person:hillary clinton

  • « C’est l’abstention, imbécile ! » Les leçons de l’élection de Donald Trump | Le Club de Mediapart
    https://blogs.mediapart.fr/eric-fassin/blog/121116/c-est-l-abstention-imbecile-les-lecons-de-lelection-de-donald-trump
    Article très documenté et intéressant d’Eric Fassin sur la sociologie du vote Trump et la manière d’un tenir compte dans le débat politique français

    la participation est inégalement répartie selon les catégories démographiques : sans surprise, les électeurs âgés, riches et éduqués sont surreprésentés ; traditionnellement, ceux qui ont une pratique religieuse aussi. En revanche, si les Hispaniques sont ceux qui votent le moins, les Noirs participent plus que les Blancs (à condition bien sûr d’être inscrits sur les listes électorales) ; parmi les moins diplômés, dont on parle tant, ils votent 1,7 fois plus ! Autant dire (gardons-le en mémoire) que les Blancs sans diplôme votent peu… C’est donc en pensant aussi à l’abstention qu’il convient d’analyser les informations disponibles grâce aux sondages de sortie des urnes sur la participation – en mettant l’accent sur l’évolution d’une élection présidentielle à l’autre, du moins pour les questions qui restent les mêmes depuis les années 1990.
    [...]
    Le niveau d’éducation peut-il se résumer à la classe ? On serait tenté de le penser, dans un pays où le diplôme universitaire est un indicateur d’appartenance à la classe moyenne. Toutefois, la réalité est plus complexe. En effet, si l’on considère les revenus, le résultat est différent : en dessous de 30 000 dollars, le vote démocrate l’emporte encore de 12 points ; entre 30 et 50 000, de 9 points. C’est dans les classes moyennes et supérieures que Donald Trump fait jeu égal avec Hillary Clinton. Mais il est vrai que, dans les classes populaires, le fossé s’est considérablement réduit : encore en 2012, l’écart, parmi les moins riches (jusqu’à 30 000 dollars), était encore de 28 points en faveur de Barack Obama ; en 2008, de 33 points. Même en 2004, parmi ces électeurs, John Kerry l’emportait de 20 points sur George W. Bush. Bref, si l’écart se réduit, en termes économiques, il ne disparaît pas pour autant. En revanche, c’est bien le critère culturel qui est déterminant, défini au croisement du sexe, de la race, de la religion et de l’éducation – et d’autant plus qu’il se creuse très rapidement. Il est donc indispensable de penser en termes de ce qu’on appelle « intersectionnalité ».
    [...]
    Le sexisme et le racisme de Donald Trump n’ont certes pas mobilisé contre lui les femmes et les Hispaniques ; en revanche, ils ont réussi à mobiliser une version sexiste et raciste de l’identité masculine blanche. En lui conférant une légitimité, le futur président la fait exister politiquement.
    [...]
    Il importe de ne pas rabattre cette question culturelle sur un problème de classe, comme si les deux logiques se confondaient. Certes, en 2016, les électeurs républicains ont tendance à penser que l’économie se porte mal (79%) et que leur situation familiale empire (78%). Mais la peur du déclassement ne suffit pas à définir la « misère du monde ». Il ne faut donc pas se demander « pourquoi les pauvres votent à droite », selon le titre en français d’un livre de Thomas Frank en 2004 : il portait sur le basculement républicain d’un populisme déserté par les Démocrates. En réalité, la plupart des pauvres (quand ils votent !), ne le font pas pour Donald Trump, et la plupart de ses électeurs ne sont pas pauvres.
    [...]
    Il ne suffit donc pas de reprendre le slogan de 1992 : « It’s the economy, stupid ! » Aujourd’hui, il faudrait ajouter : « C’est l’abstention, imbécile ! » Car l’électorat des classes moyennes et populaires ne s’abandonne pas en masse à la séduction de Donald Trump – même chez les Blancs. Pour autant, il n’est pas condamné au Parti démocrate. Reste une troisième option, dont on a vu qu’elle touche particulièrement les classes populaires : l’abstention.
    [... Conséquences pour la politique française]
    Le racisme et la xénophobie, tout comme le sexisme et l’homophobie, sont les symptômes, non pas d’une souffrance économique qui affecte réellement les classes populaires, mais d’un ressentiment qui traverse toutes les classes – dans l’électorat de Donald Trump comme en France dans celui de Marine Le Pen. Une politique de gauche ne saurait donc se donner pour objet premier de sauver les brebis égarées qui pourraient bien être des loups. En revanche, sa priorité devrait être de regagner celles et ceux que leur rejet du parti démocrate n’a pas fait succomber aux sirènes du fascisme. Dans les années 1980, on a parlé des « Reagan Democrats », pour qualifier ces électeurs de classes populaires qui avaient changé de camp. Peut-être parlera-t-on demain des « Trump Democrats ». Toutefois, pour refonder une politique de gauche, mieux vaudrait s’intéresser à l’abstention, qui est un vote de défiance. Plus qu’aucune autre, cette catégorie explique l’échec des partis progressistes ralliés au néolibéralisme. Il y a là une véritable réserve de voix, à condition, au lieu de les abandonner à l’abstention, de prendre le parti des abstentionnistes.

