person:geert wilders

    • Des milliardaires américains financent discrètement des campagnes de désinformation en Europe
      (Nooooon !?)

      Un petit groupe de très riches américains soutient indirectement plusieurs sites de « réinformation » et de campagnes publicitaires en ligne en Europe.

      Il n’y a pas que les Etats qui mènent des opérations de désinformation. Depuis plusieurs années, un petit groupe de milliardaires américains, qui financent dans leur pays l’aile droite du Parti républicain, ont aussi soutenu des campagnes de diffusion de fausses informations dans plusieurs pays de l’Union européenne.

      Contrairement aux agents de l’Internet Research Agency – l’organisation russe de propagande en ligne –, ces hommes d’affaires ne disposent pas d’équipes nombreuses, ni d’armées de faux comptes sur Twitter ou Facebook. Mais leur argent leur permet de financer de petits groupes d’activistes et des entreprises de communication politique spécialisées, dont l’action est ensuite démultipliée en ligne par l’achat de publicités sur les réseaux sociaux pour diffuser leur message.

      Au cœur du dispositif se trouve notamment Robert Mercer, le codirigeant du puissant fonds d’investissement Renaissance Technologies, et sa fille Rebekah, qui ont financé le lancement de Breitbart News, le site conspirationniste fer de lance de l’« alt-right » (« droite alternative », mouvance d’extrême droite) et de la campagne de Donald Trump. Steve Bannon, l’ancien conseiller du président, en était le rédacteur en chef. « Ce sont les Mercer qui ont posé les bases de la révolution Trump, expliquait M. Bannon en 2018 dans un entretien au Washington Post. Si vous regardez qui sont les donateurs politiques de ces quatre dernières années, ce sont eux qui ont eu le plus grand impact. »

      Vidéos des « gilets jaunes »
      Mais la générosité des Mercer ne s’arrête pas aux frontières des Etats-Unis. Ils financent également l’institut Gatestone, un think tank néoconservateur orienté vers l’Europe, qui publie des articles dans de nombreuses langues, dont le français. Mais aussi le média canadien The Rebel, qui s’intéresse beaucoup à l’actualité du Vieux Continent.

      #paywall (frustrant, vu l’intertitre…)

    • Des milliardaires américains financent discrètement des campagnes de désinformation en Europe (in extenso)
      https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/03/07/des-milliardaires-americains-financent-discretement-des-campagnes-de-desinfo

      Un petit groupe de très riches américains soutient indirectement plusieurs sites de « réinformation » et de campagnes publicitaires en ligne en Europe.

      Il n’y a pas que les Etats qui mènent des opérations de désinformation. Depuis plusieurs années, un petit groupe de milliardaires américains, qui financent dans leur pays l’aile droite du Parti républicain, ont aussi soutenu des campagnes de diffusion de fausses informations dans plusieurs pays de l’Union européenne.

      Contrairement aux agents de l’Internet Research Agency – l’organisation russe de propagande en ligne –, ces hommes d’affaires ne disposent pas d’équipes nombreuses, ni d’armées de faux comptes sur Twitter ou Facebook. Mais leur argent leur permet de financer de petits groupes d’activistes et des entreprises de communication politique spécialisées, dont l’action est ensuite démultipliée en ligne par l’achat de publicités sur les réseaux sociaux pour diffuser leur message.

      Au cœur du dispositif se trouve notamment Robert Mercer, le codirigeant du puissant fonds d’investissement Renaissance Technologies, et sa fille Rebekah, qui ont financé le lancement de Breitbart News, le site conspirationniste fer de lance de l’« alt-right » (« droite alternative », mouvance d’extrême droite) et de la campagne de Donald Trump. Steve Bannon, l’ancien conseiller du président, en était le rédacteur en chef. « Ce sont les Mercer qui ont posé les bases de la révolution Trump, expliquait M. Bannon en 2018 dans un entretien au Washington Post. Si vous regardez qui sont les donateurs politiques de ces quatre dernières années, ce sont eux qui ont eu le plus grand impact. »

