person:eric feferberg

  • Le Conseil de l’Europe tacle la France et demande la suspension du LBD
    https://www.nouvelobs.com/societe/20190226.OBS0822/le-conseil-de-l-europe-tacle-la-france-et-demande-la-suspension-du-lbd.ht


    Un policier utilisant un lanceur de balles de défense (LBD40), le 19 janvier 2019 à Paris.
    ERIC FEFERBERG/AFP

    L’institution demande à Paris de « mieux respecter les droits de l’homme » dans le cadre du mouvement" des « gilets jaunes ».

    Le Conseil de l’Europe a appelé, mardi 26 février, à « suspendre l’usage du LBD dans le cadre des opérations de maintien de l’ordre » en France afin de « mieux respecter les droits de l’homme », trois mois après le début du mouvement des « gilets jaunes ».

    Dans « l’attente d’(une) révision » de « la doctrine d’emploi des armes de force intermédiaire », les autorités françaises devraient « suspendre l’usage du LBD [lanceurs de balles de défense, NDLR] dans le cadre des opérations de maintien de l’ordre », a déclaré la commissaire aux Droits de l’Homme du Conseil de l’Europe, Dunja Mijatovic.

    Dans un mémorandum publié mardi sur le mouvement des « gilets jaunes », contenant ses observations après une visite à Paris en janvier, Dunja Mijatovic invite « les autorités françaises à mieux respecter les droits de l’homme » dans le cadre du mouvement.

    Si la commissaire « condamne fermement les violences commises à l’encontre des membres des forces de l’ordre » et « déplore le nombre important de blessés dans leurs rangs », elle rappelle également que leur « tâche première [...] consiste à protéger les citoyens et leurs droits de l’homme ». Dunja Mijatovic estime :

    « Le nombre et la gravité des blessures [infligées aux manifestants] mettent en question la compatibilité des méthodes employées dans les opérations de maintien de l’ordre avec le respect de ces droits. »

  • Affaire Kerviel : Tout comprendre au redressement fiscal de 2,2 milliards de la Société Générale
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/14410-affaire-kerviel-tout-comprendre-au-redressement-fiscal-de-2-2-milli

    KERVIEL : .. Vers un redressement fiscal de 2,2 milliards pour SG = si l’Italie sort, les banques françaises vont vite couler

    Contributeur anonyme

    Le siège de la Société générale à La Défense. — ERIC FEFERBERG / AFP

    Pour donner une idée, cela représente plus de cinq fois l’affaire Tapie. Cinquante-cinq fois le salaire annuel de Lionel Messi. Ou encore 122.000 années de Smic. La Société Générale va-t-elle devoir s’acquitter d’un redressement fiscal de 2,2 milliards d’euros, dix ans après l’affaire Kerviel ? C’est ce qu’affirme, ce mercredi matin, Le Canard enchaîné.

    >> Les faits : Un redressement fiscal à 2,2 milliards pour la SG

    Ni la banque ni les services de Bercy n’ont souhaité confirmer cette information qui relève, selon eux, du « secret fiscal ». Mais elle ne serait pas surprenante, (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Une petite phrase de Macron annonce la grande réforme de l’audiovisuel public
    https://www.mediapart.fr/journal/france/061217/une-petite-phrase-de-macron-annonce-la-grande-reforme-de-l-audiovisuel-pub

    L’audiovisuel public, qu’il soit la « honte de la République » ou une « honte pour nos concitoyens », ne satisfait pas le président. Quels qu’en aient été les termes exacts, le discours qu’il a adressé à ses députés lundi soir prépare le terrain d’une large réforme. © Eric Feferberg / Reuters

    #France #audiovisuel #Emmanuel_Macron #France_Télévisions #Radio_France

  • La petite phrase de Macron annonce la grande réforme de l’audiovisuel
    https://www.mediapart.fr/journal/france/061217/la-petite-phrase-de-macron-annonce-la-grande-reforme-de-l-audiovisuel

    L’audiovisuel public, qu’il soit la « honte de la République » ou une « honte pour nos concitoyens », ne satisfait pas le président. Quels qu’en aient été les termes exacts, le discours qu’il a adressé à ses députés lundi soir prépare le terrain d’une large réforme. © Eric Feferberg / Reuters

    #France #audiovisuel #Emmanuel_Macron #France_Télévisions #Radio_France

  • Le gouvernement veut externaliser les contrôles de vitesse
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/13939-le-gouvernement-veut-externaliser-les-controles-de-vitesse

    Après le contrôle des plaques d’immatriculations en temps réel à Paris, le gouvernement continue sur sa lancé, a n’en pas douter bientôt les boites noire dans les véhicules (pour votre sécurité bien sûre...), cela fait des années que l’ont vous met en garde contre la surveillance généralisé (Informations complémentaires), mais puisque vous « n’avez rien à cacher », il n’y as pas de problème n’est ce pas ?

