person:gaulle

  • Le boxeur comme métaphore - Mediapart

    https://www.mediapart.fr/journal/france/070519/le-boxeur-comme-metaphore?onglet=full

    Le boxeur ainsi surgi, #Christophe_Dettinger, allait payer très cher son fait d’armes sans la moindre arme. L’appareil d’État, épaulé par des médias malléables et une justice aux ordres, allait fondre sur cette proie transformée en chasseur, en tourmenteur, en martyriseur des braves forces de l’ordre.

    La vérité, c’est le mensonge et tous les coups sont donc permis, de la part d’une classe possédante retrouvant ses réflexes versaillais face à la Commune : ô panique de ne pas avoir le dessus, inédite depuis 1871 ! Le boxeur salutaire serait transformé en barbare ; du reste n’était-il pas « gitan » ?…

    Face à un tel enfumage des biens-pensants, le journaliste Antoine Peillon prend la plume et publie, quatre mois plus tard, Cœur de boxeur. Le vrai combat de Christophe Dettinger, aux éditions – si bien nommées – Les Liens qui libèrent.

    Grand reporter à La Croix, Antoine Peillon ne se livre pas à une angélophanie : le boxeur n’est pas ailé. Ni à une béatification immédiate (« Santo subito ! ») : le boxeur ne porte pas d’auréole. Dans son avant-propos, l’auteur se situe néanmoins du côté de l’apologie : « Mais il faut entendre “apologie” au sens de justification, de défense, en aucun cas d’idolâtrie. »

    Pour ce faire, Cœur de boxeur propose trois stations : un arrêt sur images (revenir sur ce que dévoyèrent les commentateurs macroniens) ; un arrêt sur ripostes politiques (revenir sur les cataractes de déclarations malsaines, à commencer par celles du président de la République sur le supposé parler « gitan » du boxeur ainsi cloué au pilori) ; un arrêt sur dénis de justice (la vendetta orchestrée à l’encontre d’un homme à briser).

    Malgré quelques défauts fiévreux – Antoine Peillon s’abrite trop souvent derrière des citations de grands auteurs décrochées comme des étoiles et son essai hésite entre deux focales : la lettre ouverte à « cher Christophe Dettinger » et des philippiques récapitulatives à l’encontre d’un pouvoir qui ose tout –, le livre fait terriblement mouche. Le boxeur apparaît telle la métaphore de l’injustice acharnée qui nous pend au nez en cette macronie galopante.

    Laissons de côté le rôle et les réactions du triste sieur Castaner – l’un des ministres de l’intérieur les plus nuls que la France ait eu à subir : il « n’a rien eu que de vulgaire et de subalterne » (pour paraphraser de Gaulle à propos de l’affaire Ben Barka). Remontons au chef de l’État, Emmanuel Macron, qui s’est montré sans frein, sans éthique, sans surmoi ; quasiment du même ordre (nouveau) que l’horreur lepéniste qu’il était censé conjurer.

    Voici en effet ce qu’écrit Antoine Peillon : « Le 31 janvier, devant un cénacle de “journalistes de cour” (expression du clairvoyant Claude Askolovitch) conviés à participer à une “conversation libre” (en off) dans son bureau à l’Élysée, le Prince se lâchait : “Le boxeur, la vidéo qu’il fait avant de se rendre, il a été briefé par un avocat d’extrême gauche. Ça se voit ! Le type, il n’a pas les mots d’un Gitan. Il n’a pas les mots d’un boxeur gitan…” »

    Le livre rapporte ensuite les propos, sur France Info le 2 février, de Laurence Léger, avocate de ce boxeur ainsi lynché par un président autocrate faisant fi de la séparation du pouvoir politique et du pouvoir judiciaire : « Je suis abasourdie et stupéfaite. Qu’est-ce que c’est les mots d’un Gitan ? Qu’est-ce que ça suppose comme sous-entendus ? Ça voudrait dire quoi, que les Gitans ne parlent pas français, peut-être ? Ou qu’ils le parlent moins bien que les autres ? Ou que les Gitans sont moins français que les autres, ou des citoyens de seconde zone ? Je dis que ce sont des propos extrêmement graves, extrêmement choquants, ça a un nom, ça s’appelle du racisme, de la discrimination, et venant d’un chef de l’État, je pense que ce n’est pas digne d’un président. »

    Les classes possédantes ont tout fait pour « lepéniser » les gilets jaunes, mais c’est bien le président de la République, dans sa sainte trouille, qui parlait et pensait comme Marine Le Pen.