      Vidéos des « gilets jaunes »

      Mais la générosité des Mercer ne s’arrête pas aux frontières des Etats-Unis. Ils financent également l’institut Gatestone, un think tank néoconservateur orienté vers l’Europe, qui publie des articles dans de nombreuses langues, dont le français. Mais aussi le média canadien The Rebel, qui s’intéresse beaucoup à l’actualité du Vieux Continent. En 2017, l’un de ses salariés, Jack Posobiec, avait très largement contribué à la diffusion des « MacronLeaks », ces e-mails volés à plusieurs membres de l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron publiés en ligne deux jours avant le deuxième tour de la présidentielle française. M. Posobiec avait été l’un des premiers à évoquer la publication des documents, et permis leur diffusion très rapide dans les sphères de la droite américaine.

      Lire sur le sujet :
      « MacronLeaks », compte offshore : l’ombre des néonazis américains
      La longue traîne des activités de Rebel Media Group, l’éditeur de The Rebel, s’étend sur plusieurs pays. En France, récemment, le site a envoyé son correspondant à Londres, Jack Buckby, et l’une de ses collaboratrices, Martina Markota, pour filmer des vidéos sensationnalistes des manifestations des « gilets jaunes ». Martina Markota, qui est Américano-Croate, mène aussi d’autres projets en Europe pour Rebel Media, comme ces vidéos consacrées à la « résistance culturelle » en Pologne ou sur les « mensonges des médias sur la patriotique Croatie ».

      La ligne du site et de ses différentes filiales est proche de celle de Breitbart News : ses articles dénoncent pêle-mêle l’immigration, l’islamisme, les gauches américaines, canadiennes, européennes… Le site dépeint une Europe au bord de l’effondrement, notamment à cause de l’immigration, et a fait campagne pour le Brexit.

      Sollicité par Le Monde, Ezra Levant, le fondateur de Rebel Media, n’a pas répondu à nos questions. Dans un courriel, il a estimé que « Le Monde qui fait un article sur l’ingérence étrangère, c’est comme si Harvey Weinstein dirigeait une enquête sur le harcèlement sexuel ». Il a par ailleurs demandé s’il devait transmettre ses réponses « à votre agent traitant à l’ambassade de Russie » – référence à une supposée instrumentalisation du Monde par le KGB pendant la guerre froide.

      « Haine et désinformation »

      Rebel Media bénéficie d’un autre soutien financier de poids. Le milliardaire Robert Shillman, qui a fait fortune dans les machines-outils avec sa société Cognex, a contribué à payer les salaires de journalistes du site. M. Shillman finance de très nombreux projets anti-islam, dont le centre Horowitz, décrit par l’organisation de lutte contre la haine SPLA comme la source « d’un réseau de projets donnant aux voix antimusulmanes et aux idéologies les plus radicales une plate-forme pour diffuser la haine et la désinformation ».

      Si l’investissement détaillé de M. Shillman dans Rebel Media n’est pas connu, en revanche, il est public que le milliardaire a financé les salaires de plusieurs « Shillman Fellows », qui travaillent ou ont travaillé pour Rebel Media. Par ses différentes fondations et des attributions de bourses (« fellowships »), M. Shillman a ainsi financé plusieurs groupes et militants d’extrême droite en Europe. Aux Pays-Bas, il est un important soutien du chef de file d’extrême droite Geert Wilders, qui reçoit depuis des années des aides par le biais de la fondation Horowitz. L’extrême droite américaine, qui admire M. Wilders et voit dans les Pays-Bas un terrain de lutte privilégié, y finance divers canaux de propagande politique.