    cf. @nidal

  • The Danger of Going Soft on Russia - The New York Times
    http://www.nytimes.com/2016/11/13/opinion/sunday/the-danger-of-going-soft-on-russia.html

    « Opinion » mais de l’Editorial Board quand même,

    In 2009, Mr. Obama authorized Hillary Clinton, his first secretary of state, to “reset” relations, aiming to foster cooperation.

    [...] on the whole the reset failed, largely because of Mr. Putin. Restoring Russia to power and to a central role in world affairs turned out to be more important to Mr. Putin, and the Russians, than peaceful or profitable ties with the West.

    #Russie #Etats-Unis #sans_vergogne

  • Trump président : « La fête ne fait que commencer… » (Brandon Smith)
    https://www.crashdebug.fr/international/12662-trump-president-la-fete-ne-fait-que-commencer-brandon-smith

    Brandon Smith ne dévie pas de sa route et il a bien raison. Les prochains mois vont être passionnants. Un premier reproche qu’on pourrait lui faire, comme le note le Saker, c’est qu’il n’indique pas ce qu’il met précisément derrière le mot élites. Il serait intéressant en effet pour l’analyse de définir les différents clans (au moins deux) qui s’affrontent au niveau mondial au sein de l’oligarchie mondialiste. Le second reproche, lié au premier, c’est qu’il ne dit rien du parcours et des réseaux extrêmement troubles de Donald Trump, sans lesquels défaire Hillary Clinton eût pourtant été mission impossible. OD

    « Prendre une position assumée sur l’issue d’un événement changeant le monde n’est pas une chose facile, surtout quand votre position est contraire à celle d’environ 99% de vos pairs. Un chœur des voix (...)

    #En_vedette #Ça_s'est_dit_par_là... #International

  • Trump sur Hollande : « Je ne vais pas perdre mon temps à rencontrer un président qui ne le sera plus dans 6 mois » - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
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    http://www.croa.fr/uploads/media/default/0001/03/donald_trump_je_ne_vais_pas_perdre_mon_temps_a_rencontrer_un_president_qui_ne_l

    Trump sur Hollande : « Je ne vais pas perdre mon temps à rencontrer un président qui ne le sera plus dans 6 mois »
    13 Novembre 2016, 16:17pm | Publié par S. Sellami

    « Je ne vais pas perdre mon temps à rencontrer un président qui ne le sera plus dans 6 mois ! »

    Au delà du titre putalikes assumé de cet article, telle serait la phrase que pourrait prononcer Donald Trump à celui qui avait parlé « d’excès » à son sujet et de « sentiment de haut-le-cœur », et qui avait annoncé avec certitude la victoire d’Hillary Clinton en expliquant que « dans quelques jours, une présidente sera élue ».

    Il est a noté que dans les faits et comme en atteste l’article d’Europe 1 ci dessous, Trump n’est pas pressé du tout de rencontrer François Hollande. Il a tout de même pris 5 minutes pour lui parler au téléphone et c’est sans doute la seule considération que recevra notre invertébré de la part de son nouveau maître fraichement élu.

    Le nouveau président américain s’est entretenu avec François Hollande par téléphone mais ne l’a pas convié à Washington, contrairement à d’autres chefs d’États.
    Deux jours après l’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche, le nouveau président des États-Unis s’est entretenu avec François Hollande vendredi, par téléphone. Le communiqué de l’Élysée se veut positif : "7 à 8 minutes" d’échange entre les deux chefs d’États "dans de bonnes conditions". Un coup de fil "direct mais courtois", "très professionnel" et "sérieux". Objectif : "clarifier les positions" sur la lutte anti-terroriste, la Syrie, ou l’accord de Paris sur le climat.

    Le regard tourné vers l’Asie
    Aux États-Unis, ce coup de téléphone est loin de faire la Une des médias. Là-bas, François Hollande est un dirigeant parmi les dizaines d’autres que Donald Trump a eu en ligne depuis son élection mardi. Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a été un des premiers à avoir le nouveau président américain au téléphone. Il a d’ailleurs été invité à Washington, de même que Theresa May et le Premier ministre sud-coréen Hwang Kyo-ahn. Mais le premier à rencontrer officiellement Donald Trump sera le Premier ministre japonais Shinzo Abe, jeudi 17 novembre à New York.

