person:hassan nasrallah

  • Le Hezbollah ne participera plus aux combats en Syrie (rapport) | i24news - 22 Septembre 2015
    http://www.i24news.tv/fr/actu/international/moyen-orient/86651-150922-le-hezbollah-ne-participera-plus-aux-combats-en-syrie-rapport

    Le Hezbollah ne participera plus aux combats en Syrie, selon un rapport publié lundi par le journal libanais Daily Star.

    Selon une source diplomatique, le Hezbollah a informé les autorités syriennes que lorsque la bataille pour la ville de Zabadani sera conclue, le rôle du Hezbollah dans les combats sera terminé.

    Le Hezbollah a combattu avec l’armée syrienne les rebelles et les milices sunnites dont le groupe islamique Jabhat al-Nosra.

    Par ailleurs, au moins 38 djihadistes de l’Etat islamique (EI) ont péri lundi dans des frappes de l’armée de l’air du régime de Bachar al-Assad sur des positions du groupe dans le centre de la Syrie, rapporte une ONG mardi.

    • Voire avec d’autres accords avec d’autres sponsors des mercenaires étrangers en Syrie ? Sans doute... Il paraît que Palmyre est en partie reprise... Les cartes sont-elles en train d’être rebattues ?

    • Le Hezbollah serait prêt à arrêter de combattre en Syrie
      par Dania Akkad | 23 septembre 2015
      http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/le-hezbollah-serait-pr-t-arr-ter-les-combats-en-syrie-403673032

      (...) La source anonyme a indiqué que le groupe avait informé les autorités syriennes que lorsque les combats pour le contrôle de Zabadani auraient pris fin, il cesserait de combattre en Syrie, où, selon les analystes, il aurait significativement aidé les forces pro-gouvernementales depuis 2013.

      En juillet, les forces de Bachar al-Assad ont lancé une offensive visant à reconquérir Zabadani, ville située à environ 40 km de Damas, générant une contre-offensive d’une alliance rebelle contre Fuaa et Kafraya, les seuls villages encore tenus par le gouvernement dans la province d’Edlib et dont les habitants sont chiites.

      Dimanche, un cessez-le-feu a été mis en place entre les forces pro-gouvernementales et les rebelles à Zabadani en échange d’un cessez-le-feu à Fuaa et Kafraya.

      Mardi, le cessez-le-feu aurait été prolongé, bien que les parties n’aient pas spécifié quand il serait levé ni si elles poursuivraient les négociations en vue d’une trêve plus large.

      Le rapport non confirmé n’indique pas clairement si le Hezbollah a déjà cessé de combattre en Syrie ou s’il le fera prochainement, mais les experts pensent que la sortie du groupe de la guerre civile syrienne n’est pas surprenante.

      « Le Hezbollah n’a pas naturellement vocation à s’impliquer dans ce conflit, mais il a dû néanmoins agir – et de façon significative – pour protéger ses intérêts vitaux, en raison des faibles capacités d’auto-défense libanaises et de l’affaiblissement de l’armée régulière syrienne », a expliqué à Middle East Eye Filippo Dionigi, chercheur à la London School of Economics et expert du Hezbollah.

      Réduire sa participation en Syrie à un moment approprié, poursuit Dionigi, donnerait au groupe l’opportunité de garder la face et d’affirmer qu’il a réussi à défendre le Liban. (...)

    • J’y subodore un lien avec les Russes et leur armement qui fait si peur à l’armée israélienne qui n’a pas l’habitude d’avoir une armée en face d’elle.

      Mais ?

      Le retrait du Hezbollah coupe sous le pied la propagande israélienne contre cette « organisation terroriste chiite basée au Liban » comme le nomme I24news."

    • Poutine coordonne sa stratégie en Syrie avec Israël, l’Iran et le Hezbollah
      Par Alain Chemali @GeopolisFTV | Publié le 23/09/2015
      http://geopolis.francetvinfo.fr/poutine-coordonne-sa-strategie-en-syrie-avec-israel-liran-et-l

      Retrait ou repli du Hezbollah
      Le mouvement chiite libanais a-t-il trop payé en vies humaines sa bataille pour le régime syrien au risque de perdre son assise populaire ? A-t-il reçu des directives de son mentor iranien pour une telle décision ? Prépare-t-il un repli stratégique au Sud-Liban où la tension reste grande avec Israël ?

      A en croire le rédacteur en chef d’Al-Akhbar, quotidien proche du Hezbollah, Hassan Nasrallah n’a pas dit son dernier mot. Il aurait, « à l’issue de pourparlers secrets », rejoint la coalition anti-terroriste, « la plus importante dans la région et le monde depuis des années », mise sur pied par Moscou.

      Selon l’éditorialiste, les parties concernées par cette alliance sont « la Russie, l’Iran, la Syrie, l’Irak et le Hezbollah du Liban », qu’il appelle les 4+1, et l’accord entre eux prévoit « des mécanismes de coopération sur les plan politique, militaire et du renseignement au Proche-Orient et en priorité en Syrie et en Irak. »

      Une confirmation en tout cas que la diplomatie moscovite entretient la coordination avec Israël, l’Iran et le Hezbollah à la fois pour maintenir son influence en Syrie.

    • marrant ce commentaire. Pas lu l’article, mais je connais d’autres travaux de cette historienne qui a fait un énorme travail de documentation et d’analyse des posters de la guerre civile au Liban, montrant évolution, spécificités et points communs de la communication politique des milices au Liban (cf. http://rumor.hypotheses.org/2660). Si je comprends bien son point ici, cette adoption du « cosmopolitan chic » serait une manière de rupture avec une esthétique antérieure plus martiale et terriblement kitch, telle qu’on peut la voir dans les clip d’Al Manar au moment de la libération du Sud. Il se trouve que je viens de voir le documentaire That’s all in Lebanon, réalisé par Wissam Charaf ( www.youtube.com/watch ?v=nREoUp9Aih8 ), produit entre autres par Monika Bergman de Umam, et qui donne longuement place aux analyses de Lokman Slim, et où sont justement opposés de manière très caricaturale trois esthétiques libanaises des vidéos : celle, martiale et kitch du Hezbollah, celle de Future TV, de la geste heureuse de la reconstruction à la déploration du martyr Rafik Hariri en bon père de famille, et enfin celle des clips du rêve libanais mettant en scène de pulpeuses chanteuses dont l’emblème est Haifa Wehbeh.
      Question @nidal : wadi hujayr, c’est bien ce congrès chiite de 1920 ? Y avait il un sens particulier à cette commémoration cette année ?

    • Sinon, je ne peux pas voir le documentaire maintenant, la connexion à la montagne ne permet vraiment pas de regarder du Youtube… mais bon, s’il y a du Lokman Slim dedans, je ne doute pas que ce soit totalement caricatural.

      Sur la communication graphique du Hezbollah, il me semble avoir vu il y a quelques années un article du Akhbar sur l’équipe de « communication graphique » du Hezbollah chargée du graphisme de la Nasr min Allah, constituée il me semble d’étudiants de l’AUB. (Mais c’est vraiment un vague souvenir.)

