person:guy verhofstadt

  • Une diplomatie des excuses ? Le #Saint-Siège et le #Rwanda

    Le 25 mars 1998, le président Bill Clinton se rendait à l’aéroport de Kigali et, sans en sortir, présentait ses excuses pour l’inaction des États-Unis au cours du génocide. Deux années plus tard, le Premier ministre Guy Verhofstadt présentait à son tour les excuses officielles de la Belgique lors de la commémoration officielle du génocide au site de Gisozi. Il réitérait ses propos en 2004 à l’occasion de la dixième #commémoration du #génocide au stade Amahoro. D’autres pays, en premier lieu la France, ont toujours refusé de participer à cette « diplomatie des #excuses 1 » (à ce sujet, voir Rosoux ; Gibney & Howard-Hassmann).

    Depuis 1994, des associations de rescapés ainsi que les autorités rwandaises réclamaient des excuses officielles de l’#Église_catholique rwandaise et du #Vatican pour leurs rôles dans le #génocide des #Tutsi. Vingt-trois années après ces premières demandes, et après bien des controverses, le pape François a officiellement imploré en mars 2017 « le pardon de Dieu » pour les échecs de l’Église au Rwanda.

    Afin de comprendre ce geste politique, il est nécessaire de revenir sur les débats relatifs à la responsabilité de l’Église catholique au Rwanda avant et pendant le génocide ainsi que sur les étapes ayant conduit aux excuses officielles.

    https://www.memoires-en-jeu.com/inprogress/une-diplomatie-des-excuses-le-saint-siege-et-le-rwanda
    #mémoire #Eglise

  • Changement de régime à Budapest ? Diana JOHNSTONE - 20 Septembre 2018 - LGS
    La Hongrie désobéissante : De l’Union Soviétique à l’Union Européenne

    https://www.legrandsoir.info/changement-de-regime-a-budapest.html

    CNN a récemment découvert un paradoxe. Comment était-il possible, se demandait la chaîne, qu’en 1989, Viktor Orban, alors leader de l’opposition libérale acclamé par l’Occident, appelait les troupes soviétiques à quitter la Hongrie, et maintenant qu’il est Premier ministre, il se rapproche de Vladimir Poutine ?

    Pour la même raison, imbécile.

    Orban voulait que son pays soit indépendant à l’époque, et il veut qu’il le soit maintenant.


    En 1989, la Hongrie était un satellite de l’Union soviétique. Peu importe ce que les Hongrois voulaient, ils devaient suivre les directives de Moscou et adhérer à l’idéologie communiste soviétique.

    Aujourd’hui, la Hongrie doit suivre les directives de Bruxelles et adhérer à l’idéologie de l’UE, c’est-à-dire à "nos valeurs communes".

    Mais quelles sont exactement ces "valeurs communes" ?

    Il n’y a pas si longtemps, "l’Occident", c’est-à-dire les États-Unis et l’Europe, revendiquaient une dévotion aux "valeurs chrétiennes". Ces valeurs étaient évoquées dans la condamnation occidentale de l’Union soviétique. Ce n’est plus le cas. Aujourd’hui, en effet, l’une des raisons pour lesquelles Viktor Orban est considéré comme une menace pour nos valeurs européennes est sa référence à une conception hongroise du "caractère chrétien de l’Europe, le rôle des nations et des cultures" . La renaissance du christianisme en Hongrie, comme en Russie, est considérée en Occident comme profondément suspecte.

    Il est entendu que le christianisme n’est plus une "valeur occidentale". Qu’est-ce qui a pris sa place ? Cela devrait être évident : aujourd’hui, "nos valeurs communes" signifient essentiellement démocratie et élections libres.

    Devinez à nouveau. Orban a récemment été réélu par un raz de marée. Guy Verhofstadt, chef de file des libéraux de l’UE, a qualifié ce mandat de "mandat électoral pour faire reculer la démocratie en Hongrie".

    Puisque les élections peuvent "faire reculer la démocratie", elles ne peuvent être l’essence même de "nos valeurs communes". Il peut arriver que les gens votent mal ; c’est ce qu’on appelle le "populisme" et c’est une mauvaise chose.

    Les valeurs communes réelles et fonctionnelles de l’Union européenne sont énoncées dans ses traités : les quatre libertés. Non, pas la liberté d’expression, car de nombreux États membres ont des lois contre le "discours de haine", qui peut couvrir de nombreux domaines puisque son sens est sujet à une interprétation large. Non, les quatre libertés obligatoires de l’UE sont la libre circulation des biens, des services, des personnes et des capitaux dans l’Union. Ouvrir les frontières. Open Borders . C’est l’essence même de l’Union européenne, le dogme du marché libre.

    Le problème avec la doctrine des Open Borders , c’est qu’elle ne sait pas où s’arrêter. Ou qu’elle ne s’arrête nulle part. Quand Angela Merkel a annoncé que des centaines de milliers de réfugiés étaient les bienvenus en Allemagne, l’annonce a été interprétée comme une invitation ouverte par des immigrants de toutes sortes, qui ont commencé à affluer en Europe. Cette décision unilatérale allemande s’appliquait automatiquement à l’ensemble de l’UE, avec son absence de frontières intérieures. Avec l’influence de l’Allemagne, Open Borders est devenu la "valeur commune européenne" essentielle et l’accueil des immigrés l’essence même des droits de l’homme. 

    Des considérations idéologiques et pratiques très contrastées contribuent à l’idéalisation des frontières ouvertes. Pour n’en nommer que quelques-unes :

    • Les libéraux économiques soutiennent qu’en raison du vieillissement de la population, l’Europe a besoin de jeunes travailleurs immigrés pour payer les pensions des travailleurs retraités.

    • De nombreux militants juifs se sentent menacés par les majorités nationales et se sentent plus en sécurité dans une société composée de minorités ethniques.

    • Plus discrètement, certains patrons favorisent l’immigration massive parce que la concurrence croissante sur le marché du travail fait baisser les salaires.

