person:frank-walter steinmeier

  • Preview : Karl Marx : Wi(e)der (be)leben ? - DaybyDay ISSN 1860-2967
    http://www.daybyday.press/article6246.html


    Est-ce que vous achèteriez une voiture d’accasion à cet homme ? Non ? Alors ne lui faites pas confiance non plus quand il se met à vous parler de Karl Marx. C’est le social-démocrate et président d’Allemagne Frank-Walter Steinmeier qui invite à la célébration du 200ème anniversaire de Karls Marx.
    On regrette que le dernier chef d’état communiste de l’Allemagne de l’Est soit empêché. S’il venait à cette fête d’anniversaire elle serait la magnifique rencontre des plus hauts dignitaires et traitres des idées de Karls Marx. Les social-démocrates se sont rangés du côté de la bourgeoisie en 1914 et les communistes ont abandonné la pensée de Marx au moment de la prise de pouvoir de Staline.

    Du coup les invités n’auront droit qu’à une party assez médiocre et biaisée. Merci toutefois à Wolf Siegert de nous rappeller que nous pouvons désormais puiser des idées dans la nouvelle édition complète des oeuvres de Karl Marx et Friedrich Engels qui ajoute des textes inconnus à l’édition classique MEW éditée à Moscou et Berlin-Est.

    Pressemitteilung vom 25. April 2018 16:31 Uhr :

    Bundespräsident Steinmeier lädt zu „200 Jahre Karl Marx – ein Podiumsgespräch über Geschichte und Aktualität“

    Bundespräsident Frank-Walter Steinmeier lädt am 3. Mai 2018 um 11.00 Uhr zu einem Podiumsgespräch anlässlich des 200. Geburtstages von Karl Marx ins Schloss Bellevue ein. Der Bundespräsident wird die Veranstaltung mit einer Ansprache eröffnen.
    Der Journalist und Marx-Biograf Jürgen Neffe diskutiert anschließend mit der Ökonomin Karen Horn, dem Schriftsteller Ingo Schulzesowie dem Physiker und TV-Moderator Ranga Yogeshwar. Sie sprechen über das Werk von Karl Marx und darüber, inwieweit seine Theorien zum Verständnis heutiger Entwicklungen, insbesondere von Technik und Wirtschaft, beitragen können. Der Schauspieler Marcus Off liest während der Veranstaltung Passagen aus dem Werk von Karl Marx.

    MEGAdigital. Online-Angebot der historisch-kritischen Gesamtausgabe von Karl Marx und Friedrich Engels
    http://megadigital.bbaw.de/index.xql

    Images : Flickr / European External Action Service - EEAS, Flickr / Julian Stallabrass

    #Marxisme #poitique #anniversaire

  • #Allemagne : Frank-Walter Steinmeier élu nouveau Bundespräsident !
    http://www.taurillon.org/allemagne-frank-walter-steinmeier-elu-nouveau-bundesprasident

    Le 12 février, l’Assemblée fédérale allemande (Bundesversammlung) s’est réunie à Berlin pour élire le nouveau #Président de la République fédérale d’Allemagne (Bundespräsident). Le très populaire ancien Ministre des affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier, le grand favori du scrutin, a été largement élu dès le 1er tour.

    Actualités

    / Allemagne, Président, #Élections

  • L’Europe menacée d’effondrement

    http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/01/28/la-nuit-europeenne_5070492_3232.html

    Inquiets, les Allemands surveillent la scène politique française. Si la France bascule dans le populisme en mai, l’Allemagne sera terriblement fragilisée. Tout le projet européen en payera le prix.

    La scène se passe, jeudi 26 janvier, sous les lambris du Quai d’Orsay. Le ministre allemand des affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, qui va devenir « le président Steinmeier » en succédant à Joachim Gauck à la tête de l’Etat en février, fait ses adieux à la diplomatie française.

    Officiellement, M. Steinmeier est là pour le lancement de la Nuit des idées, rafraîchissante initiative de la culture française pour beau temps. Ce qui devrait être un moment léger, purement formel, prend soudain un tour grave. En fait de Nuit des idées, M. Steinmeier a visiblement des idées noires.
    En allemand, il évoque les élections françaises à venir, souligne qu’elles seront déterminantes non seulement pour la France, mais aussi pour l’Allemagne – et pour l’Europe. Puis il passe au français pour implorer son auditoire : « S’il vous plaît, ne cédez pas aux sirènes du populisme. »

    Un peu plus tôt, à la Sorbonne, le président Gauck est lui aussi venu faire ses adieux. Il y prononce un discours émouvant ; il y est question d’amour, de littérature et puis d’Europe bien sûr, l’Europe dont il rappelle qu’elle a « engendré beaucoup d’horreurs ». « Il n’y a nullement lieu de glorifier l’Europe, poursuit-il. Elle n’a jamais connu d’âge d’or et n’en connaîtra jamais. Elle est uniquement le théâtre d’une incessante lutte pour l’humanité, la liberté et le droit, la justice et la démocratie. »

    Peu d’alliés

    Cela ressemble à un tir groupé : le même jour à Berlin, le successeur de M. Steinmeier au ministère des affaires étrangères, Sigmar Gabriel, qui vient de renoncer à diriger le Parti social-démocrate (SPD), tire la sonnette d’alarme au Bundestag. « Après le Brexit, lance-t-il, si les ennemis de l’Europe marquent encore des points aux Pays-Bas et en France, alors le plus grand projet civilisationnel du XXe siècle, l’Union européenne, risque de s’effondrer. »

    En ce début 2017, l’Europe est assiégée. Nulle part la menace n’est ressentie de manière aussi aiguë qu’à Berlin. A l’ouest, Trump. A l’est, Poutine. Au sud, Erdogan.
    Ces hommes forts ont une culture politique à l’opposé de la nôtre, clament leur hostilité au projet européen qu’ils voudraient voir dépecé, célèbrent le Brexit, encouragent ceux qui seraient tentés de suivre le Royaume-Uni.

    Jeudi, l’homme qui se présente comme le prochain ambassadeur américain auprès de l’UE, Ted Malloch, a expliqué à la BBC que dans un poste précédent, il avait contribué à l’effondrement de l’Union soviétique, ajoutant : « Il semble qu’il y ait une autre Union qui ait besoin d’être un peu neutralisée. » Quant au président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a dit M. Malloch, « il paraît qu’il a été un bon maire d’une petite ville du Luxembourg : il devrait y retourner ».
    Avec des amis pareils, qui a besoin d’ennemis ? Au-delà, hormis l’exception canadienne et le lointain Japon, l’Europe compte peu d’alliés.