    • OK, merci. Autant pour moi : la première réf qui sort lorsque je tape Wadi Hujayr est ce rassemblement de 1920, « premier » moment de cristallisation communautaire chiite. Mais je comprends mieux le sens de la commémoration s’il s’agit du cimetière des Merkavas.
      L’adresse donnée pour le docu n’est qu’un trailer.

    • L’article est dans la ligne de ses travaux précédents (tels que tu les mentionne - je ne les ai pas lus) et vraiment passionnant. Mais tu peux aussi ne regarder que les images ;-)

      Elle mentionne avoir mené de nombreux entretiens avec les concepteurs des différentes campagnes et, notamment, celle de 2006.

      The observations in this article are based on fieldwork I conducted between 2005 and 2007 on Hizbullah’s posters. This was part of my larger study on the political posters produced by the various factions during war-time Lebanon (1975–90). I documented and studied around 200 printed posters published by Hizbullah dating to a period between the mid-1980s and 1990s and kept in the party’s archives.^5 The process also involved inter-viewing key media personnel and extensive conversations with some of the designers of these posters.
      ________________________
      Note 5 These posters were meticulously kept in large-scale archival albums at the Beirut Media Unit of Hizbullah located in Haret Hreik in the southern suburb of Beirut. Unfortunately, this archive was lost as the building that housed the unit was razed to the ground in the Israeli bombings of July 2006.

      Add to this the pervasive social stratification of taste in Lebanon according to sectarian groups, in which al-zawq al-shii (Shii taste) comes last. The derogatory expression is familiar among an urban elite, denoting rural, unsophisticated and kitschy taste—an issue I will return to later in this article; nevertheless, its brief mention here is important to point to the hierarchal dimension, linking sect and social class, by which the group’s aesthetic competence is classified and distinguished from that of a dominant Lebanese urban elite.
      Hizbullah’s desire to challenge this stigmatizing image has brought self-discipline to its poster undertakings.

    • au debut de son discours, il y a 2 jours, Hassan Nasrallah precise que le lieu a ete choisi pour des raisons symboliques. il fait reference a 1920, et lit meme un passage du discours prononce par un Imam a ce moment la. Mais je n etais pas tres concentree...


    • Preparations are underway for Hezbollah’s « victory ceremony » in Wadi al-Hujeir, Wednesday, Aug. 12, 2015.
      The Daily Star/Mohammed Zaatari

      En tous cas, la mise en scène fait plus qu’évoquer le cimetière des Merkavas…
      Et cette année, la tendance graphique pour naSr min allah est à la lecture de bas en haut.

      http://www.dailystar.com.lb/News/Lebanon-News/2015/Aug-13/310893-hezbollah-prepares-to-mark-2006-victory-in-wadi-hujair.ashx

    • Je me faisais aussi la réflexion @Simplicissimus, on est d’accord que c’est nouveau chez le Hezb cette graphie ? Forme de réponse aux jihadistes qui, depuis plusieurs années déjà, inscrivent « Mohammed rasoul Allah » de bas en haut ? Quelqu’un sait s’il y a une quelconque justification religieuse à devoir inscrire « Allah » en haut ?

  • Al-Akhbar says Nasrallah speech tomorrow will fiercely back Aoun:
    https://mideastwire.wordpress.com/2015/08/13/al-akhbar-says-nasrallah-speech-tomorrow-will-fiercely-back-a

    On August 13, the Al-Akhbar daily newspaper carried the following report by Nicolas Nassif: “…In the speech that he will be making tomorrow, Friday, on the occasion of the victory in the July 2006 war, the Hezbollah Secretary General, Sayed Hassan Nasrallah, is expected to be addressing [former] President Michel Aoun in an unprecedented manner and tone so that all the others may hear him very well. He will probably go further than the former instances when he clang to the alliance between the two men and between Hezbollah and the Free Patriotic movement. He will go further than the phrases “We will cut the hand that touches the movement,” “we will not allow for singling the movement out,” and “we are both one” to saying the phrase: “Aoun is our partner in victory.”

    “In essence, all what he [i.e. Nasrallah] will be saying tomorrow will serve to refute all that has been recently said on Hezbollah having turned its back to its Christian ally in the confrontation that the latter have been engaged into concerning the military and security appointments, mainly the appointment of a new army commander. Of course, the Party has repeatedly voiced out its approach concerning the issue of stability and how it is clinging to it when it said that there will be no resignation from the Tammam Salam cabinet, there will be no boycotting and no taking to the street.

    “This statement was interpreted as indicating a clear difference between the two allies, a difference that caused Aoun to stand alone in the battle of the military and security appointments thus losing the confrontation and allowing his adversaries to impose the postponement of the officers’ lay off. However, Nasrallah is expected to make an announcement tomorrow where he tells Aoun that their projects are common, that targeting one of them implies that they both are being targeted, and that their response will be a joint one…”

  • L’Algérie est menacée par l’Axe Daech-USA-Israël (VOSTFR) | LE SAKER FRANCOPHONE
    http://lesakerfrancophone.net/lalgerie-est-menacee-par-laxe-daech-usa-israel-vostfr

    Hassan Nasrallah, à propos de l’Algérie :

    A l’heure actuelle, je n’ai pas d’informations détaillées, je ne prétends pas être spécialiste de ce dossier, mais chaque fois qu’il y avait des problèmes dans certaines régions, les médias parlaient de différences ethniques, ou basées sur des considérations ethniques, à savoir entre Arabes et Amazigh (berbères). Mais j’ai vu, ces derniers jours, que certaines chaînes étrangères (occidentales) diffusées en arabe [BBC Arabic, France 24, etc.] parlaient de lutte entre les Malékites et les Ibadites. C’est-à-dire que l’Occident veut présenter cela comme un conflit confessionnel et sectaire.

    • L’occasion une fois de plus de ricaner : les « spécialistes » français étaient persuadés, eux, qu’il s’agissait d’un règlement de compte intérieur au régime syrien. (Y a-t-il au moins un seul point sur lequel la diplomatie française ne se soit pas trompée en Syrie ?)

      WikiLeaks : France Said Syrian General Killed in Regime Feud
      http://www.naharnet.com/stories/en/13646-wikileaks-france-said-syrian-general-killed-in-regime-feud

      Alternatively, he could have been a victim of a struggle for influence and access to corrupt wealth between rival members of the business elite linked to Assad’s ruling clan, Sarkozy’s adviser Boris Boillon told U.S. officials.

      “When asked how he interpreted the killing, Boillon said several theories presented themselves, the only common denominator of which was internecine rivalry in the entourage close to Bashar al-Assad,” the cable said.

      “He flatly rejected the notion that the Israelis had taken out Suleiman, particularly the theory that a sniper had shot him,” it continued

      “French information was that the hit was more ’classic’ and ’mafia-like’ with police stopping traffic in the immediate vicinity, bodyguards looking the other way, and the assailant pumping a slug into Suleiman’s head.”

      The official floated a theory the killing could have been ordered by Assad’s powerful brother, Maher al-Assad, a military commander and regime insider — sometimes referred to as the second most powerful man in Syria.

