person:fadila

  • Dans la série brimades « Parce que c’est çà la vie Auchan chez les mulliez »
    Auchan City continue de faire payer sa "faute" à Rachida...

    Malgré les belles paroles de Auchan France, à ce jour, Fadila ne perçoit AUCUN REVENU.

    En effet, la CPAM apprend à notre adhérente que son employeur n’a pas fait le nécessaire pour que celle-ci puisse percevoir ses indemnités liées aux suites de son accident du travail (non reconnu...)

    Il s’agit juste de remplir un formulaire et de le faire parvenir à la CPAM...

    Très fréquemment nous défendons des salariés dans la même situation, et nous avons bien compris qu’il s’agit de « faire payer » à ces salariés leur vélléités de résistance.

    Auchan en serait donc là...

    Nous vous remercions de l’intérêt que vous portez à cette situation.

    UNION LOCALE CGT DE TOURCOING ET ENVIRONS
    43 rue de Lille 59200 TOURCOING

    Source : http://ulcgt-tourcoing.fr/2017/02/02/dans-la-serie-brimades-parce-que-cest-ca-la-vie-auchan

    NDR  : Avant de faire vos courses à auchan, n’oubliez pas ! La caissière, ça pourrait être Fadila, votre fille, votre épouse, votre soeur. . . . . .

    #auchan #auchan_city #mulliez #grande_distribution #Tourcoing #caissière #Fadila #harcèlement #culture_de_la_violence #travail #France #domination #CPAM

  • Un inconnu agresse Mathieu Vervoort (PS), fils du ministre-président bruxellois, Publifin et ses dérives RTBF - Karim Fadoul - 21 Janvier 2017
    un coup au visage ainsi qu’un coup de pied au thorax

    Mathieu Vervoort, fils du ministre-président bruxellois Rudi Vervoort (PS), raconte sur les réseaux sociaux avoir été agressé vendredi soir à Bruxelles. Motif de l’agression : son appartenance au Parti socialiste et le climat lié au scandale Publifin. Mathieu Vervoort, 29 ans, est président des Jeunes socialistes d’Evere et conseiller Culture au cabinet de la ministre bruxelloise Fadila Laanan (PS). Mathieu Vervoort, il faut le préciser, n’est lié en rien au scandale liégeois.

    "Ce vendredi, j’ai retrouvé des amis pour boire un verre. La soirée se déroule extrêmement bien jusqu’au moment où quelqu’un m’accoste et me demande : « Si je dors bien, si ce n’est pas trop dur la vie, si je n’ai pas honte de travailler pour le PS et pour ce qu’il représente »." Mathieu Vervoort poursuit : « Je lui réponds que non que chaque jour, je travaille pour l’ensemble de la population bruxelloise que je me bats pour défendre les valeurs de solidarité, d’égalité, et de justice sociale. Je sens bien que mes réponses ne suffisent pas, mais je n’imaginais pas à cet instant prendre un coup au visage ainsi qu’un coup de pied au thorax. »

    . . . . . . . La suite
    http://www.rtbf.be/info/regions/detail_publifin-et-ses-derives-un-inconnu-agresse-mathieu-vervoort-ps-fils-du-m
    https://www.youtube.com/watch?v=E776XisGHlk


    Louis Massis - 1959
    ( #Vian / #Salvador)

    #Claque #PS #Belgique effet de la #corruption #Démocratie_confisquée

  • Passer à la caisse Radio Campus Lille - C’est l’heure de l’mettre
    http://www.campuslille.com/index.php/entry/passer-a-la-caisse

    Faut passer à la caisse ! C’est le programme. 2017. Leurs meilleurs vœux c’est qu’on raque ! Et on est là dans la queue à lorgner la file d’à côté... Des fois qu’on se ferait gruger par le sort... ça va toujours plus vite chez le voisin...

    Enfin ton tour ! T’y croyais plus, mais si... Toi aussi tu vas morfler. La loi est passée. Celle du marché. C’est fini le petit confort à deux balles. Bienvenue dans la compétitivité !

    Et tu passes à la caisse. Là, ça va pas assez vite. Qu’est-ce qu’elle fout la caissière ? Putain, l’ennemi est partout. Chaque travailleur est l’ennemi du consommateur. La méfiance règne.

    C’est elle, cette méfiance envers ton alter ego, qui explique ta dégringolade. Tu te croyais client. Les rayons étaient remplis de petits rois montés sur roulettes. Et te voilà producteur. Te voilà « coût du travail », « déficit », « variable d’ajustement », rien qu’un employé du cash. Rien quoi...

    Seul. Avec et contre tous les autres. Tous concurrents. Et tu pestes. Tu rouspètes. Contre eux. Passée la caisse, te voilà à poil, à te ruminer toi-même. Tu rêves de fonctionnaires défonctionnarisés, d’étrangers pourchassés, de chômeurs au travail forcé, d’autruis matraqués, histoire de donner du cachet à ta défaite.

    Pendant ce temps-là, tes maîtres raflent la mise. Et te plongent le nez plus profond dans ta merde. Chacun ayant la sienne, la liberté individuelle est sauve. Sur son petit tapis roulant.