    Antoine Peillon revient, de surcroît, sur le procès en antisémitisme, vicieux et vicié, fait à l’ensemble des gilets jaunes : « Je me suis battu pendant de nombreuses années, contre l’antisémitisme et tous les racismes, quels qu’ils soient. À mes risques et périls et à ceux de ma famille, de mes enfants. Je n’entrerai pas dans le détail. Et je ne tolérerai jamais la moindre parole ni le moindre acte antisémite. Mais je n’accepte pas plus et n’accepterai jamais une quelconque instrumentalisation, surtout politicienne, de la lutte contre cette “peste”. »

    Calomnié, souillé, déshonoré, Christophe Dettinger se révèle donc comme le symbole d’un mouvement sciemment caricaturé par le gouvernement et ses relais.

    Alors Antoine Peillon décrasse la crasse ainsi jetée sur un homme caractéristique. Un passage clef revient sur les coups donnés par le boxeur à un représentant des forces de l’ordre à terre, toujours sur la passerelle Léopold-Sédar-Senghor, le 5 janvier dernier. Que s’est-il passé ? Comme il le précisera lors de sa garde à vue deux jours plus tard, le futur inculpé pour « atteinte à l’autorité et à l’image de l’État » a vu, entre autres violences, les gendarmes mobiles « donner des coups de matraque à une femme au sol, avec un manteau rouge ». Alors il a volé à son secours, obtenant le dessus pour arracher cette femme à la géhenne des pandores.

    Le boxeur et le gendarme à terre © Mediapart

    En guise d’offre de preuve, Antoine Peillon retranscrit le témoignage de la dame au manteau rouge, diffusé par RTL le 8 janvier : « J’étais déjà au sol, en boule, et Christophe Dettinger est venu, a pris le CRS qui était en train de me frapper et l’a enlevé. Il m’a sauvé la vie […] Je marchais en famille, je me suis retrouvée par terre, au sol. Un policier m’a donné des coups de matraque et des coups de pied. Un autre a essayé de l’arrêter en disant : “Arrête de taper, arrête de taper”, puisque je n’avais rien fait, je ne faisais que marcher. Le policier n’arrivait pas à arrêter son collègue qui était déchaîné, et Monsieur Dettinger est arrivé, a pris le policier et l’a enlevé de moi. J’ai reçu des coups de matraque dans la bouche, dans les dents, des coups de pied dans les côtes. Et comme j’ai un problème pulmonaire, si j’avais reçu trop de coups trop longtemps, j’y passais. Donc, il m’a sauvé. Il m’a sauvé la vie. »

    Lors de sa garde à vue, le boxeur a dit, à propos du garde mobile contre lequel il avait un instant retourné la violence : « J’ai vu dans son regard la peur, j’ai donc arrêté. » N’ont pas de tels scrupules les forces de l’ordre lâchées par le ministre Castaner contre les gilets jaunes, au risque de terribles « paponnades », avec les éborgnements et autres plaies irrémédiables au visage que nous savons…

    Une fois nettoyés par le livre de tous les bobards déversés à son encontre (notamment à propos de ses gants qui n’étaient pas renforcés de plomb contrairement à ce qu’affirma France 2), Christophe Dettinger apparaît tels que le décrit Me Henri Leclerc, lors de son procès : « J’ai vu un homme simple, un homme du peuple, qui s’est cultivé, pour progresser. J’ai vu un homme qui était bouleversé par ce qu’il avait fait. Cet homme, je peux dire tranquillement qu’il est adoré de partout. »