      “Boillon described Maher as ambitious, a bit of a wild man, and determined to increase his power and influence within the inner circle,” the cable said.

      The envoys said “Boillon’s rundown of the various theories sounded like he had recently read a finished French intelligence assessment of the situation.”

      Ludovic Pouille, a senior Middle East expert at the French foreign ministry, was “less forthcoming” about his theories in a separate 2008 meeting with U.S. officials, but he agreed the killing looked like an inside job.

    • Un général syrien, proche de Bachar Al-Assad, avait été tué en 2008 par Israël
      http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2015/07/16/un-general-syrien-proche-de-bachar-al-assad-avait-ete-tue-en-2008-par-un-com
      Le Monde.fr avec AFP | 16.07.2015

      Israël est bien responsable de l’assassinat en 2008 du général syrien Mohammed Sleiman, un homme de l’ombre très proche de Bachar Al-Assad, selon un document de l’agence de renseignement américaine NSA cité par le site Internet The Intercept. L’attribution à Israël figure dans un document interne de la NSA, fourni par Edward Snowden, selon The Intercept.

      Le document de la NSA, un extrait d’Intellipedia, une base de données interne au service de renseignement, indique que l’assassinat a été commis par des commandos de marine israéliens, dans la ville côtière de Tartous. Cet assassinat est le premier exemple connu d’une attaque d’Israël contre « un responsable d’un gouvernement légitime », ajoute le document de la NSA.

      En 2010, WikiLeaks avait déjà publié un câble américain affirmant que la Syrie soupçonnait Israël d’être responsable de l’assassinat du général.

      Le général Sleiman a été tué dans la nuit du 1er août 2008 par des snipers dans sa villa au bord de l’eau à Tartous, alors qu’il recevait des invités. Bachar Al-Assad se trouvait ce jour-là en visite officielle à Téhéran. Le gouvernement syrien avait mis plusieurs jours pour confirmer la mort de cet homme de l’ombre, peu connu mais très proche du dirigeant syrien.

    • Le général syrien Suleiman éliminé en 2008 par Israël (rapport secret américain)
      Publié 15 Juillet 2015 19:05
      http://www.i24news.tv/fr/actu/israel/diplomatie-defense/78515-150715-le-general-syrien-suleiman-elimine-en-2008-par-israel-rapport-s

      (...) Il y a un an, le secrétaire-générale du Hezbollah, Hassan Nasrallah a déclaré à des journalistes qu’il savait qu’Israël était responsable de l’élimination de Suleiman en raison de son implication dans le Seconde Guerre du Liban.

      Le président syrien Bachar al-Assad, qui était un ami proche, a été profondément affecté par la mort de Suleiman, selon un cable diplomatique émanant à l’époque de l’ambassade américaine à Damas et révélé lors de l’affaire WikiLeaks.

      « Les Israéliens avaient beaucoup de bonnes raisons d’éliminer Suleiman », a confié Mary Ellen O’Connell, professeur de droit international au site The Intercept.

      « Mais d’après la loi internationale, il est absolument clair qu’en Syrie en 2008, ils n’avaient aucun droit, selon les lois de la guerre, puisqu’il n’y avait aucun conflit armé. Ils n’avaient pas le droit de tuer le général Suleiman ».

      Selon une autre correspondance diplomatique révélée par WikiLeaks, le régime d’Assad n’aurait jamais véritablement enquêté sur les circonstances de la mort de Suleiman, car 80 millions de dollars en espèces auraient été découverts dans sa maison.

  • ISRAELI SPECIAL FORCES ASSASSINATED SENIOR SYRIAN OFFICIAL
    Matthew Cole Jul. 15 2015,
    https://firstlook.org/theintercept/2015/07/15/israeli-special-forces-assassinated-senior-syrian-official

    Les #conspirationnistes le savaient déjà,

    Last year, Hezbollah leader Hassan Nasrallah told journalists that the Israeli government killed Suleiman, and that the assassination was “linked” to Suleiman’s role in the July 2006 war between Israel and Hezbollah.

  • Le Hezbollah combat le groupe EI à la frontière syro-libanaise - Moyen-Orient - RFI
    http://www.rfi.fr/moyen-orient/20150610-syrie-liban-ei-etat-islamique-nasrallah-hezbollah

    Le secrétaire général du Hezbollah libanais Hassan Nasrallah a déclaré, mercredi 10 juin, que la bataille contre le groupe État islamique dans le Qalamoun syrien et la chaîne montagneuse de l’Anti-Liban a commencé. Cette annonce intervient alors que les troupes du Hezbollah combattent depuis près d’un mois les jihadistes du Front al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, dans la même région.

    Avec notre correspondant à Beyrouth, Paul Khalifeh

    La bataille fait rage depuis quatre semaines déjà dans le Qalamoun syrien et l’Anti-Liban, à la frontière libano-syrienne. Le Hezbollah déploie des milliers de combattants, dont des centaines de soldats d’élite, face à des milliers de jihadistes, et utilise des armes sophistiquées, y compris des drones d’attaque.

    L’offensive lancée début mai par le Hezbollah a visé les fiefs du Front al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, dans cette zone montagneuse difficile d’accès. Après de violents affrontements, les combattants libanais ont repris quelque 500 kilomètres carrés aux jihadistes, qui ne contrôlent plus qu’un petit territoire autour de la localité sunnite libanaise de Ersal.

    Conscient qu’il serait la prochaine cible, le groupe Etat islamique a lancé mardi une attaque surprise à partir du Nord du Qalamoun, qui est sous son contrôle. L’offensive a été stoppée par le Hezbollah et l’armée libanaise, déployée autour des villages chrétiens de Ras Baalbaak et Qaa, dans la région.

    La chaîne de télévision du Hezbollah al-Manar a montré les corps d’une douzaine de jihadistes et d’importantes quantités d’armes saisies. Le parti chiite a perdu au moins six hommes dans ces affrontements. Preuve du sérieux de cette bataille, les Etats-Unis ont livré, ce mercredi 10 juin, à l’armée libanaise, 200 missiles antichars et des lanceurs, pour affronter les jihadistes.

    http://seenthis.net/messages/379060#message379656

  • Hassan Nasrallah : « En cas de guerre, le Hezbollah déplacera des millions d’Israéliens » (VOSTFR)
    http://sayed7asan.blogspot.fr/2015/06/hassan-nasrallah-en-cas-de-guerre-le.html

    Extrait du discours de Sayed Hassan Nasrallah, Secrétaire Général du Hezbollah, le 5 juin 2015

    Dans son dernier discours, Sayed Hassan Nasrallah a longuement évoqué la situation au Liban, ainsi que la Syrie et le Yémen, et il n’a accordé que quelques minutes à l’entité sioniste. En réponse aux dernières fanfaronnades israéliennes menaçant de déplacer 1.5 millions de Libanais en cas de guerre et de ravager le Liban, Sayed Hassan Nasrallah rappelle qu’il ne s’agit là que de guerre psychologique, et que du reste, Israël n’a vécu que par les massacres et la destruction depuis sa création et ne saurait se comporter autrement.