    (Le 22 décembre dernier Radio Campus dévoilait une information depuis reprise par toute la presse ; un mois auparavant, Fadila, jeune femme de 23 ans, ayant signé un contrat de professionnalisation avec Mulliez, Auchan City Tourcoing, pour 900 balles par mois – avec ton pognon, faisait une fausse couche en caisse. Nous entendrons son témoignage à notre micro, et, dans les studios, nous aurons un grand nombre d’invités...)

    L’heure de l’mettre

    Le fil de l’émission
    – 3mn06 L’Ephéméride : Sainte Nécrologie

    – 14mn Le témoignage de Fadila
    
- 31mn Habib et Cedric, d’Auchan City Tourcoing. Qu’est ce qui s’y passe ?

    – 47mn30 La Voix du Nord une journaliste, bizarre , vous avez dit bizarre ?
    
- 55mn Gilles Balbastre analyse du traitement médiatique de cette affaire.

    – 69mn Zora, autre salariée d’Auchan City Tourcoing travailler à auchan. Son témoignage au Bondy Blog

    http://www.bondyblog.fr/201612300800/a-tourcoing-humiliations-racisme-et-harcelement-la-vie-la-vraie-demployes-
    – 82mn Les plaintes déposées

    – 89mn Auchan City Tourcoing : Laboratoire asocial ?

    #travail #France #mépris #bébé #enceinte #avortement #fausse_couche #formation #violence #social #femmes #violence #Tourcoing #auchan #auchan_city #mulliez #harcèlement #discriminations #caisse #caissiére #patronat_catholique #doctrine_sociale_de_l_Église #Gérard_Darmanin #audio #radio #radios_libres #inhumanité #La_Voix_du_Nord #CGT

  • Christine, une épine dans le pied de la matonnerie d’Epinal - L’envolée
    http://lenvolee.net/christine-une-epine-dans-le-pied-de-la-matonnerie-depinal

    Il ne nous a pas étonné, il ne nous a pas réjouit, cet article paru dans le quotidien Vosges matin le 09 juin dernier. C’est une attaque de plus contre Christine Ribailly et contre les prisonniers et prisonnières qui contestent. Il s’agit d’une tribune sur la situation de Christine Ribailly (à l’époque incarcérée à la maison d’arrêt d’Épinal) donnant la parole à Mme Fadila Doukhi, déléguée syndicale de la section FO pénitentiaire des Vosges. Comme souvent la PQR, pour remplir ses insipides colonnes, se fait le relais tout à fait partial de la communication des syndicats de matons ; ils cherchent ainsi à faire pression sur leur direction, sur la direction interrégionale ou sur la direction centrale de l’AP. Les matons-travailleurs entendent ainsi « gagner des droits », « améliorer leurs conditions de travail » sur le dos des prisonniers. En l’occurrence Christine, prisonnière non soumise.

    Incarcérée depuis plus de deux ans et demi, Christine se trouve dans un rapport de force quotidien avec l’administration pénitentiaire pour se faire respecter face à des conditions de détention toujours plus difficiles pour l’ensemble de la population carcérale. La corporation de matons d’Épinal, comme bien d’autres, n’aime pas les récalcitrants et cette fois-ci a voulu faire connaître ses élucubrations sur la manière dont elle voudrait voir gérer l’incarcération de Christine par l’administration pénitentiaire. Après avoir, une énième fois, pleurniché sur ses conditions de travail, cette corporation ose ici demander à ce que les protestations de Christine soient considérées comme manifestations de folie afin de la faire interner et ne plus l’avoir dans les pattes. La révolte, une maladie ? Non, une épine dans le pied de la matonnerie…

    L’article de Vosges Matin est un poème.
    http://www.vosgesmatin.fr/edition-d-epinal/2015/06/09/une-detenue-qui-pousse-a-bout-le-personnel

    Et quand tu lis la fin, tu hallucines :

    Vu les griefs à l’encontre de cette détenue, on peut se poser deux questions toutes simples : qui est-elle et qu’a-t-elle pu bien faire pour se retrouver en prison ? A priori, cette femme n’est pas une grande délinquante. A la base, c’est une bergère qui, en novembre 2012, s’est révoltée contre une fouille alors qu’elle rendait visite à son compagnon, incarcéré pour une longue peine. Elle est alors condamnée à deux mois de prison. Mais ensuite, la quadragénaire va accumuler plus de 80 procédures disciplinaires. Ce qui va prolonger à chaque fois sa détention. Résultat : alors qu’elle ne devait effectuer que deux mois de prison, elle cumule déjà plus de deux ans et demi derrière les barreaux de 13 établissements pénitentiaires. Pourquoi a-t-elle ce comportement qui ne fait qu’aggraver son cas ? Ses plus proches soutiens affirment qu’elle est une femme révoltée contre l’administration pénitentiaire, prête à beaucoup de choses pour dénoncer certaines conditions de détention. En tout cas, une chose est sûre : cette détenue possède une personnalité bien singulière…

    #prison