    Tous les témoignages produits « en justice » insistent sur l’altruisme du boxeur. Et la présidente du tribunal est obligée de convenir que des lettres de soutien affluent par caisses – toutes affirment que le prévenu est « quelqu’un de gentil ». Qu’à cela ne tienne ! En prétendant dire le droit, le tribunal correctionnel de Paris acquiesce au désir du pouvoir : Christophe Dettinger a été condamné à 30 mois de prison. Douze ferme – ensuite aménagés en semi-liberté : travail le jour, cellule la nuit –, suivis de dix-huit avec sursis et mise à l’épreuve. C’était le 13 février 2019.

    Le jour même, rappelle Antoine Peillon, Jérôme Cahuzac voyait sa demande d’aménagement de peine acceptée par un juge d’Ajaccio – il échappait donc ainsi à la prison remplacée par un simple bracelet électronique.

    « Selon que vous serez puissant ou misérable/ Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. » Avec un supplément d’ignominie depuis La Fontaine. La plateforme Leetchi bloque la cagnotte en ligne destinée au boxeur (double peine). La mairie d’Arpajon le met à pied le 21 mars (triple peine). Tout cela contre un homme qui avait déclaré en janvier : « Je manifeste pour tous les retraités, le futur de mes enfants, les femmes célibataires. Je suis un gilet j’aune, j’ai la colère du peuple qui est en moi. » Et qui récidivait en mars : « Je suis gilet jaune et je resterai gilet jaune. Vivent les gilets jaunes ! »

  • Qu’a-t-il donc compris? - Le Courrier
    https://lecourrier.ch/2019/04/25/qua-t-il-donc-compris

    Annonce d’une baisse de l’impôt sur le revenu – mais pas le retour de l’impôt sur la fortune (ISF) – tout en promettant de renforcer les services publics, ce qui nécessitera une réduction de la dépense publique… Vous avez dit antinomique ? Aux Français qui souffrent des emplois précaires aboutissant à de maigres retraites, il répond allongement du travail. Emmanuel Macron a eu beau marteler qu’il fallait « réhumaniser [son] projet de transformation de la société », l’intention est de poursuivre au pas de charge des réformes ultralibérales qui ont mis le pays à feu et à sang.

    Littéralement. Car sa méthode pour calmer les foules réside dans la répression par les forces de l’ordre. Gardes à vue à la pelle, fichage des manifestants depuis les hôpitaux de Paris, violences policières y compris envers des personnes pacifiques. On répondra qu’il y avait des casseurs, des insultes racistes et antisémites dans les cortèges… La France en est arrivée à l’arbitraire, la punition collective, sans droit à un jugement équitable.

    • J’ai eu la malchance de pouvoir écouter la radio d’état entre 17h et 18h hier, sur la route. Des tas de gens importants commentaient la prochaine intervention du Président.

      A aucun moment il n’a été supposé sérieusement que ce régime n’en avait rien à carrer de répondre sérieusement à l’instant présent.

      En fait, personne n’a supposé sérieusement qu’en fait, le Président avait l’intention de faire un bras d’honneur, de mépriser sans l’ombre d’une hésitation, l’ensemble de cet exercice, qui est de parler à ceux qu’il gouverne. Pour la simple raison qu’il doit le pouvoir à d’autres que ceux-ci, et que ceux qui sont gouvernés sont là pour obéir... et pas pour qu’on leur rendre des comptes.

      La semaine dernière, j’ai eu la malchance d’écouter l’allocution du Président qui a eu lieu juste après l’incendie. J’ai été affligé par la vacuité des mots prononcés, par l’absence de recherche. Non pas que l’instant en réclamait de particuliers. Mais s’il pouvait seulement s’exprimer pour dire quelque chose. Mais non. C’est comme la première citation de cet article du Courrier. Tu te demandes comment il est possible que nous ayons désormais des gens à ce point incapables de s’exprimer d’une façon qui impose un minimum de respect.