    https://www.youtube.com/watch?v=RR4Hs9ONLZs

  • Nasrallah invite les parties politiques à traiter les dossiers internes « avec sérieux » - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/928457/nasrallah-invite-les-parties-politiques-a-traiter-les-dossiers-intern

    Au sujet de l’annonce de la création de « forces populaires pour défendre Baalbeck et le Hermel », sur le modèle irakien, Nasrallah a démenti l’information, ajoutant que pour l’instant, le Hezbollah « n’a pas besoin de combattants ni donc de décréter la mobilisation générale. A ce stade, il n’a besoin que de la solidarité et de l’appui des habitants de la région ». Il a encore déclaré qu’il n’y avait pas de délai fixé à cette bataille et que les combattants ne sont pas pressés. « Ce qui compte c’est de libérer tout le jurd de Ersal avec le moins possible de pertes. »

    Au sujet de la situation gouvernementale, Hassan Nasrallah a appelé les différentes parties à « prendre les choses au sérieux » et à ne pas miser sur des développements en Syrie ou au Yémen. « Ce serait, a-t-il dit, une perte de temps aux dépens de l’intérêt du pays. »

  • Report: Saudi Arms Grant Stalled over Remarks on Yemen War
    http://www.naharnet.com/stories/en/180744-report-saudi-arms-grant-stalled-over-remarks-on-yemen-war

    A Saudi grant to the Lebanese army to purchase French weapons is reportedly frozen over stances by some Lebanese officials regarding Riyadh’s war against Shiite Huthi rebels in Yemen.

    French diplomatic sources said in comments published in As Safir newspaper Tuesday that France’s chief of Staff General Jean-Pierre Bosser expressed belief that Saudi Arabia is delaying the accomplishment of the second delivery of French arms.

    The chief of staff reportedly informed Lebanese authorities that Saudi Arabia “could have decided to freeze the grant over stances by Lebanese officials regarding its war on Yemen (in particular, Hizbullah chief Sayyed Hassan Nasrallah),” the sources pointed out.

    Saudi Arabia is leading an Arab coalition that launched an air war on the Huthi rebels and their allies in Yemen on March 26.

    Nasrallah had slammed Saudi Arabia as the source of the “takfiri ideology” in the world, vowing that it will suffer a “major defeat” in the Yemeni conflict.

    The French diplomatic sources expressed pessimism over the deal, hinting that Saudi Arabia froze the grant in an indirect manner.

    According to As Safir, Lebanese officials were supposed to schedule a new arms delivery with French counterparts to ship the second batch of arms. However, Army chief General Jean Qahwaji, who visited Paris at the end of May, was surprised that French officials stalled the signing ceremony.

  • L’armée israélienne bombarde « intensivement » les troupes syriennes et le Hezbollah, mais sans le revendiquer - Libération

    http://www.liberation.fr/monde/2015/04/27/intenses-bombardements-de-tsahal-contre-les-troupes-syriennes_1272228

    Israël

    mène des raids meurtriers contre l’armée de Damas et le Hezbollah, mais sans les revendiquer, pour éviter l’embrasement.

    En moins d’une semaine, l’aviation (...) a mené trois raids meurtriers sur des bases de missiles contrôlées par les hommes de Bachar al-Assad ainsi que sur des convois transportant des vecteurs que le régime de Damas livre régulièrement aux troupes de Hassan Nasrallah, le leader du Hezbollah. Principalement visées par les raids israéliens : la 155e et la 65e division de l’armée syrienne formées de soldats d’élite. Des fidèles parmi les fidèles qui sont chargés d’entretenir, de défendre et d’utiliser les armes stratégiques du régime de Damas. Plus spécialement les missiles Scud, qui hantent les cauchemars des stratèges de l’Etat hébreu.

    « Intérêts menacés ». Selon les ONG syriennes de défense des droits de l’homme ainsi que différents groupes rebelles qui ont révélé les derniers raids israéliens, au moins quarante soldats syriens auraient été tués. S’y ajoutent quatre membres du Hezbollah libanais pulvérisés par un missile dans la nuit de dimanche à lundi alors qu’ils se préparaient à poser une roadside bomb (engin explosif télécommandé) près de la clôture de sécurité érigée par l’armée de l’Etat hébreu le long de la ligne démarcation avec la Syrie.

    « Israël mène ce genre d’actions en Syrie lorsque ses services de renseignements estiment que les intérêts de leur pays sont menacés, que les armes transférées par le régime de Damas au Hezbollah rompent l’équilibre dans la région. En janvier, c’est d’ailleurs dans ce cadre qu’un convoi de jeeps civiles transportant un général iranien et ses adjoints, ainsi que des haut gradés du Hezbollah en reconnaissance du côté syrien du plateau du Golan, a été détruit, faisant douze morts », explique le chroniqueur militaire Alon Ben David. La différence avec les opérations précédentes, c’est que, cette fois, Israël a lancé plus d’attaques en cinq jours que sur l’ensemble de l’année 2014. Et a également causé plus de victimes. Cependant, pour circonvenir le danger d’un embrasement, Benyamin Nétanyahou et son ministre de la Défense, Moshe Yaalon, s’abstiennent de tout commentaire.

    A l’instar d’Amos Gilad, un ex-général de Tsahal (l’armée israélienne) promu dans les hautes sphères du ministère de la Défense, et des autres porte-parole de l’Etat hébreu, ils se contentent donc de lâcher ici et là des petites phrases du genre « notre pays ne permettra pas le transfert d’armes au Hezbollah et aux autres organisations terroristes. Il défendra ses intérêts chaque fois qu’il l’estimera nécessaire ». Quant au porte-parole de Tsahal, il fait également profil bas. En fait, il masque son silence embarrassé en proposant aux correspondants de la presse étrangère qui le contactent une série de reportages prémâchés sur… la mission de secours israélienne au Népal.

    Cette politique du non-dit existait déjà le 6 septembre 2007 lorsque les chasseurs bombardiers de l’Etat hébreu ont visé un site nucléaire syrien secret bâti avec l’aide de l’Iran et de la Corée du Nord. Elle s’est poursuivie depuis lors bien que les dirigeants syriens et leurs alliés du Hezbollah ne soient pas dupes. « Si Israël revendiquait ses faits d’armes, le régime de Damas et le Hezbollah seraient obligés de riposter de manière spectaculaire et cela nous entraînerait dans une spirale de violence qui se grefferait sur celles déjà en cours. De cela, personne ne veut. Ni à Jérusalem, ni à Damas, ni sans doute au Hezbollah », affirme la chroniqueuse militaire Carmela Menashe.

    Bouseux. Afin d’éviter une nouvelle détérioration de la situation, les communicants israéliens développent en tout cas, depuis lundi, une campagne tentant de faire gober à l’opinion internationale que les dernières frappes sur la Syrie ne seraient pas le fait de Tsahal mais de Jabat al-Nusra, la branche syrienne d’Al-Qaeda, pourtant en difficulté depuis quelques mois. A en croire cet argumentaire en vogue à Jérusalem, des groupes de bouseux islamistes mal organisés se seraient donc procuré des chasseurs bombardiers, des drones d’attaques et des bombes téléguidées au laser sans que personne ne s’en soit rendu compte auparavant. Même pas les services israéliens à l’affût de tout ce qui bouge. Dont acte.

