person:félix poulat

  • Marche pour Gaza
    https://grenoble.indymedia.org/2018-05-17-Marche-pour-Gaza

    Vendredi 18 mai à 18h place Félix Poulat, une Marche s’organise pour dénoncer les massacres à Gaza, commémorer les 70 ans de la Nakba et exiger le droit au retour de tous les réfugiés palestiniens. Voici le texte d’appel à mobilisation : "Le 15 mai marquera en Palestine la commémoration des 70 ans de la Nakba. La Nakba, qui signifie catastrophe en arabe, renvoie à la période de fin 1947 à 1949 qui a vu l’expulsion de 750 000 Palestiniens du territoire qui deviendra l’État d’Israël. Soixante dix ans (...)

    #Agenda

  • Manifestation de solidarité avec les kurdes d’Efrin
    https://grenoble.indymedia.org/2018-02-27-Manifestation-de-solidarite-avec

    Après Kobane, Efrin vaincra ! Manifestation de solidarité avec les kurdes d’Efrin Samedi 3 février à 10 h 30 place Félix Poulat à Grenoble Samedi 27 janvier 2018 dans plusieurs villes de France, dont Grenoble, des dizaines de milliers de personnes ont manifesté, aux cotés de membres de la communauté Kurde de France, pour protester contre l’intervention militaire de la Turquie dans la région d’Efrin en Syrie. Le président Erdogan a lancé son armée contre les kurdes qui au seing de la coalition (...)

    #Agenda

  • Prison : des téléphones fixes vont être installés dans chaque cellule - Libération
    http://www.liberation.fr/france/2018/01/02/prison-des-telephones-fixes-vont-etre-installes-dans-chaque-cellule_16199

    Pour endiguer le trafic de #portables et favoriser le maintien des liens familiaux, le ministère de la Justice a lancé un appel d’offres pour équiper progressivement les cellules. Les détenus pourront ainsi appeler quatre numéros autorisés par un juge ou l’administration.

    En août, peu de temps après sa nomination, la ministre de la Justice Nicole Belloubet s’était illustrée par une déclaration plutôt audacieuse. Tranchant avec le discours de ses prédécesseurs, elle avait estimé, au sujet des téléphones en prison, que l’idée n’avait « rien d’absurde. […] Il faut donner aux détenus des moyens de communication. Par des portables contrôlés ou des lignes fixes ». Un flot de fantasmes carcéraux et réactions politiques hostiles n’avaient pas tardé, dont celle de Georges Fenech, ancien député et secrétaire national du parti Les Républicains, s’enflammant sur Twitter : « Stupéfaction ! La ministre de la Justice favorable au portable en prison ! La garantie du lien avec Daech. »

    Cinq mois plus tard, la ministre confirme son intention et tranche : ce ne seront pas des portables bridés mais des lignes fixes qui feront leur apparition dans les cellules. Contactée par Libération, la chancellerie résume : « L’idée est de maintenir le lien avec la famille et d’apaiser les tensions en détention. » Chaque détenu pourra appeler des correspondants parmi une liste de quatre numéros préalablement validés par les magistrats ou l’administration pénitentiaire. Selon les révélations du Monde, ce mardi, le ministère a lancé un appel d’offres en novembre – qui s’inscrit dans le cadre d’un renouvellement de concession du marché des « point-phones » – afin d’équiper les 45 000 cellules (en dehors des quartiers disciplinaires). Le contrat devrait être signé au printemps.

    « Point-phones » ou portables clandestins

    C’est une petite révolution dans le monde carcéral. « Nous saluons cette initiative qui va renforcer les liens et les possibilités de communication vers l’extérieur », déclare François Bès, coordinateur du pôle enquête à l’Observatoire international des prisons (OIP). Le sujet est en effet sensible, comme tous ceux qui ont trait à la délicate articulation entre libertés fondamentales et exigences de sécurité. Pour preuve, le téléphone a fait une entrée tardive entre les murs. Il a fallu attendre la loi pénitentiaire de 2009 pour que les condamnés, mais aussi les prévenus, puissent y avoir accès. « Les personnes détenues ont le droit de téléphoner aux membres de leur famille. Elles peuvent être autorisées à téléphoner à d’autres personnes pour préparer leur réinsertion. Dans tous les cas, les prévenus doivent obtenir l’autorisation de l’autorité judiciaire », précise l’article 39. Aujourd’hui, les détenus disposent non pas de cabines mais de « point-phones », répartis dans les coursives et les promenades et dont l’utilisation est strictement contrôlée. Chacun doit respecter une liste de contacts autorisés et des créneaux définis (généralement de 9 à 11 heures, puis de 14 à 16 heures). Cet encadrement génère plusieurs difficultés : le manque de confidentialité des échanges, le coût élevé de communication, la difficulté à joindre un conjoint qui travaille ou des enfants à l’école.