      «Je crois que j’ai compris beaucoup de choses»

      Je crois que ce Monsieur se moque de nous.

      Hier soir, les journalistes de la radio d’état nous gratifiaient de quelques enregistrements de De Gaulle ou Pompidou... même pas les meilleurs. Mais malgré tout. Et quoiqu’on pense de ces deux là. Au moins, quand ils s’exprimaient, les mots venaient naturellement... et pas sous forme de jets discontinus, comme Hollande ou Sarkozy avant lui.

      Ils se foutent de nous. Et lui particulièrement visiblement.

    • Je découvre la seconde citation :

      « Je crois aux symboles et à l’esprit du temps »

      C’est clair. Il se fout de nous.

      Les symbôles dont il nous parle, même pas au second degré, ce sont bien ceux-là :
      – 48h de GAV pour Glanz et tous les autres dont on ne parle pas ;
      – LBD dans la tête, et lacrimos y compris pour les enfants ;
      – Mise au pas de toutes les voix dissonantes (Yémen, NDDP, ...)

    • Il a compris qu’il pouvait dire n’importe quoi, mentir comme un vendeur de voiture d’occasion, car il a compris qu’il n’y aura aucune conséquences pour lui et ses ami·es de LaREM, et que même peut-être ils arriveraient en tête aux prochaines européennes à défaut d’alternatives crédible.

    • Tout est dans ce mot « crédible » et ce que nous croyons lui donner comme sens. Nous sommes à un tel point de sidération que nous ne sommes plus capables de reconnaître ce qui est crédible et ce qui ne l’est définitivement pas. Quand on juge crédible des gens qui mentent et qui estropient, c’est qu’on est arrivé à un point franchement inquiétant.

      Notre génération (on peut ajouter celle d’avant et celle d’après, tiens, je suis généreux) est à un point d’apolitisme crétin, que... ça en est sidérant, tiens.

      Quand les seuls qui ont un discours et un projet politique - au semble noble du terme - sont désignés comme les seuls dangers... dans l’esprit de la majorité des citoyens... c’est qu’il y a un vrai problème de culture politique. Voire d’intelligence tout court.

      Je vous l’ai déjà dit que je ne peux plus causer politique avec les gens que je côtoie sans être affligé par ce que j’entends ?

      « oh je sais pas pour qui voter ils sont tous nuls »
      "oh non pas lui, il est trop agressif"
      « oh non pas elle, elle est pas crédible »
      "oh non pas lui, il a pas de doudou comme le mien"

    • J’ai commencé par le regarder à la tv, sa gueule ne me revenant décidément pas, je me suis allongé en l’écoutant à la radio. 10 mn plus tard je me suis assoupi (il aurait récité l’annuaire que c’était pareil) une heure après, il causait toujours. C’est quand même dingue, ces gens qui n’ont rien à dire et qui cause tout le temps. Et tous les médias de retranscrire la parole présidentielle et de nous traduire la parole du premier de cordée, des fois qu’on n’aurait pas compris qu’il nous prend pour des cons.

    • Whoua, je découvre via @rezo et @monolecte que comme d’habitude, je suis loin d’être le premier à avoir dit la même chose, mais en moins bien :
      https://seenthis.net/messages/776978

      Nous sommes à peine capables de penser. Usés par des décennies de bourrages de crâne en tous genres. S’il ne doit rester que quelques mots de Slavoj Zizek, c’est ce constat : Nous arrivons plus facilement à imaginer la fin du monde que la fin du capitalisme. On peut prolonger : Nous croyons plus au capitalisme qu’au monde. Nous croyons plus aux capitaux, aux cathédrales et aux machines, qu’aux êtres vivants, à nous et à nos enfants. Nous ne savons plus ce qui est important, ou alors si mal, si difficilement, si laborieusement. Wir sind die Roboter.