    Panique à Berlin

    Si la Chine de Xi Jinping s’intéresse beaucoup à elle, c’est clairement plus pour ses entreprises que pour le « projet civilisationnel » qu’elle représente. L’Inde de Narendra Modi, politiquement plus proche, reste un abîme de complexité. Le Moyen-Orient est un volcan dont l’éruption touche maintenant directement l’Europe. L’Afrique, continent de toutes les promesses, est aussi celui d’où partent les flux migratoires, qui, incontrôlés, déstabilisent le Vieux Continent.
    Malgré elle, l’Europe se retrouve dépositaire de l’héritage des Lumières, cible de toutes les attaques. Elle-même n’est pas vaccinée contre ce virus, dont elle n’est que trop familière et qui se manifeste déjà sur son flanc oriental.

    C’est précisément ce qui sème la panique à Berlin en ce début 2017 ; l’année écoulée a été éprouvante pour les dirigeants allemands, tout particulièrement pour la chancelière Angela Merkel, soudain sacrée porte-étendard des valeurs européennes. Et cet étendard, elle ne veut pas le porter seule, encerclée par l’incendie, au moment où elle affronte une nouvelle campagne électorale, à l’automne, en vue d’un quatrième mandat.

    Tout naturellement, Berlin se tourne donc vers Paris. Mais le spectacle français inquiète les dirigeants allemands ; à trois mois du premier tour de la présidentielle, la présidente du Front national, Marine Le Pen, reste en tête des sondages avec un bon quart des intentions de vote, et les deux grands partis de gouvernement, à droite et à gauche, sont au bord de l’implosion.

    Scénario noir, scénario rose

    Imprudemment – après avoir commis la même erreur en 2012 avec Nicolas Sarkozy –, Angela Merkel s’est affichée avec François Fillon, aujourd’hui mis en difficulté par le « Penelope Gate ». Voilà pourquoi MM. Steinmeier, Gauck et Gabriel sonnent le tocsin.

    Si la France bascule dans le populisme en mai, l’Allemagne sera terriblement fragilisée. Et si l’Allemagne bascule à l’automne, c’est l’Europe qui s’effondre. « Ne sous-estimez surtout pas l’impact que vos élections ont de l’autre côté du Rhin, nous a confié un haut responsable de l’UE. Tout le monde vous regarde. Cette élection française est capitale, pour toute l’Europe. »

    C’est le scénario noir. Le scénario rose, le voici : le 7 mai, les Français élisent un président démocrate, européen, et donnent, après les Autrichiens en décembre 2016, un coup d’arrêt à la vague des scrutins insurrectionnels. Elu sur un programme novateur, ce président a pris la mesure de la révolte des laissés-pour-compte.

    Les Allemands ont, eux aussi, senti le vent du boulet ; cessant de s’arc-bouter sur la doctrine Schaüble, ils assouplissent leur politique économique. Le social-démocrate Martin Schulz et/ou Angela Merkel (démocratie chrétienne, CDU) forment un gouvernement.

    Ensemble, Paris et Berlin relancent le moteur franco-allemand et font repartir une Europe refondée, resserrée, renforcée. La seule capable de tenir tête aux délires de Donald Trump, s’il ne s’est pas calmé d’ici là, et de servir de boussole à ceux qui résistent.

  • Allemagne. Le ministre des Affaires étrangères tourne le dos à l’Otan
    Danièle Renon - Publié le 21/06/2016 - 09:02
    http://www.courrierinternational.com/article/allemagne-le-ministre-des-affaires-etrangeres-tourne-le-dos-l

    (...) Dans les eaux de Poutine

    Pourquoi cette prise de distance radicale par rapport à la ligne suivie par l’Otan ? s’interroge Der Spiegel. A l’instar d’autres médias, le magazine de Hambourg décèle dans ces déclarations – qui déclenchent une vive polémique au sein de la coalition gouvernementale – la volonté du ministre d’opérer une percée au moment où démarre la campagne des élections présidentielle et législatives de 2017.

    “Ce manque de loyauté sans précédent envers l’Otan sape une stratégie occidentale que soutient son gouvernement [l’armée allemande participant aux manœuvres présentes et à venir de l’Alliance]. Sa motivation ne peut être que le rêve de former [en 2017] une coalition avec les Verts et le parti de gauche Die Linke. (…) Voilà pourquoi Steinmeier pêche dans les eaux poutinophiles”, analyse Die Welt.

    Une interprétation que défend également le quotidien libéral Süddeutsche Zeitung, rappelant que le SPD est en train de “prendre congé de la grande coalition (…) et se cherche de nouveaux alliés”.
    Nouvelle politique de détente

    Si l’enjeu de politique intérieure ne fait aucun doute, “ce débat tombe à un moment particulier”, note Der Spiegel : ce mardi 21 juin, l’UE entend prolonger de six mois les sanctions contre la Russie, adoptées en 2014 en raison du soutien de Moscou aux séparatistes de l’est de l’Ukraine. Or, depuis plusieurs semaines, Steinmeier plaide, contrairement à Angela Merkel, pour une “flexibilisation” du système des sanctions. “C’est une nouvelle politique de détente, estime Die Tageszeitung, le SPD veut faire un pas en direction de la Russie en matière de politique économique. Son calcul : les échanges commerciaux développent les contacts, les contacts améliorent la compréhension. Si les affaires reprennent, les relations politiques entre Berlin et Moscou pourraient s’améliorer.”

    Une stratégie qui rappelle l’Ostpolitik de Willy Brandt, dont se réclament ouvertement le SPD de Sigmar Gabriel et Frank-Walter Steinmeier.

    http://seenthis.net/messages/501458
    #SPD #Frank-Walter_Steinmeier

  • Steinmeier nous informe : le roi est nu
    http://www.dedefensa.org/article/steinmeier-nous-informe-le-roi-est-nu

    Steinmeier nous informe : le roi est nu

    Le ministre allemand des affaires étrangères a, dans une interview à Bild am Sundag, soit “mis les pieds dans le plat”, soit “jeté un pavé dans la mare”, – on choisira l’expression la plus appropriée, ou bien ce sera les deux en même temps, voire une troisième qu’on pourrait imaginer, comme “placer une bombe à retardement dont la mèche est déjà allumée” (hypothèse la plus optimiste, la plus joyeuse et la plus festive). Comme le résume ZeroHedge.com, près avoir consacré quelques paragraphes à l’incroyable narrative accompagnée d’exercices divers et de menaces sans fin que l’OTAN nous fait subir depuis au moins trois ans vis-à-vis de la Russie... « Et soudain tout s’est désintégré abruptement quand pas moins que le ministre des affaires étrangères de l’Allemagne... a martelé (...)

