« Boulots de merde ! Du cireur au trader » un livre de Julien Brygo et Olivier Cyran
►https://lundi.am/Boulots-de-merde-Du-cireur-au-trader
Interview
« Boulots de merde ! Du cireur au trader » un livre de Julien Brygo et Olivier Cyran
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Interview
On avait trouvé stimulante cette réhabilitation du critère de l’utilité sociale, mais sa focalisation sur le sommet de la pyramide salariale nous posait problème, raison pour laquelle nous avons claqué notre enveloppe de frais de reportage pour aller rencontrer Graeber à Londres. Les réponses qu’il a apportées à nos questions n’ont pas franchement levé nos doutes, comme on l’explique dans l’introduction de notre bouquin. Ce qui nous a le plus scié, c’est l’explication qu’il nous a fournie sur sa méthodologie : pas d’enquête de terrain, pas de chiffres, pas de sources, seulement une compilation de données récupérées sur des blogs d’avocats d’affaires… Du coup, on a changé notre fusil d’épaule et laissé derrière nous les affres existentielles des cols blancs cholestérolés, choqués de découvrir que leur dévouement à l’économie capitaliste n’était pas aussi sexy que prévu. C’est un sujet qu’on laisse volontiers aux journalistes des grands médias, qui se sont tous pris de passion pour les thèses de Graeber, en raison peut-être de leur proximité sociale avec les cadres d’entreprise. En revanche, la souffrance ordinaire endurée par la majorité de la population active, dans les boîtes de sous-traitance comme dans les anciens fleurons du service public, dans les bureaux de poste comme dans les restaurants en passant par les guichets de Pôle emploi, cette souffrance-là n’intéresse pas grand monde. Ce désintérêt résulte en grande partie de la propagande quotidienne pour la « valeur travail » et le « plein emploi », du matraquage verbal et administratif infligé aux chômeurs soupçonnés de fraude et de désertion. Pour beaucoup de journalistes, il faut bien qu’il y en ait qui fassent le « sale boulot » de leur nettoyer leurs burlingues au petit matin. On a voulu remettre à leur place ces réalités sociales : 80 % du livre est consacré aux trimardeurs du bas, 20 % aux cols blancs. Loin de nous l’intention de minimiser le cafard des bureaucrates de l’économie capitaliste, mais on a choisi de ne pas oublier les conditions de travail autrement plus rudes de ceux que ces mêmes cols blancs réduisent à l’état de larbins.
Lm : Vers la fin du livre, vous interrogez des acteurs de la finance à qui vous essayez indirectement de faire admettre que leur boulot est « de merde ». Sauf qu’ils n’en démordent pas, non seulement ils trouvent leur activité particulièrement honorable mais ils expriment et revendiquent une véritable passion. C’est notamment le cas de François Chaulet qui vous explique, je cite : « Ma vie professionnelle me satisfait beaucoup parce que je fais un métier qui me passionne. Si vous me versiez plein d’argent sur un compte, de toute façon faudrait bien que je continue à le gérer, mais même en dehors de ça… j’adore ce métier ! Je paierais pour le faire. » ou encore : « [C’est]un métier intellectuellement riche. Ce qui fait le sel et la passion de mon métier, c’est de comprendre comment se constitue le miracle de l’économie capitaliste, qui est le compte de résultat ». Est-ce que l’on ne touche pas ici à une limite du concept de « boulot de merde » ? Pourquoi ne pas avoir choisi de distinguer « boulot de merde » de « boulot de connard » ?
J.B.& O.C. : Bonne idée, on pourrait même mettre en place un nouvel éventail de catégories socio-professionnelles : boulot de sagouin, boulot de salop, boulot de sangsue, etcetera… Ça nous donnerait des débats d’experts d’une autre tenue que la question du distinguo entre gestionnaire de patrimoine et gestionnaire de portefeuilles ! Sérieusement, le fait que les raboteux de la finance se déclarent ravis de leur taf est assez logique et n’infirme en rien la merditude intrinsèque de leur gagne-millions. Ils s’éclatent parce qu’ils sont conditionnés pour ça, parce que la tâche qu’ils accomplissent les couvre de pognon et de reconnaissance sociale au sein du petit monde dans lequel ils évoluent. Mais quand ils nous racontent leur travail, on a du mal à partager leur enthousiasme : passer sa journée à noircir des assurances vie, s’injecter BFM Business en intraveineuse, se plier en quatre pour aider des rentiers déjà trop gras à amasser encore plus d’argent… Franchement, qui a envie de se taper un boulot pareil ? Certes, on aurait pu, en adoptant le point de vue graeberien, espérer que nos tâcherons de la finance se plaignent d’être noyés sous les mails, les chiffres et la bureaucratie, qu’ils avouent s’emmerder à mourir et que, pour oublier leur culpabilité, ils se défoncent à jouer à Candy Crush sur leur tablette et à télécharger des recettes de jus de concombre. Nous aurions été dans le ton de cette vision selon laquelle les cadres de l’économie capitaliste n’y croient plus et ont besoin de retrouver du sens à leur ouvrage. Mais non : il se trouve que ces gens-là sont heureux de leur bullshit job. Leur passion en toc est l’opposé symétrique de la souffrance infligée aux infirmières. Ils jouissent de ce qui gouverne le monde : la circulation du capital. Nous, on ausculte leur autojustification en les questionnant sur leur utilité sociale, en examinant la façon dont ils se persuadent qu’ils servent à quelque chose, au même titre que l’ortie ou le ténia servent à quelque chose. Après tout, les managers de transition n’expliquent-ils pas qu’en virant d’un seul coup plusieurs centaines d’ouvriers, ils permettent de sauver une entreprise et donc des emplois futurs ?
