person:eric daspet

  • Archiver le web, par Éric Daspet | Carnet de notes
    https://n.survol.fr/n/archiver-le-web

    J’adore le principe de la wayback machine de l’initiative Internet Archive. Ils indexent le web et gardent une archive des versions rencontrées. (...) Et si on réutilisait l’initiative à titre personnel  ? Pouvoir retrouver les contenus déjà visités, même s’ils ont été retirés ou ont été amendés.

    #OpenWayback
    http://netpreserve.org/openwayback

    #pywb
    https://github.com/ikreymer/pywb

    prise en mains de #pywb
    http://literarymachin.es/pywb-wayback-machine

    #archivage_militant via @karlpro

  • Les développeurs sont des créatifs | Carnet de notes
    http://n.survol.fr/n/les-developpeurs-sont-des-creatifs

    À ne pas (faire) oublier : Les développeurs sont des créatifs, pas des ouvriers.

    C’est vrai pour tous, sans exceptions, même pour ceux qu’on fait travailler à la chaîne dans les mauvaises sociétés de service en ingénierie informatique. Même ceux là, s’ils ne sont pas remplaçables par des robots, ce n’est pas en raison de la complexité des choix qu’ils prennent, de la multiplicité des paramètres pris en comptes, mais bien parce qu’ils inventent les solutions.

    Et puis on pourrait aussi payer les devs front autant que les devs back, tiens. :)

    • Et puis on pourrait aussi payer les devs front autant que les devs back

      A mon avis, ça sera le cas très bientôt. La complexité du front dépasse déjà celle du back pour une grosse partie des sites, et la tendance n’est pas prête à s’inverser. Ça va finir par se voir.

    • ça ne me dérange pas, mais j’ai mes raisons, d’être qualifié d’ouvrier intellectuel. Et nombre d’ouvriers sont aussi des créatifs...

      « Créatif » si on veut, mais comme d’habitude dans ce qu’écrit Eric Daspet, ce qui me dérange, c’est cette vision corporatiste qu’il a de son métier : En faire des cas à part, c’est pas du tout ma tasse de thé.

      Enfin, ça :

      C’est l’essentiel du travail du développeur qui est couvert par le droit d’auteur.

      Euh... Sait-il de quoi il parle ou est-ce qu’il ne connait que des indépendants de la communauté du #logiciel_libre ?

    • Allons Stéphane, il y a déjà bien des boîtes où les experts front sont payés plus que les back. Je me demande si ce n’était pas déjà le cas dans mon équipe quand je bossais à Yahoo !

      Pour la moyenne et la masse, ce n’est pas forcément demain la veille, mais c’est aussi qu’il y a tout un pan de développeurs front qui n’ont pas d’expertise très forte (et qui n’en ont pas besoin vis à vis de ce qu’on leur demande)

    • @james : Je sais bien de quoi je parle. Qu’est-ce qui te choque là dedans ?

      (Je suis quand même super frustré de voir tous les commentaires, y compris l’initial de Stéphane, déporté sur une plateforme tierce et centralisée au lieu d’être faits sur le billet d’origine. J’aurai pu les manquer)

    • il y a tout un pan de développeurs front qui n’ont pas d’expertise très forte (et qui n’en ont pas besoin vis à vis de ce qu’on leur demande)

      oh ! Tu veux dire qu’ils n’ont pas besoin d’être « créatifs » ? :p

      Concernant le droit d’auteur, je ne suis pas choqué. C’est juste faux :

      Les éditeurs sont propriétaires du code de leur applis, pas leurs développeurs. De même, dans les SSII, ce sont les clients qui sont propriétaires du code spécifique, pas la SSII, encore moins les salariés de ces SSII. C’est contractuel. J’ai quelques collègues qui ont monté leur propre structure, ou juste chercher à le faire, pour développer des projets personnels et il leur a fallu montrer patte blanche auprès de leur employeur afin qu’ils prouvent qu’il n’y aurait pas d’abus de biens, comme utiliser les moyens de l’entreprise pour développer son projet, ni de problème de concurrence entre l’activité de l’entreprise et l’autre structure (je suis pas juriste pour un sous, alors tu m’excuseras pour la terminologie employée). J’ai pu observer qu’obtenir un accord pour participer à un projet libre est souvent refusé, soit par l’employeur, soit par le client. Et quand c’est accepté, c’est uniquement sous la condition de reverser le code au nom de l’entreprise... Dans tous ces cas, le droit d’auteur des développeurs, c’est une chimère.

      D’autre part, je ne suis pas un partisan enthousiaste de concepts ramenant tout à la propriété ... je préfère, quand c’est possible, participer à une oeuvre collective, pour le bien commun. à ce titre, je crois avoir été un ouvrier plutôt créatif :)

      (J’ai choisi il y a longtemps de ne pas intervenir sur ton blog. Ce serait stérile, on passerait notre temps à ne pas être d’accord, voire à se chamailler, je ne partage pas la plupart de tes opinions, et j’aime pas passer pour le troll de service ;) Par contre, j’ai rien contre une rencontre amicale autour d’une bière un de ces quatre ! :) )

    • > oh ! Tu veux dire qu’ils n’ont pas besoin d’être « créatifs » ? :p

      Non, je veux dire qu’ils n’ont pas besoin d’avoir une expertise très forte. Tiens, c’est même ce que j’ai dit.
      Ta petite nièce de 2 ans est créative sur son dessin sans avoir fait les beaux arts.

      >Concernant le droit d’auteur, je ne suis pas choqué. C’est juste faux :
      > Les éditeurs sont propriétaires du code de leur applis, par leurs développeurs.

      On s’arrête là. Quelqu’un est "propriétaire", il y a droit d’auteur. Le travail est couvert par le droit d’auteur. C’est le travail du développeur. Dit en une fois "le travail du développeur est couvert par le droit d’auteur". Je n’ai pas dit que le travail appartenait au développeur et je maintiens avec force ma formulation et mon affirmation. Tu ne fais que la confirmer. Le reste du paragraphe est totalement hors sujet, c’est toi qui a mal interprété ce que j’ai dit.

      > J’ai choisi il y a longtemps de ne pas intervenir sur ton blog. Ce serait stérile, on passerait notre temps à ne pas être d’accord, voire à se chamailler, je ne partage pas la plupart de tes opinions

      Rahhh ! mais non. C’est justement parce que tu n’as pas mon opinion que ce serait intéressant. C’est au contraire n’avoir que des "oui" qui est totalement stérile pour avancer. C’est justement des gens qui ont une opinion différente que j’attends de lire des choses.

      Surtout qu’au final tu les dis quand même et que moi j’ai envie de les lire.