person:henri de castries

  • À Châteauroux, Marine Le Pen sur l’air du grand complot - Libération
    http://www.liberation.fr/france/2017/03/11/a-chateauroux-marine-le-pen-sur-l-air-du-grand-complot_1555039

    Est-ce un hasard ? Selon une enquête ViaVoice publiée la veille par Libération, 52% des sondés - et plus encore chez les sympathisants de droite et d’extrême droite - adhèrent à l’idée d’un « "système" à la fois politique, médiatique, judiciaire, économique et financier, qui empêcherait le changement et défendrait ses propres intérêts ». Un quart d’entre eux retiennent même la définition la plus sévère de ce « système », vu comme une « organisation structurée par laquelle les élites contrôlent la société et imposent leurs décisions ». Marine Le Pen n’est d’ailleurs pas la seule à brandir un tel épouvantail, contre lequel assurent aussi se battre ses adversaires François Fillon et Emmanuel Macron.

    Pour la candidate FN, cependant, ces derniers sont bien les représentants et les derniers boucliers du « Système » : « Qui soutient Monsieur Macron ?, a-t-elle lancé. C’est la banque Rothschild dont il est issu. C’est Monsieur Patrick Drahi, propriétaire de plusieurs journaux et radios (dont Libération, ndlr). C’est le service public de l’information ». Mêmes griefs à l’égard de François Fillon, dont Marine Le Pen a rappelé les liens avec Henri de Castries, ancien dirigeant de l’assureur Axa. « Ils ne sont que des pantins dans la main des intérêts privés, a-t-elle poursuivi. C’est la haute finance que ces gens servent en réalité. Je ne veux pas que les agents d’Axa ou des laboratoires Servier colonisent les ministères ». Le public castelroussin aura même entendu parler du « dîner du Siècle », cette réunion huppée régulièrement ciblée par les complotistes.

    #PhoneStories #Linfiltré #FN

  • Ces élus salariés dans le privé : « Mes clients ne sont pas vos affaires... »
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/13322-ces-elus-salaries-dans-le-prive-mes-clients-ne-sont-pas-vos-affaire

    Les députés de Paris Pierre Lellouche et François Fillon (ici lors du 75e anniversaire de l’appel du 18 juin, en

    2015 à Londres) exercent parallèlement à leur mandat des activités de conseil aux grandes entreprises.

    (LE CAER VIANNEY/SIPA)

    Comme François Fillon, députés et sénateurs sont nombreux à travailler dans des cabinets d’avocats ou des sociétés de conseil, avec des salaires pouvant atteindre 30.000 euros. Parfois soupçonnés de conflits d’intérêts, peu jouent le jeu de la transparence.

    C’était un secret farouchement gardé : l’identité des clients de la société de François Fillon, 2F Conseil. Interrogé, le leader des Républicains éludait. On comprend mieux pourquoi. Trois de ses principaux employeurs – René Ricol, Henri de Castries, Marc Ladreit de Lacharrière – étaient des amis. Le (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Pour quoi exactement François Fillon a-t-il été rémunéré 200 000 euros par #Axa ?
    http://multinationales.org/Pour-quoi-exactement-Francois-Fillon-a-t-il-ete-remunere-200-000-eu

    Sous pression dans le cadre de la campagne présidentielle française, François Fillon a finalement dévoilé l’identité de certains des clients de sa lucrative activité de conseil. Parmi ceux-ci, l’assureur Axa, qui lui aurait versé 200 000 euros d’honoraires. L’ancien PDG d’Axa, Henri de Castries est très proche de François Fillon et était pressenti pour occuper un poste ministériel. Conflit d’intérêt manifeste ou véritable mission de #Lobbying, que cache exactement cette rémunération ? #Mediapart mène l’enquête. (...)

    Actualités

    / #France, #Finances_et_banques, Mediapart, Lobbying, #union_européenne, #influence, #normes_et_régulations, (...)