L’une des caractéristiques des boulots socialement destructeurs, c’est qu’ils fournissent à ceux qui les exercent une extraordinaire variété d’arguments pour les rendre acceptables ou même attrayants à leurs propres yeux. C’est vrai pour le CRS comme pour le banquier. Dans notre chapitre sur les vigiles chargés de chasser les migrants dans le port de Dunkerque, les salariés se plaignent moins de leur travail lui-même, qui est pourtant atroce, que des conditions de grande précarité dans lesquelles ils l’exercent. Certains même tirent jouissance du petit pouvoir que cela leur confère. Notre point de vue, c’est qu’il faut prendre le temps de montrer l’extrême violence sociale d’un système économique qui pousse ses recrues à s’accommoder du plus sale des boulots : empoigner des exilés qui ne leur ont fait aucun mal, les traîner, les savater, les remettre aux flics. La différence du chasseur de migrants, par rapport au conseiller en optimisation fiscale, c’est que le premier sévit tout en bas de l’échelle sociale et s’est dégoté son job abject sur prescription de Pôle emploi, alors que le second pète dans la soie et a fait des études qui lui permettent de choisir son métier en connaissance de cause. Entre ces deux formes d’aliénation, il y a un continuum qui nous paraissait utile à explorer.
La notion de boulot de merde n’est pas un carton rouge que l’on brandirait vers tel ou tel métier jugé peu enviable ou moralement répréhensible. C’est une clé d’accès pour appréhender un monde du travail où les boulots les plus indispensables à la société sont devenus invivables – plus de trois cents suicides d’agriculteurs en 2016 –, où le larbinat s’institutionnalise à la faveur de la mutation du monde en casino pour la bourgeoisie triomphante, où le chômage de masse permet de justifier la prolifération de petits jobs rompus à des salaires de misère et à des horaires délirants, où les trimardeurs monnaient leur force de travail de gré à gré avec le patron pendant que des argentiers chargés d’accumuler les lingotins sur des lignes Excel se proclament heureux et émancipés, se payant même le luxe d’avoir des scrupules – oui, l’argent permet d’acheter ce genre de choses.
Les bonnes pages de ce livre sont en exclusivité dans le CQFD de ce mois-ci. (y’en aurait-il des mauvaises ?)
Je ne l’ai pas encore lu. Abonné vous à ce canard, si ce n’est déjà fait et que ça ne vous empêche pas d’acheter ce bouquin.
CQFD/Cyran c’est de l’auto-promo ou du copinage éhonté comme dans la première colonne du mensuel marseillais. Mais ils ont tellement de talent et de choses à dire que vous ne relèverez pas cette remarque.
Sincèrement je ne connais aucun autre journal aussi singulier.
Charlie-hebdo ? #Olivier_Cyran a donné son avis et en connaissance de cause puisqu’il y a travaillé bien avant l’attentat de janvier 2015. Je ne lis plus cet hebdo depuis que je suis abonné à CQFD mais je guette quand même les dessins de #Vuillemin.
▻►http://cqfd-journal.org/Emplois-poubelle-pour-prospectus
L’extrait que nous vous présentons ici, en exclusivité, est tiré du livre de Julien Brygo et Olivier Cyran, Boulots de merde ! Du cireur au trader, enquête sur l’utilité et la nuisance sociales des métiers (Éditions La Découverte). Disponible, depuis peu, dans toutes les bonnes librairies. Les dépliants criards qui inondent votre boîte aux lettres pour vous fourguer des mezzanines en kit ou vous inviter à la semaine du cassoulet de Super U ne tombent pas du ciel : ils vous sont délivrés par des dizaines de milliers de paires de jambes qui sillonnent quartiers, résidences pavillonnaires et zones rurales pour une poignée de piécettes, le plus souvent sans qu’on les remarque. Un « capital humain » qui fait la « force » et la « fierté » d’Adrexo, lit-on sur son site Internet. [...]