    Mais c’est difficile à croire. Sauf pour les médias de l’Etat hébreu

    • Le chef du Hezbollah appelle à l’union sacrée contre l’EI
      http://www.romandie.com/news/Le-chef-du-Hezbollah-appelle-a-lunion-sacree-contre-lEI_RP/596353.rom

      Pour Hassan Nasrallah, qui intervenait sur un écran géant à Nabatiyé (sud), lors d’un rassemblement pour le 15e anniversaire du retrait israélien du Liban, la bataille contre le projet takfiri est une bataille existentielle à laquelle sont confrontés notre pays et notre région ; et lorsqu’il s’agit d’une bataille existentielle, toutes les autres passent au second plan.

      Il a martelé : Aujourd’hui nous faisons face à un danger inédit dans l’histoire qui menace l’Humanité (...) Cette menace ne vise pas (spécifiquement) la résistance (le Hezbollah) au Liban, une confession particulière, le régime en Syrie, le gouvernement en Irak ou un groupe au Yémen. Le danger vise tout le monde. Personne ne doit faire la politique de l’autruche.

      M. Nasrallah a justifié tout au long de son discours la participation du Hezbollah aux côtés des forces du régime en Syrie contre la rébellion et les jihadistes dans un guerre qui a fait en quatre ans 220.000 morts.

      Notre combat en Syrie est passé par plusieurs phases. (Aujourd’hui) nous combattons aux côtés de nos frères syriens, de l’armée et du peuple et de la résistance populaire à Damas, à Alep, à Deir Ezzor, Qousseir, Hassaké et Idleb.

      Nous sommes présents aujourd’hui dans beaucoup d’endroits et nous serons présents partout en Syrie où notre présence est requise pour la bataille, a-t-il souligné, alors que jusqu’à présent il avait expliqué que ses forces agissaient seulement pour défendre la frontière libanaise et les lieux saint chiites.

      Présentant son mouvement comme l’avant-garde de la lutte contre les jihadistes, il a lancé : Ne soyez pas effrayés d’une victoire du Hezbollah, ayez peur d’une défaite de notre part.

      Il s’adressait à ses adversaires politiques au Liban, le mouvement du 14-Mars, hostiles au régime en Syrie et favorables aux rebelles.

    • En direction du Courant du futur. Le discours offensif de Nasrallah
      http://magazine.com.lb/index.php/fr/component/k2/item/12054-en-direction-du-courant-du-futur-le-discours-offensif-de-nasralla

      Mais le plus important dans ce discours du 24 mai 2015 est le fait que le secrétaire général du Hezbollah s’est directement adressé au 14 mars et au Courant du futur en particulier. Il leur a ainsi affirmé qu’en raison de ses relations avec le commandement syrien, le Hezbollah est en mesure de servir de garantie au peuple libanais pour éviter une nouvelle ingérence syrienne dans ses affaires internes et, éventuellement, des vengeances contre ceux qui ont aidé l’opposition syrienne. En revanche, si à Dieu ne plaise, le régime devait tomber et les différentes factions prendre le pouvoir, le 14 mars est-il en mesure de garantir pour le Liban une non-ingérence syrienne dans les affaires libanaises et la non-extension des groupes takfiristes à l’intérieur du pays ? Toujours dans le même contexte, sayyed Nasrallah a rappelé au 14 mars que ses amis syriens, à savoir la Coalition nationale et ses semblables, ne peuvent même pas se rendre en Syrie dans les zones contrôlées par Daech et al-Nosra. Il a déclaré que le Courant du futur et ses alliés seraient forcément les premières victimes de ces deux groupes terroristes si ces derniers devaient remporter la mise en Syrie et parvenir à faire chuter le régime d’Assad. Il a donc invité le 14 mars à revoir ses positions et à cesser d’appuyer indirectement ces groupes takfiristes qui sont une menace pour eux, avant d’être une menace pour les autres composantes de la société libanaise. En même temps, le secrétaire général du Hezbollah a brisé dans l’œuf les tentatives de certains pays régionaux de redorer actuellement le blason du Front al-Nosra en le présentant comme un groupe « modéré » et donc « fréquentable » et comme le futur interlocuteur dans d’éventuelles négociations politiques. Nasrallah a ainsi rappelé que le Front al-Nosra est la branche syrienne d’al-Qaïda, selon les propres termes du cheikh Ayman Zawahiri, qui a pris la tête de la mouvance après la mort d’Oussama Ben Laden.

  • The War of Fools by Uri Avnery — Antiwar.com
    http://original.antiwar.com/avnery/2015/05/19/the-war-of-fools

    Since then until now the Lebanon-Israel border has been comparatively quiet. If there had been any discernible war aim at all, it was to terrorize the Lebanese civilian population by widespread destruction and killing. This was indeed achieved. Hassan Nasrallah, the outstanding Hezbollah leader (who was appointed after his much less able predecessor was “eliminated” by the Israeli army in a “targeted killing”) publicly admitted with unusual candor that he would not have ordered the prisoner-taking action if he had foreseen that it would result in a war.

    However, listening to the three Israeli leaders in the TV stories, one is struck by the glaring incompetence of all three. They started a war in which hundreds of Israelis and Lebanese were killed and houses destroyed without a valid reason, conducted a war without a clear plan, took decisions without the necessary knowledge. Speaking on TV, they showed very little respect for each other.

  • With Iran out of the picture, Hezbollah tops Israel’s threat list - Diplomacy and Defense - Israel News | Haaretz
    http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/.premium-1.653478

    The aerial assault in Syria early Saturday that has been attributed to Israel, if it was in fact carried out as reported in the Arab media, followed several declarations by senior Israeli officials in which they warned against the acquisition of arms by the Lebanese-based Hezbollah militia group.

    Following the framework agreement arrived at in early April in Lausanne, Switzerland between Iran and the world powers that is aimed at reining in the Iranian nuclear program, some of the Israeli reactions to the understanding have highlighted the risks of continued transfer of Iranian arms via Syria to Hezbollah.

    In a visit to the site of an Israel Defense Forces exercise in the Golan Heights on April 15, Defense Minister Moshe Ya’alon accused the Iranians of continuing to arm the Lebanese-based Shi’ite militia group. A letter from Foreign Ministry Director General Nissim Ben-Sheetrit, the contents of which was reported at the time by Haaretz, also mentioned the arming of Hezbollah as the most highly urgent and critical issue from Israel’s standpoint.

    Although Israel’s leadership is continuing to warn about Iran’s nuclear program, there appear to be signs of the beginning of a wider process. As a practical matter, the progress in the talks between Iran and the world powers has reduced the prospect of a unilateral attack on Israel’s part against Iranian nuclear sites to a minimum. The threat posed by Hezbollah missile therefore again assumes the status of the No. 1 security threat from Israel’s standpoint.