  • https://www.nytimes.com/2019/01/28/world/europe/france-yellow-vests-police.html#commentsContainer

    https://www.youscribe.com/BookReader/Index/3036744/?documentId=3427531

    C’est plus qu’une tactique policière mas il s’agit d’un stratégie de l’Élysée . D’ailleurs, il y aura ,le mois prochain,une grève générale dans toute la France ,initiée par les syndicats.

    Les gens ont droit de manifester leur colère ,cela fait partie de la démocratie à la française mais par contre qu’un président de la république ment à Sissi c’est une faute grave . Sissi est un dictateur que cela y va de soi de mentir mais Macron n’a pas le droit car il existe plusieurs manifestants qui sont cadenassés et pourtant ils n’ont rien cassé.

    Et puis d’un autre côté, quand la police s’arme et tire des projectiles y compris de caoutchouc, c’est un interdit par la loi française . Et j’ajouterai que la police s’arme et les policiers qui cachent leur visage , c’est sur ordre de l’Élysée ou exactement les lobbys qui ont fait élire Macron . On pourrait facilement imaginer que parmi les visages cachés il y a un certain Alexandre Benalla ou carrément un BHL (Henri Levy) .

    La doléance des manifestants est juste ,à savoir la démission de Macron car ce dernier est dans l’incapacité de trouver une solution plus globale . Pour la simple raison, Macron paye les pots cassés de tous ces prédécesseurs (au moins depuis Mitterrand !). Et puis, que fait la déontologie de la police avec ce service ’’la police de la police’’. Il ne faut pas oublier que tous les tués depuis le début des manifestations c’est la police qui est responsable et si démocratie existe en France il faut traduire ces policiers en justice et par voie de conséquence, les donneurs d’ordre et donc cela mènerait automatiquement à la démission de Macron.

    Ce dernier est aller donne des aides financière à l’Égypte de Sissi et donc de s’inspirer de la police égyptienne qui est partout dans la TV et publique et privée en Egypte et dans les entreprises...une omniprésence ; des écoutes et des cameras chez tous les dissidents égyptiens...

    On est alors en mesure de dire que Macron est venu au Caire pour chercher des conseils de la police égyptienne et de coloniser l’Égypte de Sissi car ce dernier sait que Macron peut le protéger car ils sont dans le même bateau...

    Les ’’gilets jaunes’’ ont droit d’étendre leur mouvement aux syndicats ,aux mouvements politiques de tout bord,ont le droit d’exiger des élections anticipées et ont droit finalement de faire appel à l’armée de terre pour rétablir l’ordre et de contrer cette police qui croit tout permis, avec une sixième république, comme cela fut en 1958 avec un général de brigade à la retraite du nom Charles De Gaulle

    Et au passage, il y a beaucoup d’officiers militaires français à la retraite ou en activité qui sont près à assumer la responsabilité de l’État français.

    Le groupe de pression derrière Macron sait pertinemment,tout cela mais préfère attendre’’wait and see’’ qui fait partie de leur système de pensée. Les policiers français ressemble de plus en plus à leurs collègues marocains,algériens,égyptiens...car il ne faut pas oublier non plus, la grande crainte de l’Élysée est que les 4 millions d’immigrés marocains et autant d’algériens et d’égyptiens rentrent dans la danse et se font inviter dans ce beau mouvement des gilets jaunes .

    L’une des tractations de Macron avec Sissi est que ce dernier puisse accepter tous les immigrés égyptiens expulsés de France car si Sissi refuse ,il y aura effusion de sang et avec les égyptiens, les marocains, les algériens...il s’agit en effet d’une véritable guerre civile.

    Et Macron est déjà en négociation, me semble-t-il avec les autres pays arabes. Car c’est la logique politique même . Il est un fait que Macron trouve le besoin(quand je dis Macron c’est le groupe de pression qui est derrière, qui dicte à Macron les prorogatifs …) d’ouvrir un nouveau champ celui de la colonisation de l’Égypte ; il y a tant de chose à faire si ce n’est l’exploitation en pétrole du Sahara de Sinaï ...