    Gérard Collomb, le ministre de l’Intérieur. - Crédits photo : ERIC FEFERBERG/AFP

    Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a indiqué dans un entretien vouloir confier les contrôles de vitesse des automobilistes à des sociétés extérieures, afin de recentrer les policiers et les gendarmes sur leurs missions de sécurité.

    Gérard Collomb veut confier les contrôles de vitesse des (...)

  • Affaire Kerviel : La Société Générale va-t-elle devoir rembourser 2,197 milliards d’impôts à l’Etat ?
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/12385-affaire-kerviel-la-societe-generale-va-t-elle-devoir-rembourser-2-1

    La cour d’appel de Versailles (Yvelines) a pointé du doigt, ce vendredi, la responsabilité de la banque dans cette affaire…

    Le siège de la Société générale à La Défense. - ERIC FEFERBERG / AFP

    La justice a toujours été une question de balance. Et pour la Société Générale, elle a radicalement changé de sens, ce vendredi, avec l’arrêt rendu par la cour d’appel de Versailles (Yvelines) dans le dossier Kerviel. Alors qu’elle demandait à bénéficier de 4,9 milliards d’euros de dommages et intérêts, la banque va peut-être, à l’inverse, être contrainte de rembourser plus de deux milliards d’euros d’impôts à l’Etat.

    >> Les faits : Jérôme Kerviel jugé « partiellement responsable »

    La cour d’appel de Versailles a, en effet, jugé Jérôme Kerviel « partiellement responsable » de la fraude qui porte son nom depuis 2008. L’autre « (...)

    #En_vedette #Liberté,_Égalité,_Fraternité... #Actualités_France

  • Retraites : 150 personnes recrutées pour accélérer le versement
    http://www.crashdebug.fr/index.php/actualites-france/10844-retraites-150-personnes-recrutees-pour-accelerer-le-versement-en-sa

    Il serait temps, car comme nous l’expliquai Spartou dans la Revue de presse la situation est critique pour certains retraités.

    Marisol Touraine, le 28 octobre. ERIC FEFERBERG / AFP

    Marisol Touraine, la ministre des affaires sociales, a annoncé mercredi 28 octobre le recrutement de cent cinquante personnes pour accélérer le versement des retraites. « Il y a eu des dysfonctionnements dans certaines caisses de retraite. J’ai pris des mesures d’urgence pour que des sommes soient débloquées », a affirmé Mme Touraine sur i-Télé. La ministre a souligné la nécessité du « renforcement des moyens » en raison d’un « pic de départs en retraite annoncés ». Ces cent cinquante recrutements ont pour objectif de « traiter plus vite et mieux les dossiers qui sont en attente et les dossiers qui vont (...)

  • Les quatre semaines où Paris a failli tout perdre, Monde
    http://www.lesechos.fr/journal20141201/lec1_monde/0203976600104-les-quatre-semaines-ou-paris-a-failli-tout-perdre-1069866.php

    Renaud Honoré / Correspondant à Bruxelles | Le 01/12 à 06:00, mis à jour à 11:27

    Le vice-président #Letton chargé de l’euro, Valdis #Dombrovskis et Le président #Commission-européenne, Jean-Claude #Juncker.
    Photo Eric Feferberg/AFP

    Ils pensaient avoir fait le plus dur. Quand fin octobre la Commission européenne finit par donner son feu vert provisoire au budget #2015 hexagonal, l’#Elysée comme #Bercy poussent un soupir de soulagement. Il a certes fallu trouver en catastrophe 3,6 milliards d’euros de nouvelles économies, mais le col a été franchi et l’arrivée paraît proche. Faux espoir. Dans les quatre semaines qui ont suivi, la France a frôlé le précipice , tout proche de devenir le premier membre de la zone euro sanctionné pour ses déficits. « En interne, il y avait plusieurs voix pour réclamer de la fermeté face à Paris », souligne un fonctionnaire européen.

    Début novembre, les choses ne se présentaient pourtant pas trop mal. Jean-Claude Juncker arrive à la tête de la Commission européenne , et il n’a guère envie de commencer son mandat par un conflit ouvert avec Paris. Pierre #Moscovici prend la place du Finlandais Jyrki Katainen – « un type pas commode » aux yeux de Paris –aux Affaires économiques. Et le vice-président en charge de l’euro, le Letton Valdis Dombrovskis, n’est pas forcément l’ayatollah de la rigueur annoncé. « Il n’est pas de mauvaise composition », juge-t-on à Paris. « Certes il a pris des mesures très dures quand il était Premier #ministre de la #Lettonie. Mais il n’aurait pas duré quatre ans à ce poste s’il n’avait pas été capable de compromis », assure son entourage.

