person:gregor gysi

  • Krise der EU – Zeit für einen linken Neustart
    https://www.linksfraktion.de/termine/detail/krise-der-eu-zeit-fuer-einen-linken-neustart
    Vendredi dernier le groupe parlementaire de Die Linke au Bundestag organisait une rencontre de nombreux militants européens de gauche dans le but d’échanger leurs idées à propos des problèmes brûlants de l’Europe et pour s’entendre sur les stratégies communes dans les combats à venir.

    Wie soll ein linker Neustart aussehen? Welche konkreten Alternativen hat die Linke? Welche politischen Strategien versprechen Erfolg, und mit welchen Akteur*innen kann die Linke ein anderes, besseres Europa erkämpfen? Darüber will die Bundestagsfraktion DIE LINKE mit Vertreter*innen linker Parteien, der Zivilgesellschaft und der Wissenschaft auf der Konferenz diskutieren.

    Linke EU-Kritik wieder möglich | Telepolis
    http://m.heise.de/tp/artikel/49/49508/1.html

    Je me demande si l’auteur berlinois Peter Nowak s’est trompé d’adresse quand il s’est rendu à la conférence sur un renouveau de la gauche européenne. Apparemment il n’a pas assisté à la même réunion que moi. Il se peut aussi qu’il n’ait pas été présent du tout, parce que l’unique référence qu’il publie est une vidéo Youtube avec d’un discours de Gregor Gysi. Les autres présentations, discours et débats de la réunion qui a duré de dix heure du matin jusqu’à neuf heures du soir sont soigneusement passés sous silence par l’auteur de Telepolis.

    Mit diesem Einleitungsreferat gab Gysi die Linie vor, auf der dieser Kongress beruhte. Eine auch scharfe Kritik an der Verfasstheit der EU wird dazu genutzt, um sowohl in Deutschland als auch auf europäischer Ebene einer entschiedenen Reformpolitik das Wort zu reden. Daher war es auch klar, dass Vorstellungen, wie sie im Zuge der Eurokrise durchaus nicht von radikalen Linken, sondern von Ökonomen, aber auch von Liberalen wie Soros formuliert wurden, wie ein Ausscheiden Deutschlands aus dem Euro, auf der Konferenz ignoriert wurden. Solche Diskussionen passen nicht zum Bemühen, die Linke auch in Europa als konstruktive Reformkraft zu präsentieren.

    Il suffit d’écouter l’interview que Jean-Luc Melenchon a donné pendant la rencontre pour se rendre compte que Telepolis dit n’importe quoi. JLM n’était pas le seul à développer une position différenciée par rapport à la question de la monnaie unique europénne.

    https://www.youtube.com/watch?v=QzgNqXhn_Ao


    http://melenchon.fr/2016/09/23/lunion-europeenne-entree-processus-de-dislocation

    La majorité des hôtes et invités mettaient l’accent sur les actions communes de la gauche européenne en insistant qu’il ne fallait plus rester dans le cadre juridique élaboré par la droite. Il faudrait au contraire créer une nouvelle Europe des peuples avec ses propres règles. Tout le monde était d’accord que des actions « illégales » contitueront des armes importantes dans la lutte contre les lois réactionnaires européennes. La sortie de l’Euro et la création d’autres alliances et monnaies étaient considérées comme des option sinon des nécessités incontournables par la plupart des speakers. Pourtant ils étaient d’accord qu’il ne faudrait pas mettre en danger les acquis sociaux mais de les défendre, ce qui peut signifier la défense de l’Euro dans certaines situations.

    J’ai entendu des analyses qui me font espérer qu’un front unique de la gauche est faisable et portera ses fruit. Ce sont particulièrement les participants suivants qui ont contribué des positions remarquables qui vont dans ce sens : Bernd Riexinger (DE), Stefano Fassina (IT), Peter Wahl (DE), Pierre Laurent (FR), Andreas Fisahn (DE), Tiny Kox (NL), Luka Mesec (SI), Roland Kulke (DE), Martin Höpner (DE), Sahra Wagenknecht (DE), Oskar Lafontaine (DE) et Catarina Martins (PT).