    « https://www.mediapart.fr/journal/france/100217/paye-par-axa-fillon-en-plein-conflit-dinterets »

  • Yannick Jadot s’interroge sur les liens entre Fillon et Axa À la Une | Reuters
    http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN15M0MZ

    PARIS (Reuters) - Le candidat écologiste à l’élection présidentielle, Yannick Jadot, a annoncé mardi qu’il allait demander aux députés écologistes de saisir le déontologue de l’Assemblée nationale sur les liens entre François Fillon et l’assureur Axa.

    L’ex-Premier ministre, visé par une enquête préliminaire sur les activités présumées fictives de sa femme et de deux de ses enfants, a exercé une activité de conseil de 2012 à 2016 avec sa société 2F Conseil.

    Lundi, lors d’une conférence de presse, il a assuré l’avoir fait « en toute légalité », et indiqué que l’assureur Axa figurait parmi ses clients.

    « Je vais demander aux députés écologistes de saisir le déontologue de l’Assemblée nationale », a déclaré mardi Yannick Jadot sur Europe 1.

    « Monsieur Fillon (...) a travaillé pour Axa comme lobby sur une directive européenne qui doit évidemment rentrer dans le droit français (...) Pour moi c’est en dehors des clous », a-t-il ajouté.

    A la question « considérez-vous que c’est un conflit d’intérêts ? », le candidat écologiste a répondu : « Bien sûr ».

    « Quand on est législateur, on ne peut pas en même temps intervenir comme lobby pour un intérêt privé. »

    « Quand on travaille pour la société Axa et qu’on commence sa campagne en disant qu’on va dérembourser une partie des soins, je suis désolé, là aussi, je considère qu’il y a des conflits d’intérêts », a-t-il poursuivi.

    L’avocat de François Fillon n’était pas joignable dans l’immédiat.

    (Chine Labbé, édité par Marc Joanny)


    #François_Fillon #AXA #lobby #lobbying #mélange_des_genres #Yannick Jado #corruption #député #2F

    • De qui François Fillon est-il le prête-nom ?
      par François Denord & Paul Lagneau-Ymonet
      (février 2017)

      L’influence d’un entourage
      La droite française présente à l’élection présidentielle un candidat incarnant ses valeurs les plus traditionnelles. Pour l’emporter, M. François Fillon devra non seulement réfuter les soupçons d’emplois fictifs visant son épouse, mais aussi et surtout élargir sa base sociale. La radiographie de son équipe — ses soutiens, ses alliés, ses conseillers — révèle à quel point son assise est étroite

      Auprès des principaux candidats à l’élection présidentielle française s’activent des collaborateurs. Ces équipes exhibées devant les caméras, ces organigrammes publiés par la presse ne représentent pas seulement une accumulation de pouvoirs, d’ambitions et de savoir-faire : ils expriment des compromis entre fractions de la classe dominante et impriment leur marque aux divers programmes. Après M. Nicolas Sarkozy en « président des riches », voici M. François Fillon, son ex-premier ministre, en apôtre de l’entreprise, de l’autorité et de la foi.

      Dans l’arithmétique des pouvoirs, toutes les richesses ne se valent pas. L’argent surclasse les autres (culture, savoir et prestige) et étalonne leurs grandeurs relatives. Il en va de même parmi les alliés de M. Fillon : des financiers fixent le cap, des consultants organisent la campagne, des communicants lustrent l’image du candidat.

      Au pôle économique trône M. Henri de Castries, ex-président-directeur général du premier assureur mondial, Axa, un groupe qu’il a rejoint après avoir pris part aux premières privatisations (1986-1988) en tant que chef de bureau à la direction du Trésor. Dans cette entreprise qui martèle depuis des années son credo libéral, notamment à travers l’Institut Montaigne, une boîte à idées fondée en 2000 par son ancien dirigeant Claude Bébéar, M. de Castries s’épanouit. Il réclame « des leaders forts, qui développent une vraie vision du monde et une vraie stratégie d’avenir, et qui seront d’une fermeté sans faille dans l’exécution de celle-ci. Bien sûr, il faut écouter les protestations, mais en ayant conscience de ce qu’elles représentent d’intérêts particuliers. Mais il faut savoir tenir un cap. C’est une dignité et une vertu que de mener des réformes » (Le Figaro, 2 novembre 2016)...

