Un biopic matérialiste | Frédéric Monferrand
►http://blog.mondediplo.net/2017-09-26-Un-biopic-materialiste
Un biopic matérialiste | Frédéric Monferrand
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« Le jeune Karl Marx », un biopic matérialiste, par Frédéric Monferrand (Les blogs du Diplo, 26 septembre 2017)
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Après Patrice Lumumba et James Baldwin, Raoul Peck met sa caméra au service d’une autre grande figure de l’histoire des luttes d’émancipation : #Karl_Marx, dont il retrace le parcours de Cologne à Bruxelles en passant par Paris, Londres et Manchester entre 1843 et 1847. C’est donc sur les années de formation de l’auteur du « Capital » que se concentre le réalisateur haïtien. Un choix qui témoigne non seulement de la volonté de rendre à la pensée de Marx la vivacité de la jeunesse, mais aussi du poids que l’histoire du XXe siècle continue de faire peser sur cette pensée.
▻http://zinc.mondediplo.net/messages/85597 via Le Monde diplomatique
Le capital et son monde : contribution à une lecture ontologique du Capital
▻http://revueperiode.net/le-capital-et-son-monde
L’interprétation du Capital a provoqué d’intenses débats, au sein desquels on peut distinguer une approche substantialiste, qui appréhende le #capitalisme comme une entité close sur elle-même et une approche relationnelle, qui l’envisage comme un ensemble de structures délimitant a priori l’espace des possibles. Face à ces deux perspectives, Frédéric Monferrand développe ici une approche processuelle, dans le cadre de laquelle le capitalisme apparaît comme une totalité engagé dans un processus permanent de mutation. À partir des concepts de fétichisme et de subsomption ainsi que de l’apport de la géographie marxiste, il développe une conception multilinéaire des trajectoires de l’accumulation capitaliste, qui va de pair avec une conception différenciée des espaces d’accumulation. Il en résulte que c’est (...)
Le capital et son monde : contribution à une lecture ontologique du « Capital »
▻http://revueperiode.net/4494-2
L’interprétation du Capital a provoqué d’intenses débats, au sein desquels on peut distinguer une approche substantialiste, qui appréhende le #capitalisme comme une entité close sur elle-même et une approche relationnelle, qui l’envisage comme un ensemble de structures délimitant a priori l’espace des possibles. Face à ces deux perspectives, Frédéric Monferrand développe ici une approche processuelle, dans le cadre de laquelle le capitalisme apparaît comme une totalité engagé dans un processus permanent de mutation. À partir des concepts de fétichisme et de subsomption ainsi que de l’apport de la géographie marxiste, il développe une conception multilinéaire des trajectoires de l’accumulation capitaliste, qui va de pair avec une conception différenciée des espaces d’accumulation. Il en résulte que c’est (...)
Réification et antagonisme. L’opéraïsme, la #Théorie_Critique et les apories du « marxisme autonome »
▻http://revueperiode.net/reification-et-antagonisme-loperaisme-la-theorie-critique-et-les-apori
L’opéraïsme et la Théorie critique francfortoise ne représentent pas seulement deux des tentatives les plus stimulantes de relance du projet marxien de « critique de l’économie politique » dans les années 1960, ils constituent également les deux sources d’inspiration principales du « marxisme autonome ». Pourtant, les divergences comme les points de rencontre de ces deux traditions sont rarement étudiés pour eux-mêmes. Pour Vincent Chanson et Frédéric Monferrand, c’est du point de vue d’une théorie du capitalisme qu’une telle étude peut être menée. De Panzieri à Adorno et de Pollock à Tronti se dessine en effet un même diagnostic sur le devenir-totalitaire du capital. Mais la question de savoir quelles pratiques opposer à ce processus dessine quant à elle une alternative au sein de cette constellation : là où (...)
Un marxisme de la libération
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Marxisme et liberté de Raya Dunayevskaya représente l’une des grandes tentatives accomplies dans la seconde moitié du XX° siècle pour maintenir ouvert l’horizon de l’émancipation contre la sclérose stalinienne du mouvement ouvrier international. Dans cette préface rédigée à l’occasion de la réédition de l’ouvrage aux éditions Syllepse, Frédéric Monferrand revient sur le diagnostic historique ainsi que sur l’interprétation d’ensemble de l’œuvre de Marx proposés par Dunayevskaya. De la théorie du « capitalisme d’État » à la « philosophie de la libération » se dessine une exigence de « révolution en permanence » des mouvements sociaux, qui, à l’heure où la « convergence des luttes » est plus souvent souhaitée que réellement théorisée et réalisée, mérite sans doute d’être (...)
Qui veut la peau de Georg Lukács ? | Thibault Henneton & Frédéric Monferrand
▻http://blog.mondediplo.net/2016-11-01-Qui-veut-la-peau-de-Georg-Lukacs
ft. @prac_6
Certains morts n’ont pas bonne presse dans la #Hongrie du Fidesz, comme en témoigne le sort réservé aux Archives Lukács à Budapest. Philosophe marxiste, parfois législateur, le penseur de la #réification — ce mouvement qui transforme l’action humaine en « chose » quantifiable et monnayable —, mérite pourtant d’autres attentions.