person:françoise castex

  • Au royaume des aveugles, l’accord TISA est roi
    http://www.marianne.net/Au-royaume-des-aveugles-l-accord-TISA-est-roi_a239874.html

    La semaine dernière, on apprenait, éberlué, l’existence de négociations secrètes d’un nouveau traité commercial, le Tisa, entre une cinquantaine de pays dont la France. Son but ? Favoriser la libéralisation du commerce des services. « Marianne » a remonté le fil et constaté que la plupart des responsables politiques français ont donné leur feu vert à ces négociations sans savoir véritablement de quoi il s’agissait. A moins que ce soit la philosophie libre-échangiste du Tisa qui les ait séduits ?

    http://www.marianne.net/photo/art/default/983774-1166143.jpg?v=1404408997

    Ils l’ont votée, sans même savoir ce que c’était. Pire, sans même savoir qu’ils l’avaient fait. « J’ai voté ça, moi ? », s’interroge l’ex-PS Françoise Castex. « Honnêtement, je n’en sais plus rien du tout », lui emboîte l’écologiste Corinne Lepage. « Ils », ce sont la plupart des députés français du Parlement européen lors de législature précédente (2009-2014). Et « ça », c’est la résolution sur l’ouverture de négociations relatives à un accord plurilatéral sur les services. Vous savez, l’accord TISA ou ACS, ce petit projet sans importance qui prévoit l’ouverture totale et irréversible de nombreux services, y compris publics (eau, éducation, santé, transports,…), à la concurrence internationale entre les « Très bons amis des services » (sic), un sous-groupe de 48 pays membres de l’OMC, dont ceux de l’UE, le Japon, la Turquie ou les Etats-Unis.

    Les négociations étaient censées rester secrètes. « Jusqu’à cinq ans après la conclusion d’un accord » ou l’éventuel échec des négociations, d’après un document Wikileaks dévoilé par l’Humanité. C’est le Conseil de l’Union européenne (UE) qui, le 18 mars 2013, alors qu’il est réuni… en session « Agriculture et pêche » a mandaté la Commission pour négocier cet accord. Le tout, sous le regard bienveillant donc de notre ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll (voir ici la liste des participants à cette petite sauterie). Contacté à plusieurs reprises, son cabinet n’a pas donné suite à nos appels. Moins timide, le Parlement a, lui, voté la résolution le 4 juillet 2013, à la grande majorité. Il s’est même « félicité de l’ouverture » de ces négociations qui vont, nous assure-t-on, « promouvoir [les] intérêts » de l’UE. Soutenu par 526 des 765 eurodéputés, et par tous les parlementaires français du PS, du centre et de l’UMP (voir en fin d’article la liste complète des votants). Seuls les élus écolos, Front de gauche et Front national ont voté contre...
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    Ils l’ont votée, sans même savoir ce que c’était. Pire, sans même savoir qu’ils l’avaient fait. « J’ai voté ça, moi ? », s’interroge l’ex-PS Françoise Castex

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    #acs
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  • Françoise Castex, eurodéputée assidue et débarquée
    http://www.lemonde.fr/europeennes-2014/article/2014/05/09/francoise-castex-eurodeputee-assidue-et-debarquee_4413991_4350146.html

    En rendant sa carte du PS, qu’elle avait rejoint en 1991, d’abord. En rejoignant le parti Nouvelle Donne de Pierre Larrouturou, ensuite. Et en convoquant les médias, surtout, pour fustiger ce sport national français qui consiste à utiliser le scrutin européen pour recaser les ministres déchus et retraités ou les députés battus à consoler. Cela au détriment des sortants, pourtant reconnus pour leur expertise et appréciés par leurs pairs à Bruxelles. « Ce ne sont ni plus ni moins que des petits arrangements entre amis, selon des logiques propres à la direction des partis et aux instances nationales », déplore Françoise Castex en se laissant choir dans le fauteuil de son bureau. Au PS, elle n’a pas été la seule victime de ce genre de pratique : Liêm Hoang-Ngoc et Bernadette Vergnaud, deux eurodéputés travailleurs, ont aussi été évincés.

  • IP Tracking : suite et histoire sans fin des pratiques de variations des prix sur Internet - Économie numérique
    http://blog.economie-numerique.net/2014/01/27/ip-tracking-suite-et-histoire-sans-fin-des-pratiques-des-va

    L’IP Tracking est une pratique supposée, mais pas vérifiée, estime la Cnil et la DGCCRF... Sauf que l’IP n’est jamais utilisée seule, mais croisée avec d’autres éléments de connexion. Comme le souligne la députée européenne Françoise Castex en réaction, le problème des pratiques de profilage qui génèrent à la fois une concurrence déloyale et un détournement des données personnelles reste entier. Reste que la CNIL et la DGCCRF pointent du doigt la modulation des tarfis en fonction du site internet précédemment consulté par l’utilisateur ou celles du yeld management... Tags : internetactu fing internetactu2net (...)