      Le manager, Pierre Danon, directeur de campagne adjoint pendant les primaires, à la Bourse du travail galvanise son auditoire :
      « Et s’il le faut, [M.Fillon] saura envoyer l’armée pour débloquer des raffineries » (L’humanité , 18 novembre 2016).

      « Jésus Manager »

      Au-delà des spécificités liées à l’ancrage de M.Fillon au sein de la bourgeoisie catholique, cet attelage de la banque-assurance, du management et de la communication se retrouverait sous des formes et des incarnations différentes dans l’entourage d’autres candidats ~M. Emmanuel Macron, notamment. Il marque l’aboutissement du processus de néolibéralisation qui, en France, affecte la structure du pouvoir depuis quarante ans. Il se traduit par un moindre contrôle politique sur l’ordre économique et par un retour en force des puissances financières, commerciales et industrielles privées

      http://www.monde-diplomatique.fr/2017/02/DENORD/57100
      aperçu

      https://seenthis.net/messages/566812

  • De nouveaux éléments de l’enquête fragilisent la défense de François Fillon

    http://www.lemonde.fr/politique/article/2017/02/06/de-nouveaux-elements-de-l-enquete-fragilisent-la-defense-de-francois-fillon_

    Les enquêteurs suspectent un éventuel trafic d’influence lié à l’attribution d’une décoration. L’un des fils de M. Fillon, assistant au Sénat, travaillait pour la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy.

    La pression judiciaire s’accentue encore sur François Fillon, mis en cause depuis près de deux semaines dans une affaire d’emplois fictifs présumés dont auraient bénéficié son épouse et deux de ses enfants. Selon les éléments réunis par Le Monde, l’enquête préliminaire ouverte par le parquet national financier (PNF) le 25 janvier à la suite des informations publiées le jour même par Le Canard enchaîné a fait émerger des faits susceptibles d’affaiblir encore davantage la position de l’ancien premier ministre, et de renforcer la conviction de ceux, de plus en plus nombreux dans son camp, qui jugent inéluctable son retrait de la course présidentielle.

    Ouverte initialement pour « détournements de fonds publics », « abus de biens sociaux » et « recel de ces délits », l’enquête pourrait s’étendre à de nouveaux faits, embarrassants pour M. Fillon. Ainsi, selon nos informations, les enquêteurs ont adressé la semaine dernière une réquisition judiciaire à la grande chancellerie de la Légion d’honneur afin de se faire communiquer le dossier de Marc Ladreit de Lacharrière. Les magistrats du PNF et les policiers de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) s’interrogent sur les raisons pour lesquelles le propriétaire de la Revue des deux mondes a accepté de salarier, de mai 2012 à décembre 2013, moyennant 5 000 euros brut par mois, pour un travail dont ils doutent de la réalité, la femme de M. Fillon.

    Or, l’année précédente, le patron du groupe Fimalac s’était vu remettre une décoration très convoitée – et rarement décernée – obtenue grâce à François Fillon. Le 31 décembre 2010, celui qui était alors premier ministre avait en effet élevé M. Ladreit de Lacharrière – grand officier depuis le 8 septembre 2006 – à la dignité de grand-croix dans l’ordre national de la Légion d’honneur. Une distinction accordée en vertu d’un décret du président de la République, Nicolas Sarkozy – pourtant notoirement en froid avec le patron de Fimalac –, « pris sur le rapport du premier ministre ». L’embauche de Penelope Fillon aurait-elle constitué la contrepartie de cette décoration ?