    • De nombreuses personnes ayant des tendances artistiques considèrent que la diversité ethnique est plus créative et plus amusante.

    • Certaines sectes anarchistes ou trotskystes pensent que les immigrés déracinés sont "les agents" de la révolution que le prolétariat occidental n’a pas su devenir.
    • De nombreux Européens acceptent l’idée que les États-nations sont la cause de la guerre et en concluent que tout moyen de les détruire est le bienvenu.

    • Les investisseurs financiers internationaux veulent naturellement lever tous les obstacles à leurs investissements et promouvoir ainsi Open Borders comme étant l’avenir.

    • Il y a même quelques puissants intrigants qui voient dans la "diversité" la base du "diviser pour régner", en fragmentant la solidarité sur les bases ethniques.

    • Il y a des gens bienveillants qui veulent aider toute l’humanité en détresse. 

    Cette combinaison de motivations contrastées, voire opposées, ne constitue pas une majorité dans tous les pays. Notamment en Hongrie.

    Il convient de noter que la Hongrie est un petit pays d’Europe centrale de moins de dix millions d’habitants, qui n’a jamais eu d’empire colonial et n’a donc aucune relation historique avec les peuples d’Afrique et d’Asie comme en ont la Grande-Bretagne, la France, les Pays-Bas ou la Belgique. Étant l’un des perdants de la Première Guerre mondiale, la Hongrie a perdu une grande partie de son territoire au profit de ses voisins, notamment la Roumanie. La langue hongroise, rare et difficile, serait sérieusement menacée par une immigration massive. On peut probablement dire sans risque de se tromper que la majorité de la population hongroise a tendance à être attachée à son identité nationale et pense qu’elle serait menacée par une immigration massive en provenance de cultures radicalement différentes. Ce n’est peut-être pas gentil de leur part, et comme tout le monde, ils peuvent changer. Mais pour l’instant, c’est ainsi qu’ils votent.

    En particulier, ils ont récemment voté massivement pour réélire Victor Orban, approuvant évidemment son refus de l’immigration incontrôlée. C’est ce qui a provoqué la surveillance étroite d’Orban et la recherche de signes de la mise en place d’une dictature. En conséquence, l’UE prend des mesures pour priver la Hongrie de ses droits politiques. Le 14 septembre, Victor Orban a clairement exposé sa position dans un discours prononcé devant le Parlement européen à Strasbourg :

    "Soyons francs. Ils veulent condamner la Hongrie et les Hongrois qui ont décidé que notre pays ne sera pas un pays d’immigration. Avec tout le respect que je vous dois, mais aussi fermement que possible, je rejette les menaces des forces pro-immigration, leur chantage à la Hongrie et aux Hongrois, toutes basées sur le mensonge. Je vous informe respectueusement que, quelle que soit votre décision, la Hongrie mettra fin à l’immigration illégale et défendra ses frontières contre vous si nécessaire."

    Cela a été accueilli avec indignation.

    L’ancien Premier ministre belge Guy Verhofstadt, actuellement président du groupe Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe au Parlement européen et ardent fédéraliste européen, a répondu furieusement que « nous ne pouvons laisser des gouvernements populistes d’extrême droite entraîner des États européens démocratiques dans l’orbite de Vladimir Poutine ! »

    Dans un tweet à ses collègues du PE, Verhofstadt a averti : « Nous sommes dans une bataille existentielle pour la survie du projet européen. ... Pour le bien de l’Europe, nous devons l’arrêter ! »

    CNN a publié avec approbation un article d’opinion de Verhofstadt décrivant la Hongrie comme une "menace pour l’ordre international".

    « Dans les semaines et les mois à venir, la communauté internationale – et les États-Unis en particulier – devront tenir compte de notre avertissement et agir : le gouvernement hongrois est une menace pour l’ordre international fondé sur des règles, » a-t-il écrit.

    « Les gouvernements européens et les Etats-Unis ont l’obligation morale d’intervenir », a poursuivi M. Verhofstadt. « Nous ne pouvons laisser des gouvernements populistes d’extrême droite entraîner les États européens démocratiques sur l’orbite de Vladimir Poutine et saper les normes internationales de l’après-guerre. »

    Viennent ensuite les sanctions : « Les coûts politiques et financiers doivent être affectés à la lutte contre les gouvernements qui suivent une voie autoritaire et au soutien aux organisations de la société civile... ».

    Verhofstadt a conclu : « Ce n’est pas dans l’intérêt des peuples d’Amérique ou d’Europe. Nous devons l’arrêter … maintenant. »

    L’appel de Verhofstadt à l’Amérique pour « arrêter » le Premier ministre hongrois ressemble étrangement aux appels lancés à Brejnev par des communistes purs et durs pour envoyer les chars en Tchécoslovaquie réformiste en 1968. 

    Cependant, cet appel à l’intervention ne s’adressait pas au président Trump, qui est aussi impopulaire qu’Orban parmi les atlantistes, mais plutôt à l’état permanent que le fanatique belge suppose être toujours au pouvoir à Washington.

    Au début de son article sur CNN, Verhofstadt a rendu hommage à "feu John McCain, le grand John McCain, celui qui a un jour décrit Orban comme "un fasciste en cheville avec Poutine...". Celui qui a parcouru le monde en tant que chef de la branche républicaine du National Endowment for Democracy (NED), encourageant et finançant des groupes dissidents à se rebeller contre leurs gouvernements respectifs, en préparation de l’intervention américaine. Sénateur McCain, où êtes-vous maintenant qu’il faudrait changer de régime à Budapest ?

