tout en souhaitant « ne pas voir le ministère de la culture mis hors-jeu », la commission sénatoriale a rappelé, lors de ses échanges avec Franck Riester, comme l’avaient rappelé précédemment les député(e)s, que certaines dispositions actuelles du code du patrimoine permettent de s’adapter à des situations de nature exceptionnelle. « Face à des besoins en urgence impérieuse, nous n’avons pas le temps de faire des appels d’offres », indique Charlotte Hubert, présidente de la compagnie des architectes en chef des Monuments historiques, présente sur le site de Notre-Dame de Paris.

    Comme la loi l’y autorise, la Direction des affaires culturelles (DRAC) Ile-de-France, par l’intermédiaire de la préfecture, a d’ores et déjà réquisitionné des entreprises possédant les compétences nécessaires. Ce fut ainsi le cas pour les maîtres verriers ou les serruriers chargés de la dépose des vitraux hauts de la nef et du chœur. En pareille circonstance, un économiste, au sein de l’équipe de maîtrise d’œuvre, vérifie les tarifs proposés par les prestataires avant de passer commande. La prestation réalisée est aussitôt réglée.

    Dans ses attendus, la commission de la culture a également jugé nécessaire d’inscrire dans la loi une référence aux engagements de la France vis-à-vis de ses obligations internationales en matière de patrimoine. « L’architecture de la cathédrale a été déterminante pour le classement du bien “Paris, Rives de la Seine” au patrimoine mondial de l’Unesco en 1991, a rappelé sa présidente, Mme Catherine Morin-Desailly (Seine-Maritime, UC). Les travaux de restauration de Notre-Dame devront préserver l’authenticité et l’intégrité du bien si nous ne voulons pas prendre le risque de porter atteinte à la valeur universelle exceptionnelle de celui-ci et de perdre le bénéfice de ce classement (…) ».

    La commission a également souhaité lever l’ambiguïté quant à la nature du dispositif spécifique chargé de gérer et de contrôler l’ensemble du projet de restauration. Si, lors de son audition, Franck Riester a évoqué parmi les pistes celle d’une « maîtrise d’ouvrage gérée directement par l’administration centrale », les sénateurs, « dans un souci d’améliorer l’intelligibilité du projet de loi » souhaitent confier cette responsabilité à un nouvel établissement public dont le fonctionnement serait « encadré strictement » : soit « un établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle du ministère de la culture » dont la maîtrise d’œuvre – ce qui est déjà le cas sur le site de la cathédrale – serait assurée sous l’autorité de l’architecte en chef des Monuments historiques.

    Au plan politique, enfin, la volonté des sénateurs de supprimer l’article 9, risque, selon Alain Schmitz, de rendre « compliqué » un accord en commission mixte paritaire (CMP). En cas de désaccord persistant lors d’un processus législatif, cette dernière réunit sept élus de chacune des deux chambres, plus éventuellement leurs présidents respectifs, qui valideront – ou pas – l’adoption du projet de loi. Le texte du projet de loi, remanié par la commission de la culture, sera examiné en séance publique par le Sénat en première lecture, lundi 27 mai.

    • Le Sénat s’attaque au projet de loi pour la restauration de Notre-Dame
      https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/05/27/le-senat-s-attaque-au-projet-de-loi-pour-la-restauration-de-notre-dame_54679

      Au Sénat, dominé par l’opposition de droite, le texte est critiqué comme « une loi d’exception » rédigée « dans la précipitation ». Le texte a déjà été largement amendé.

      Après l’Assemblée nationale, le Sénat doit examiner en première lecture, lundi 27 mai, le texte encadrant la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, dont charpente et flèche ont été détruites dans un incendie le 15 avril. Emmanuel Macron a assuré vendredi assumer « totalement » un « calendrier serré, volontariste ».
      […]
      Le texte a déjà été largement amendé en commission, mais les derniers propos du président de la République devraient contribuer à alimenter les débats en séance. Les sénateurs ont ainsi supprimé l’article habilitant le gouvernement à déroger si nécessaire, et dans un souci de rapidité, à certaines règles en matière d’urbanisme, protection de l’environnement, commande publique ou préservation du patrimoine.

      La restauration devra être fidèle au « dernier état visuel connu » du monument avant le sinistre, y compris la flèche, ont déjà acté les sénateurs. Un prérequis qui n’exclurait cependant pas l’utilisation de matériaux et techniques différents.

      Ce point risque de relancer dans l’hémicycle la querelle entre anciens et modernes qui a suivi l’annonce d’un concours d’architecture international pour restaurer la flèche. Vendredi, M. Macron a assuré que le chantier « redonnerait une flèche » à la cathédrale.
      Le texte habilite le gouvernement à créer par ordonnance un établissement public chargé de la conduite du chantier. Les sénateurs l’ont placé sous la tutelle du ministère de la culture.