    Sa fille l’a aidé à écrire son livre

    Une interrogation désormais au cœur de l’enquête, qui rappelle l’affaire Bettencourt. Eric Woerth, l’actuel conseiller politique de M. Fillon avait été poursuivi en 2012 pour « trafic d’influence » – il a été relaxé en 2015 par le tribunal correctionnel de Bordeaux – pour avoir remis, en 2007 la Légion d’honneur au gestionnaire de fortune des Bettencourt, Patrice de Maistre, qui était devenu quelques mois plus tard… l’employeur de sa femme.

    Selon le conseil de M. Fillon, Me Antonin Lévy, interrogé lundi 6 février au matin par Le Monde, la décoration de M. de Lacharrière, « chevalier de la Légion d’honneur depuis 1986 et promu plusieurs fois depuis (...) était pleinement justifiée et n’a aucun lien avec l’embauche de Mme Fillon intervenue bien plus tard ». Interrogée, la grande chancellerie n’a pas souhaité répondre, « tout élément relatif au dossier individuel des membres de la Légion d’honneur restant confidentiel ».

    Autre avancée importante dans l’enquête : les policiers en savent désormais plus sur les raisons qui ont justifié l’embauche par M. Fillon, alors sénateur de la Sarthe, de deux de ses enfants, de septembre 2005 à juin 2007. Publiquement, M. Fillon avait justifié leur recrutement en qualité d’assistants parlementaires, sur des fonds publics, en évoquant leurs « compétences » en tant qu’avocats – en réalité, ils n’étaient encore qu’étudiants en droit.

    En fait, s’agissant de Marie Fillon, salariée auprès de son père jusqu’en décembre 2006, François Fillon lui-même a révélé aux enquêteurs, lors de son audition, le 30 janvier, qu’il avait chargé sa fille de l’aider à écrire son livre La France peut supporter la vérité, paru en octobre 2006 (Albin Michel). « Un essai politique où François Fillon raconte son expérience ministérielle de l’intérieur, tout en l’insérant dans le contexte plus général de son itinéraire personnel et de son engagement politique au sein de “la droite sociale” », écrivait l’éditeur pour présenter cet ouvrage, a priori peu en rapport avec la circonscription de la Sarthe dont M. Fillon était le sénateur. S’il a indiqué aux policiers que sa fille avait aussi travaillé, pour lui, sur des « questions constitutionnelles », M. Fillon a surtout assuré qu’elle l’avait « beaucoup aidé pour [s]on livre » : « Elle a fourni un gros travail documentaire », a-t-il affirmé.

    Son fils a œuvré pour la campagne de… Nicolas Sarkozy

    Plus embarrassant encore, s’agissant de son fils aîné, Charles, M. Fillon a déclaré sur procès-verbal que ce dernier avait en fait œuvré pour la campagne présidentielle de… Nicolas Sarkozy (celle de 2007). « Il m’a aidé en travaillant au programme du candidat à l’élection présidentielle sur des sujets institutionnels », a révélé M. Fillon aux policiers. Une activité évidemment sans aucun rapport avec celle d’un assistant parlementaire. La pratique serait pénalement répréhensible : si les faits étaient confirmés, outre ceux de « détournement de fonds publics », ils nourriraient les soupçons de « financement illicite de campagne électorale », en l’occurrence celle de M. Sarkozy en 2007, déjà visé par une enquête judiciaire portant sur un éventuel financement occulte de sa campagne présidentielle victorieuse.

    Selon Me Lévy, « les enfants de M. Fillon n’ayant pas été entendus, il est important de laisser l’enquête se poursuivre dans la sérénité afin qu’ils précisent les tâches qu’ils ont effectuées au service du mandat de sénateur de M. Fillon ».