    La réputation de dictateur d’Orban en Occident est incontestablement liée à son conflit intense avec le financier d’origine hongroise George Soros, dont la fondation Open Society finance toutes sortes d’initiatives visant à promouvoir son rêve d’une société sans frontières, notamment en Europe orientale. Les activités de Soros pourraient être considérées comme une politique étrangère étasunienne privatisée, innocemment "non gouvernementale". L’une des initiatives de Soros est l’Université privée d’Europe centrale (UEC) basée à Budapest, dont le recteur est Michael Ignatieff, partisan de l’Open Society. La Hongrie a récemment imposé une taxe de 25% sur l’argent dépensé par les organisations non gouvernementales pour des programmes qui " visent directement ou indirectement à promouvoir l’immigration " , ce qui affecte l’UEC. Cela fait partie d’un paquet de mesures anti-immigration récemment adopté, connu sous le nom de projet de loi "Stop Soros". 

    Les mesures hongroises contre l’ingérence de Soros sont bien sûr dénoncées en Occident comme une grave violation des droits de l’homme, tandis qu’aux Etats-Unis, les procureurs recherchent frénétiquement la moindre trace d’ingérence russe ou d’agents russes.

    Dans un autre coup porté à l’ordre international fondé sur des règles, le cabinet du Premier ministre hongrois a récemment annoncé que le gouvernement cesserait de financer des cours universitaires en études de genre au motif qu’ils "ne peuvent être justifiés scientifiquement" et attirent trop peu d’étudiants pour être valables. Bien que financée par le secteur privé et donc capable de poursuivre son propre programme d’études sur le genre, l’UEC s’en est "étonnée" et a qualifié la mesure de "sans aucune justification ou antécédent".

    Comme l’Union soviétique, l’Union européenne n’est pas seulement un cadre institutionnel antidémocratique promouvant un système économique spécifique ; elle est aussi le véhicule d’une idéologie et d’un projet planétaire. Tous deux sont basés sur un dogme quant à ce qui est bon pour le monde : le communisme pour le premier, "l’ouverture" pour le second. Les deux exigent des citoyens des vertus qu’ils ne partagent peut-être pas : une égalité forcée, une générosité forcée. Tout cela peut sembler bien, mais de tels idéaux deviennent des méthodes de manipulation. L’imposition d’idéaux finit par se heurter à une résistance obstinée.

    Il y a différentes raisons d’être contre l’immigration tout comme d’être pour. L’idée de la démocratie était de trier et de choisir entre les idéaux et les intérêts pratiques par une discussion libre et, en fin de compte, à main levée : un vote éclairé. Le Centre autoritaire libéral représenté par Verhofstadt cherche à imposer ses valeurs, ses aspirations, voire sa version des faits aux citoyens qui sont dénoncés comme "populistes" s’ils sont en désaccord. Sous le communisme, les dissidents étaient appelés "ennemis du peuple". Pour les mondialistes libéraux, ce sont des "populistes", c’est-à-dire le peuple. Si l’on dit constamment aux gens que le choix se situe entre une gauche qui prône l’immigration massive et une droite qui la rejette, le virage vers la droite est inéluctable.

    Diana Johnstone

    #Hongrie #UE #union_européenne #union_soviétique #indépendance #viktor_orban #guy_verhofstadt #indépendance #migration #christianisme #john_mccain #NED #soros #open_society #UEC #idéologie #populisme #ennemis_du_peuple

    • Bruxelles : Les fanatiques de l’union européenne ne lisent pas les discours de monsieur Guy Verhofstadt.

      Le premier festival européen de la démocratie au Parc Léopold à Bruxelles RTBF avec Belga - 22 Septembre 2018
      https://www.rtbf.be/info/regions/detail_le-premier-festival-europeen-de-la-democratie-au-parc-leopold-a-bruxelle

      . . . . . .
      Le citoyen y sera invité à s’exprimer et à échanger des opinions avec des responsables politiques européens ainsi que des représentants des institutions européennes et d’organisations de la société civile. Divers groupes politiques européens y seront aussi représentés.

      Le festival, à l’initiative d’individus engagés, comprendra plusieurs scènes, des stands des institutions européennes, des outils interactifs ou encore des expositions sur l’Europe citoyenne et des formats de discussion variés, comme le Pechakucha, qui mêle une présentation orale à la projection de 20 diapositives se succédant toutes les 20 secondes.

      Jubel abordera des questions telles que l’origine de l’euroscepticisme, l’avenir des dialogues citoyens et cherchera des pistes pour transformer les institutions européennes en meilleurs organismes d’écoute.

      « Malgré plusieurs initiatives entreprises par les institutions européennes pour renouer le contact avec ses citoyens, Jubel est convaincu qu’une approche plus haute en couleur, originale et bottom-up est nécessaire pour créer un lien plus fort entre les citoyens européens et leurs élites », soulignent les organisateurs dans un communiqué
      . . . . . .

      http://www.jubelfestival.eu

      The festival wants to contribute, by means of a bottom-up approach, to the idea of citizen consultations launched by French president #Macron and endorsed by his fellow heads of state and government, as well as the consolidated initiative of the European Commission, with the help of a structured output about the future of the European democratic project and the current functioning of the European Union.