    Pourtant, quand il embarque le jeudi 13 novembre avec Jean-Claude Juncker vers l’Australie et le G20 de Brisbane, le Letton a sa tête des mauvais jours. Des chiffres alarmants viennent de remonter des services de la Commission. Et c’est encore la France ! Ce n’est pas tant le budget 2015 qui pose problème que celui de 2014. Dès cette année, le pays est censé avoir pris des « actions suivies d’effets » (« effective actions ») pour réduire le déficit. Mais Bruxelles constate que le compte n’y est pas au vu de l’exécution du budget. Dans l’avion qui l’amène en Australie, Jean-Claude Juncker doit se rendre à l’évidence : il aura du mal à ne pas infliger une amende à la #France si le pays ne fait rien. D’autant que les 3,6 milliards d’économies additionnelles promis pour 2015 ne convainquent que partiellement les experts bruxellois. Arrivé à Brisbane, c’est ce qu’il dit en tête à tête à François #Hollande.

    Le président français tombe des nues. Les services de Bercy n’ont pas du tout identifié un tel écart dans l’exécution du budget 2014. Revenu à Paris, c’est le branle-bas de combat. La France n’a plus que quelques jours pour éviter l’humiliation des sanctions. Entre l’Elysée et le cabinet de Jean-Claude Juncker, les coups de fil se multiplient. Pierre Moscovici se démène lui aussi et organise une réunion à la hâte à Bruxelles entre les experts de la Commission et ceux de Bercy pour comprendre les écarts. Paris plaide sa bonne foi, jure que de meilleurs chiffres vont arriver fin 2014. « Ce problème technique n’aurait pas créé toute cette turbulence si la France n’avait pas suscité tant de méfiance », juge un diplomate européen. Une solution émerge alors : on donnera à la France trois mois de plus pour prouver sa bonne foi. Toujours le souci de Jean-Claude Juncker de s’éviter une crise politique majeure. Mais dans le même temps, Paris va s’engager sur un calendrier de réformes pour en finir avec les faux-fuyants. Le 21 novembre, Manuel #Valls prend alors sa plume pour écrire une lettre de 6 pages où il liste les efforts à venir du gouvernement.

    >> La lettre de Manuel Valls adressée à Bruxelles
    http://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/0203974513597-la-lettre-de-manuel-valls-adressee-a-bruxelles-1069319.php?yJ

    Quiproquo

    Les tensions auraient pu retomber, mais c’était sans compter avec Günther Oettinger. En privé, le commissaire allemand au Numérique ne se gêne pas pour critiquer la France, aussi bien pour l’état des finances publiques que pour la qualité des voitures qui y sont produites. On imagine que la perspective de voir Paris bénéficier d’un nouveau sursis doit le faire bouillir. Alors il décide il y a dix jours de rédiger un article pour la presse européenne, bien qu’il ne soit pas du tout en charge du dossier. « Après tout, ma signature se retrouvera en bas de la décision qui sera prise, en tant que membre de la Commission », fulmine-t-il. Mais l’Allemand s’emmêle les pinceaux. Un quiproquo fait qu’une version non expurgée et non retravaillée de sa tribune – où il fustige le « récidiviste » des déficits qu’est la France – paraît sur le site des « Echos » avec 24 heures d’avance sur ce qu’il avait prévu. Catastrophe ! Les équipes de Günther Oettinger n’ont du coup pas eu le temps de prévenir de leur initiative au sein de la Commission ou à Paris. Quand il apprend la sortie de son collègue, Pierre Moscovici est furieux. « Ça a beaucoup fait jaser dans la maison, c’est clairement une méthode contraire à l’esprit d’équipe », constate un proche d’un commissaire influent.

    L’Allemand a raté son effet. Cinq jours plus tard, devant tous les autres commissaires, Jean-Claude Juncker doit poliment mais fermement le rappeler à l’ordre. Et avalise dans la foulée le nouveau délai accordé à Paris. Ce n’est qu’un répit. Déjà, les équipes de la Commission se préparent à un début d’année 2015 compliqué. Pierre Moscovici a prévenu vendredi pendant la conférence de presse : « Toutes les procédures sont à notre disposition. » Et, bis repetita, Günther Oettinger, même réprimandé, ne peut s’empêcher de renchérir : « Ce n’est que partie remise en ce qui concerne les sanctions » contre la France, déclare-t-il hier au « Spiegel », réclamant une « réforme solide du marché du travail ». Le plus dur est encore devant la France.