    Par ailleurs, lors de son audition, M. Fillon a également admis que c’est lui qui avait demandé à son suppléant à l’Assemblée nationale, Marc Joulaud, d’embaucher sa femme, entre mai 2002 et le 31 août 2007, lorsqu’il avait laissé à ce dernier son siège de député de la Sarthe (il avait été nommé ministre des affaires sociales en 2002, puis de l’éducation en 2004, était devenu sénateur en 2005 et enfin premier ministre en 2007). A propos de M. Joulaud, M. Fillon a déclaré : « J’ai souhaité que ma femme l’accompagne car je voulais garder la main sur la circonscription. » Et d’ajouter : « J’ai demandé à Marc Joulaud de prendre ma femme comme collaboratrice, la rémunération a été fixée d’un commun accord mais à mon initiative. »

    Oddo et Axa clients de sa société

    Selon lui, Penelope Fillon aurait assuré ses fonctions « depuis le ministère » (des affaires sociales puis de l’éducation). « Elle faisait cela avec ce que l’on appelle le cabinet des affaires réservées du ministre. » Des déclarations qui renforcent les doutes des enquêteurs sur la réalité de l’emploi occupé durant ces cinq années par Penelope Fillon.
    « Marc Joulaud était le suppléant de François Fillon, la présence à ses côtés de la personne en qui M. Fillon avait le plus confiance était un atout indéniable pour la continuité du travail parlementaire », assure Me Lévy.

    Le PNF s’intéresse aussi à la société de consulting de François Fillon, 2F Conseil. Lié par des accords de confidentialité, M. Fillon peine à révéler le nom de ses clients : selon nos informations, parmi ceux-ci figurent la banque Oddo, et l’assureur Axa, dont l’ancien patron, Henri de Castries, conseille aujourd’hui François Fillon et aurait inspiré le volet économique et santé de son programme.

    Enfin, s’agissant de la période de deux ans (2005-2007) durant laquelle il siégea au Sénat, M. Fillon pourrait faire face à un nouveau front. En effet, l’enquête sur un vaste système de détournements de fonds publics mis en place au sein du groupe UMP du Palais du Luxembourg entre 2003 et 2014 (des sénateurs auraient utilisé pour leur propre compte le reliquat de fonds destinés à leurs assistants) pourrait rattraper l’ex-premier ministre. Jusqu’alors circonscrite à la période 2009-2014, l’enquête du juge René Cros pourrait être étendue aux faits impliquant M. Fillon, accusé d’avoir empoché indûment près de 25 000 euros comme l’a révélé Mediapart, à moins que cet aspect du dossier ne soit joint à l’enquête préliminaire conduite par le PNF. Dans les deux cas, cela ferait peser une menace judiciaire supplémentaire sur un homme qui a construit une partie de sa campagne sur le thème de l’exemplarité pour mieux se distinguer de son meilleur ennemi, Nicolas Sarkozy.

    De nombreuses investigations restant encore à mener – auditions, perquisitions...–, il semble hautement improbable que le parquet financier puisse boucler son enquête dans les jours qui viennent comme l’espéraient les fillonistes. Les investigations ne s’achèveront pas, au mieux, avant le mois de mars. Entretemps, il n’est pas totalement exclu que le parquet décide de les confier à un juge d’instruction.

    Les enquêteurs ont en tête le calendrier politique et suivent l’évolution de la situation personnelle de M. Fillon. Si le camp du parti Les Républicains venait à se passer de M. Fillon, les magistrats auraient moins de pression à l’instant de prendre une décision lourde de conséquences, à quelques semaines de l’élection présidentielle.

  • Henri de La Croix de Castries, dit « Riton » !

    Né en 1954 dans une famille de la #noblesse, le comte Henri de La Croix de Castries, qui a épousé l’une de ses cousines éloignées, compte dans son arbre généalogique une ribambelle d’aïeux remarquables : des militaires, des ministres, La Fayette, ou encore le marquis de Sade. Mais aussi le vicomte de Noailles, député qui vota en 1789 l’abolition des privilèges dans « un moment d’égarement », plaisante #Henri_de_Castries dans les colonnes du Monde.