  • Foreign Policy’s 2017 Global Thinkers


    http://link.foreignpolicy.com/view/52543e66c16bcfa46f6ced166trq0.66dv/4f65fef9

    liste complète

    KAMALA HARRIS
    MOON JAE-IN
    HASAN MINHAJ
    CHELSEA MANNING
    STEPHEN BANNON
    HAIDER AL-ABADI
    PEDRO KUMAMOTO
    JODI KANTOR, MEGAN TWOHEY, AND RONAN FARROW
    ROYA SADAT
    JEREMY CORBYN
    MARK CUBAN
    MICHAEL ANTON
    BASUKI TJAHAJA PURNAMA (AHOK)
    ADAMA BARROW
    MANAL AL-SHARIF, NOURA AL-GHANEM, FAWZIAH AL-BAKR and MONERA AL-NAHEDH
    AI WEIWEI
    LEILA DE LIMA
    STEVE ADLER
    JO ANN JENKINS
    EMMANUEL MACRON
    CARMEN YULÍN CRUZ
    HO DANG HOA
    YADIN KAUFMANN
    SALLY YATES
    MA BAOLI (GENG LE)
    HAMDI ULUKAYA
    THULI MADONSELA
    RODRIGO LONDOÑO (TIMOCHENKO)
    MARGRETHE VESTAGER
    GUY VERHOFSTADT
    ELENA MILASHINA
    SETH MOULTON
    JASON MATHENY
    CHRYSTIA FREELAND
    ANDREI LANKOV
    EVELYN WANG
    THE WOMEN OF THE #METOO MOVEMENT
    NIKKI HALEY
    HAMED SINNO
    DAVID LIU AND FENG ZHANG
    MASHA GESSEN
    SÉRGIO MORO
    ANTHONY ATALA
    ALEXANDER GAULAND
    ALICE MARWICK AND PHILIP N. HOWARD
    VIAN DAKHIL
    RONALD DEIBERT
    MARÍA EUGENIA VIDAL

  • Un scrutin marqué par les #violences_policières
    https://www.mediapart.fr/journal/international/011017/un-scrutin-marque-par-les-violences-policieres

    La police espagnole est intervenue tout au long de la journée de dimanche avec brutalité pour tenter d’empêcher le referendum sur l’indépendance en #Catalogne. Le premier ministre belge Charles Michel, comme le leader travailliste Jeremy Corbyn ou le député européen Guy Verhofstadt condamnent les violences.

    #International #Barcelone #Espagne #référendum

  • Qui est Nicolas Berggruen, le milliardaire « philanthrope » qui a financé Sylvie Goulard ? Investigaction - Laurent Daure - 29 Jun 2017

    Prise dans l’affaire des assistants parlementaires du MoDem au Parlement européen, Sylvie Goulard a quitté le gouvernement Macron. L’éphémère ministre des Armées a dit vouloir être en mesure de « démontrer librement sa bonne foi ». Et voilà que le Journal du Dimanche dévoile que l’ancienne eurodéputée a été rémunérée à hauteur de 10.000 euros par mois par l’Institut Berggruen. Ruptures s’est penché sur le profil de Nicolas Berggruen, l’homme à la tête du think tank particulièrement généreux à l’égard de Sylvie Goulard. (IGA)


    L’information était disponible depuis 2014, mais Le Journal du dimanche l’a actualisée et mise sur le devant de la scène le 25 juin dernier : Sylvie Goulard a reçu de l’Institut Berggruen plus de 10 000 euros par mois d’octobre 2013 à janvier 2016, période au cours de laquelle elle était députée européenne (voir notre article). Dans la rubrique « Mon parcours » de son site personnel, l’éphémère ministre des Armées présente ainsi son activité au service du  think tank américain : « Conseillère spéciale du Council for the Future of Europe  [Conseil pour l’avenir de l’Europe] », un groupe de réflexion qui dépend du  « Nicolas Berggruen Institute for Governance  [Institut pour la gouvernance] ».

    Sylvie Goulard précise ensuite qu’il s’agit d’une  « association à but non lucratif visant à promouvoir une meilleure gouvernance mondiale et européenne. »  Elle ajoute que le Conseil pour l’avenir de l’Europe  « est présidé par Mario Monti »  et qu’il  « comporte des personnalités de sensibilités politiques diverses telles que, notamment, Jacques Delors, Guy Verhofstadt, Pascal Lamy, Romano Prodi ou Jean Pisani-Ferry. »  On imagine les débats enflammés entre ces anticonformistes que tout oppose…

    Un milliardaire « philanthrope » de plus
    Basé en Californie, l’Institut Berggruen a été fondé en 2010 par le milliardaire américano-allemand – qui a grandi en France – Nicolas Berggruen, fils du richissime collectionneur et marchand d’art Heinz Berggruen (décédé en 2007). Le magazine  Forbes  évalue la fortune personnelle du  golden boy  à 1,81 milliard de dollars. Mais, à 55 ans, cet ancien jet-setter est quelque peu blasé, il a l’argent triste et veut désormais être reconnu en tant qu’intellectuel.

    Nicolas Berggruen aspire même à une vie d’ascète :  « Je ne suis pas si attaché aux biens matériels […]. Je possède très peu de choses. […] quelques papiers, deux ou trois livres et quelques chemises, vestes et pulls », déclare-t-il en 2012 au Daily Mirror. La preuve de son détachement des biens de ce monde : il a longtemps vécu « sans domicile fixe », c’est-à-dire dans des hôtels cinq étoiles, ce qui fascine les médias. Le Figaro est tombé sous le charme de ce bourlingueur de luxe qui  « sillonne le monde dans son jet privé Gulfstream IV. Ce nomade richissime peut ainsi résider dans 14 villes différentes en un mois. »  Sans doute en phosphorant durant les vols sur les moyens de réduire l’empreinte carbone des gueux.

    Financier à la réputation d’excentrique se piquant de « philanthropie » et d’ « idées », Nicolas Berggruen reste avant tout un homme d’affaires. Avec sa holding personnelle, qui fait des investissements immobiliers et financiers dans le monde entier, il est l’actionnaire majoritaire du premier groupe de médias espagnol Prisa (qui possède notamment le quotidien  El País ). Ce géant des médias présent dans 23 pays détient 15 % du groupe Le Monde. D’après Mediapart, M. Berggruen  « siège au conseil d’administration du Monde » . On peine à comprendre la discrétion du « journal de référence » sur un si prestigieux compagnonnage.

    L’amicale de la « mondialisation heureuse »
    Quand  L’Obs  – alors encore  Le Nouvel Observateur  – publie un portrait du  « loup de Wall Street repenti en berger philanthrope », qui est sollicité pour faire l’éloge du  « milliardaire qui voulait sauver le monde » ?… L’indispensable Alain Minc bien sûr ! Le chantre de la « mondialisation heureuse » semble parler de lui-même lorsqu’il plaide en faveur de Nicolas Berggruen :  « Un businessman arpentant le domaine des concepts ne fait-il pas œuvre plus utile qu’un intellectuel se lançant dans les affaires ? »  Pur hasard : Alain Minc est lui aussi membre du Conseil pour l’avenir de l’Europe, ainsi que du 21st Century Council (Conseil du XXIe siècle), un autre groupe de réflexion issu de l’Institut Berggruen, dont la description et la composition valent le détour.

