person:emmanuelle macron

  • Macron-Trudeau : frères siamois de la francophonie 2.0
    http://www.dedefensa.org/article/macron-trudeau-freres-siamois-de-la-francophonie-20

    Macron-Trudeau : frères siamois de la francophonie 2.0

    La France vient d’être victime d’un véritable coup d’état « soft », dans un contexte où plus de 60 % des électeurs ont rejeté la candidature du Mercure de la Banque. Mis en orbite par des cercles mondialistes, Macron, c’est un peu l’hologramme de Justin Trudeau, une réplication de la nouvelle ingénierie politique au service d’une banque décomplexée, enfin totalitaire.

    Emmanuelle Macron et son frère siamois Justin Trudeau ont été désignés pour agir comme les porte-étendard du système bancaire face à l’émergence d’un nouveau nationalisme décomplexé, ralentissant la marche forcée vers ce nouvel ordre mondial qui nous est imposé depuis la révolution bolchevique d’octobre 1917. Le dernier sommet du G20 nous a permis d’assister à la consolidation de ce binôme qui (...)

  • Twitter, Facebook, YouTube et l’extension du domaine du débat public
    http://theconversation.com/twitter-facebook-youtube-et-lextension-du-domaine-du-debat-public-7

    Bousculant tous les formats de communication politique, confisquant souvent le débat grâce à une parfaite maîtrise des codes numériques, Jean‑Luc Mélenchon se sera en quelque mois imposé comme « le » Youtubeur politique le plus « successfull » de France. Fraternisant avec Squeezie sur Twitter (un des plus gros Youtubers français près de 9 millions d’abonnés et plus de 3 milliards de vues sur ses vidéos), copain du strasbourgeois Ludo, influenceur politique de poids auprès de la génération Y grâce à sa chaîne de décryptage politique « osonscauser ».

    Grâce à une équipe pouvant notamment compter sur 5 000 bénévoles entièrement dédiés à Facebook et 3 000 dévolus à Twitter, l’équipe numérique d’Emmanuelle Macron aura eu pour principal objectif durant cette campagne de déjouer les rumeurs, parer les attaques des hackers comme Fancy Bears, traquer les fake news sur 4chan notamment.

    Également très présent sur tous les médias traditionnels, la problématique d’Emmanuel Macron aura surtout été d’utiliser les réseaux pour structurer sa campagne, recruter des bénévoles, créer de l’engagement autour de son mouvement En Marche !, tout en contrôlant son e-réputation.

    Marine Le Pen, elle aussi très active sur les réseaux sociaux (et seule aux manettes de son compte Twitter), aura pu compter sur l’appui d’une fachosphère très structurée et implantée de longue date sur toutes les plateformes de Twitter à Facebook jusqu’à… jeuxvideo.com (tiens donc…) et son forum 18-25 tristement nommé et parfois tristement célèbre pour ses dérapages, défouloir à haters de toutes sortes.

    Ainsi les réseaux sociaux s’ils sont de formidables outils pour véhiculer des idées et fédérer des communautés montreraient leurs limites dans la vie réelle. C’est ce qu’on appelle notamment « l’effet meeting » : une ardeur en vase clos, à ne pas confondre ou transposer avec ce qui se passe « in IRL » c-à-d. dans la vraie vie. Comme on ne confond pas un fan venu assister à un meeting avec l’électorat qui reste à conquérir pour sortir vainqueur d’une élection.

    #médias_sociaux #élections