    Henri de Castries au côté de ses camarades de la promotion Voltaire à l’ENA. (REA)
    http://www.francetvinfo.fr/elections/presidentielle/traditions-convictions-millions-qui-est-henri-de-castries-le-grand-patr
    #Fillon #Axa #ultra_libéralisme #ENA

  • ARTICLE DU JOUR :...Le Monde fait l’éloge d’Henri de Castries
    http://www.brujitafr.fr/2016/12/article-du-jour.le-monde-fait-l-eloge-d-henri-de-castries.html

    La tentation politique d’Henri de Castries, ex-patron d’Axa Coopté président du groupe Bilderberg, en 2012 2012 est l’année de la consécration pour ce trilingue français-allemand-anglais. Il entre au conseil d’administration de Nestlé et est coopté président...

    • Henri de La Croix de Castries
      Ne spolions pas ce Monsieur de son Nom.

      Intéressante la biographie de la famille sur Wiki.
      De grands « serviteurs* » de la République.

      Élisabeth de Mac Mahon, née Élisabeth Charlotte Sophie de La Croix de Castries était l’épouse de Patrice de Mac Mahon

      * Serviteurs, dans le sens de se servir, bien sur

  • Le futur gouvernement de FILLON = il veut confier l’économie hexagonale au président du Groupe Bilderberg
    http://www.brujitafr.fr/2016/12/le-futur-gouvernement-de-fillon-il-veut-confier-l-economie-hexagonale-au-p

    Ben voyons, comme ça plus d’intermédiaires ! Fillon veut confier l’économie hexagonale au président du Groupe Bilderberg RAPPEL = Henri de Castries, Président du directoire d’AXA, accessoirement le 9 ème plus grand groupe de la planète, le petit-fils...

  • Alain de Benoist : « François Fillon, c’est d’abord le candidat patronal du Wall Street Journal et des actionnaires du CAC 40 » [interview]
    http://vilistia.org/archives/12907

    Alain de Benoist : « François Fillon, c’est d’abord le candidat patronal du Wall Street Journal et des actionnaires du CAC 40 » [interview] Fillon, proche et ami de l’ancien pdg d’AXA, Henri de Castries, actuellement président du comité directeur … Lire la suite →

    #UMP

  • La privatisation programmée de la Sécurité sociale
    http://universitepopulairetoulouse.fr/spip.php?article848

    Un article important de Laurent MAUDUIT paru dans Médiapart le 30 novembre. A lire et à faire lire. François Fillon a bien pour projet une privatisation de la Sécurité sociale. Il est allé piocher ses idées dans un rapport secret du Medef et une note de l’Institut Montaigne, dont le président, Henri de Castries, est un ami proche. L’ex-PDG d’Axa pourrait devenir ministre si le candidat Les Républicains accédait à l’Élysée. Un petit mot de La sociale La Sociale envoie un DVD à M. François Fillon, (...)

    #Fondation_Copernic_31

    http://universitepopulairetoulouse.fr/IMG/pdf/article_657727.pdf

    • Un petit mot de La sociale

      La Sociale envoie un DVD à M. François Fillon,
      éventuel futur Président de la République.

      Monsieur Fillon, Sans vouloir vous manquer de respect et compte tenu de votre grande connaissance de l’histoire de notre pays, ainsi que du glorieux héritage du Conseil National de la Résistance, nous nous permettons de vous faire parvenir notre contribution au roman de notre république. Veuillez trouver ci-joint le DVD du film documentaire "La Sociale" réalisé par Gilles Perret, actuellement au cinéma.
      La Sécurité Sociale fut portée sur les fonts baptismaux par une coalition de résistants gaullistes, chrétiens, socialistes et communistes. Soixante-dix ans après sa création, elle reste un ferment de notre unité nationale. Nous avons noté que vous souhaitiez "désétatiser", c’est à dire remettre au privé, cette institution qui protège chaque Française et chaque Français, de la naissance à la mort, de manière équitable, efficace et peu onéreuse. En faisant ce choix, vous n’êtes pas sans savoir que vous allez créer de l’inégalité, de la misère et que vous diminuerez l’espérance de vie de la population. Lorsque vous aurez visionné le film, nous vous demandons de préciser la politique exacte de santé que vous mettriez en œuvre si vous deveniez Président de la République. Quel serait, avec vous, l’avenir de la Sécu ?