  • L’Amérique devenue folle en couverture du magazine L’OBS - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
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    Le magazine L’Obs (ex Nouvel Observateur) fait la couverture de son numéro du 27 octobre sur les élections aux Etats Unis.

    Le gros titre que nous pouvons lire en gros caractères de couleur rouge (rouge sang ?) pose la question de savoir pourquoi l’Amérique est devenue folle. Un titre qui vient légender un portrait d’un Donald Trump qui occupe toute la couverture, grimaçant et pointant un doigt qu’on peut à bon droit interpréter comme menaçant.

    Les caractères plus petits en blanc nous rappellent quand même que Donald Trump n’est pas le seul candidat au prochain scrutin présidentiel puisque sous le nom du milliardaire candidat nous pouvons lire celui de sa concurrente, Hillary Clinton.

    La différence de traitement réservé aux deux candidats manifeste dans le choix de la photo d’un des candidats et pas des deux se retrouve dans le sous-titrage en caractères blancs et plus petits sous le titre en rouge : Donald Trump est résumé par un aspect de son comportement, celui d’être bonimenteur tandis que pour Mme Clinton on nous parle du regard que portent sur elle les électeurs.

    Un bonimenteur nous dit le Larousse est une « Personne qui tient des propos habiles et trompeurs ».

    « Bonimenteur » contre « mal aimée », on aura compris vers qui penche, avec des réserves ou pas, le coeur de la rédaction de L’Obs.

    Pourtant, pour illustrer un peu mieux cette Amérique devenue folle, L’Obs aurait pourtant pu choisir aussi une photo de Mme Clinton. Par exemple celle ci-dessous qui montre une Hillary Clinton qui exulte à la nouvelle de la mort de Mouammar Kadhafi assassiné dans les conditions que l’on sait suite à l’agression de la Libye par l’OTAN, c’est-à-dire les Etats Unis.

    Hillary Clinton exulte en apprenant la nouvelle de la mort du Colonel Kadhafi
    Cette photo est extraite de la vidéo d’un entretien avec la chaîne de télévision CBS :

    Ce qu’il y a de positif chez Donald Trump par rapport à Hillary Clinton c’est que, à la différence de cette dernière, il n’a pas de morts sur la conscience et qu’il semble nettement moins belliqueux, affichant notamment une volonté de dialogue avec la Russie.

    Et puis L’Obs aurait pu compléter sa une en sous titrant après le « bonimenteur » Trump, la « mal aimée » Clinton, l’oubliée Jill Stein. la candidate écologiste est en effet la grande oubliée des médias américains, mais aussi français et de L’Obs en particulier.

    Le Dr Jill Stein candidate du Green Party
    On peut lire ici une interview acccordée par Jill Stein à Slate.

    Outre Jill Stein, le Figaro nous apprend l’existence de deux autres candidats : le libertarien Gary Johnson et le républicain Evan McMullin

  • Urgent : Qui assassine les officiers d’Al-Qaïda depuis le 9 novembre ?
    http://www.brujitafr.fr/2016/11/urgent-qui-assassine-les-officiers-d-al-qaida-depuis-le-9-novembre.html

    Obama fait le ménage avant de passer les clés à Trump ! Vaut mieux pas laisser trop de traces Depuis la défaite d’Hillary Clinton aux États-Unis, plusieurs officiers jihadistes ont été assassinés non seulement à Alep-Est, mais aussi à Idleb et à Rakka,...

  • L’élection de Trump, doigt d’honneur au mythe américain - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/l-election-de-trump-doigt-d-honneur-au-mythe-americain.html
    http://i0.wp.com/arretsurinfo.ch/wp-content/uploads/2016/11/donald-trump-le-9-novembre-2016-a-new-york_5740081.jpg?resize=600%2C421