      L’institut Gatestone, par exemple, qui a financé la production de vidéos dans le pays par Rebel Media, et notamment Gangster Islam, un petit film anti-immigration du journaliste Timon Dias, « fellow » rémunéré de l’institut. M. Dias a depuis lancé un projet de site anglophone d’actualité « branchée » et très à droite, The Old Continent, et travaille en parallèle pour Geenstijl (« aucun style », en néerlandais), un blog « politiquement incorrect » régulièrement accusé de sexisme et de racisme.

      Mais le rôle de Rebel Media et de ses généreux donateurs est encore plus surprenant dans les pays anglophones d’Europe. Fin 2018, The Times révélait que quatre militants de l’extrême droite britannique avaient bénéficié d’une bourse financée par Robert Shillman, et avaient été salariés par Rebel Media avec un financement du milliardaire américain. Ce petit groupe était dirigé par Tommy Robinson, fondateur du groupuscule d’extrême droite English Defense League et proche du parti UKIP et de son ex-chef Nigel Farage.

      Publicité anti-IVG

      Le groupe écrivait des articles et des vidéos anti-immigration et pro-Brexit. Le projet a tourné court en mai 2018, quand M. Robinson a été arrêté et condamné à treize mois de prison pour un reportage provocateur et islamophobe.

      Après son arrestation, Tommy Robinson a été l’objet d’articles prenant sa défense dans l’ensemble des médias financés par Robert Shillman ; le think tank Middle East Forum, qui compte parmi ses principaux contributeurs les frères Charles et David Koch, des milliardaires américains ultraconservateurs, a financé ses frais de justice, comme il l’avait fait en 2009 pour ceux de Geert Wilders.

      Le 26 février, Facebook a annoncé avoir supprimé les comptes de M. Robinson sur Facebook et sur Instagram, en raison de « violations répétées de nos règles, de la publication de contenus déshumanisants et d’appels à la violence contre les musulmans ». La mesure est exceptionnelle pour une figure politique connue ; son compte Facebook comptait plus d’un million d’abonnés ; il ne conserve que sa chaîne YouTube.

      Un autre compte Facebook a été brièvement inaccessible ce 26 février, géré par un homme qui apparaissait souvent dans les vidéos de M. Robinson et faisait partie du petit groupe financé par M. Shillman : Caolan Robertson. Cet ancien salarié de #Rebel_Media, qui a depuis claqué la porte avec fracas en accusant son ex-employeur de malversations financières, est un jeune militant de l’« alt-right », coutumier des coups d’éclat en ligne. En avril 2018, alors que l’Irlande s’apprête à voter pour le référendum sur le droit à l’avortement, sa silhouette apparaît subitement dans les fils Facebook de milliers d’internautes. Dans une vidéo publicitaire, on voit le jeune homme interpeller des femmes qui manifestent en faveur du droit à l’IVG ; le montage est conçu pour leur donner l’air ridicule.

      En quelques semaines, la #vidéo a été vue plus d’un million de fois – dans un pays de 4 millions d’habitants. Qui a financé cette publicité ? M. Robertson a affirmé qu’elle avait été payée par « une entreprise américaine ». Quelques semaines avant le vote, face au tollé suscité en Irlande par les nombreuses campagnes financées par des groupes étrangers et notamment américains, Facebook avait annoncé bloquer toutes les « publicités étrangères » et promis de publier les données liées à ces publicités. Près d’un an plus tard, les données sont toujours en cours de compilation, explique Facebook au Monde, mais devraient être mises en ligne « dans les prochaines semaines ». La vidéo où apparaît Caolan Robertston, elle, est toujours en ligne.

      #moneymakestheworldgoround (sometimes) #conspirationnisme

  • Among economists, there is near-universal acceptance that immigration generates huge benefits

    The progressive case for immigration - Free exchange

    https://www.economist.com/finance-and-economics/2017/03/18/the-progressive-case-for-immigration

    [pay wall]

    “WE CAN’T restore our civilisation with somebody else’s babies.” Steve King, a Republican congressman from Iowa, could hardly have been clearer in his meaning in a tweet this week supporting Geert Wilders, a Dutch politician with anti-immigrant views. Across the rich world, those of a similar mind have been emboldened by a nativist turn in politics. Some do push back: plenty of Americans rallied against Donald Trump’s plans to block refugees and migrants. Yet few rich-world politicians are willing to make the case for immigration that it deserves: it is a good thing and there should be much more of it.