    #tarificationprogressive

  • Stop l’IP-arnacking !

    Une fois de plus, que fait la CNIL ?
    et Benoit Hamon, tellement mute qu’on en oublie qu’il est Ministre délégué auprès du ministre de l’Economie et des Finances, chargé de l’Economie sociale et solidaire et de la Consommation...

    http://www.pcinpact.com/news/78721-le-gouvernement-somme-mettre-fin-a-l-ip-tracking.htm

    Après l’eurodéputée Françoise Castex, c’est au tour d’un élu de l’Assemblée nationale de s’alarmer des pratiques dites d’#IP-Tracking. Au travers d’une question parlementaire, le député socialiste #Pascal_Cherki vient en effet de demander au gouvernement de se saisir du problème, en vue de « mettre fin » à l’utilisation de cette technique de commercialisation.

    Le député Pascal Cherki vient d’interpeller le ministre de la Consommation, #Benoît_Hamon, au sujet des pratiques dites d’« IP Tracking ». Pour rappel, cette technique de vente en ligne consiste à adapter un tarif en fonction du surf de chaque internaute. Grâce à l’adresse IP d’un visiteur, le commerçant peut ainsi augmenter ses prix. Comment ? Tout simplement en faisant croire à l’acheteur potentiel revenant voir un article que ses ventes explosent et que son stock diminue.

    Toutefois, il s’agit selon le député Cherki d’une technique de commercialisation « qui trompe manifestement l’information des consommateurs ». L’élu explique en effet qu’à partir du moment où l’internaute visite différents sites afin de trouver le meilleur prix possible, « le site Internet garde en mémoire l’adresse IP de l’internaute et propose, le plus souvent, des tarifs supérieurs à ceux précédemment visualisés, forçant l’achat immédiat du produit consulté ».

    Le parlementaire n’est pas le premier à s’inquiéter de telles pratiques. En janvier dernier, l’eurodéputée #Françoise_Castex demandait à la Commission européenne si ces techniques étaient « conformes au droit de l’Union européenne », suggérant au passage qu’une enquête serait nécessaire si tel n’était pas le cas. Mais le 12 mars dernier, Bruxelles a répondu qu’elle ne pouvait rien faire et qu’il fallait saisir les autorités compétentes au sein de chaque État de l’Union. Pour la France, il s’agit de la #CNIL.

    Le député Cherki termine donc en demandant au gouvernement quelles mesures il « envisage pour protéger au mieux les consommateurs », en ce sens pour « mettre fin à l’utilisation du "IP tracking" ». Rappelons que Françoise Castex avait annoncé, suite à la réponse de la Commission europénne, vouloir saisir la CNIL ainsi que le #G29, ce regroupement des « CNIL » européennes.

    #vente_en_ligne #sncf_et_les_autres #marre_de_se_faire_arnaquer

  • Mes données personnelles ne sont pas à vendre ! - Libération
    http://www.liberation.fr/evenements-libe/2013/03/18/mes-donnees-personnelles-ne-sont-pas-a-vendre_889464

    Pour la députée européenne Françoise Castex : "Nous devons exiger un consentement explicite préalable et informé de l’utilisateur pour chaque acte de collecte, de traitement ou de vente de ses données. Il nous faut par ailleurs protéger les citoyens de toute forme de discrimination résultant des mesures de profilage en encadrant strictement ce dernier. Pour ce faire, nous devons sanctionner lourdement les entreprises dans les cas d’abus et les mettre devant leurs responsabilités en cas de négligences (...)

    #mesinfos #donneespersonnelles

  • L’UE va se prononcer sur la conformité de Facebook

    Une eurodéputée a demandé à la Commission de vérifier si Facebook respectait bien la législation en matière de gestion des données personnelles. Elle doit se prononcer dans un délai de trois semaines.

    http://www.01net.com/editorial/546274/l-and-039-ue-va-se-prononcer-sur-la-conformite-de-facebook

    Françoise Castex, députée européenne :

    Pour chaque citoyen européen, garder la maîtrise de ses données personnelles est un droit fondamental. Or, les utilisateurs de Facebook ne sont pas clairement informés des données recueillies, de la finalité de la collecte, des risques et des recours possibles. Force est de constater que le droit à l’oubli est loin d’être effectif !