    Chez nous, la caste politico-médiatique a toujours adoré l’Amérique. Adepte de l’américanisation du monde, elle s’est abandonnée avec délice à son pouvoir d’enchantement. Elle en singe les coutumes et les travers avec une fidélité à toute épreuve. Pour elle, l’Amérique, c’est « New York, New York », Manhattan et la statue de la Liberté. Ce Nouveau Monde est le paradis de la libre entreprise, une nation bénie du Créateur où le génie humain fait reculer les frontières du possible. Qu’elle soit toujours plus puissante, plus rayonnante, et l’humanité ne pourra que bénéficier de sa lumière.
    Comme disait O’Sullivan au XIXème siècle, « les Etats-Unis ont pour destinée de démontrer au genre humain l’excellence des principes divins ». Tout ce que l’Amérique fait pour sa propre gloire ne peut que rejaillir en une pluie de bienfaits sur le reste de l’humanité. Chez nos politiciens professionnels, magnats de la presse et faiseurs d’opinion, l’allégeance à Washington est devenue une seconde nature. C’est le ticket d’entrée exigé pour l’admission dans la caste supérieure. Inconsciemment ou non, elle a toujours adhéré à cette formule d’un héros de Melville : « Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, l’égoïsme national est de la philanthropie sans limite : car nous ne pouvons faire du bien aux Américains sans faire l’aumône au monde ».
    Mais ce mythe auquel la caste dirigeante voulait croire parce qu’il lui donnait bonne conscience s’est subitement évanoui le 8 novembre. Pour incarner une Amérique forte, généreuse, et nous irradiant de ses bienfaits, l’oligarchie a commis l’impair de choisir Hillary Clinton. Terrible erreur de casting. S’aveuglant sur sa propre puissance, elle a opté pour le sous-produit le plus frelaté du système politique américain. Elle vomissait Trump parce qu’il était machiste et grossier, mais elle a encensé Clinton malgré les relents nauséabonds d’une corruption sans limite. Elle reprochait à Donald de parler gras, mais elle a préféré oublier le mari d’Hillary dont la castration chimique eût été une mesure de salubrité publique. Plus sérieusement, elle accusait Trump de racisme, mais la jouissance jubilatoire de Clinton devant le cadavre de Kadhafi valait bien toutes les saillies démagogiques du candidat républicain.
    Les bonnes consciences de tous bords qui ont soutenu Clinton n’ont pas voulu le voir, mais la réalité est têtue. On ne fera admettre à aucun esprit sensé qu’il est plus grave de vouloir mettre fin à l’immigration illégale aux USA que de répandre le chaos au Moyen-Orient par terrorisme interposé. Il est odieux de vouloir fermer provisoirement l’entrée du territoire américain aux musulmans étrangers, comme l’a annoncé Donald Trump. Mais il est abject de recevoir dix millions de dollars d’une monarchie dégénérée dont on sait (en le cachant au peuple américain) qu’elle finance le terrorisme. C’est pourtant ce qu’a fait Hillary Clinton, amie de François Hollande et coqueluche des médias.
    Avec Clinton, l’Amérique de Washington et Lafayette s’est vautrée dans la fosse à purin. Qu’ont fait les élites politico-médiatiques européennes ? Elles ont fait comme si de rien n’était en se bouchant les narines. Le résultat ne s’est pas fait attendre. L’outsider Donald Trump a ravi la mise le 8 novembre. Mais avec lui, c’est une autre Amérique qui est sortie du chapeau. Adieu le jazz, le musée Guggenheim et les sunlights de Broadway. Bonjour les pedzouilles du Kentucky, la NRA et les matchs de catch ! En prenant d’assaut la Maison blanche, Trump a fait un gigantesque doigt d’honneur au mythe américain. Et c’est une Amérique insoupçonnée qui a subitement jailli à la face enfarinée de tous les gogos de droite et de gauche qui se pâmaient devant un modèle qui sentait déjà le moisi.
    Du coup, l’idylle est bel et bien terminée. La caste n’aime plus l’Amérique ! Comme une maîtresse frivole, elle repousse ce prétendant dont elle découvre qu’il aime une musique de plouc et qu’il a l’haleine chargée à la bière vendue en promotion à la supérette du coin. L’Amérique, une « nation exceptionnelle » ? Tu parles ! Des bouseux qui votent pour un démagogue, la voilà la nouvelle Amérique. BHL a même dit que « le peuple américain s’était suicidé ». C’est lui, pourtant, qui avait l’air d’un mort-vivant. Sur sa face hâlée de mauvais acteur, on lisait le désarroi d’un cocu qui aimerait mettre une torgnole à son rival mais qui sait qu’il en est incapable, même en rêve. Ce soir-là, il était le symbole de la caste dont le rêve absurde d’une Amérique virginale vient de se fracasser sur le mur du pays profond.
    Bruno Guigue (11.11. 2016)

  • Ah ben voilà, c’est de la faute de Stein !

    http://winningdemocrats.com/trump-won-because-hillary-clinton-lost-wisconsin-to-protest-votes-

    Donald Trump may have captured the electoral vote, but he lost the popular vote, which means he does NOT have a mandate of any kind. And he wouldn’t have won the electoral vote had Jill Stein voters simply voted for Hillary Clinton instead.

    This is especially true in Wisconsin, where Trump defeated Hillary by a narrow margin of 27,257 votes, 1,409,467 to 1,382,210.

    The margin of victory for Trump is a little less than the total number of votes cast for Jill Stein.

    That’s right. Get ready to feel sick to your stomach because Stein got 30,980 votes, which means the protest vote by whiny liberals who are mad because Bernie Sanders didn’t get the nomination ended up screwing over America as much as Trump supporters did.