    According to reports on Al-Jazeera and other Arab media outlets, the attack early Saturday was against bases of the Syrian missile brigade in the Qalamoun Mountain region near the border with Lebanon. It is doubtful that the Syrian army’s missile capacity, which a number of assessments state has been eroded by more than half over the course of the country’s civil war, particularly worries Jerusalem. Israeli warnings over the past four years have all focused on the transfer from Syria to Lebanon of weaponry described as “violating the balance.”

    It is also not reasonable for Israeli to be concerned about the quantity of missiles involved. The best intelligence estimates are that Hezbollah currently possesses more than 100,000 missiles and rockets—at least seven times what it had just prior to the beginning of the 2006 Second Lebanon War. If that is indeed the case, an additional 100 missiles or 100 fewer would not change Israel’s strategic reality when it comes to Hezbollah.

    But there is another disturbing trend relating to the missiles that Hezbollah leader Hassan Nasrallah has hinted at more than once. Since the 2006 war, and to an even greater extent in recent years, Nasrallah has been trying through his declarations to establish a sort of balance of deterrence: If Israel damages Lebanon’s civilian infrastructure, it will be hit in a similar fashion. Ports, airports and power plants will be hit on both sides. To carry out its threat, Hezbollah doesn’t need just missile range, and based on all intelligence assessments, it has missiles with a range to reach all of Israel, but also the capacity to make accurate hits.

    There is a huge difference between the extent of potential damage (that could be caused to infrastructure sites and military facilities) by a missile that hits at an average distance of a kilometer from its target and a precision missile that lands at a distance of just dozens of meters from it.

    Syrian and Iranian efforts to smuggle weaponry to Hezbollah is also directly linked to the situation of the regime of Syrian President Bashar Assad in the current civil war in his country. In recent months, after it had appeared that the regime was managing to stabilize the picture with the help of massive assistance that he has been receiving from Iran, Hezbollah and Russia,

    Assad has suffered several failures. Rebel groups, particularly from the most extreme factions from the Islamic State, also known as ISIS, and from the Nusra Front, have initiated surprise attacks near Damascus (including the capture for a few weeks of the Yarmouk Palestinian refugee camp) and even bombed the area of the Damascus international airport. The adversaries also grouped forces in the Qalamoun area, around which fierce battles were also fought about a year ago.

    Holding on to control of the airport and the Syrian-Lebanese border are important to Hezbollah to ensure its regular supply of arms. It cannot be ruled out that a loss of control of these areas would spur smuggling efforts, certainly on cloudy nights during which the leaders of the convoys would assume that the chances of their being discovered by adversaries would be very low.

    The question is also raised as to whether if Syria and Hezbollah point a direct finger at Israel over the latest attack, as occurred in connection with prior attacks attributed to Israel, there is a risk that they would respond. The rules of the game between the parties involved are not always clear. When similar aerial assaults in 2013 were reported, Damascus ignored the issue. Later the Syrian authorities acknowledged that the attacks had occurred and apparently in response gave the green light to an attack in response on the part of cells operated by Hezbollah along the Golan Heights border with Israel.

    In February 2014, after an attack attributed to Israel on a convoy near Janta, on the Lebanese side of the border, Hezbollah issued explicit threats followed by the firing of rockets and the laying of explosive charges both on the Syrian border (in the Golan Heights) and on the Lebanese border (in the Mount Dov area). The latest flare-up occurred under different circumstances involving the fatal attack on an Iranian general and six Hezbollah fighters on the Syrian side of the Golan Heights in late January and then the death of two Israeli Givati brigade soldiers in an anti-tank missile attack on the slopes of Mount Dov in a Hezbollah operation ten days later.

    Subsequently, over a period of two and a half months, quiet prevailed in the north. The basic interest, primarily involving Hezbollah and the Assad regime’s focus on the Syrian civil war, remains as it appears to be. It is also clear that Hezbollah views the bombing of Lebanese territory with greater seriousness than an assault on a convoy in Syrian territory, as Al-Jazeera claimed occurred overnight between Friday and Saturday.

    And yet, over the course of recent years, an increase has been noted in Hezbollah’s daring vis-à-vis Israel, particularly in its desire to make it clear to Israel that Hezbollah is not paralyzed with fear in the face of Israeli military might. Whether Israel carried out the attacks attributed to it by the Arab media or not, it would be logical to assume that the Israeli army will remain on high alert in the north in the near future in the face of the danger of a Hezbollah response even if that doesn’t currently appear to be the most reasonable possibility.

  • The Angry Arab News Service/وكالة أنباء العربي الغاضب: This would never be in the New York Times or the Washington Post
    http://angryarab.blogspot.fr/2015/04/this-would-never-be-in-new-york-times.html

    Les deux Nasrallah: trop bien !

    This would never be in the New York Times or the Washington Post
    The only people who are protecting us are the resistance of Hezbollah,” Nasrallah said. “The only one standing with the army is Hezbollah. Let’s not hide it anymore.” “They accept us as we are,” Nasrallah said. “They do not impose on us anything. When there’s an occasion, they come to our children’s birthdays. The people here accept that Hezbollah comes and helps.” One of the minor ironies in this profoundly divided country is that the chief of the Christians of Ras Baalbek and the head of Hezbollah share the same last name. The Christian Nasrallah, a big and bearded man, even looks strikingly like the Muslim one, Hassan Nasrallah.”

  • al-Araby al-Jadeed English - Nasrallah, Hariri, and their roles in the regional crisis

    http://www.alaraby.co.uk/english/politics/2015/4/19/nasrallah-hariri-and-their-roles-in-the-regional-crisis

    By: Thaer Ghandour
    Date of publication: 19 April, 2015
    Tags
    Lebanon, Lebanese politics, regional politics
    Analysis: Though they are on opposite sides of the regional crisis, Lebanon’s Saad al-Hariri and Hassan Nasrallah are keen to avoid an escalation of political tension in Lebanon.
    A bizarre calm has descended on the Lebanese domestic scene.

    Although the divide among the Lebanese has worsened, the decision to spare the country an explosion is still valid, with many indications showing it may not last long.

    Meanwhile, two political leaders in Lebanon continue to exchange verbal blows on a regular basis. Ever since the “Decisive Storm” Operation kicked off, Future Movement leader Saad al-Hariri seemed like a key player in the Saudi-led alliance, as he was the first Arab politician to openly back up the operation in the media. In a 30-minute telephone conversation with al-Arabiya on 30 March, Hariri voiced his support for the operation, three hours after the airstrikes began.

    On the opposite front stands Hezbollah Secretary General Hassan Nasrallah who spearheaded the opposite camp. On the second day of the operation, Nasrallah devoted a speech to respond to the alliance and for an hour, Hezbollah’s chief defended Iran and blasted Saudi Arabia for spearheading a coalition to launch a war on Yemen. Once again, during a live interview with the Syrian al-Ikhbariya TV, Nasrallah lashed out at Riyadh and he is expected to speak tomorrow in a ceremony organised by Hezbollah in support of the Houthis.