    Ancien président du conseil de surveillance du  Monde, il se trouve qu’Alain Minc a représenté Prisa et… Nicolas Berggruen lorsque le groupe espagnol voulait racheter le quotidien vespéral en 2010, une offre concurrente de celle portée par le trio finalement victorieux Bergé-Niel-Pigasse (cf. le livre  Un si petit Monde  d’Odile Benyahia-Kouider, Fayard, 2011). Un banquier de chez Rothschild épaulait alors secrètement M. Minc dans cette opération tout en prétendant par ailleurs travailler gratis pour la Société des rédacteurs du  Monde . C’était Emmanuel Macron. Le futur président était même allé jusqu’à se cacher au dernier étage d’un immeuble pour éviter – en vain – que son double jeu ne soit découvert.

    Le portrait au cirage de Nicolas Berggruen brossé par  L’Obs  serait incomplet si l’irremplaçable Jacques Attali n’y avait pas apporté sa touche :  « C’est un garçon étrange, extrêmement gentil, extrêmement cultivé et extrêmement curieux, dans tous les sens du terme » . Et le grand mage médiatique surenchérit : « C’est un honnête homme au sens du XVIIIe siècle. Quelqu’un qui a décidé de mettre son argent au service de l’intérêt général. Je le crois sincère dans sa démarche. »  Même si elle a touché 300 000 euros d’émoluments, Sylvie Goulard devrait être décorée pour avoir servi un si précieux personnage.
    Le financier qui voulait être philosophe
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    Macron pour les Nuls

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    http://www.investigaction.net/fr/qui-est-nicolas-berggruen-le-milliardaire-philanthrope-qui-a-finance
    Ruptures : https://ruptures-presse.fr/actu/nicolas-berggruen-institut-milliardaire-philanthrope-sylvie-goulard

    #Sylvie_Goulard #Nicolas_Berggruen #MoDem #gouvernement_Macron #eurodéputée #Institut Berggruen #Prisa #El_País #Le_Monde #Alain_Minc #21st_Century_Council #Rothschild #Emmanuel_Macron #mécène #Huffington_Post #WorldPost #philanthrope #mondialisation #Europe_de_la_Défense

  • L’UEF entendue par le #Parlement_européen
    https://www.uef.fr/l-uef-entendue-par-le-parlement-europeen

    Le Parlement européen a adopté plusieurs rapports proposant des initiatives pour relancer la dynamique de la construction européenne, en impliquant les citoyens. Le premier, rédigé par les députés Brok et Bresso, détaille les améliorations possibles sans modification des traités. Force est de constater que les marges de manœuvre sont faibles. Pour dépasser cet écueil, un second rapport, rédigé par le député Guy Verhofstadt, présente l’évolution souhaitable de l’Europe : « de nouvelles capacités (...)

    #Tribunes

    / Parlement européen

    « https://www.flickr.com/photos/european_parliament/32908785226/in/dateposted

    Flickr
     »

  • Tous à Rome le 25 mars 2017 pour une #Europe fédérale
    http://www.uef.fr/tous-a-rome-le-25-mars-2017-pour-une-europe-federale

    Lettre du président et secrétaire général de l’UEF-Italie (traduction par François Mennerat) Le 12 juillet 2016, Guy Verhofstadt a présenté à la commission des affaires constitutionnelles du Parlement européen son rapport sur les réformes institutionnelles nécessaires pour sauvegarder l’avenir de l’Union européenne. Ce rapport formule les propositions visant à faire évoluer les institutions européennes dans une direction fédérale les plus poussées depuis l’initiative d’Altiero Spinelli au cours de la (...)

    Europe

  • Guy Verhofstadt, l’opportunisme au nom de l’Europe ?
    http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/guy-verhofstadt-l-opportunisme-au-nom-de-l-europe-630992.html

    Le résultat est assez déroutant. L’excuse de la lutte contre le populisme est même étonnante. Ce « transformisme » électoral du président du groupe ALDE montre un opportunisme à toute épreuve et une seule ligne de conduite : celle de pouvoir profiter au mieux du parlement européen pour son propre intérêt. On ne peut prétendre lutter contre les populistes et donner un spectacle aussi désolant de la démocratie parlementaire européenne. C’est bien ce type de spectacle qui alimente l’Euroscepticisme.
    […]
    La principale leçon de cette élection du président du parlement européen pourrait donc prendre la forme de la morale d’une fable : le donneur de leçon de 2015 se retrouve dans la position de l’arroseur arrosé, pris en flagrant délit d’opportunisme de bas étage, prêt à négocier avec des populistes de droite notoires... La seconde résume le drame de l’UE : c’est que, souvent, ceux qui prétendent le mieux la défendre et l’incarner lui font aussi le plus de mal... En vraie crise, l’Union n’en a guère besoin.

  • Guy Verhofstadt : « Résistons à la guerre hybride que Poutine mène contre l’Occident »
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/01/02/resistons-a-la-guerre-hybride-que-poutine-mene-contre-l-occident_5056270_323

    Par Guy Verhofstadt, président de l’Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe

    A travers les sites de désinformation et les cyberattaques, la Russie cherche à saper la confiance des Européens en la démocratie. Il est temps de lutter contre ces procédés, selon le président de l’Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe.
    […]
    … Nous ne saurons probablement jamais le degré exact de succès de la cyberopération russe, mais ce que nous savons est que le Kremlin a obtenu le résultat qu’il voulait.
    […]

    Derrière #paywall
    (je sais, on peut le contourner, mais ce que j’ai lu me suffit…)

    – Vos mails ont fui dans la presse ?
    – Oui, Monsieur.
    – Poutine !
    – Et mon candidat a perdu les élections.
    – Justement, Poutine ! Vos électeurs perdent confiance en la démocratie ?
    – Oui, Monsieur.
    – Poutine, #Poutine_vous_dis-je !