  • WikiLeaks : une organisation financée par George Soros appelle à manifester contre Donald Trump
    http://www.brujitafr.fr/2016/11/wikileaks-une-organisation-financee-par-george-soros-appelle-a-manifester-

    Dans la correspondance de John Podesta dévoilée par WikiLeaks, un échange entre le milliardaire George Soros et le conseiller de Hillary Clinton évoque le financement de l’organisation MoveOn.org, qui pousse aux manifestations anti-Trump. Juste après...

  • Jean Claude Juncker ou l’arrogance et le mépris - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/jean-claude-juncker-ou-l-arrogance-et-le-mepris.html

    « La politique et l’art d’empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde ». Paul Valéry.
     
    Ce matin, je suis importuné par les radios Françaises. Elles ressassent les ignobles propos tenus par Jean Claude Juncker, président de la Commission Européenne !.
    Son arrogance et son mépris à l’encontre de Donald TRUMP, ils sont intolérables. La déclaration de ce monsieur Juncker reflète-t-elle ce qu’en pense les 27 chefs des Etats de la zone euro ?.
     
    Ce président Juncker, non élu, doit être contredit et sanctionné pour ses élucubrations à l’égard du Président Américain et à l’encontre du peuple américain qui l’a élu.
     
     

    Conclusion empruntée à Talleyrand : " La politique, c’est une certaine façon d’agiter le peuple avant de s’en servir ".
     
     

     
    « Il faudra apprendre à Trump ce qu’est l’Europe, dit Juncker »
     

     
    Extraits :
     
    "Il faudra que nous apprenions au président désigné en quoi consiste l’Europe et quels sont les principes de fonctionnement de l’Europe", a déclaré Jean-Claude Juncker
     
    "Les Américains en règle générale ne portent aucun intérêt à l’Europe. C’est vrai pour la classe politique, c’est vrai pour l’Amérique profonde. Ils ne connaissent pas l’Europe", a déclaré l’ancien Premier ministre du Luxembourg et ancien président de l’Eurogroupe.
     
    "Je crois que nous aurons deux années de temps perdu jusqu’à ce que M. Trump ait fait le tour du monde qu’il ne connaît pas", a déclaré Jean-Claude Juncker
     
    Vendredi 11 novembre 2016 http://www.reuters.fr
     

     
    Spécialités médias, des journalistes Français,
    C’est nager en eau trouble, entretenir le doute.
    Élection Donald TRUMP dévoile leurs excès.
    Le Président Hollande affirme coûte que coûte,
    La future présidente, c’est Hillary Clinton.
    Son chat noir le poursuit même au États-Unis.
    Les sondages et médias avaient le même iPhone.
    Le peuple américain ne vit pas dans le déni.
     
    http://zen-fiatlux.blogspot.fr/2016/11/specialites-medias-des-journalistes.html

  • Pour certains américains, Hillary Clinton a réellement des liens avec Lucifer vidéo
    http://vilistia.org/archives/12561

    Susan Ferrechio Washington Examiner mar., 02 août 2016 06:56 UTC Bien que la plupart des démocrates ne croient pas aux déclarations de Trump affirmant qu’Hillary Clinton est le Diable, un nouveau sondage montre que certains des partisans de Clinton ne … Lire la suite →

    #EFFONDREMENT_DES_USA #USA

  • VIDÉO – USA. Inconsolable après sa défaite, Clinton accuse le FBI et…Obama - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/video-usa.inconsolable-apres-sa-defaite-clinton-accuse-le-fbi-et-o

    VIDÉO – USA. Inconsolable après sa défaite, Clinton accuse le FBI et…Obama
    12 Novembre 2016, 10:32am | Publié par S. Sellami

    MamAfrika TV | Par Allain Jules

    NEW YORK, Etats-Unis (09h58) – L’auteur Ed Klein, ancien Directeur de publication de New York Magazine participait à l’émission de Steve Malzberg sur Newsmax TV, le Steve Malzberg Show. Il fait des révélations incroyables sur les pleurs d’Hillary Clinton après sa défaite, et surtout son ressentiment injustifié contre le président américain Barack Obama. Jamais, dans l’histoire américaine, un président ne s’était autant engagé dans une campagne électorale e,n faveur d’un candidat. Et pourtant.

    D’après Ed Klein, après sa défaite, Hillary Clinton a appelé un de ses amis et ne pouvait contenir ses larmes. Elle a logiquement blâmé le directeur du FBI James Brien Comey et, surprise, le président Obama qui s’est mouillé en famille pour son élection.

