person:frédéric jiguet

  • Sauver les oiseaux devant son ordinateur - Reporterre
    http://www.reporterre.net/Sauver-les-oiseaux-devant-son
    Non mais quel titre !

    Deux fois par an, un comptage des oiseaux « ordinaires » est organisé. Tout le monde peut y participer. Un moyen très utile pour connaître l’état de la biodiversité du pays.

    Oiseaux des jardins
    http://www.oiseauxdesjardins.fr

    La LPO et le Muséum national d’Histoire naturelle sont heureux de vous accueillir sur le site de l’observatoire participatif « Oiseaux des Jardins ». Apprenez à reconnaître les oiseaux et comptez-les régulièrement dans votre jardin, dans un parc public ou même sur votre balcon ! En espérant vous compter parmi ses fidèles contributeurs, l’équipe d’Oiseaux des jardins vous souhaite une belle visite.

    Depuis que mon chat est passé de vie à trépas (booooouuuuuhhhhhoouuuuuusnif) je donne à manger aux oiseaux sur le bord de la terrasse c^oté jardin et un peu après. Le muret est devenu une sorte de cantine à volatiles. Il y a une volée de moineaux, un couple de tourterelles, un couple de merles (la merlette a un superbe jabot roux foncé), rouge gorge encore un peu farouche. Les mésanges bleues ont disparue depuis qu’il fait froid. J’ai vu au loin un piaf que je n’arrivais pas bien à distinguer. Mon cadeau d’anniversaire sera une paire de jumelles.
    #oiseaux

    • Comment je n’ai pas vu le roitelet huppé au parc Montsouris
      http://www.terraeco.net/Avez-vous-vu-les-chardonnerets,58309.html

      Le week-end de comptage hivernal 2014 a ainsi fait apparaître une diminution du nombre d’oiseaux. Il en manquait dix-neuf en moyenne par jardin, soit plus d’un tiers de moins par rapport à l’année précédente. Pour expliquer cette hécatombe, deux hypothèses sont en lice. Un printemps 2013 très pluvieux, qui aurait empêché les parents de certaines espèces – rouges-gorges et mésanges charbonnières, en particulier – de trouver la nourriture pour leurs poussins, morts de faim et donc absents l’hiver suivant. Mais aussi un hiver 2014 doux qui aurait permis aux oiseaux migrateurs du nord de l’Europe de rester chez eux sans se geler, au lieu de descendre sous nos latitudes.

      Le Muséum a ainsi pu montrer que plus des trois quarts des mésanges bleues et charbonnières n’ont ainsi pas migré à l’automne 2013, ni près des deux tiers des verdiers d’Europe, ainsi qu’une plus modeste proportion de pinsons des arbres. Est-ce grave, docteur ? Difficile à dire. L’observatoire est jeune et promet d’aider à répondre à ces questions, déjà soulevées par d’autres études, dans les années à venir. Mais il montre d’ores et déjà que les espèces que l’on croyait si communes, celles de nos jardins, ne le sont plus forcément. « On a l’impression qu’elles sont toujours abondantes et pourtant, certaines d’entre elles, même s’il reste des milliers de couples, sont en déclin, précise Frédéric Jiguet. Le changement climatique, l’intensification agricole et l’urbanisation sont mis en cause. »

      Echec sur le roitelet huppé

      Alors que le chardonneret élégant a perdu 44% de ses effectifs en dix ans et la linotte mélodieuse 32%, au parc Montsouris, ce samedi, on a bien cherché le moineau friquet, sans en trouver un seul. Et pour cause, ses effectifs à lui ont chuté de moitié en vingt ans. « C’est vrai que c’est l’une des espèces qui nous a mis la puce à l’oreille, se rappelle Mélissa, l’animatrice de la LPO. Et c’est à ça que servent aussi ces comptages : à sensibiliser les gens à ce qu’il advient de certaines espèces et de la nature autour d’eux. »

      Pendant qu’elle explique à une dame en béret vert que les oiseaux sont comme les enfants – il vaut mieux éviter de leur donner du sucre, même s’ils en réclament ! –, nous nous mettons en quête d’un grimpereau des jardins. Son délicat plumage se confond parfaitement avec l’écorce de l’érable sur lequel il sautille. Je n’ai finalement jamais trouvé aux jumelles le roitelet huppé et le pic épeichette sur lesquels tout le groupe s’extasiait quelques secondes avant le gong de fin. Mais j’espère qu’ils seront là l’année prochaine.

    • Pareil, ma minette n’avait pas le droit de ramener ses proies à la maison : mulots, oiseaux, lézards. C’était une vraie chasseuse et elle bouffait tout. J’ai été très très fâché le jour où elle a chopé un rouge-gorge, j’étais très triste et très colère. Je lui ai retiré et je l’ai enterré. C’est la raison pour laquelle je crois que je ne reprendrai pas de chat. Ici à la belle saison, c’est sur les jeunes merles qu’il faut veiller, j’en ai sauvé plus d’un des griffes de matous (tout le monde a des chats dans le quartier).

    • Je nourris les oiseaux malgré la présence d’un chat. Je mets les graines en hauteur sur une fenêtre placée dans le mur d’une ancienne grange. Auprès de cette fenêtre, sont placés quelques arbustes (dont un cotoneaster qui produit des baies rouges orangées et dont certains oiseaux comme les merles raffolent). Ces arbustes permettent aux oiseaux d’échapper à la voracité de notre chat qui doit se contenter de souris et de mulots. Toutes sortes d’oiseaux s’y côtoient : moineaux, mésanges bleues et mésanges charbonnières, rouges-gorges, pinsons ... J’ai même identifié un oiseau très discret qui se contente de picorer au sol. C’est l’accenteur mouchet. Heureusement pour lui, en hiver, notre chat est noctambule ; le jour, il préfère le canapé.

      http://www.oiseau-libre.net/Oiseaux/Especes/Accenteur-mouchet.html