  • Les contours encore flous d’une banque européenne pour le climat
    https://www.mediapart.fr/journal/international/230519/les-contours-encore-flous-d-une-banque-europeenne-pour-le-climat

    Emmanuel Macron en a fait la proposition en mars, son parti l’a reprise dans son programme. De même qu’EELV et le PS. Mais tout reste à faire quant à la création d’une banque européenne pour le climat, à commencer par convaincre les partenaires européens.

    #International #européennes_2019,_BEI,_Climat,_Banque_européenne_d’investissement,_banque_européenne_pour_le_climat

  • Libye: «La guerre civile initiée en avril par Haftar cause déjà des dégâts profonds»
    https://www.mediapart.fr/journal/international/230519/libye-la-guerre-civile-initiee-en-avril-par-haftar-cause-deja-des-degats-p

    Emmanuel Macron a reçu mercredi le maréchal Khalifa Haftar, qui vient de replonger la Libye dans une troisième guerre civile et de torpiller des années d’un processus de paix déjà extrêmement difficile. La France persiste dans l’ambiguïté au nom de la lutte contre le terrorisme et de « la sécurité des Français ». Entretien avec la chercheuse Virginie Collombier.

    #Afrique #Fayez_el-Sarraj,_Khadafi,_Emmanuel_Macron,_Nicolas_Sarkozy,_Khaled_El_Mechri,_Aguila_Salah,_Khalifa_Haftar,_ONU,_libye

  • « La Voix du Nord » et « Le Télégramme » refusent d’obtempérer à la « convocation » de Macron
    https://www.mediapart.fr/journal/france/210519/la-voix-du-nord-et-le-telegramme-refusent-d-obtemperer-la-convocation-de-m

    Pour des raisons déontologiques, les deux journaux régionaux ont refusé de prendre sous la dictée l’entretien qu’Emmanuel Macron a organisé avec l’ensemble de la presse régionale. L’opération de communication ratée de l’Élysée est la dernière illustration en date du mépris que le chef de l’État ne cesse de manifester à l’encontre du droit de savoir des citoyens.

    #Médias #Emmanuel_Macron,_Le_Télégramme,_La_Voix_du_Nord,_Jean-Michel_Baylet

  • Élections européennes - Cette interview que vous ne lirez pas dans nos colonnes

    https://www.lavoixdunord.fr/586132/article/2019-05-21/cette-interview-que-vous-ne-lirez-pas-dans-nos-colonnes

    Trop drôle LaRem et Macron qui mérite vraiment son titre de plus grosse crapule de la République.

    Lecture zen

    Vous ne trouverez ni dans ce journal ni sur notre site l’interview complète qu’Emmanuel Macron donnait ce lundi à la presse quotidienne régionale (PQR) ou, plutôt, à une partie d’entre elle devrait-on écrire. Nous vous devons donc quelques explications. Neuf journalistes de « grands titres » régionaux, dont La Voix du Nord, avaient été conviés à poser leurs questions sur l’Europe au président de la République. Une interview d’une heure trente, encadrée de façon inédite puisque les participants devaient s’engager à coécrire sur place une version unique des réponses présidentielles, puis à la soumettre à la relecture de l’Élysée avant toute publication du texte validé.

  • Opposé à la relecture de son entretien par l’Elysée, un quotidien boycotte une interview de Macron (RT)
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/16045-oppose-a-la-relecture-de-son-entretien-par-l-elysee-un-quotidien-bo

    Bravo aux journalistes de La Voix du Nord, et honte à tout les autres... Du reste, rappelez-vous qu’Emmanuel Macron veut contrôler la presse, et il ne s’en cache même pas... (Informations complémentaires)

    Enseigne du quotidien régional la Voix du Nord (image d’illustration)

    Ce 20 mai, Emmanuel Macron a donné une interview à des quotidiens régionaux pour plaider en faveur de son projet européen. Refusant que les propos du président fassent l’objet d’une relecture avant publication, la Voix du nord a décliné l’invitation.

    Plusieurs journalistes de la presse régionale étaient conviés ce 20 mai au palais de l’Elysée pour réaliser une interview d’Emmanuel Macron dans le cadre des prochaines élections européennes. Selon plusieurs médias conviés, l’Elysée a fait savoir que les propos du (...)

  • L’Élysée s’inquiète d’une ingérence russe lors des élections européennes
    https://www.mediapart.fr/journal/france/200519/l-elysee-s-inquiete-d-une-ingerence-russe-lors-des-elections-europeennes

    Les services de renseignement français surveillent les activités des relais d’influence de Moscou en France, en amont des européennes. Une demande d’Emmanuel Macron, qui craint que le Kremlin ne fausse le scrutin du 26 mai. Cette inquiétude française a trouvé ce week-end une matérialisation en Autriche avec le scandale touchant le vice-chancelier d’extrême droite, dont les liens avec la Russie ont été révélés.

    #Enquête #Kremlin,_élections_européennes,_Russie,_association,_extrême_droite,_services_de_renseignement