    • Ce que j’adore, c’est que toutes les baltringues de l’Educ-Nat, tous les faux-zintellectuels des facs-poubelles, tous les fils-de (genre Thomas Huchon) et même les petits-fils-de (genre Tristan Mendès-France) nous bassinent depuis des mois avec leur lutte contre « la théorie du complot »...

      Mais maintenant, les mêmes bouffons nous expliquent qu’il y a un grand complot de Poutine. Nos pseudo-zélites, nos inaptocrates n’ont jamais été aussi ridicules. Il y a bien longtemps que plus personne (sauf les lobotomisés) n’a confiance - non en la démocratie - mais en cette entité eurocratique non élue qui se gave, ne paie pas d’impôts, nous fait la leçon à longueur d’année et nous pourrit la vie avec sa défécation diarrhéique de normes débiles.
      Ces bons à rien qui légifèrent sur la taille des couvercles de chiottes, les moules à fromage et le contrôle technique automobile bientôt annuel se croient-ils la personnification de la démocratie ? Comme disait Lénine, ils se croient le cerveau de la Nation alors qu’ils n’en sont que la merde.

    • @rodolphe tout a fait d’accord avec vous et extrêmement vrai, ces fils de leur seul boulot est de censurer et nous préparer a une guerre dont on ne veux pas. Oui ce sont de dangereux bouffons proche du pouvoir en place qui préparent un « délit » de complotisme sous prétexte que l’on ne veux plus les suivre dans leurs délires. Le 9/11 était un complot « arabo-musulman » mais interdit de penser que ce soit un « complot intérieur » ou « inside job » et pourtant : https://erea.revues.org/2030
      l’Etat profond celui qui gouverne réellement, et non le président Obama qui lui n’est qu’une marionnette

  • #Verhofstadt : « C’est parce que je suis un fervent défenseur du projet européen que je plaide si vivement pour une réforme »
    http://www.taurillon.org/verhofstadt-c-est-parce-que-je-suis-un-fervent-defenseur-du-projet

    Guy Verhofstadt, ancien Premier ministre belge et député européen, a publié ce printemps un ouvrage intitulé « Le mal européen ». Dans cet essai, il présente des solutions pour relancer le projet européen et sortir de la crise actuelle. Découvrez ci-dessous son entretien avec Caroline Iberg, co-secrétaire générale du Nomes.

    Actualités

    / Verhofstadt, #Démocratie, #Fédéralisme, #Brexit

  • Semaine consacrée au Rapport Verhofstadt
    http://www.uef.fr/semaine-consacree-au-rapport-verhofstadt

    Le député européen Guy Verhofstadt a proposé au #Parlement_européen de se positionner comme force de proposition dans les crises qui traversent l’Union européenne actuellement. L’Union des Fédéralistes Européens (UEF) a décortiqué le rapport pour vous et vous propose cette semaine une présentation et une analyse des différentes propositions. Le rapport est en cours d’amendement au Parlement (nous n’avons pas eu les amendements encore) et doit être discuté en plénière en décembre. Lire la série d’articles : (...)

    #Tribunes

    / Parlement européen

    « http://www.taurillon.org/8577 »
    « http://www.taurillon.org/8583 »
    « http://www.taurillon.org/8584 »

  • Rapport #Verhofstadt, ou comment sortir de l’ornière ? (1/6)
    http://www.taurillon.org/rapport-verhofstadt-ou-comment-sortir-de-l-orniere-1-6

    Dans son projet de rapport sur les évolutions et les adaptations possibles de la structure institutionnelle de l’Union Européenne, Guy Verhofstadt dresse des constats et esquisse des solutions à la poly-crise européenne, mais il parle aussi méthode. Parmi les changements avancés, et non des moindres, celui de soumettre les modifications des traités à un #Référendum à échelle de l’Union.

    Actualités

    / Verhofstadt, Référendum, #Démocratie, #Fédéralisme

  • Guy Verhofstadt pointé du doigt pour de potentiels conflits d’intérêts - mobile.lesoir.be
    http://mobile.lesoir.be/913007/article/actualite/union-europeenne/2015-06-19/guy-verhofstadt-pointe-du-doigt-pour-potentiels-conflits-d-interets

    Celui-là même qui veut contourner le veto de la Wallonie sur le Ceta

    « #Verhofstadt se déclare membre de sept conseils d’administration et comités directeur, qui lui rapportent tous ensemble un minimum de 12.003 euros brut par mois, incluant deux grandes compagnies belges, Exmar et Sofina », a constaté le collectif d’associations. Et le rapport de raconter, par le menu, cette soirée de gala de mars 2015, organisée par l’industrie du transport maritime, où Guy Verhofstadt a prononcé un discours au nom d’Exmar. « Pour son discours liminaire, à [ce souper], Verhostadt a été présenté comme ‘l’un des rares hommes politiques de haut niveau en Europe ayant un rôle très actif dans l’industrie maritime, parce qu’il est membre du conseil d’administration de l’un des plus importants – si ce n’est du plus important – groupes maritimes belges, Exmar’. » Ce cas « illustre les problèmes qui peuvent survenir quand un eurodéputé est membre d’un conseil d’administration avec des intérêts commerciaux dans des dossiers où les élus peuvent se positionner : cela peut donner l’impression d’un potentiel #conflit_d’intérêts », conclut le rapport.