@marielle un de plus a ajouter à mon palmarès. Ce n’était pas pour #adrexo (heureusement) mais pour la mairie de mon bled
Je me suis retrouver dans la #mouise l’hiver dernier et j’ai tapé à la porte du CCAS. Et me voilà parti avec mon p’tit cadie, sillonné la moitié de la commune constituée essentiellement de #zones_pavillonnaires. L’autre moitié, un autre gueux s’en chargeait. Si distribuer le bulletin municipal est un peu plus gratifiant que de distribuer les prospectus de merde de l’autre dealer. Pour le peu de retour et de rencontre que j’ai eu, la plupart des habitants en ont rien à cirer. L’édito du maire, qui siège aussi à #Rennes-métropole, approuve et signe tout ce qui dégouline (forcément) de la capitale bretonne.
Enfin les 200€ de plus à mon minima social mon permis de faire duré ma cuite un peu plus longtemps. Car, comme lu dans #CQFD, le RSA c’est bien mais c’est vite bu.
La Grande Panthère Noire (racontée par Philippe Noiret)
▻https://www.youtube.com/watch?v=mWshpWo7S0g
#conte #père_castor #audio #contes
une émission de #radio sur la collection du #père_castor que j’ai pas encore écouté
▻http://www.franceculture.fr/emission-la-fabrique-de-l-histoire-litterature-jeunesse-24-2015-03-17
#éditions #illustration #dessin #flammarion
La collection existe depuis 1931. Je met ici quelques illustrations qui m’intéressent.
▻http://images.delcampe.com/img_large/auction/000/200/640/452_001.jpg?v=1
▻http://www.maremagnum.com/uploads/item_image/image/2017/tout-soie-cochon-aerodynamique-albums-pere-castor-aa1b154a-e900-41ca-af0
« Album Fée » 1933
#rat
La série des Albums du Père Castor a été reprise en fac-similés, voir ici
▻http://www.amisduperecastor.fr/category/facsimiles
Sinon, sur #Nathalie_Parain, voir la notice WP
►https://fr.wikipedia.org/wiki/Nathalie_Parain
Et ici, même avec Ronds et Carrés, Ribambelles
▻http://seenthis.net/messages/138283#message138501
ou, déjà, Baba Yaga
▻http://seenthis.net/messages/113569#message113732
Elle a aussi illustré les Contes du Chat Perché de Marcel Aymé
J’ai eu quelques uns de ses originaux entre les mains. C’était la grand-mère de mon copain typographe-calligraphe. Il a réalisé le catalogue de la vente représenté sur ce billet de blog ▻https://magalerieaparis.wordpress.com/2010/01/04/nathalie-parain . Ce fut pratiquement sa dernière réalisation.
Sinon, une autre vente chez Beaussant Lefèbre avec, au début, des œuvres de sa période soviétique.
▻http://www.beaussant-lefevre.com/html/index.jsp?id=1116&np=1&lng=fr&npp=20&ordre=1&aff=1&r=carton
@simplicissimus il y a presque tous les livres de Nathalie Parain en fac-similé sur le site des amis du père castor c’est fantastique ! Merci pour toutes ces infos
Ah ! il me semblait bien qu’il avait mis le catalogue de la vente en ligne.
▻http://parain.nathalie.free.fr/nathalieparain/Dossier/files/page1-1000-full.html
Attention : merveilles !
La Grande Panthère Noire (racontée par Philippe Noiret), je l’avais trouvé en CD, mais pas le reste (je me souviens en avoir eu plein, en 45t quand j’étais petit...)
@simplicissimus Merveilleux en effet !
Il y avait aussi un livre disque que j’adorais qui n’était pas du père castor, c’était l’oiseau de feu avec j’imagine la musique de Stravinski et je croi que c’etait un grand disque (probablement un 33 tours mais je suis pas certaine, j’etais petite la dernière fois que j’ai écouté ce dique). La pochette était sombre et il y avait un dessin dans ce style ▻http://www.merveilles-russie.com/Files/17801/Img/03/boite-russe-peinte_BL278.JPG
J’ai jamais retrouvé ce disque ni cette version de l’histoire parceque l’oiseau de feu il y a beaucoup de versions. Il y avait un cheval magique, un roi crabe, un anneau d’or sur une potence, et une marmite ou finit le méchant roi qui voulait la fille au cheveux d’or.
C’est peut être celui là.. ▻http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k88156755
Ah bah oui c’est celui là !!! ❤️ ????
En tout cas c’est pas sur la musique de Stravinsky mais sur de la musique folklorique Russe. L’enregistrement date de 1959
#merveille
Ravie que cette doc puisse te servir @intempestive et j’ai hâte de lire cet article.