    • L’Allemand Steinmeier critique l’attitude de l’Otan aux frontières russes
      RFI | Publié le 19-06-2016 | Avec notre correspondant à Berlin, Pascal Thibaut
      http://www.rfi.fr/europe/20160619-allemagne-steinmeier-otan-frontieres-russie-pologne-ukraine-minsk?ref=t

      Dans une interview accordée au quotidien Bild Zeitung, le ministre des Affaires étrangères allemand Frank-Walter Steinmeier (SPD) a critiqué ouvertement la politique de l’Otan qui a décidé d’augmenter sa présence militaire à proximité des frontières russes. Steinmeier se refuse à une politique qu’il juge trop unidimensionnelle et veut privilégier le dialogue politique et la diplomatie.

      « Celui qui croit que plus de sécurité passe par des parades symboliques de chars se trompe. Nous devrions éviter d’envenimer la situation avec des cris guerriers et des bruits de bottes. » Le très mesuré Frank-Walter Steinmeier critique sur un ton des plus fermes la décision de l’Otan de déployer des forces de l’organisation militaire près des frontières russes. Ces quatre bataillons se veulent une réaction contre les agissements agressifs de Moscou, d’après l’Otan.

      Ces derniers jours, l’organisation a effectué une manœuvre militaire de grande ampleur en Pologne avec 30 000 soldats de 24 pays. Une opération qui se voulait une réaction à une éventuelle agression russe.
      « Il serait fatal de réduire notre politique à une dimension militaire et de considérer que la dissuasion militaire constitue notre seule option », ajoute le ministre allemand des Affaires étrangères dans son interview au quotidien Bild Zeitung.

      Frank-Walter Steinmeier plaide depuis longtemps pour une politique du dialogue. Il avait ces dernières semaines proposé une réduction graduelle des sanctions contre la Russie en raison de l’annexion de la Crimée en cas de progrès dans l’application des accords de Minsk et non pas lorsqu’ils seront pleinement appliqués.

    • Diplomatie allemande à l’OTAN : au lieu de brandir des armes face à la Russie, préférez le dialogue
      18 juin 2016, 07:49
      https://francais.rt.com/international/22326-diplomatie-allemande-otan-dialogue-russie

      (...) Depuis le début de l’année 2016, Frank-Walter Steinmeier souligne la nécessité d’entretenir de bonnes relations entre l’OTAN et la Russie. En mai, à l’issue de négociations avec son homologue russe Sergueï Lavrov, le chef de la diplomatie allemande a souligné qu’il faudrait rétablir les contacts car cela « serait conforme aux intérêts des deux parties ».

      Pour autant, les responsables de l’OTAN restent sourds. Depuis plusieurs années, la Russie appelle à ne pas poursuivre le renforcement de l’alliance en Europe de l’Est, expliquant que de tels mouvements pouvaient déstabiliser la région sur le plan sécuritaire. Mais l’OTAN ne cesse de mener des exercices militaires près des frontières russes sous prétexte du renfoncement des pays d’Europe de l’Est face à "l’agression russe" ».

      La prétendue agression russe serait illustrée par l’exemple de la Crimée, qui a fait sécession de l’Ukraine après le coup d’Etat de Kiev en 2014. La région, précédemment ukrainienne, avait voté en 2014 par référendum son rattachement à la Russie, ce qui avait été immédiatement qualifié par Kiev et ses alliés étrangers d’« annexion illégale » obtenue par la force militaire.

      Moscou avait rejeté ce raisonnement, estimant que l’alliance profitait de la crise politique en Ukraine pour justifier son existence en jouant la carte habituelle de la menace russe.

      Ce mois de juin, l’alliance atlantique a entamé deux séries de manœuvres dans l’Est de l’Europe. Saber Strike a débuté en Lettonie, en Lituanie et en Estonie le 27 mai et se poursuivra jusqu’au 22 juin. Au total, 13 Etats membres y prennent part.

      En parallèle, l’OTAN mène les manœuvres BALTOPS, qui réunissent plus de 6 000 militaires de 15 pays membres de l’alliance ainsi que des soldats suédois et finlandais pour une période allant du 3 au 19 juin. D’après les déclarations de leurs organisateurs, ces exercices maritimes ont pour but de préparer la défense de la région balte à de potentielles menaces.

    • Steinmeiers beispielloser Akt der Illoyalität

      Außenminister Frank-Walter Steinmeier attackiert offen die Nato. Er unterminiert eine westliche Strategie, die seine Regierung mitträgt. Sein Motiv für die Absetzbewegung: der Traum von Rot-Rot-Grün.
      Von Richard Herzinger | 19.06.16
      http://www.welt.de/debatte/kommentare/article156358027/Steinmeiers-beispielloser-Akt-der-Illoyalitaet.html

      (...) Dass ein deutscher Außenminister nun aber sogar dem gesamten westlichen Verteidigungsbündnis in den Rücken fällt, indem er es wegen dringend nötiger Übungen, an denen auch die Bundeswehr teilnimmt, mit Kriegslüsternheit in Verbindung bringt, ist ein beispielloser Akt von Illoyalität.

      Steinmeier übernimmt die Logik der Linken

      Inhaltlich übernimmt Steinmeier damit die demagogische Logik der SED-Nachfolgepartei Die Linke. In Übereinstimmung mit der Kremlpropaganda werden deren Anführer nicht müde, bei den Spannungen zwischen Russland und dem Westen das Ursache-Wirkungs-Verhältnis auf den Kopf zu stellen. (...)

  • #Allemagne : le #Bundestag reconnaît le #génocide_arménien et fâche la #turquie
    https://www.mediapart.fr/journal/international/020616/allemagne-le-bundestag-reconnait-le-genocide-armenien-et-fache-la-turquie

    Le Bundestag adopte, jeudi 2 juin, une résolution qui reconnaît le génocide arménien. Mais ce vote en dérange quelques-uns au sein du gouvernement, et non des moindres : Angela Merkel et surtout son ministre des affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier. Est-ce une preuve de soumission vis-à-vis du nouveau “gardien” turc de l’Europe, le président Recep Tayyip Erdogan ?

    #International #europe

  • Statement by Head of OSCE Mission to Skopje on President Ivanov’s decisions to pardon 56 individuals | OSCE
    http://www.osce.org/skopje/233646

    Head of the OSCE Mission to Skopje Nina Suomalainen has taken note of President Gjorge Ivanov’s 41 decisions published yesterday in the Official Gazette to pardon 56 individuals.

    While the stated intention of the President was to contribute to the resolution of the ongoing crisis, the citizens nevertheless are entitled to see political and legal accountability being carried out. The judiciary and the Special Prosecutor’s Office must be allowed to continue to do their very important work in line with the principles of independence and impartiality. 

    The investigation of the cases surrounding and arising from the content of the unauthorized interception of communications, and subsequent court cases should help rebuild the trust of citizens in the rule of law and in a well-functioning and impartial justice system.