    Même inquiétude soulevée par son rôle de directeur au sein de la Sofina (Société financière de transports et d’entreprises industrielles), une autre grande société belge, qui verse chaque mois à Guy Verhofstadt plus de 10.000 euros (130.500 euros avant impôts au total en 2013, a confirmé le cabinet du libéral). La Sofina n’est pas inscrite au répertoire des entreprises habilitées à faire du lobbying au parlement européen, mais plusieurs grandes entreprises qui en possèdent des parts en font bien partie (GDF Suez, Danone, Colruyt…).

  • Le rapport Verhofstadt, pierre angulaire d’une Europe politique ?
    http://www.uef.fr/le-rapport-verhofstadt-pierre-angulaire-d-une-europe-politique

    Guy Verhofstadt, député européen, a publié un rapport sur les évolutions et adaptations possibles de la structures institutionnelle actuelle de l’Union européenne. L’UEF France a mis en place un groupe de travail pour étudier ce rapport et le soutenir. Ce webseminar vise à présenter le rapport dans son contexte ainsi que ses propositions phares. David Garcia, lobbyiste de l’UEF Europe intervient pour ce webseminar. La présentation vidéo est structurée autour de 3 axes : Une présentation du contexte (...)

    #Nos_travaux

    / une

  • Tout le monde à Rome le 25 mars 2017 !
    http://www.uef.fr/tout-le-monde-a-rome-le-25-mars-2017

    Le 25 mars 2017, l’Europe célébrera les 60 ans de son traité fondateur, le traité de Rome. Les fédéralistes européens se mobiliseront à cette occasion en se retrouvant dans les rues de la capitale italienne pour demander des progrès vers une Europe plus unie et plus démocratique. Voici le courrier d’invitation des fédéralistes italiens. Lettre du président et secrétaire général de l’UEF-Italie (traduction par François Mennerat) Le 12 juillet 2016, Guy Verhofstadt a présenté à la commission des affaires (...)

    #Événements

    / #Italie

  • Guy #Verhofstadt : ses propositions pour l’Europe
    http://www.taurillon.org/guy-verhofstadt-ses-propositions-pour-l-europe-8468

    Alors que le trio Rome-Berlin-Paris se réunissait à Ventotene pour trouver une issue à la crise politique européenne amplifiée par le #Brexit, certains ont déjà pensé la question et proposent dès à présent leurs idées. C’est le cas de Guy Verhofstadt, ancien premier ministre belge de 1999 à 2008, il est aujourd’hui l’un des députés européens les plus influents et a été designé par le Parlement Européen pour le représenter dans les négociations entre l’Union Européenne et le Royaume-Uni. Détails et analyses de ses propositions.

    Actualités

    / Brexit, Sécurité, Verhofstadt

    #Sécurité

  • Présentation du livre de Andrew Duff : un nouveau traité pour la zone euro
    http://www.uef.fr/presentation-du-livre-de-andrew-duff-un-nouveau-traite-pour-la-zone-euro

    L’UEF, le Groupe Spinelli et le European Policy Centre ont organisé mardi 15 mars dernier au Parlement européen une présentation du livre de Andrew Duff « The Protocol of Frankfurt : a new treaty for the eurozone » (le protocole de Francfort : un nouveau traité pour la zone euro). Après l’intervention de Andrew Duff, les députés au Parlement européen Guy Verhofstadt (président du groupe ALDE), Danuta Hübner (présidente de la Commission affaires constitutionnelles) et Pervenche Berès (membre de la (...)

    #Europe

    « http://spinelligroup.eu/sites/spinelli/files/report_frankfurt_protocol_final.pdf »
    « http://epc.eu/documents/uploads/pub_6229_protocol_of_frankfurt.pdf »

  • Ré-enchanter l’Europe pour ses citoyens
    http://www.uef.fr/spip.php?article371

    La section Paris-Ile-de-France de l’UEF organise, en partenariat avec le Mouvement Européen Paris, le 30 mars, une rencontre avec Thierry Chopin, directeur des études à la Fondation Schuman, professeur au Collège d’Europe et à Sciences Po, auteur de nombreuses publications sur l’Europe. Au vu de tous les contacts que nous pouvons avoir, nous sentons bien que nos concitoyens ne voient pas quelle est la vision à moyen et long terme de l’Union européenne ; ils sont, comme le dit Guy Verhofstadt, (...)

    #Événements

    / #Ile-de-France, une

  • Sondages : l’alliance pro-européenne de Guy Verhofstadt dans la chasse aux records
    http://www.taurillon.org/sondages-l-alliance-pro-europeenne-de-guy-verhofstadt-dans-la-chasse-aux

    Le groupe politique de l’Alliance des Démocrates et Libéraux pour l’Europe (ADLE) unie autour de Guy Verhofstadt enregistre 13% (+2 points) d’intention de vote : un score historique comme lors du précédent sondage de janvier. Le parti politique se positionne très clairement en faveur du projet européen et réclame une intégration plus approfondie de l’Union européenne.

    Actualités

    / #Europeanmeter, #ALDE, #Élections, #Libéralisme

    http://www.europeanmeter.wordpress.com

  • Ré-enchanter l’Europe pour ses citoyens
    http://www.uef.fr/re-enchanter-l-europe-pour-ses-citoyens

    La section Paris-Ile-de-France de l’UEF organise, en partenariat avec le Mouvement Européen Paris, le 30 mars, une rencontre avec Thierry Chopin, directeur des études à la Fondation Schuman, professeur au Collège d’Europe et à Sciences Po, auteur de nombreuses publications sur l’Europe. Au vu de tous les contacts que nous pouvons avoir, nous sentons bien que nos concitoyens ne voient pas quelle est la vision à moyen et long terme de l’Union européenne ; ils sont, comme le dit Guy Verhofstadt, (...)