    Petit track-back :

    Ed Klein :

    « Voici ce que je sais, ce n’est pas mon opinion. Vers 6 h 30 ce matin (mercredi dernier /ndrl), elle a appelé un vieil ami. Elle pleurait inconsolablement. Elle ne pouvait cesser de pleurer. Et son amie d’affirmer que, il était même très difficile de comprendre ce qu’elle disait tellement elle pleurait. C’est d’Hillary dont nous parlons. Finalement, son amie a dit qu’elle ne pouvait se rendre compte qu’elle blâmait James Comey, le directeur du FBI, pour sa perte et, je ne comprends pas exactement, le président des États-Unis pour ne pas avoir fait assez pour elle, notamment l’arrêt de l’enquête du FBI. »
    Hillary ne pouvait pas parler à ses partisans la nuit de sa défaite et a envoyé son copain John Podesta affronter le public, a déclaré Gateway Pundit.

    Dans l’ingratitude, on ne peut pas faire mieux. Ceux qui m’ont critiqué quand je révélais les travers de cette dame et la naïveté de Barack Obama en sont pour leurs frais. C’était à la fin du mois dernier, dans un papier sur Facebook, en dessous.

     
    https://www.facebook.com/mamafrika

  • Les hommes du président Trump.

    L’homme qui sera à « un battement de cœur de la présidence » représente le lien qui n’a pas été rompu avec le Parti républicain. Mike Pence, 57 ans, incarne l’élu conservateur traditionnel, marié à la même femme depuis 32 ans (quand Trump en a eu trois), élu au Congrès pendant 12 ans, gouverneur de l’Indiana depuis 2009, chrétien fervent et l’un des piliers du Parti républicain. Mike Pence est opposé à l’avortement, au contrôle des armes, au mariage gay, il a voté contre la réforme de la santé d’Obama et se classe également parmi les climatosceptiques : « la lutte contre le changement climatique menée par Obama et Clinton détruit des emplois aux Etats-Unis ». Les conseillers de Trump ont poussé pour qu’il soit choisi comme colistier afin de servir de pont avec les élus républicains dont beaucoup avaient déclaré que Trump n’était pas qualifié pour être président. Un lien qui pourrait lui permettre de conserver une influence au sein de la future administration même si le nouveau président aime à répéter qu’il prend ses décisions seul. Durant la campagne, Mike Pence avait su aussi parler aux électeurs du Midwest, dont l’Indiana fait partie, et qui ont massivement voté Trump.

    Ex-étoile montante du Parti républicain, âgé de 54 ans, le populaire et médiatique gouverneur du New Jersey a échoué dans sa candidature à la primaire républicaine avant de rallier Donald Trump en février. Décrit comme modéré, il n’en reste pas moins fidèle aux principes de son parti : opposé au contrôle des armes, à l’avortement et au mariage gay. Son avenir est assombri par l’affaire du « Bridgegate » dans laquelle Chris Christie est accusé d’avoir fermé deux voies sur le pont George Washington pour se venger d’un maire qui ne l’avait pas soutenu pour sa réélection au poste de gouverneur : les embouteillages avaient bloqué la ville. Plusieurs des assistants de Chris Christie sont sous le coup d’une enquête qui pourrait s’étendre jusqu’à lui. Un temps pressenti comme colistier pour la vice-présidence, il a reconnu que ce scandale lui avait peut-être coûté la place. « Il aurait voulu être à la place de Donald Trump. S’il ne s’’était pas lancé dans la course à la présidentielle, Chris Christie aurait été le candidat brut au parler franc de cette élection », explique Dan Cassino, « mais Trump a été meilleur que lui à ce jeu-là. Si les investigations ne le rattrapent pas, il pourrait être le prochain attorney general (ministre de la Justice) », ajoute Dan Cassino.

    « Rudy » Giuliani, 72 ans, est connu pour avoir été le maire de New York au moment des attentats du 11 septembre mais il incarne aussi la politique de « tolérance zéro » mené contre la délinquance et la criminalité dans les années 90. « Durant la campagne, il a été le plus virulent des opposants à Hillary Clinton », analyse Dan Cassino, « et l’un des soutiens indéfectibles de Trump : il l’a défendu contre les accusations de racisme, d’agressions sexuelles ou de fraude fiscale ». Accusé d’avoir joué de ses relations au FBI pour relancer l’enquête sur les emails d’Hillary Clinton à quelques jours du vote, il a finalement nié avoir été en contact avec des agents fédéraux dans cette affaire. Rudolph Giuliani pourrait devenir le prochain ministre de la Justice (attorney general),"mais il est pressenti aussi pour être à la tête du département de la sécurité intérieure", affirme Dan Cassino (department of homeland security, équivalent lointain du ministère de l’Intérieur français).