    • … et, immédiatement, le big boss,

      Statement by OSCE Chairperson-in-Office and German Foreign Minister Frank-Walter Steinmeier on the domestic political crisis in the former Yugoslav Republic of Macedonia | OSCE
      http://www.osce.org/cio/233701

      I am very concerned about the latest developments in the former Yugoslav Republic of Macedonia. The decision of the Macedonian President to exempt from criminal prosecution politicians and office holders, who face charges of grave misconduct, damages the rule of law and legal peace. This decision contravenes the Przino agreement concluded between the country’s parties and the decision undermines the work of the Special Prosecutor’s Office and its mandate to investigate all accusations of abuse of power.

      Efforts must now be prioritized and reinforced to create the minimum requirements, as jointly agreed, for holding credible elections as soon as possible.

  • Germany Rebukes Its Own Intelligence Agency for Criticizing Saudi Policy
    http://www.nytimes.com/2015/12/04/world/europe/germany-rebukes-its-own-intelligence-agency-for-criticizing-saudi-policy.ht

    The German government issued an unusual public rebuke to its own foreign intelligence service on Thursday over a blunt memo saying that Saudi Arabia was playing an increasingly destabilizing role in the Middle East.

    The intelligence agency’s memo risked playing havoc with Berlin’s efforts to show solidarity with France in its military campaign against the Islamic State and to push forward the tentative talks on how to end the Syrian civil war. The Bundestag, the lower house of the German Parliament, is due to vote on Friday on whether to send reconnaissance planes, midair fueling capacity and a frigate to the Middle East to support the French.

    The memo was sent to selected German journalists on Wednesday. In it, the foreign intelligence agency, known as the BND, offered an unusually frank assessment of recent Saudi policy.

    […]

    The intelligence agency’s memo was flatly repudiated by the German Foreign Ministry in Berlin, which said the German Embassy in Riyadh, Saudi Arabia, had issued a statement making clear that “the BND statement reported by media is not the position of the federal government.”

    Frank-Walter Steinmeier, the German foreign minister, “is in regular contact with his Saudi colleague Adel Al-Jubair, and has always stressed that the federal government counts on constructive cooperation with Saudi Arabia,” the statement added.

    A government official in Berlin, speaking on condition of anonymity, added that it was the BND’s job “to supply the government with information, and to deliver hopefully clever analysis.”

  • Crise syrienne. La feuille de route se précise, des écueils persistent
    http://magazine.com.lb/index.php/fr/component/k2/item/13973-crise-syrienne-la-feuille-de-route-se-pr%C3%A9cise-des-%C3%A9cuei

    Il semble, en effet, qu’une feuille de route ait été établie, avec un calendrier précis, dans l’objectif de mener à une sortie de crise en Syrie, via une transition politique. Ainsi, au terme de la réunion, on apprenait dans le communiqué final que les participants « ont affirmé leur soutien à un cessez-le-feu et à un processus mené par les Syriens pour établir d’ici six mois (…) un calendrier pour rédiger une nouvelle Constitution ». « Des élections libres et équitables auraient lieu conformément à cette nouvelle Constitution d’ici dix-huit mois », indique également le texte. Par ailleurs, les dix-sept pays participants se sont entendus sur « la nécessité de réunir le gouvernement syrien et des représentants de l’opposition pour des négociations formelles, sous les auspices de l’Onu, dès que possible, avec l’objectif du 1er janvier ». Une quatrième réunion est, d’ores et déjà, prévue d’ici un mois pour faire un point sur les progressions. Côté européen, l’optimisme était, semble-t-il, de mise. « Ça a encore l’air utopique », a ainsi commenté le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, « mais nous avons toutes les puissances autour de la table ». Même son de cloche de la part de la cheffe de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, qui a qualifié la réunion de « très bonne », estimant qu’un « processus peut définitivement commencer ». Pour autant, la question épineuse du devenir de Bachar el-Assad n’est toujours pas réglée. « Nous avons toujours des divergences concernant ce qu’il doit advenir de Bachar el-Assad », a admis le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, à l’issue de la réunion. Les Occidentaux, la Turquie et les pays arabes sunnites, Arabie saouditeen tête, exigeaient que le texte prévoit un calendrier pour sa mise à l’écart. Une demande rejetée, comme il fallait s’y attendre, par la Russie et l’Iran. « Nous avons insisté sur le fait que seule la personne de Bachar el-Assad pouvait déciderde se représenterou pas aux élections et seul le peuple syrien pouvait décider de voterou pas pour lui », a souligné dimanche le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir Abdollahian. Côté occidental, on argue que « la transition politique permettra de montrerque le maintien de Bachar el-Assad n’est pas possible. Les rebelles modérés n’accepteront le cessez-le-feu que si une perspective de changement est proposée », selon une source diplomatique.

    • Une autre « question [au moins aussi] épineuse », abordée par l’article de « Magazine » : les pays du Golfe veulent permettre à des groupes « djihadistes » de faire partie d’un futur gouvernement syrien et que l’ONU range le Hezbollah dans sa liste de groupes terroristes,

      En attendant, l’émissaire onusien pour la Syrie, Staffan de Mistura, a été chargé d’obtenir un cessez-le-feu entre les forces du régime syrien et l’opposition. Reste à savoir de quelle opposition il s’agit. Pour cela, la Jordanie a été chargée de « coordonner une liste commune de groupes terroristes » sous l’égide des Nations unies, afin qu’une autre liste de groupes, appartenant à l’opposition et susceptible de participer à la transition politique, puisse être définie. Autant dire que ce point risque de créer de nombreuses tensions entre les pays réunis à Vienne.

      Dans l’immédiat, en effet, seuls l’Etat islamique et la franchise syrienne d’al-Qaïda en Syrie, le Front al-Nosra, sont reconnus comme des groupes terroristes par l’Onu. Alors que le régime syrien, ainsi que ses alliés iraniens et russes, qualifient de « terroristes » la plupart des groupes de l’opposition. Les tensions devraient se cristalliser autour des groupes ouvertement jihadistes et salafistes, comme Ahrar el-Cham et Jaich el-Islam, qui sont soutenus militairement et financièrement par les pays du Golfe et la Turquie. A contrario, les monarchies du Golfe et les Etats sunnites de la région ont appelé au placement sur la liste des groupes terroristes des milices chiites soutenues par l’Iran, comme le Hezbollah. La Résistance libanaise, qui combat ouvertement en Syrie aux côtés du régime, est déjà considérée comme terroriste par l’Union européenne et par le Département américain, alors que la Russie a déclaré, via son vice-ministre russe des Affaires étrangères, Mikhaïl Bogdanov, qu’elle « ne considérait pas le Hezbollah comme une organisation terroriste ».