    #Événements

    / #Ile-de-France

  • Thierry Chopin : Ré-enchanter l’Europe pour ses citoyens
    http://www.uef.fr/thierry-chopin-re-enchanter-l-europe-pour-ses-citoyens

    La section Paris-Ile-de-France de l’UEF organise, en partenariat avec le Mouvement Européen Paris, le 30 mars, une rencontre avec Thierry Chopin, directeur des études à la Fondation Schuman, professeur au Collège d’Europe et à Sciences Po, auteur de nombreuses publications sur l’Europe. Au vu de tous les contacts que nous pouvons avoir, nous sentons bien que nos concitoyens ne voient pas quelle est la vision à moyen et long terme de l’Union européenne ; ils sont, comme le dit Guy Verhofstadt, (...)

    #Événements

    / #Ile-de-France

  • Je comprends mieux pourquoi #Verhofstadt_Guy traite ceux qui sont en désaccord avec lui sur l’#UE d’imbéciles, de fous ou d’inconscients. Le mépris remplace des arguments objectifs difficilement avouables :

    Ce billet d’humeur ou brulot témoigne d’une investigation sur l’Europe continentale vue de Bruxelles écrite par un Britannique proche de la France.
    On parle souvent mais sans le déconstruire du lobbying facile dans le méta-État apolitique qu’est l’Union Européenne ; elle n’a pas été conçue comme une démocratie qui aurait redoublé les démocraties souveraines et multiples des États membres fondateurs, mais comme une administration oligarchique supra-nationale à Bruxelles, qui n’a pas mis au premier plan une vigilance par rapport à ses représentants sur ce point, mais au contraire paraît leur avoir ouvert les portes officielles. A partir du moment où les États membres perdent ou rendent leur souveraineté cela pose donc un problème critique du statut politique des peuples, sauf les Allemands dont le pays est le moins affecté par le droit européen au plus proche du sien, la valeur de base de la monnaie sur laquelle a été fixée celle de l’euro inclus.
    Au fond, le lobbying a pris sa place naturellement dans le vide politique de la #démocratie_européenne, et pour autant son développement sans éthique reste plutôt informé en l’état de rumeurs, tant les ramifications sembleraient complexes et les remonter serait décourageant — à moins qu’elles ne soient tellement simples qu’inavouables.
    Ici commence le règne intéressé des apprentis sorciers du rendement de l’argent dominant les entités ordolibérales en quête de marchés captifs, fussent-elles l’administration concentrée d’un conglomérat d’États membres ancestraux que l’exécutif communautaire, non directement élu par les peuples, libère des éthiques nationales.
    Pour avoir une idée, il suffit de découvrir le statut externe de certains représentants ou élus européens qui désigne des conflits d’intérêt.
    John #Ward, l’auteur informé du blog The Slog [1], saisi par la violence de l’intervention contre #Tspiras par Guy Verhofstadt, (ancien Premier Ministre des Belges de 1999 à 2008 et parlementaire européen représentant la Belgique depuis 2009, où depuis cette date il est également le Président du groupe parlementaire des libéraux démocrates ADLE [2]), au Parlement européen le 8 juillet 2015, a cherché quelle personnalité sociale et publique était derrière ce tir verbal haineux, nourri de ressentiment, pour cibler le Premier Ministre grec, alors que celui-ci ne gouvernait que depuis six mois un pays plus particulièrement plongé dans le désastre par d’autres depuis 2000, parmi lesquels des membres politiquement affiliés au mouvement de monsieur Verhofstadt.
    Ce n’est qu’un exemple. Les conséquences des dessous guerriers de l’UE sont immensurables. #NotMyEurope. (L. D.)

    http://www.larevuedesressources.org/exclusif-comment-un-faucon-belge-anti-grec-a-cache-son-interet

    #ukraine #grèce

  • Tu n’as pas pu rater Guy Verhofstadt éructant contre Tsipras au Parlement européen il y a deux semaines :
    http://seenthis.net/messages/388227

    Portrait du type en mai 2014 : il est membre du conseil d’administration d’une multinationale qui veut profiter de la privatisation du service de l’eau en Grèce
    http://www.thepressproject.gr/details_en.php?aid=62406

    Guy Verhofstadt, candidate for EU Commission president, sits on the board of a multinational looking to gain from the privatization of water utilities in Greece.

    […]

    Guy Verhofstadt, GDF Suez and the privatization of Greek water

    But there’s more to it. Sofina, according to its own statements, has a stake in the energy multinational, GDF Suez. Indeed its impact is so important that the fund has a seat on the board of Suez. Now, the plot thickens: Suez’s full subsidiary, Suez Environnement (in which Sofina also holds a stake ) is participating in one of the two consortia that in Greece have reached the final phase of the privatization of EYATH, the state-owned company that manages the water services for Thessaloniki, the second biggest Greek city.

    In its bid for the Greek water company, Suez is not alone. It is complemented by Aktor, one of the most powerful business groups in Greece, with a leading role in construction, highway concessions, waste management and… now water. Aktor is controlled by a Greek family with a pivotal role in the so called ‘triangle of power ’, a nexus of media, business and politics in Greece. By most forecasts the Suez - Aktor consortium is considered the favorite to win the bid.

    In Greece’s ’rotten’ politics we have a word for the conflict of interests that plagues the political world: ‘diaploki’, which literally means intertwined interests. How far from this definition does Mr Verhofstadt’s paradigm stand?

  • Ces candidats qui s’engagent pour une Europe fédérale
    http://www.uef.fr/ces-candidats-qui-s-engagent-pour-une-europe-federale

    L’Union des fédéralistes européens (UEF) et les Jeunes Européens fédéralistes (JEF) ont demandé aux candidats à l’élection européenne de s’engager formellement sur cinq thèmes prioritaires. Deux candidats à la présidence de la Commission européenne, Guy Verhofstadt (centre) et Ska Keller (écologiste) ont signé le texte. 231 candidats dont 67 députés européens sortants ont signé. Parmi les 46 candidats en #France, on compte notamment : Huit PS-PRG dont Isabelle THOMAS, tête de liste dans l’Ouest ; Sept (...)

    France

    / #Élections_européennes_2014, Communiqué

    #Communiqué
    « http://www.towardsfederaleurope.eu/who-to-vote-for »