  • « J’accuse M.Macron d’agir sciemment en vue de liquider la souveraineté et l’indépendance de la France » Entretien avec l’amiral Michel Debray (Agoravox.fr)
    hreflang="fr">https://www.crashdebug.fr/actualites-france/15555-j-accuse-m-macron-d-agir-sciemment-en-vue-de-liquider-la-souveraine

    Michel DEBRAY est une des figures de la défense nationale, une voix écoutée : vice-amiral en deuxième section, il a occupé le commandement d’un groupe aéronavale. Il est également ancien Président de l’Institut Charles de Gaulle, aujourd’hui disparu. Co-signataire d’un appel pétition lancé il y a deux mois contre l’institution d’une armée européenne au coté de Pierre Pranchère, ancien député, résistant FTP et vice président du PRCF, il a accepté de répondre aux questions d’Initiative Communiste. Cela alors que Macron signe un scandaleux traité de collaboration avec l’Allemagne de Merkel, réduisant encore la souveraineté nationale et asservissement encore d’avantage la République à l’Union Européenne et à l’OTAN. Voici les réponses apportées par l’Amiral Debray aux questions posées par Initiative Communiste. (...)

  •  » [URGENT] Texte intégral et analyse du Traité franco-allemand d’Aix-La-Chapelle qui sera signé le 22 janvier
    https://www.les-crises.fr/urgent-texte-integral-et-analyse-du-traite-franco-allemand-daix-la-chapel

    Le Traité franco-allemand d’Aix-La-Chapelle va être signé le 22 janvier par Emmanuel Macron et Angela Merkel.

    Il s’appuiera sur le traité de l’Elysée, signé à Paris en 1963 par Charles de Gaulle (qui doit se retourner dans sa tombe…) et Konrad Adenauer. On notera le symbole, passant de l’Elysée à la ville de l’empereur Charlemagne.

    Comme il y a beaucoup de fantasmes et de fake news délirantes autour de celui-ci, en voici le texte intégral pour que vous puissiez vous faire votre avis.

    Il est cependant frappant de voir comme beaucoup de grands médias mettent en avant les quelques petits points positifs (“simplifications pour les frontaliers”), sans parler des gros points négatifs… (voir les articles de presse ici ou là par exemple)

    Nous avons mis en gras ou fluo les points qui posent question.

    Enfin soulignons à quel point il est choquant de découvrir de telles choses une semaine à peine avant leur signature…

  • [URGENT] Texte intégral et analyse du Traité franco-allemand d’Aix-La-Chapelle qui sera signé le 22 janvier
    https://www.les-crises.fr/urgent-texte-integral-et-analyse-du-traite-franco-allemand-daix-la-chapel

    Le Traité franco-allemand d’Aix-La-Chapelle va être signé le 22 janvier par Emmanuel Macron et Angela Merkel. Il s’appuiera sur le traité de l’Elysée, signé à Paris en 1963 par Charles de Gaulle (qui doit se retourner dans sa tombe…) et Konrad Adenauer. On notera le symbole, passant de l’Elysée à la ville de l’empereur Charlemagne. […]

  • Mélenchon mollo sur la terreur | Pierre Leibovici et Grégoire Normand
    http://owni.fr/2012/04/02/melenchon-mollo-sur-la-terreur

    Pour justifier son refus de polémiquer sur l’islamisme en France, Jean-Luc Mélenchon a utilisé des chiffres. Bien sûr vérifiés par l’équipe du Véritomètre. Dans le classement de la crédibilité des personnalités politiques d’OWNI / i>TELE , Charles de Gaulle s’effondre après une mauvaise prestation à Rennes, le 27 juillet 1947.

    #Chronique #Politique #Pouvoirs #Charles_de_Gaulle #François_Bayrou #industrie_automobile #Jean-Luc_Mélenchon #terrorisme #Tour_de_France #véritomètre