      Le responsable russe a noté que des membres de l’aile politique du groupe terroriste chiite ont été légalement élus au Parlement libanais, et que l’organisation, qu’il a qualifiée de force « sociopolitique légitime » n’avait jamais effectué des attaques sur le sol russe. Ces divergences de vues des différents participants de Vienne risquent de compliquer l’obtention d’un consensus.

  • Llegan a España los primeros refugiados reubicados: 7 de los 19 anunciados se quedan en Italia

    Ya han llegado a España los primeros refugiados reubicados desde Italia, aunque su número ha menguado con respecto a las expectativas iniciales. En un primer momento, el primer grupo iba a estar formado por 50 personas. Este viernes, la vicepresidenta del Gobierno anunció que serían 19. Finalmente, tan solo 12 solicitantes de asilo han aterrizado este domingo en Madrid: cuatro mujeres y ocho hombres, once de ellos eritreos y uno sirio.

    http://www.eldiario.es/desalambre/Llegan-Madrid-Italia-refugiados-Espana_0_450055436.html
    #relocalisation #asile #migrations #réfugiés #Espagne #Italie

  • Steinmeier praises Ukraine’s local elections, says separate law needed for elections in rebel-controlled areas of Donbas
    http://www.kyivpost.com/content/ukraine/steinmeier-praises-ukraines-local-elections-says-separate-law-needed-for-e

    German Foreign Minister Frank-Walter Steinmeier has welcomed the conduct of local elections in rebel-controlled areas on Donbas should be regulated by a separate law, which needs to be quickly developed.

    (intégralité de la brève (qui souffre d’une rédaction bâclée avec deux propositions qui se téléscopent - le titre est plus clair))

  • French diplomatic plan to permit elections in eastern Ukraine | News | DW.COM | 02.10.2015
    http://www.dw.com/en/french-diplomatic-plan-to-permit-elections-in-eastern-ukraine/a-18756787

    The dispute over elections in Donbass in eastern Ukraine has threatened to undermine the Minsk agreement signed between Ukraine and pro-Moscow rebels. As the leaders of France, Germany, Russia and Ukraine meet in Paris, veteran French diplomat Pierre Morel has presented a plan which could allow the elections to take place.
    Until now, the government in Kyiv has insisted that local elections due to be held on October 25 should be held according to Ukrainian law in Donbass.
    But the self-proclaimed “People’s Republic of Donetsk and Luhansk” has set a different date, and does not intend to consult Kyiv on the vote.

    Morel is chairman of the working group on political affairs of the Trilateral Contact Group (TCG), consisting of representatives from Ukraine, the Russian Federation and the Organization for Security and Co-operation in Europe (OSCE). It is engaged in finding a peaceful solution to the conflict in Donbass.
    Morel’s plan proposes that elections would be held in compliance with Ukrainian law, as Kyiv wishes, but that the “People’s Republic” would have the possibility of staging them according to their own rules. The diplomat believes this would free the way to implementation of hte Minsk Protocol. It stipulates that Donbass remain part of Ukraine and that Kyiv restores its sovereignty over the region.

    Kyiv is not enthusiastic about Morel’s plan. Ukrainian President Petro Poroshenko said that he considers it to be nothing more than “Morel’s personal opinion.
    Oleksiy Makeyev from the Ukrainian foreign office was less dismissive when he told Deutsche Welle that Ukraine does not reject the “Morel Plan” out of hand, and that it could consider it as one among several proposals. Nevertheless, he went on to emphasize, that for Kyiv, the Minsk Protocol remains the guiding document.
    But other participants in the “Normandy format,” a diplomatic group consisting of senior representatives from Germany, the Russian Federation, Ukraine and France, view things differently.
    The German foreign office stated that Berlin considers the “Morel Plan” to be the basis for a further step towards a solution to the Donbass conflict. That statement reflects the sentiments that German Foreign Minister Frank-Walter Steinmeier expressed after talks with the foreign ministers of the “Normandy format” in Berlin, on September 12.

    Russian Foreign Minister Sergey Lavrov also proposed supporting Morel’s idea. In a statement to DW and the French foreign office indicated their approval of the plan as well.

    In Ukraine the “Morel Plan” is seen as an ultimatum. Maria Solkina of the “Democratic Initiatives Foundation,” a Kyiv based research center, told DW that Western partners were forcing Kyiv into a compromise and using the leverage of economic and political dependency on the West to that end.
    Solkina warned that if the Ukrainian leadership were to go along with the “Morel Plan” the “quasi republic” would automatically be recognized. “Ultimately, we would have to support the region economically, but would have no say there politically,” she said.

  • ’Significant Progress’ Reported At Ukraine Peace Talks In Berlin
    http://www.rferl.org/content/article/27244732.html

    German Foreign Minister Frank-Walter Steinmeier has said “significant progress” had been made toward a resolution of the conflict in eastern Ukraine.

    Speaking after a three-and-a-half-hour meeting with his French, Russian, and Ukrainian counterparts in Berlin on September 12, Steinmeier said the talks had been “less confrontational” than previous ones and that the ministers “made headway in some critical things.”

    Steinmeier said the warring sides were now “very close” to an agreement on withdrawing weapons from the front line between Ukrainian government forces and Russian-backed separatists.
    […]
    Germany’s top diplomat also said there was some progress on the legal groundwork toward holding local elections in eastern Ukraine.

    Ukraine scheduled its vote on October 25, while self-proclaimed leaders of the rebel-controlled Luhansk and Donetsk regions said they would hold their own elections on October 18 and November 1, respectively, drawing protests from Kyiv.

    Russian Foreign Minister Sergei Lavrov said differences remained on the issue, but “the general impression is that these differences can be overcome.

    Earlier in Kyiv, the secretary-general of the Organization for Security and Cooperation in Europe (OSCE), Lamberto Zannier, said the cease-fire had held for more than 10 days, opening space “to make progress on a political level.

  • Israël : Netanyahu insiste sur des conditions à un État palestinien - Le Point
    http://www.lepoint.fr/monde/israel-netanyahu-insiste-sur-des-conditions-a-un-etat-palestinien-31-05-2015

    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a tenté de rassurer dimanche le chef de la diplomatie allemande Frank-Walter Steinmeier en réaffirmant qu’il était prêt à accepter sous conditions la création d’un État palestinien. « Je reste attaché à l’idée que le seul moyen de parvenir à une paix durable passe par le concept de deux États pour deux peuples », a assuré Benjamin Netanyahu lors d’une conférence de presse à Jérusalem après son entretien avec Frank-Walter Steinmeier, en visite en Israël et dans les Territoires palestiniens. Le Premier ministre israélien a toutefois souligné que cet État palestinien devait être « démilitarisé » et « reconnaître l’État juif d’Israël ».