    L’ancien speaker de la Chambre des représentants avait incarné l’opposition féroce des Républicains aux Démocrates du temps de la présidence de Bill Clinton. Il avait poussé l’obstruction au vote du budget jusqu’à obliger le pouvoir fédéral à fermer ("shutdown") pendant 27 jours entre 1995 et 1996 ; certains fonctionnaires avaient dû faire une croix sur leur salaire durant cette période. Newt Gingrich, 73 ans, est évoqué comme potentiel secrétaire d’Etat. Élu à la Chambre de 1979 à 1999, il connaît le tout -Washington, mais a aussi une personnalité volcanique, comme Donald Trump. Au moment du « shutdown », le New York Daily News s’était moqué de lui dans une première page restée célèbre : « Cry Baby » où Newt Gingrich est dessiné en bébé capricieux. Le journal l’accusait d’avoir bloqué le gouvernement car il avait été vexé que Bill Clinton l’ait fait asseoir à l’arrière d’Air Force One et non à l’avant pour se rendre aux obsèques de Yitzhak Rabin.

    Kellyanne Conway est la première femme à avoir occupé le poste de directrice de campagne d’un candidat républicain. A 49 ans, c’est une enquêtrice d’opinion aguerrie du « Grand Old Party ». Elle a rejoint l’équipe Trump pendant l’été après avoir soutenu pendant les primaires le sénateur texan Ted Cruz. Elle a souvent fait le service après-vente de Donald Trump dans les médias, notamment pour tenter d’éteindre les polémiques initiées par le candidat. Mais son nom n’est pas cité pour occuper un poste au sein du futur gouvernement.

    Directeur général de l’équipe de campagne, Stephen Bannon, 62 ans, tire les ficelles en coulisses. Il n’a rejoint l’équipe qu’en août à la faveur d’un remaniement de l’équipe Trump, se mettant en congés du site d’information conservateur Breitbart News. Andrew Breitbart, le fondateur de ce site, avait encensé M. Bannon, le qualifiant de « Leni Riefenstahl du Tea Party » pour ses documentaires très engagés. Relativement nouveau dans le milieu politique, son expérience chez Breitbart en fait un important porte-voix de l’"alt-right", un mouvement qui rassemble des nationalistes blancs anti-immigrés et des personnes farouchement opposées à l’establishment politique. L’an dernier, une enquête de l’agence Bloomberg l’avait qualifié de personnalité politique « la plus dangereuse » d’Amérique. Comme Kellyanne Conway, il n’est pas cité pour faire partie de la future administration.

    Les moins connus...
    Le sénateur du Tennessee Bob Corker, président de la commission des Affaires étrangères du Sénat, est également sur la liste pour le poste de secrétaire d’Etat. Le sénateur de l’Alabama Jeff Sessions, membre de la commission des forces armées du Sénat, est un soutien inconditionnel de Trump. Il a été présenté comme un possible secrétaire à la Défense, tout comme l’ancien sénateur du Missouri Jim Talent. Le général Mike Flynn, ancien patron du renseignement militaire américain - caution militaire du milliardaire - pourrait être choisi pour être ministre de la Défense. Steven Hadley, ancien conseiller à la Sécurité nationale de George W. Bush, est également évoqué. Donald Trump considérerait aussi le néo-conservateur John Bolton, ancien ambassadeur à l’ONU sous George W. Bush, pour le poste de secrétaire d’Etat.

    ... et quelques contempteurs
    #Donald_Trump compte enfin quantité de détracteurs qui mettent en doute sa capacité à savoir s’entourer. Parmi eux, RTL a retrouvé l’ancien chef cuisinier du milliardaire, un Français aujourd’hui installé en Floride : « Il m’adorait. (...) Mais le jour où il a commencé à me taper dessus, j’ai compris qu’il y avait un problème. (...) Je ne sais pas s’il a un peu de cervelle. Il est cinglé. Trump président ? On va rigoler. » Son ancien nègre, Tony Schwartz, l’homme à qui le magnat de l’immobilier avait confié l’écriture d’une biographie à sa gloire ("The Art of the Deal", 1987) regrette aujourd’hui d’avoir passé sous silence les tares du milliardaire : dans un entretien au New Yorker en juillet, il déclare « Je pense sincèrement que si Trump gagne et obtient les codes nucléaires, il y a de grandes chances que cela entraîne la fin de notre civilisation » ou encore « Les millions de personnes qui ont voté pour lui et croient qu’il représente leurs intérêts apprendront […] qu’il se fiche complètement d’eux. » Interloqué par la capacité de Trump à mentir, « une seconde nature », Tony Schwartz confie en fin d’entretien que s’il devait réécrire sa biographie, il choisirait « the sociopath » en titre...

