person:franco nero

  • Keoma
    http://www.nova-cinema.org/prog/2018/165-offscreen/enzo-g-castellari-sergio-martino/article/keoma

    Enzo G. Castellari, 1976, IT, HD, VO ANG ,105’

    A son retour de la guerre de Sécession, Keoma (Franco Nero), enfant indien, retrouve le village adoptif de son enfance ravagé par la peste et sous la domination d’une milice à la solde d’un riche propriétaire. Ce dernier a recruté les trois fils de son père de substitution, qui le haïssent. Chant du cygne du Western spaghetti à l’ambiance crépusculaire, « Keoma » ("Django rides again" en anglais) rappelle parfois le film de Corbuci. Et s’il débute lui aussi par une irritante chanson, il s’épanouit grâce aux effets parfois 70’s ludiques : ralentis, zooms éhontés, caméra à l’épaule, éclairage et traitement sonore. Castellari s’amuse aussi avec des scènes à gimmick, comme celle de la séance de tir avec le père retrouvé, ou la célèbre (...)

  • Street Law
    http://www.nova-cinema.org/prog/2018/165-offscreen/enzo-g-castellari-sergio-martino/article/street-law

    Enzo G. Castellari, 1974, IT, 35mm, VT ANG ,105’

    Franco Nero donne ici une véritable épaisseur à ce film, pour le coup vraiment réac, typique du genre justicier 70/80’s. Il sort la même année que le premier « Death Wish » avec Charles Bronson, et trois ans après « Les Chiens de paille ». Un citoyen sans histoire se retrouve au milieu d’un holp up, devient otage lors de la fuite des malfrats, est malmené puis abandonné. Traumatisé, il est enragé par la prise en main assez molle de la police. Bien que consolé par sa petite amie (Barbara Bach !) qui lui conseille de s’en tenir là, il décide de mener peu à peu l’enquête. Mais ne sachant pas comment s’y prendre, sa gaucherie le conduit bientôt à prendre d’autres coups... L’originalité tient ici à la froideur, voire même à une tendance (...)

  • High Crime
    http://www.nova-cinema.org/prog/2018/165-offscreen/enzo-g-castellari-sergio-martino/article/high-crime

    Enzo G. Castellari, 1973, IT, 35mm, VT ANG ST FR NL, 100’

    L’un des poliziottesci de Castellari les plus réputés, pourtant rarement visible en salle et en pellicule. Le film est inspiré de « Bullit », ce qui explique le titre français « Un témoin à abattre », et par « French Connection » ce qui donne son titre anglais « The Marseille Connection ». La mise en scène est plus nerveuse que celle de Peter Yates, mais on retrouve bien Fernando Rey, comme dans le film de Friedkin. Franco Nero y campe un policier tenace, tentant de démasquer un Fernando Rey repeint en paisible jardinier, bien que gangster notoire. Lorsque sa fille est assassinée, Nero radicalise sérieusement ses méthodes. La violence et le style de Castellari permirent au film un succès certain qui lança (...)

  • Street Law
    http://www.nova-cinema.org/prog/2018/offscreen/enzo-g-castellari-sergio-martino/article/street-law

    Enzo G. Castellari, 1974, IT, 35mm, VT ANG ,105’

    Franco Nero donne ici une véritable épaisseur à ce film, pour le coup vraiment réac, typique du genre justicier 70/80’s. Il sort la même année que le premier « Death Wish » avec Charles Bronson, et trois ans après « Les Chiens de paille ». Un citoyen sans histoire se retrouve au milieu d’un holp up, devient otage lors de la fuite des malfrats, est malmené puis abandonné. Traumatisé, il est enragé par la prise en main assez molle de la police. Bien que consolé par sa petite amie (Barbara Bach !) qui lui conseille de s’en tenir là, il décide de mener peu à peu l’enquête. Mais ne sachant pas comment s’y prendre, sa gaucherie le conduit bientôt à prendre d’autres coups... L’originalité tient ici à la froideur, voire même à une tendance (...)

  • High Crime
    http://www.nova-cinema.org/prog/2018/offscreen/enzo-g-castellari-sergio-martino/article/high-crime

    Enzo G. Castellari, 1973, IT, 35mm, VT ANG ST FR NL, 100’

    L’un des poliziottesci de Castellari les plus réputés, pourtant rarement visible en salle et en pellicule. Le film est inspiré de « Bullit », ce qui explique le titre français « Un témoin à abattre », et par « French Connection » ce qui donne son titre anglais « The Marseille Connection ». La mise en scène est plus nerveuse que celle de Peter Yates, mais on retrouve bien Fernando Rey, comme dans le film de Friedkin. Franco Nero y campe un policier tenace, tentant de démasquer un Fernando Rey repeint en paisible jardinier, bien que gangster notoire. Lorsque sa fille est assassinée, Nero radicalise sérieusement ses méthodes. La violence et le style de Castellari permirent au film un succès certain qui lança (...)