    Der Ausgangspunkt dieser Neustart-Diskussion war die Brexit-Entscheidung, ein Ereignis, bei dem die Linke nur eine geringe Rolle spielte. Ein Jahr zuvor gab es einen anderen linken Neustart-Versuch, der kurzzeitig viele Menschen motivierte. Das war die Wahl in Griechenland, die mit Syriza eine Partei an die Regierung brachte, die in der gleichen Europafraktion wie die Linkspartei ist. Kurzzeitig versäumte die Linkspartei es auch nicht, Tsipras als ihren Freund und Genossen herauszustellen.

    Il est faux que les événements en Grèce auraient constitué le point de départ de la discussion autour d’un renouveau de la gauche européenne. On était d’accord qu’il ne faudra plus se mettre dans une situation où on sera obligé de céder au chantage par les organisations impérialistes. La question était posée comment la gauche réagira quand des gouvernements de gauche dans plusieurs petits pays européens seront attaqués par les institutions européennes contrôlées par l’Allemagne et ses partenaires réactionnaires comme la Pologne, la Hongrie et les pays baltes. C’est là où l’importance de la gauche allemande devenait évidente. Dans un avenir proche les combats pour le rétablissement des droits sociaux allemands prendront une importance au dela du contexte national.

    Da fällt es schon auf, dass auf der Neustart-Konferenz weder Tsipras noch seine Kritiker zu finden waren. Auch der Kurzzeitfinanzminister Varoufakis, der Schäuble und Co. auf die Palme brachte, aber viele in Europa mit seinem unkonventionellen Politikstil begeisterte, fehlte auf der Konferenz. Das wirft Fragen auf. Will man sich heute mit Tsipras nicht mehr zeigen, weil er dem Druck von Deutsch-Europa nicht standhalten konnte?

    Telepolis place sur un niveau de querelle de famille la question de la participation d’un parti à cette rencontre. On aurait exclu Tsipras parce qu’il n’a pas tenu bon contre le Docteur Schäuble. L’auteur nous apprend rien par cette déscription sauf le fait qu’il n’aime pas le parti Die Linke ou ses politiciens. L’auteur aurait puposer la question auxs des organisateurs qui on invité le ministre des finances greque Euclide Tsakalotos qui n’a pas pu venir. Il me semble évident que le choix des invités est le résultat de l’intensité de la collaboration avec et de la disponibilité des participants. Yannis Varoufakis est trop occupé par son propre projet DIEM et le parti de Tsipras se déchire et reste coincé par la défense des dernières remparts contre les pires abus de la troika. Lors de la rencontre à Berlin il revenait à la coordinatrice du Bloc de gauche du Portugal Catarina Martins de parler des luttes dans les pays du sud et de la nécessité de la solidarité de la gauche de l’Europe centrale et du nord.

    Die wirtschaftsnahen Denkfabriken sehen das Wegbrechen Großbritanniens als Chance für eine Anpassung Europas, die mit den von der Linken geforderten Neustart wenig zu tun hat. So hoffen manche EU-Politiker die Militarisierung der EU nun zügiger vorantreiben zu können. Schließlich hat die britische Regierung aus Gründen der Souveränität hier eher gebremst.

    Eine linke Europapolitik sollte auch diese Projekte nicht aus den Augen verlieren. Und sie sollten einen Neustart Europas nicht in erster Linie als Kooperation von Institutionen begreifen sondern als Lernprozess, wie es möglich ist, auf europäischer Ebene gemeinsame Proteste, Streiks und Arbeitskämpfe zu koordinieren.

    Alors là mon impression se confirme, Peter Nowak écrit sur la rencontre sans y avoir participé. On comprenait à travers les discours de Catarina Martins et de Luka Mesec et les réactions des autres participants que l’époque d’une politique de gauche adminstrative est terminée, le progrès ne deviendra réalité qu’à travers une stratégie qui englobe les mouvements de citoyens et le travail au sein des institutions.