    Il répète ce qu’il disait déjà en 2009 :

    Netanyahou prône un État palestinien démilitarisé reconnaissant l’État juif
    15/06/2009
    http://www.france24.com/fr/20090615-netanyahou-prone-etat-palestinien-demilitarise-reconnaissant-leta

    Cette fois Frank-Walter Steinmeier veut aller plus loin :

    Un ministre allemand visitera la Bande de Gaza
    31 mai 2015
    http://journalmetro.com/monde/785672/un-ministre-allemand-visitera-la-bande-de-gaza

    RAMALLAH, Territoire palestinien – Le ministre des Affaires étrangères allemand a annoncé qu’il se rendrait prochainement dans la Bande de Gaza — une visite rare pour un politicien occidental sur un territoire contrôlé par les militants du Hamas

    Lors d’une rencontre avec des représentants israéliens et palestiniens, dimanche, Frank-Walter Steinmeier s’est dit inquiet de la situation du petit territoire de la Cisjordanie, qui peine à se relever d’une guerre dévastatrice contre Israël il y a un an.

    M. Steinmeier a dit au président israélien Reuven Rivlin que des « mesures concrètes » devaient être adoptées pour améliorer la vie quotidienne des Gazaouis. Il a appelé à une « reconstruction rapide » de la Bande de Gaza, tout en incitant le Hamas à cesser ses attaques à la roquette en Israël.

    Le ministre allemand ira dans la Bande de Gaza lundi, mais aucune rencontre avec les représentants du Hamas n’a été planifiée.

    • Gespräche in Israel und in den Palästinensischen Gebieten
      http://www.auswaertiges-amt.de/DE/AAmt/BM-Reisen/2015/06-UKR-ISR-PSE/150530-BM-ISR-PSE.html

      Menschen in Gaza eine Perspektive bieten

      Am Sonntag und am Montag wird Steinmeier dann mit der politischen Führung in den Palästinensischen Gebieten zum Austausch zusammenkommen. Ein besonderer Fokus liegt dabei auf Gaza, wo die Lage „besonders prekär“ sei. Steinmeier weiter:

      „Wir müssen schnell beim Wiederaufbau und der wirtschaftlichen Entwicklung vorankommen, um den Menschen echte Perspektiven zu geben. Gaza darf nicht wieder zur Startrampe für Angriffe auf Israel werden.“

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      http://fr.timesofisrael.com/hotovely-exhorte-berlin-a-empecher-letiquetage-des-produits-de-cis

      Steinmeier a également prévu de visiter la bande de Gaza pour évaluer le rythme de la reconstruction, embourbé par des retards. Un communiqué du ministère allemand des Affaires étrangères a qualifié la situation de « très précaire ».

      « Nous devons faire avancer rapidement à la reconstruction et le développement économique [dans la bande] afin de donner aux gens de véritables opportunités » peut-on lire dans le communiqué.

      « Gaza ne doit pas devenir à nouveau une rampe de lancement pour des attaques sur Israël ».

    • Gaza est un « baril de poudre », dit le chef de la diplomatie allemande
      Publié le 01.06.2015
      http://www.20minutes.fr/monde/1620778-20150601-gaza-baril-poudre-dit-chef-diplomatie-allemande

      « Mais tout cela ne réussira que lorsqu’on sera sûr qu’on ne lance plus d’attaques à la roquette d’ici, qu’il n’y aura plus ici de rampes de lancement de roquettes », a dit M. Steinmeier, dont le pays est le plus proche allié européen d’Israël.

    • « Baisse-toi et broute »

      Lors de son dernier voyage au Moyen-Orient à la mi-mai, le ministre allemand des affaires étrangères Steinmeier voulait s’enquérir de la situation des réfugiés au Liban et en Jordanie. Cela n’a pas plu à l’état israélien d’être ignoré, il lui a interdit le survol de son territoire l’obligeant à un détour de 600 km pour aller de Beyrouth à Amman.

      Nahost-Reise : Israel zwang Steinmeier zu langem Umweg
      Samstag, 30.05.2015
      http://www.spiegel.de/politik/ausland/steinmeier-musste-wegen-israel-umweg-fliegen-a-1036201.html

      Außenminister Steinmeier ist auf dem Weg in den Nahen Osten. Bei seiner letzten Reise musste er auf dem Weg vom Libanon nach Jordanien einen Umweg von rund 600 Kilometern fliegen. Israel hatte ihm nach SPIEGEL-Informationen den Überflug verweigert.

      Bei seiner Nahostreise Mitte Mai ist Bundesaußenminister Frank-Walter Steinmeier (SPD) nach Informationen des SPIEGEL in schwieriges diplomatisches Gelände geraten: Da Israel bei seiner Nahost-Reise nicht auf seinem Besuchsplan stand, reagierte Jerusalem verärgert und zwang ihn zu einem Umweg. (Diese Meldung stammt aus dem SPIEGEL. Den neuen SPIEGEL finden Sie hier.)

      Der Minister wollte sich bei seiner Reise über die Situation der Flüchtlinge im Libanon und in Jordanien informieren. Das benachbarte Israel steuerte er dabei nicht an. Prompt verweigerte Israel dem deutschen Außenminister den Überflug seines Hoheitsgebiets, als er von Beirut aus weiterreisen wollte.

      Anstatt die 240 Kilometer von der libanesischen Hauptstadt nach Amman direkt anzusteuern, musste die Regierungsmaschine erst in den zypriotischen Luftraum einfliegen, um dann in einer Art U-Turn in Richtung der jordanischen Hauptstadt abzudrehen – insgesamt ein Umweg von rund 600 Kilometern.

  • German minister hopes Moldova stays committed to Europe - Yahoo News
    http://news.yahoo.com/german-minister-hopes-moldova-stays-committed-europe-133352310.html

    Germany’s foreign minister said Monday that he hopes Moldova will stay on its pro-European path after the former Soviet republic elected a government backed by a Communist party.

    Frank-Walter Steinmeier said Germany wouldn’t “withdraw any offer” to Moldova, but said “it is Moldova’s turn to react.

    Pro-European parties won the Nov. 30 election, but failed to agree on a governing coalition, and they need the support of the Communist party, which favor slower reforms. Moldova signed an association agreement with the EU in June, angering Russia.

    Argl ! participation des communistes au gouvernement !
    Les chars russes bientôt dans la capitale !!!

    Chișinău, 2015 = Paris, 1981

  • Germany downplays report of rift with NATO over Breedlove comments | Reuters
    http://www.reuters.com/article/2015/03/07/us-ukraine-crisis-germany-breedlove-idUSKBN0M30LB20150307

    German Foreign Minister Frank-Walter Steinmeier downplayed a magazine report on Saturday of tensions with NATO over hawkish comments about Ukraine made by the Western alliance’s supreme allied commander.

