person:greg smith

  • 50 avions de 200 à 300 places immobilisés 3 mois : coût faible… Argh !
    En revanche, le coût de la remise à niveau des appareils doit, en effet, être insignifiant par rapport au coût faible ci-dessus…

    #Boeing 787 : pourquoi Boeing maintient son objectif de livraisons
    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20130424trib000761468/boeing-787-pourquoi-le-constructeur-maintient-son-objectif-de-livraisons-.

    Le directeur financier Greg Smith a refusé de chiffrer le coût de l’interdiction de vol du 787 pour Boeing, affirmant qu’il n’était pas important et que le coût par unité des réparations, la mise au point d’une solution et les tests de re-certification de la batterie étaient « insignifiants » sur l’ensemble du programme. Selon lui, le 787 devrait devenir rentable par unité pour le groupe « d’ici deux ans ». Son PDG, Jim McNerney a, également refusé de chiffrer ou détailler les demandes d’indemnisations de ses clients pour les frais que leur aura occasionné l’interdiction de vol du 787. Greg Smith a souligné que Boeing n’avait pas d’obligation « contractuelle » de les indemniser mais que le groupe « allait coopérer avec ses clients de diverses manières pour s’assurer que les perturbations engendrées ne se répercutent pas sur leurs résultats ».

  • Why I Am Leaving Goldman Sachs - NYTimes.com
    http://www.nytimes.com/2012/03/14/opinion/why-i-am-leaving-goldman-sachs.html

    Greg Smith is resigning today as a Goldman Sachs executive director and head of the firm’s United States equity derivatives business in Europe, the Middle East and Africa.

    ça me rappelle ce billet d’octobre 2008 http://blog.mondediplo.net/2008-10-19-Adieux-a-la-finance qui faisait référence à une lettre du même genre d’Andrew Lahde :

    Andrew Lahde est un financier riche à mourir. Mais envahi d’un inexplicable dégoût et décidé à tirer sa révérence. Le milieu qui a fait sa fortune, il l’abhorre. En fait il est pareil à lui, et en même temps si différent. C’est peut-être cette ambivalence qui explique la violence de ses sentiments – dans bon nombre de milieux sociaux , la position du reflet difforme est la pire de toutes. Pareil à son milieu, Andrew Lahde l’est assurément. On n’est pas gestionnaire de Hedge Fund sans s’être conformé aux us et coutumes de la tribu financière, et Lahde les connaît si bien qu’il peut en faire l’énumération, mais ici sur le mode libérateur de celui qui envoie tout valser : « je laisse à d’autres d’amasser des fortunes à neuf, dix ou onze chiffres. Les agendas remplis à craquer pour trois mois, ils attendent leurs deux semaines de vacances de janvier pendant lesquelles ils resteront collés à leurs Blackberries ou d’autres trucs dans le genre. Mais c’est quoi l’idée ? Tous seront oubliés dans cinquante ans. Balancez les Blackberries et profitez de la vie ».

    sauf que lui il faisait l’apologie de la culture du chanvre