    Telepolis omet que la revendication d’une Europe de la paix, la sortie de l’OTAN et le retrait des troupes allemandes des pays étrangers forme l’identité du parti Die Linke tout comme sa volonté de transformer l’Allemagne dans un état socialiste. La politique militaire européenne, son obsession pour l’OTAN,son alliance avec les Etats Unis, ses efforts pour une militarisation des sociétés et son hostilité envers la Russie étaient évoqués à plusieurs reprises pendant la rencotre. L’antimilitarisme ne constitue pourtant pas l’élément clé des luttes solidaires à venir, parce qu’il faut d’abord s’occuper de la question sociale qui touche directement la majorité des citoyens de l’Europe.

    Pour les activistes, scientifiques et politiques présents sur place il était evident que l’Europe ne comprend pas que les pays de Union Europénnen, de la zone de l’Euro ou de Maastricht. L’Europe des peuples en lutte comprend la Russie autant et la Turquie, les pays associés à l’EU comme la Norvège comme les pays du Balkan hors de l’UE. Ce côté internationaliste n’intéresse pas Telepolis mais jouera un rôle important dans la lutte contra la xénophobie .

    Dans leurs discours la députée allemande Sevim Dagdelen et l’avocat des droits de l’homme turc Mehmet Selahattin Esmer témoignaient de lalutte des partis et mouvements de gauche contre le militarisme et ses profiteurs. Telepolis ne l’a pas compris. C’est dommage pour la publication, mais la lutte continuera aussi bien sans son apport.

    #politique #Europe #gauche #Allemagne #France #Portugal #Slovénie #Finlande #Turquie #Berlin #Stralauer_Platz #Energieforum #Die_Linke #Bundestag

    • On pouvait s’en douter puisqu’elle a été mariée à G.Lessing, diplomate est-allemand. Pour la petite histoire, G.Lessing est l’oncle (le frère de la mère) de Gregor Gysi, dernier secrétaire général de la SED, fondateur du PDS et de Die Linke. Il a maintes fois dit qu’il était très fier que « sa tante Doris » ait eu le Prix Nobel de Littérature.

  • Die Linke, cible d’attaques violentes des néo-nazis
    Weekly Attacks: Neo-Nazis Target Left Party Officials

    Barely a week goes by without a neo-Nazi attack on politicians from Germany’s far-left Left Party. Extremists smash the windows of offices or private homes, daub graffiti on walls, cut car brake cables and make anonymous death threats. In response, authorities are beefing up security for senior party officials.

    Gregor Gysi, the parliamentary group leader of the opposition far-left Left Party, feels surrounded by neo-Nazis whenever he visits his constituency office in the Berlin district of Niederschöneweide. The area is a bastion of right-wing extremists who have been renting more and more office space and shops nearby. “They want this to become ’their’ street,” says Gysi, adding that they damage or daub graffiti on the windows of his office almost every night. “But I won’t let them drive me out,” he vows.

    Right-wing extremists have set their sights on left-wing politicians. Left Party members and the police have been counting at least four or five attacks a month nationwide, and it’s often more than that. Windows keep getting smashed, fireworks explode in letter boxes, and cars, offices and apartments are damaged in arson attacks.

    The most recent example was a smashed window in the Hamburg district of Hamm. Unknown assailants hurled stones at the office of Hamburg politician Tim Golke during the night of Dec. 25.

    In addition, the lists of addresses found among the possessions of the suspected neo-Nazi terrorists known as the Zwickau cell contained many names of Left Party officials.

    Extremists have also been attacking members of other parties, as well as foreigners, homosexuals, homeless people and police officers. But they have been targeting the Left Party with striking frequency, and with particular aggression.

    http://www.spiegel.de/international/germany/0,1518,806719,00.html