    Der Spiegel news magazine said an official in Chancellor Angela Merkel’s offices had complained of Air Force General Philip Breedlove’s “dangerous propaganda” over Ukraine and that Steinmeier had talked to the NATO General Secretary about him.

    It’s true that I asked in two instances, in which the information we had from our sources was not entirely consistent with the information that came from the United States or NATO,” Steinmeier said at a European Union foreign ministers meeting.

    But I also say that we have no interest in any dispute emerging from this,” Steinmeier said at the meeting in Riga. “We have to see that we stay closely together, also in the question of assessment of risk, and not differ in our advice.

    Der Spiegel said German government officials were surprised when Breedlove said on Feb. 25 that Russian President Vladimir Putin had “upped the ante” in eastern Ukraine. “What is clear is that right now it is not getting better. It is getting worse every day,” Breedlove said in Washington.

    German officials said information from their BND intelligence agency and other sources was that a ceasefire agreed in Minsk was shaky but holding. The battles between the Ukraine army and pro-Russian separatists had mostly halted and heavy weapons were being withdrawn.

    When asked about the Der Spiegel report, Breedlove said in a statement: "It is my responsibility as the commander of NATO’s military forces to deliver clear assessments regarding potential threats in our periphery.

    Sometimes realities on the ground are unwelcome and sobering. But public communication has been critical during the Ukraine crisis, because Russia has embarked on a deliberate strategy to confuse using disinformation and propaganda.

    Bon, ce que dit l’ennemi c’est de la #propagande (Breedlove), mais si, maintenant, ce que dit l’allié c’est aussi de la propagande (cabinet de Merkel), ça va devenir difficile à suivre…

  • Un document européen confidentiel prévoit des sanctions contre Israël | i24news -
    http://www.i24news.tv/fr/actu/israel/diplomatie-defense/51151-141116-un-document-europeen-confidentiel-propose-des-sanctions-contre-

    L’Union européenne envisage d’imposer des sanctions à Israël si des mesures étaient prises en Cisjordanie rendant impossible la solution à deux Etats, révèle un document confidentiel distribué aux 28 Etats membres, selon le quotidien Haaretz.

    Les représentants, qui ont reçu le document du service européen d’action extérieure de l’UE (SEAE), ont été invités à le garder confidentiel et à ne pas le montrer à Israël pour le moment.

    Raté !

    • Israël refuse toute limitation de la colonisation à Jérusalem-Est
      http://www.romandie.com/news/Israel-refuse-toute-limitation-de-la-colonisation-a-JerusalemEst/537714.rom

      Jérusalem - Israël refuse toute limitation de la colonisation à Jérusalem-Est, dont l’occupation et l’annexion est illégale aux yeux de la communauté internationale, a réaffirmé dimanche le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman.

      Nous n’accepterons aucune limitation à la construction dans les quartiers juifs à Jérusalem, a lancé M. Lieberman, un ultra-nationaliste, lors d’une rencontre avec son homologue allemand Frank-Walter Steinmeier à Jérusalem. La colonisation, notamment de Jérusalem-Est, est vue comme le principal obstacle au processus de paix.

      Une chose doit être parfaitement claire : nous n’accepterons jamais que la construction dans les quartiers juifs de Jérusalem soit définie comme une activité de colonisation, a ajouté le chef de la diplomatie israélienne.

      Peu avant de recevoir le ministre allemand, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré qu’une reconnaissance unilatérale de l’Etat palestinien par des pays européens éloignerait un possible accord de paix entre les deux parties.

      La paix est possible s’il y a des compromis de toutes les parties et non des actions et bénéfices unilatéraux qui bénéficient à la partie palestinienne, a déclaré M. Netanyahu.

      Alors U.E, tu vas le sortir ton document confidentiel ?

    • Document peut-être écrit pour fuiter. A destination peut-être de l’opinion ...

      Est-ce que cette UE, largement complice, se décidera à respecter le Droit international en cessant « d’envisager » mais en passant à la suspension de l’accord d’association Europe-Israël. Combien de morts palestiniennes à venir avant ?

    • EU says it has no plans for sanctions on Israel
      http://www.reuters.com/article/2014/11/17/us-mideast-israel-eu-idUSKCN0J123K20141117?feedType=RSS

      (Reuters) - The European Union has no intention of imposing sanctions on Israel if it takes steps to block a two-state solution to the Israeli-Palestinian conflict, the EU’s new foreign policy chief Federica Mogherini said on Monday.

      European diplomats have said the EU is looking at new ways to press Israel to halt its building of settlements on land the Palestinians want for a state, as frustration over the construction program reaches a new high.

      Israeli newspaper Haaretz said on Monday it had obtained an internal EU document on sanctions that could be taken against Israel if it took actions that would prevent a viable Palestinian state. They included possible measures against European companies working in settlements in the West Bank and East Jerusalem, it said.

      Mogherini said the EU had no plan of this kind.

      The Haaretz article referred to an internal working document requested by EU governments some time ago that only formed a “technical working hypothesis”, she said.

  • Missile boat crisis ends as Germany gives Israel $382 million discount Agreement is a reversal of Berlin’s earlier decision to withhold the discount because of Israel’s settlement construction.
    By Barak Ravid | Oct. 19, 2014 | Haaretz
    http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/.premium-1.621447

    A crisis between Israel and Germany over missile boats required to protect Israel’s offshore gas fields has ended after Berlin agreed to slash €300 million (about $382 million) off the cost, officials on both sides said. They are expected to initial an agreement for the boats within weeks.

    The talks between Israel and Germany to purchase three fast missile boats to protect the gas rigs off Israel’s shore began a year ago. Haaretz reported that the deal was worth about €900 million.

    Israel asked for a 30 percent reduction on the price, like it had received in previous deals on German submarines. The German discount, tantamount to a grant of hundreds of millions of euros, was part of Chancellor Angela Merkel’s policy to bolster Israel’s security.

    In the beginning of May, about two weeks after the talks between Israel and the Palestinians stalled, German’s national security adviser Christoph Heusgen told his Israeli counterpart Yossi Cohen that Israel would not receive the discount and would have to pay their full price.

    Heusgen said that following the breakdown in the peace talks with the Palestinians and the harsh criticism in Germany of Israel’s construction in the settlements, the Bundestag would not approve a grant of hundreds of millions of euros to subsidize the boats.

    The German decision deepened the crisis that has been developing between the two states over the past five years, due to the tense relations between Merkel and Prime Minister Benjamin Netanyahu.