  • Le ministre libanais de l’information, une fois de plus, défend courageusement la liberté d’expression dans son pays (ah ah ah, nan, c’est pas vrai) : Lebanon apologises to Saudi following Nasrallah interview
    https://www.middleeastmonitor.com/news/middle-east/17923-lebanon-apologises-to-saudi-following-nasrallah-interview

    Saudi Ambassador to Lebanon Ali Asiri said that several Lebanese officials have officially apologised after a local television station aired an interview with Hezbollah leader Hassan Nasrallah during which he renewed his harsh criticism of the kingdom.

    Asiri said he received a call from the Lebanese Information Minister Ramzi Jreij who “apologized for the harm made against Saudi Arabia by Nasrallah and the positions that do not reflect the official Lebanese media.”

    The minister vowed that he would take “internal measures against the station”, adding that the “mistake will not be repeated”.

    • Faisant suite à : Interview de Nasrallah : Hariri fustige Télé-Liban
      http://www.lorientlejour.com/article/919655/interview-de-nasrallah-hariri-fustige-tele-liban.html

      L’ancien Premier ministre libanais Saad Hariri a critiqué mercredi la chaîne de télévision publique Télé-Liban pour avoir retransmis une interview de Hassan Nasrallah diffusée par la chaîne officielle syrienne al-Ikhbariya, une mesure considérée contraire à la politique de distanciation du gouvernement libanais à l’égard des protagonistes du conflit en Syrie.

      « Au moment où le Hezbollah ne cesse d’accumuler les problèmes au Liban, il ne nous manquait plus que l’entrée dans l’arène politico-médiatique de Télé-Liban qui a été amenée à prendre part à la campagne de diffamation contre l’Arabie saoudite », estime le leader sunnite dans un communiqué sur sa page Facebook.

      […]

      « Nous sommes alarmés par le fait qu’un service public soit utilisé afin de porter atteinte à un Etat arabe frère », souligne M. Hariri.

      Le ministre libanais de l’Information, Ramzi Jreige, a vertement critiqué hier Télé-Liban, promettant des mesures contre la chaîne. […]

  • وزير الإعلام اللبناني يعتذر للسعودية عن بث التلفزيون الرسمي مقابلة لـ”نصر الله” | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=241072

    Il paraîtrait que le ministre de l’Information libanais aurait appelé au téléphone l’ambassadeur saoudien pour lui présenter ses excuses après la diffusion, par la chaîne nationale, d’un entretien avec Hassan Nasrallah, qui critiquait sévèrement le Royaume...

    C’est sûr qu’après un gros chèque de quelques milliards pour l’équipement de l’armée (payé aux Français socialistes il est vrai), ça ne se fait pas !

    • الوكالة الوطنية للإعلام - (*) جريج:سأتولى معالجة بث مقابلة نصر الله على تلفزيون لبنان لكن ليس عبر الاعلام
      http://nna-leb.gov.lb/ar/show-news/151754

      وطنية - أعلن وزير الاعلام رمزي جريج، في مؤتمر صحافي عقده اليوم، انه سيتولى معالجة موضوع بث مقابلة الامين العام لحزب الله السيد حسن نصر الله على تلفزيون لبنان لكن ليس عبر وسائل الاعلام"، مشيرا الى ان “الموضوع هو الاتصال بالاخبارية السورية لاجراء النقل، في حين أننا نأينا بأنفسنا عن اي اتصال بالنظام السوري، احتراما لسياسة النأي بالنفس”.

      ورأى جريج “ان بعض الحلقات السياسية على الشاشات اللبنانية يحولها ضيوفها الى حلبات مصارعة”، وقال: “ان هذا الاداء يدعوني الى الطلب من جميع وسائل الاعلام التقيد في نشراتها والتعليقات عليها باحكام القانون وبالمبادئ التي التزمت بها”، مؤكدا انه سيضطر الى اتخاذ كل الاجراءات القانونية اللازمة في حق المخالفين في حال استمرار التجاوزات التي تضر بالمصلحة الوطنية العليا".

  • Nasrallah : L’offensive contre le Yémen aura des répercussions dangereuses sur la région - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/917904/nasrallah-loffensive-contre-le-yemen-aura-des-repercussions-dangereus

    Le chef du Hezbollah a ironisé sur l’Arabie saoudite qui a décidé de mener une opération militaire contre un pays arabe, baptisée « tempête de la fermeté » : « Cela fait des années que la Palestine en appelle aux Arabes et nous n’avons jamais vu +une brise de la fermeté+ menée contre Israël ». Et de poursuivre : « D’où vous sont venus ce courage et cette fermeté ? »

    « Vous parlez d’un danger qu’il fallait contrer. N’avez-vous jamais senti le danger que représente Israël, le pays qui possède une des armées les plus puissantes ? a martelé Nasrallah. La réponse est que vous n’avez jamais perçu l’Etat hébreu ni comme un ennemi ni même comme une menace ».

    Et il a demandé à Abbas d’aller se rhabiller...

  • Très important : ce soir, Hassan Nasrallah a attaqué frontalement l’Arabie séoudite sur quasiment tous les fronts. D’après les commentaires assez unanimes, il avait « retiré les gants ».
    http://www.lbcgroup.tv/news/207752/lbci-news

    “If the goal is to rescue the Yemeni people, why did you abandon the Palestinian people for decades? Why did you betray them?,” he asked.
     
    Hezbollah’s chief added that the pretext that Yemen represents a threat to the Gulf states is “pointless.”
     
    Nasrallah also said that one of the “most big lies” that the Saudi kingdom has been propagating is that Iran is occupying Yemen.
     
    “Saudi Arabia does not recognize the rights of the people, and this is the main problem in the Saudi mentality,” he added.
     
    He also noted that Saudi Arabia’s failure is pushing the people of the region to resort to Tehran.
     
    “When Israel had occupied Lebanon, Iran supported Hezbollah and gave us the experience of resistance,” he noted.
     
    Nasrallah asked what Saudi Arabia did for Iraq, adding that the Saudi kingdom had funded the war waged by Saddam Hussein against Iran.​
     
    “You had also supported George Bush in his war on Iraq,” he added.
     
    Nassrallah accused Saudi Arabia of supporting al-Qaeda-linked groups and Takfiri militants when the Iraqi people resisted the US occupation, adding that that the Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL) is the kingdom’s “latest crime.”

    • Sur la timeline d’Al Manar :

      20:55 Sayyed Nasrallah: Saudi Arabia is hindering presidential elections in Lebanon. Saudi FM Saud al-Faisal he who is vetoing the election of the candidate who has the majority within the Christians in Lebanon

      20:58 Sayyed Nasrallah to Saudi Arabia: if the aim of the war on Yemen is to save the Yemeni people, then why did you abandon the Palestinian people for long decades?

      21:00 Sayyed Nasrallah: Latest developments in Yemen a new proof that Arab states have never considered Israel an enemy

      21:01 Sayyed Nasrallah: Saudi Arabia has opposed the revolution which had overthrown Hosni Mubarak. Why didn’t they form a coalition to strike Egypt?