    #migrations

  • The Dutch far-right’s election donors are almost exclusively American
    https://qz.com/928684/the-dutch-far-rights-election-donors-are-almost-exclusively-american

    While Europe has been busy fretting about Russian meddling in its politics, a few Americans have been quietly doing their part to boost the continent’s far right.

    Wealthy American conservatives have poured large sums into the electoral campaign of far-right leader Geert Wilders of the Netherlands’ Dutch Freedom Party, in support of his anti-Islam, anti-EU views.

    Three American donors gave €141,668 ($150,430) to Dutch political parties between 2015 and 2017, according to campaign finance documents released this week by the Dutch interior ministry. Two of these donors funded the far-right Dutch Freedom Party.

  • Pays-Bas : un leader d’extrême droite surveillé pour ses liens avec Israël
    i24news | Publié : 04/12/2016 - 22:03,
    http://www.i24news.tv/fr/actu/international/europe/131785-161204-pays-bas-un-leader-d-extreme-droite-surveille-pour-ses-liens-a

    L’enquête menée par les Services de renseignements néerlandais aurait durée 2 ans

    Le Service de Sécurité néerlandais (AIVD) aurait mené pendant 2 ans, une enquête dans le plus grand secret sur l’homme politique d’extrême droite, Geert Wilders, député et chef du mouvement anti-islam « Parti pour la liberté », et ses liens avec Israël, qui auraient influencé certaines de ces décisions politiques, a révélé vendredi le journal néerlandais De Volkskrant.

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    Des liens entre Geert Wilders et Israël ? Les services secrets hollandais auraient enquêté en 2010
    5 déc. 2016, 18:42
    https://francais.rt.com/international/30187-services-secrets-hollandais-ont-enquete-sur-liens-geert-wilders-i

  • ’Islamic invasion’-touting, Koran-Mein Kampf-equating MP Wilders scoops top Dutch Politician gong — RT News
    https://www.rt.com/news/325958-wilders-politician-year-award

    Right-wing populist Geert Wilders has been named Dutch Politician of the Year for the third time. The anti-immigration and anti-Islam MP likens the Koran to Hitler’s ‘Mein Kampf’ and wants to close national borders to stop an “Islamic invasion.”
    Never before has a politician won the award on three occasions. The Dutch Politician of the Year award is nominated annually by EenVandaag, a news program on public television, following a poll.

    It is great to be chosen by the public as Politician of the Year. It is a huge honor. And an encouragement to fight even harder for the interests of the Netherlands and the Dutch people in 2016,” the leader of the Party for Freedom (Partij voor de Vrijheid, PVV) said.

    Wilders, who had previously scooped the coveted title in 2010 and 2013, garnered a quarter of the more-than-37,000 votes. During a debate on the migrant crisis shortly before the announcement of the result, he shouted that all refugees must leave the country, Dutch website AD.nl reported.

    The PVV is currently the leading party in the Dutch polls, more popular than the two governing coalition parties. The next challenge for Wilders is to become the next prime minister in the 2017 elections.

  • http://www.lepoint.fr/societe/willem-vomit-sur-ceux-qui-subitement-disent-etre-nos-amis-10-01-2015-1895408

    « Nous avons beaucoup de nouveaux amis, comme le pape, la reine Elizabeth ou Poutine : ça me fait bien rire », a-t-il ironisé dans un entretien au quotidien néerlandais de centre gauche Volkskrant : « Marine Le Pen est ravie lorsque les islamistes se mettent à tirer un peu partout. »

    Interrogé sur le soutien du chef de file de l’extrême droite néerlandaise Geert Wilders, Willem persiste et signe : « Nous vomissons sur tous ces gens qui, subitement, disent être nos amis. » De son vrai nom Bernard Holtrop, le dessinateur satirique de 73 ans réside en France depuis de nombreuses années. Il publie ses dessins dans Charlie Hebdo et dans le quotidien Libération.