    The low-key talks were jumpstarted at the end of June when Foreign Minister Avigdor Lieberman visited Berlin and met German Foreign Minister Frank-Walter Steinmeier. According to a senior Foreign Ministry official in Jerusalem, Steinmeier told Lieberman “don’t worry, it will be o.k.,” and Lieberman left the meeting optimistic about the possibility of getting the missile boats deal back on track.

    The talks continued intensively for three months after the meeting between a small group of senior officials on both sides - Lieberman and Steinmeier, Israeli ambassador to Germany Yaakov Hadas and Germany’s ambassador to Israel Andreas Michaelis, national security advisor Yossi Cohen and his German counterpart Christoph Heusgen, as well as Finance Minister Yair Lapid and his counterpart Wolfgang Schäuble.

    Israeli officials who asked to remain anonymous said there were several factors which led to the German decision to give Israel the grant despite the criticism over the failure in the Israeli-Palestinian peace talks and the continued construction in the settlements.

    One official said Lieberman deserves most of the credit, for forging close cooperation with Steinmeier, who pushed to advance the deal in Germany. “Lieberman dealt with the issue incessantly,” the official said. “He played a very positive part and managed to enlist many German officials to advance the issue.”

    Another official said Finance Minister Yair Lapid’s visit in Berlin for talks with German Finance Minister Wolfgang Schaeuble was extremely helpful in advancing the deal in its last stages.

    Lapid also met Heusgen and told him he was trying to restrain Israel’s money transfers to the settlements.

    Another official said the Germans understood that the missile boats were a vital security necessity for Israel. Cohen, who held talks with Heusgen and other German officials, told them there was a real threat that Hezbollah would attack the gas rigs.

    Moreover, the deal was worth hundreds of millions of euros for the German economy and for shipyards which employ thousands of workers. The initial German refusal to give the discount made Israel examine the possibility of purchasing the boats from South Korea. Eventually, the Germans understood they too have an interest in promoting the deal and in putting the discount back on the table. 

    What finally swung the deal was Merkel’s personal commitment to Israel’s security, a Foreign Ministry official said. “Though she has a lot of criticism, when it’s come to Israeli security she puts it all aside,” said the official. “This deal will strengthen Israel’s strategic ties with Germany for the next 20 years,” he said.

  • L’Iran doit retirer ses forces de Syrie, dit l’Arabie Saoudite
    http://www.rtbf.be/info/monde/detail_l-iran-doit-retirer-ses-forces-de-syrie-dit-l-arabie-saoudite?id=8377207

    L’Iran doit retirer ses forces d’"occupation" de la Syrie afin de contribuer à régler le conflit dans ce pays, a affirmé lundi le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Fayçal. « Nous avons des réserves sur la politique iranienne dans la région, et non sur l’Iran en tant que pays et peuple », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse conjointe avec le chef de la diplomatie allemande, Frank-Walter Steinmeier.

    #moi_j'y_crois

  • [L’oeil itinérant] Le Coalition Show : de l’Afghanistan à la Syrak - par Pepe Escobar
    http://www.vineyardsaker.fr/2014/09/24/loeil-itinerant-coalition-show-lafghanistan-syrak

    Le général français répond présent

    Loin d’être déconcerté, le Pentagone a soigneusement préparé une « mini opération choc et stupeur » en Syrie, qu’il a inauguré avec style ce lundi, en lançant une pluie de missiles Tomahawk sur Raqqa.

    C’est avec joie que le « général » Hollande en France entre dans la danse. Avec un niveau de popularité se rapprochant dangereusement de zéro, le déploiement de Rafales contre les méchants est tout ce qui compte pour lui.

    Tout un contraste avec l’Allemagne, où le ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier a insisté sur le fait qu’un soutien aérien ou l’envoi de troupes terrestres est « hors de question pour nous ».

    On imagine mal Kerry soudoyer Steinmeier. Nous nous retrouvons donc avec une coalition à deux : Washington et Paris.

    Celle-ci se limite toutefois à l’Irak, car le « général » Hollande a bien dit qu’il ne bombarderait pas la Syrie.

    Résultat : le bombardement de la Syrie sera l’œuvre d’une coalition formée uniquement du Pentagone.

    Pour leur part, les « diplomates » arabes du gang du pétrodollar (le Conseil de coopération du Golfe) n’arrêtent pas de dire que le Pentagone devrait bombarder non seulement les brutes du calife, mais aussi les forces armées de Bachar al-Assad.

    C’est ce que le Pentagone fomente « secrètement » de toute façon.

  • Gaza : Israël menace d’élargir son opération | International | RIA Novosti
    http://fr.ria.ru/world/20140715/201825404.html

    Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a prévenu les islamistes de Gaza qu’un rejet de l’initiative de paix égyptienne entraînerait une reprise, voire un élargissement de l’opération Bordure protectrice.


    « Si le Hamas n’accepte pas la proposition égyptienne, et tout porte à croire qu’il en sera ainsi, Israël aura toute la légitimité internationale pour élargir son opération militaire en vue de ramener le calme », a déclaré M. Netanyahou lors d’une conférence de presse conjointe avec le chef de la diplomatie allemande Frank-Walter Steinmeier.

    #International
    #Gaza
    #Israël

  •  » [Traduction] L’essor de la Russie vers le pouvoir global, Paul Craig Roberts
    http://www.les-crises.fr/essor-russie-puissance-pcr

    La presse [aux ordres] de Washington favorable aux sanctions contre la Russie fait face à un obstacle en Allemagne. La chancelière allemande, Angela Merkel, est le vassal de Washington, mais le ministre des Affaires Etrangères allemand, Frank-Walter Steinmeier, et l’industrie allemande ne sont pas favorables aux sanctions. En plus de la dépendance de l’Allemagne au gaz naturel russe, des milliers d’entreprises allemandes font des affaires en Russie, et l’emploi de plusieurs centaines de milliers d’Allemands est dépendant des relations économiques avec la Russie. Les anciens chanceliers allemands, Helmut Schmidt et Gerhard Schröder, ont tancé Merkel pour sa soumission à Washington. La position de Merkel est faible, parce qu’elle s’est bêtement mise elle-même dans la position où elle sacrifie les intérêts de l’Allemagne en faveur des intérêts de Washington.

    Poutine, qui a démontré qu’il n’était pas un politicien débile typique de ce qu’on trouve en Occident, voit dans le conflit entre les pressions américaines sur l’Allemagne et les intérêts réels Allemands une chance de briser l’OTAN et l’UE. Si l’Allemagne décide, comme M. Ianoukovitch l’a fait, que les intérêts de l’Allemagne se trouvent dans ses relations économiques avec la Russie, et non en étant un état marionnette de Washington, peut-être Washington décidera-t-elle de renverser le gouvernement Allemand et installera-t-elle une marionnette plus fiable ?