      21:05 Sayyed Nasrallah: Can you prove to scholars and people in our Muslim nation that the current events in Yemen represent a real danger to Saudi Arabia and Gulf states?

      21:08 Sayyed Nasrallah: Pretext that Yemen represents threat to Gulf states is baseless

      21:10 Sayyed Nasrallah: one of the most big lies Saudi Arabia has been propagating is that Iran is occupying Yemen.

      21:15 Sayyed Nasrallah: Saudi Arabia does not recognize the rights of the peoples, and this is the major problem in the Saudi mentality

      21:17 Sayyed Nasrallah: where are the achievements of Saudi Arabia’s foreign policy since 30 years ago?

      21:20 Sayyed Nasrallah to Saudi Arabia: Your failure is prompting the people of the region to resort to Iran

      21:21 Sayyed Nasrallah: When Israel had occupied Lebanon Iran supported us and gave us the experience of resistance

      21:24 Sayyed Nasrallah to Saudi Arabia: you have abandoned the Palestinian cause. Iran is not holding sway over Palestinians and their decisions

      21:25 Sayyed Nasrallah to Saudi Arabia: what did you do for Iraq? You had funded the war waged by Saddam Hussein against Iran

      21:26 Sayyed Nasrallah to Saudi Arabia: You had also supported George Bush in his war on Iraq

      21:30 Sayyed Nasrallah to Saudi Arabia: and when the Iraqi people resisted the US occupation you had supported al-Qaeda-linked groups and Takfiri militants, and ISIL is your latest crime

      21:31 Sayyed Nasrallah: the Saudi intelligence was sending the booby-trapped cars and funding the suicide attacks on the Iraqi cities

      21:33 Sayyed Nasrallah to Saudi Arabia: You supported Saddam Hussein as he was committing genocide against Iraqi people

      21:35 Sayyed Nasrallah: Iran defended the Iraqi people in a war which was eradicating its existence

      21:48 Sayyed Nasrallah to Saudi Arabia: you have sent the Takfiri monsters to Syria not to save the Syrian people, but to subdue Syria. However Syria will remain free and independent

  • Hassan Nasrallah : l’État islamique veut conquérir La Mecque et Médine | LE SAKER FRANCOPHONE
    http://lesakerfrancophone.net/hassan-nasrallah-letat-islamique-veut-conquerir-la-mecque-et-med

    Chère Madame [Roberta Pinotti], pourquoi voulez-vous donc mener une offensive internationale pour combattre le terrorisme en Libye ? La Ministre de la Défense répond – j’espère que je ne me trompe pas et que c’est bien la Ministre de la Défense –, elle répond que c’est parce que le terrorisme – écoutez bien, et j’espère que le 14 Mars [opposants politiques du Hezbollah qui dénoncent leur intervention en Syrie] écouteront bien –, elle répond que c’est parce que le terrorisme est maintenant présent à 350 kilomètres de la frontière italienne… Seulement pour ça ! 350 kilomètres ! Et cette dame… et l’Italie, ce pays issu d’une grande civilisation, l’Union Européenne et qui sais-je encore sont en train de se demander comment ils peuvent mener une opération militaire en Libye car le terrorisme est maintenant à une distance de 350 kilomètres (de leurs frontières) !

    Et quant à nous (le Liban), où est le terrorisme ? Au Nord du pays. Et à Al-Qusayr (Nord-Est). Et à Qalamoun (Est). Et dans les plaines (Sud). Sans parler des voitures piégées (envoyées au cœur du Liban). Et vous (14 Mars) vous nous sermonneriez sur la justice, les devoirs, le vrai, le faux [à cause de notre intervention en Syrie] ?!… Mais le monde entier est ainsi et agit de même [pour se protéger du terrorisme]. Tant pis…

    Nasrallah, dans une traduction qui fait (un peu mais tout de même pour une fois) justice à son style oral.

  • Nasrallah: The Rules of Engagement with #Israel Are Over
    http://english.al-akhbar.com/node/23514

    “Don’t try us,” #Hezbollah Secretary-General #Hassan_Nasrallah told Israel in a televised speech Friday broadcast during a memorial ceremony to honor the six Hezbollah fighters and the Iranian general killed in an Israeli airstrike in #syria earlier this month.

    ##HezbollahRetaliates #Articles #Iran #Lebanon #Quneitra #Shebaa_Farms

  • Nasrallah à Israël : « Ne nous testez plus, nous ne craignons pas la guerre » - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/908914/nasrallah-a-israel-ne-nous-testez-plus-nous-ne-craignons-pas-la-guerr

    Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a déclaré, vendredi dans un discours retransmis par vidéoconférence, que l’opération menée par ses combattants mercredi contre un convoi militaire israélien dans les fermes de Chebaa était « une opération réussie dans à tous les niveaux ». « L’Etat hébreu n’a pas osé revendiquer son attaque sur le Golan (à Kuneitra, le 18 janvier dernier, ndlr), alors que nous avons revendiqué notre opération quelques minutes plus tard », a-t-il martelé.

    Remerciant de nouveau les moujahidine et responsables de la résistance islamique qui ont planifié et exécuté l’opération de mercredi qui a coûté la vie à deux soldats israéliens, Hassan Nasrallah a souligné les faux calculs du gouvernement israélien. « Israël, que nous avons battu plusieurs fois ces dernières années, est incapable de porter des coups durs à la résistance et ne le sera jamais », a-t-il lancé.

    « Après l’attaque de Kuneitra, vous nous avez testés. Je vous dis maintenant +ne nous testez plus+ », a lancé le leader chiite, car la résistance n’est pas affaiblie et ne le sera jamais. « Que l’ennemi israélien comprenne que la résistance est sage mais pas faible. Si l’ennemi pense que la résistance a peur de la guerre, je lui assure aujourd’hui +nous ne craignons pas la guerre, nous y ferons face et nous serions victorieux », a-t-il martelé. Et de poursuivre : « Il ne s’agit pas de menaces vides, nous avons prouvé cela sur le terrain ».

    Tout en assurant « ne pas vouloir de guerre », le leader chiite a néanmoins assuré :"mais si elle nous est imposée, nous ne la craignons pas". « Comme l’Etat hébreu s’octroie des droits, nous nous donnons le droit aussi de faire face à l’ennemi israélien dans tout endroit et à tout moment et de la façon que nous jugeons adéquate », a-t-il ajouté.

  • Panic in #Israel
    http://english.al-akhbar.com/node/23334

    Yesterday, Israel went from a state of anxiety to a state of panic, after its attempts to contain Iran and #Hezbollah’s anger — by offering mitigating excuses and an indirect apology via a senior security official on Tuesday — failed. Panic seized people in northern Israeli settlements when news spread that Hezbollah commandos were crossing the border to carry out kidnapping operations.

    #Alex_Fishman #Articles #Beirut #benjamin_netanyahu #Dahiyeh #Jihad_Mughniyeh #Lebanon #Mohammed_Ali_Allahdadi #Quneitra #Sayyed_Hassan_Nasrallah #syria #Mideast_&_North_Africa