    …et http://seenthis.net/messages/328954

  • Lalibre.be - Geert Wilders pour l’ouverture de centres de demandeurs d’asile à l’étranger

    Geert Wilders estime que ce plan offre "de spectaculaires avantages.

    http://www.lalibre.be/actu/international/article/756367/geert-wilders-pour-l-ouverture-centres-de-demandeurs-d-asile-a-l-etranger.ht

    Mis en ligne le 22/08/2012

    Le parti populiste néerlandais PVV veut dorénavant s’occuper des demandeurs d’asile depuis l’étranger. Selon son leader Geert Wilders, les centres de demandeurs d’asile doivent être établis dans des pays comme la Roumanie, annonce le quotidien néerlandais Algemeen Dagblad (AD) mercredi. Dans le plan du PVV, tout demandeur d’asile qui se présente aux Pays-Bas sera directement mis dans un avion. Une fois à l’étranger, il pourra attendre la décision relative à son permis de séjour.

    #migrations #asile #pays-bas #camps-enfermement

  • Norvège : Le carnage d’Oslo, un symptôme des dérives de la pensée intellectuelle occidentale | René Naba | Actualité et Flashback
    http://www.renenaba.com/norvege-le-carnage-d’oslo-un-symptome-des-derives-de-la-pensee-intellectue

    Parmi ces opérations médiatiques, à dividendes électoraux, il importe de signaler le déplacement d’une impressionnante délégation de près de trente-cinq parlementaires et responsables européens d’extrême droite, effectué le 18 décembre 2010 en Israël, durant les vacances de Noël. La délégation couvrait toute la gamme des sensibilités droitières européennes, des populistes de l’UDC aux fascistes suédois, dont le lien commun était une égale islamophobie, amplifiée par le passé nazi ou antisémite avéré de certains des participants.

    La délégation était composée des personnalités suivantes : Geert Wilders, fondateur du PVV (Partij voor de Vrijheid, Parti pour la Liberté), parti populiste néerlandais, Filip Dewinter et Frank Creyelman (responsable de la commission des affaires étrangères, Parlement belge), Heinz-Christian Strache (successeur de Jorg Haïder), René Stadtkewitz (président du Parti de la Liberté Wilderien, Allemagne), Kent Ekeroth (responsable du Parti des Démocrates Suédois), des Suisses et bien évidemment des Danois, dont l’extrême-droite est ouvertement atlantisme.

    [...]

    La délégation se réclamait d’une « European Freedom Alliance (EFA) » qui n’est autre que le nom de la branche européenne de l’« American Freedom Alliance », une de ces officines néo conservatrices islamophobes financées par la lobbyiste milliardaire Aubrey Chernick. Cette dernière a signé une « Déclaration de Jérusalem », qui propose une alliance des démocraties contre « une nouvelle menace globale de type totalitaire : l’islamisme ».

  • Adieu à la tolérance néerlandaise | Rinke Van den Brink
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/01/VAN_DEN_BRINK/20032

    Des tribuns virulents, tel M. Geert Wilders, ont accompagné de leurs diatribes l’essor d’une extrême droite qui, il y a quinze ans, était quasi inexistante aux #Pays-Bas. / Pays-Bas, Élections, Extrême droite, #Idéologie, #Immigrés, #Islam, #Migrations, Parti politique, #Politique, #Racisme - (...) / Pays-Bas, Élections, Extrême droite, Idéologie, Immigrés, Islam, Migrations, Parti politique, Politique, Racisme - 2011/01

    #Élections #Extrême_droite #Parti_politique #2011/01