C’est pas que de l’audio (mais je pense que ces histoires ont été adapté en audio par le passé, je vais chercher), en cherchant des vieilles version du père castor je suis tombé sur une adaptation des « Histoires comme ça » de #Kipling avec la voix de Daniel qui est plutot sympas.
L’enfant d’éléphant
▻https://www.youtube.com/watch?v=IQ1TRimXtQw
dans un autre genre, France Culture possède aussi des jolis enregistrements, dont certains sont sortis en CD,
je pense par exemple à des contes lus par Pierre Gripari,
▻http://bibliotheque.clio.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5525&seule=1
dont un superbe enregistrement de ’la 5 fois belle’
j’ai pas ecouté ces versions mais pour plus tard :
Dans les classiques « Le petit Prince » lu par Gerard Phillippe
▻https://www.youtube.com/watch?v=16KDvWdiiug
et là par Bernard Giraudeau
▻https://www.youtube.com/watch?v=zOmyf6LIxX8
@freakonometrics bonne idée d’aller voire sur #france_culture j’y ai trouvé ceci qui a l’air interessant ; ▻http://seenthis.net/messages/403155
et là un épisode de #Les_pieds_sur_terre sur « la petite fille aux allumettes » avec le point de vue des enfants sur le conte.
▻http://www.franceculture.fr/emission-les-pieds-sur-terre-la-petite-fille-aux-allumettes-2012-12-26
Dans la même collection que le disque « L’oiseau de feu » Il y a quelques autres enregistrement audio disponibles. La collection s’appelle : « Contes du monde entier » et les contes sont dialogués par Muse Dalbray.
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▻http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8817373x.r=Collection+%3A+Contes+du+monde+entier.langFR
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La princesse trop fière, pt. 1 2014-06-23 Interprete:Jacqueline Joubert, Bernard Dheran, Tristan Sévère, Pierre Morin, Francine Dupieux, Jean Robert, Anna Valette, Georgette Corsin Auteur:Traditional, Muse Dalbray :
▻http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8811296q.r=Collection+%3A+Contes+du+monde+entier.langFR
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Hans le petit soldat, pt. 1 2014-06-04 Interprete:François Perier, Nadine Alari, Muse Dalbray, Tristan Sévère, Raymond Destac, Marcel Painvin Auteur:Muse Dalbray :
▻http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8817372h.r=Collection+%3A+Contes+du+monde+entier.langFR
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Noix de coco, pt. 1 2014-05-06 Interprete:Muse Dalbray, Jean-Louis Jemma, Micheline Francey, Henri Poirier, Linette Lemercier, Mali Tcheng, Raymond Destac, Anna Valette Auteur:Traditional :
▻http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k88156770.r=Collection+%3A+Contes+du+monde+entier.langFR
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L’oiseau de feu 2014-05-12 Interprete:Micheline Francey, François Chaumette, Muse Dalbray, Tristan Sévère, Raymond Destac, Muse Dalbray Auteur:Muse Dalbray :
▻http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k88156755.r=Collection+%3A+Contes+du+monde+entier.langFR
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▻http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8815676k.r=Collection+%3A+Contes+du+monde+entier.langFR
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cette collection des contes du monde me fait pensé à certains livres chez Père Castor. Ils prennent tous pour titre le nom du protagoniste. Il me semble que c’est toujours un garçon et je me demande dans quelle mesure ces histoires ne véhiculent pas un tas de clichés sur les pays qu’elles sont sensé faire découvrir. Il y avait pas mal de ces bouquins chez ma grand mère et ma grand-mère etait raciste alors je m’interroge sur cette partie de la collection « Père Castor ».
#colonialisme #stéréotypes #appropriation_culturelle #racisme
Sur #wikipédia il y a ceci a propos de cette collection :
En 1948, Paul Faucher lance la collection les Enfants de la Terre, destinée aux enfants de 7 à 12 ans, avec comme premier titre Apoutsiak le petit flocon de neige, par Paul-Émile Victor. Viennent ensuite la découverte du mode de vie d’un enfant pygmée (Mangazou), d’après les récits d’un chercheur du Musée de l’Homme, Raoul Hartweg, puis d’un jeune Indien (Amo) en 1951. Suivront Jan de Hollande, Grégoire, petit paysan du Moyen Âge, en 1959, le petit Italien Antonio en 1961, l’Antillais Féfé en 1962, Louis du Limousin, écrit par Andrée-Paule Fournier et traduit en langue d’Oc par Maurice Robert, en 1972.
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A8re_Castor#Les_collections
Wikipédia pour ce que ca vaut.
Je voie qu’il y a aussi une histoire de garçon dans le temps sur le même principe :