      Salutations républicaines.
      Gilles Perret, réalisateur,
      et Jean Bigot, producteur de « La Sociale »

  • L’affluence aux urnes, les faibles scores des « candidats du renouveau » et l’émergence de François Fillon sont autant de difficultés pour le fondateur d’En marche. — Libération
    http://www.liberation.fr/france/2016/11/22/la-primaire-de-droite-bouscule-emmanuel-macron_1530069

    A l’inverse, avec Fillon, Macron risque de perdre l’oreille d’un patronat que son profil libéral avait séduit. Car l’ancien locataire de Matignon est son candidat naturel. Qu’il soit soutenu par Sens commun, émanation de la Manif pour tous, n’y change rien. Les réformes radicales que préconise l’ancien Premier ministre sont celles que les patrons appellent de leurs vœux depuis dix ans, de l’allégement massif des charges des entreprises à la fin des 35 heures, en passant par la suppression de l’ISF…

    Dès 2013, celui qui était alors PDG d’Axa (actuellement président de l’Institut Montaigne), Henri de Castries, et le patron de Fimalac, Marc Ladreit de Lacharrière, tous deux proches de Fillon, avaient commencé à populariser ses thèses auprès de leurs pairs en quête d’une « alternative à Sarkozy ». Avec succès. Jusqu’aux adhérents de Croissance Plus, le lobby des start-up, qui se disaient séduits. Fillon en perdition dans les sondages, l’establishment avait fait mine de se reporter sur Juppé. L’entrée en scène de Macron avait été néanmoins regardée avec beaucoup d’intérêt. Fervent partisan de la politique de l’offre, l’ex-ministre de l’Economie est lui aussi sensible au sort des entreprises et croit à la nécessité de restaurer la compétitivité. Comme Fillon, il prône des réformes musclées pour flexibiliser le travail, alléger les charges des entreprises, « libérer les énergies » des entrepreneurs… Vite séduits, nombre de dirigeants ne lui mégotaient plus un soutien discret mais efficace.

    Le retour de Fillon sur le devant de la scène pourrait refroidir leurs ardeurs. Et limiter à leurs yeux l’intérêt d’aider (y compris financièrement) l’aventure élyséenne de son cadet en politique, « ni de gauche ni de droite ». Or pour mener à bien sa campagne, le fondateur d’En marche doit encore réunir plusieurs millions d’euros…

  • Bilderberg 2014 : La présence française et canadienne à l’hôtel Marriott Copenhague du 29 Mai au 1er Juin
    http://www.brujitafr.fr/article-bilderberg-2014-la-presence-fran-aise-et-canadienne-a-l-hotel-marr

    28 Mai 2014 Source : http://openews.eu/exclue-liste-des-prochains-participants-au-bilderberg-2014 Nous publions ci-dessous la listes des participants français et canadiens à la réunion secrète Bilderberg qui se tiendra à l’Hôtel Marriott International de Copenhague au Danmark du 29 Mai au 1er Juin 2014… France : Henri de Castries : PDG groupe Axa François Baroin : Député UMP et maire de la ville de Troyes Nicolas Baverez : Associé de la firme Gibson, Dunn & Crutcher Pierre-André de Chalendar : PDG Saint-Gobain Christine Lagarde : Directrice du FMI Emmanuel Macron : Secrétaire-adjoint à la présidence de la république, (...)

    #Nouvel_Ordre_Mondial

  • Axa : numéro 1 de l’assurance-vie en #Chine

    La #co-entreprise de l’assureur #Axa et de la plus grande #banque #chinoise, #ICBC, a pris au premier trimestre la tête du classement des #assurances-vie à capitaux partiellement étrangers en Chine, a indiqué ce jeudi 16 mai à Pékin le PDG du #groupe #français Henri De Castries.

    http://www.bfmtv.com/economie/axa-numero-1-lassurance-vie-chine-515940.html

    Revue de Presse Hebdomadaire sur la Chine du 13/05/2013