    Par conséquent, les « point-phones » sont volontiers délaissés au profit des portables clandestins qui fourmillent en détention : on estime que chaque détenu en possède un. Selon l’administration pénitentiaire, au premier semestre 2017, 19 339 téléphones et accessoires (puces, chargeurs, etc.) ont été découverts. Ils franchissent souvent les murailles par la voie des airs ou se faufilent discrètement via les parloirs. Certains surveillants ont également été épinglés pour corruption. C’est donc non seulement pour favoriser le maintien des liens familiaux, essentiels pour la réinsertion des détenus, mais aussi pour lutter contre ces trafics que la chancellerie a opté pour l’installation de postes fixes. A l’origine du projet, il y a une expérimentation, depuis 2016, dans les 290 cellules de la prison de Montmédy (Meuse). Si l’on ne peut pas parler d’éradication des portables, les effets sont tout de même encourageants : les saisies ont baissé de 30% sur le premier trimestre 2017. « Ça ne règle pas le problème des trafics mais ça les apaise », explique-t-on en interne.

    « Des factures de 150 à 200 euros par mois »

    Reste à savoir quels seront les tarifs en vigueur concernant les nouvelles installations. « L’appel d’offres parle de facturation à la minute, remarque François Bès. Or aujourd’hui, on est autour de 70 centimes dans la plupart des établissements. Certains détenus, à Réau en Seine-et-Marne, nous ont raconté qu’ils avaient des factures de 150 à 200 euros par mois ! Certes, à Montmédy, les tarifs ont été négociés à 20% à la baisse mais ça reste cher ». D’après la chancellerie, la société choisie prendra financièrement en charge l’ensemble de l’opération et sera rémunérée par le prix des communications payées par les détenus. « La concession sur dix ans devrait leur permettre d’avoir des tarifs plus abordables qu’à Montmédy », explique-t-on. Pour autant, cela ne marque pas la fin de la chasse aux portables illégaux. En parallèle, des brouilleurs « rebootés en permanence pour s’adapter aux nouvelles technologies » seront installés dans tous les établissements pénitentiaires.
    Julie Brafman

    Je les trouve totalement à côté de la plaque ! Pourquoi passer par un tel système avec des appels aussi chers et qui plus est placés sur écoute alors qu’on peut avoir un portable clandestin qui sera beaucoup plus pratique et moins cher ? Sûrement parce que ça nécessite encore une fois de passer par une entreprise privée qui va pouvoir s’en mettre plein les poches !
    #prison #administration_pénitentiaire #téléphone

  • Deux samedis d’action contre Linky dans toute la France
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=869

    Les samedis 1er et 8 octobre 2016, des collectifs anti-Linky de toute la France organisent deux journées d’action locales : manifestations, réunions publiques, distribution de tracts, ateliers, etc. Il s’agit de rendre visible une contestation éparse sur tout le territoire, qui s’enracine depuis des mois, et d’interpeller le ministère de l’Environnement et de l’énergie (Ségolène Royal), responsable du déploiement des compteurs communicants en France. A Grenoble, le collectif anti-Linky (http://grenoble-anti-linky.eklablog.com) organise un meeting en plein air samedi 1er octobre à 14h, place Félix Poulat, avec : distribution d’information et présentation de l’action en justice prévue par l’Association de défense contre les compteurs communicants (ADCC), interventions d’opposants et témoignages, (...)

    #Nécrotechnologies
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/grenoble_anti-linky_1-10-16-2.pdf

  • 23 juin à Grenoble Round 2 : la manif Toujours déter’ !

    Le gouvernement doit désespérer : normalement, les mouvements sociaux faiblissent à l’approche de l’été, pour mourir mollement dans la torpeur aoûtienne. Au parti socialiste, ils étaient nombreux à vouloir croire que la manif géante du 14 juin serait un baroud d’honneur, une ultime tentative désespérée des syndicats et de la rue pour se faire entendre. Raté ! La journée du 23 juin a montré qu’à Grenoble comme ailleurs, la détermination reste intacte. 2000 personnes environ se sont retrouvées l’après-midi rue Félix Poulat pour une longue traversée de la ville. Parcours inédit et manifestation animée, qui contrastait avec celle du 14 juin ; slogans criés et repris en cœur, y compris par la tête du cortège CGT.

    https://haro-grenoble.info/spip.php?article81

  • Linky ou l’arnaque
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=829

    D’abord, rendez-vous aux habitants de toute la cuvette, le samedi 30 avril, à 14 h, place Félix Poulat, à Grenoble, pour un rassemblement d’information et de refus du compteur Linky (voir l’invitation ci-dessous). Ce rassemblement est organisé par Grenoble anti-Linky, qui réunit pour la circonstance des opposants de toute la métropole grenobloise, afin de dénoncer le soutien des élus aux coups de force et mensonges d’ERDF. Il se passe dans toutes les communes de l’agglo ce qui se passe dans toutes les villes du pays. Un mouvement étonnamment vif et multiple de groupes et d’individus qui cherchent, s’informent, échangent, et refusent de s’en laisser conter face à la morgue des technocrates, élus et experts. Certains maires et conseillers municipaux partagent le refus des réfractaires. Devant cette (...)

    #Nécrotechnologies
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/linky_finale_-_copie2.pdf