    Source : Maxime Tellier. http://www.franceculture.fr/geopolitique/les-hommes-du-president-trump

  • https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-des-idees/white-trash#

    L’attention s’est surtout focalisée sur les « petits blancs » et les classes moyennes déclassées, principaux soutiens du candidat républicain. Mais le phénomène est plus global, comme le rappelle l’économiste Gabriel Zucman dans l’hebdomadaire Le un. « Si l’on porte un regard général sur les revenus des plus faibles, soit 120 millions d’américains, on constate que depuis trente-cinq ans leur croissance a été nulle. » Pour les seuls salariés blancs, le revenu moyen est resté au même niveau qu’en 1960, alors que les catégories les plus riches ont bénéficié d’une croissance très forte du leur. Des inégalités qui se répercutent sur la santé, l’éducation ou l’accès au logement. D’où le ressentiment d’une grande partie de l’électorat, et le succès inattendu de Bernie Sanders, dont Hillary Clinton a repris la proposition de « rétablir la gratuité de l’enseignement universitaire public ». Aujourd’hui, « beaucoup de jeunes terminent leurs études avec un endettement pouvant atteindre 50 000 à 200 000 dollars avant d’avoir commencé à travailler ». Ces inégalités ont par ailleurs favorisé une nouvelle montée du racisme envers les noirs, et pas seulement envers les latinos, dont la campagne de #Donald_Trump a fait ses choux gras. Pour l’économiste de Berkeley, « le racisme envers les Noirs est une spécificité américaine profondément inscrite dans l’histoire. Quoiqu’en recul, il est favorisé par les conjonctures économiques très défavorables. »

    Exploiter le ressentiment et le racisme des « petits blancs » est une constante pour certains politiciens démagogues aux États Unis

    Une tactique efficace pour évacuer la question des inégalités… On manipule bien les white trash, résume Laura Miller dans le mensuel Books. Elle rend compte du livre de Nancy Isenberg consacré à l’histoire de cette manipulation : en 1957, suite aux mesures contre la ségrégation à l’école, une lycéenne noire fait sa rentrée à Little Rock, dans l’Arkansas. Digne et sérieuse, elle est suivie par une jeune blanche qui éructe des injures à son encontre. La photo est devenue une icône du Mouvement pour les droits civiques. Dans le visage déformé par la haine, l’historienne reconnaît celui des « petits blancs. Ignorants. Sans remords. Cruels par nature. Ayant pour seul horizon la reproduction à l’identique de leur mode de vie ». Le même visage que celui, bien des années auparavant, des prolétaires et des « rebuts sociaux » envoyés dès le XVIIe siècle par de riches entrepreneurs depuis l’Angleterre pour peupler les colonies de l’Amérique britannique, des colons devenus petits fermiers qui subissaient la concurrence sauvage des planteurs avantagés par le système de l’esclavage.
    Tout un petit peuple qui se laissera massivement manipuler pour en venir à désigner les Noirs et autres gens de couleur comme ses ennemis. Le président Lyndon B. Johnson qui initia dans les années 60 un programme pour aider les Noirs des villes mais aussi les Blancs pauvres des Appalaches affirmait que « si vous parvenez à convaincre le plus misérable des Blancs qu’il est supérieur au meilleur des hommes de couleur, il ne remarquera pas que vous lui faites les poches. Du moment que vous lui donnez quelqu’un à regarder de haut, il videra même ses propres poches pour vous. »

    Exclus parmi les exclus, les Amérindiens se mobilisent aujourd’hui avec les écologistes dans le Dakota du Nord contre la construction d’un pipeline géant

    Le « serpent noir » devrait mesurer 1800 km et transporter l’équivalent de 470 000 barils de pétrole par jour. Problème : sur sa trajectoire se trouvent la rivière Missouri et des terres indiennes sacrées. Leurs occupants craignent le risque d’une pollution en cas de glissement de terrain. Le mouvement rebaptisé par le New York Times « Occupy the Prairie » regroupe dans le camp sioux des Cherokees, des Apaches, des Iroquois et des Navajos non loin du rassemblement mythique de Wounded Knee. Pour rappel, en 1973, des militants de l’American Indian Movement, l’équivalent amérindien du Black Panther, occupaient le lieu où, un siècle plus tôt, 300 Indiens avaient été massacrés par l’armée américaine. Le reportage signé Grégoire Belhoste pour le magazine Society témoigne de la résistance déterminée des Indiens et l’on se demande jusqu’à quel point elle restera paisible. Parmi eux des vétérans de la guerre en Irak, et d’autres, comme Chance qui a grandi dans une réserve en Californie. « Mon peuple est l’un des plus opprimés de l’histoire » enrage-t-il. « J’ai le sentiment que la situation va devenir sauvage. » Comme beaucoup de Noirs américains ces Indiens n’auront pas voté. Leur combat se situe sur l’autre scène, celle des exclus de l’histoire.

    Par Jacques Munier

  • USA : une pétition appelle les grands électeurs à voter Clinton
    http://www.brujitafr.fr/2016/11/usa-une-petition-appelle-les-grands-electeurs-a-voter-clinton.html

    Cela semble incroyable, mais Hillary Clinton n’est pas totalement grillée, et la victoire ainsi que son accès à la Maison-Blanche peuvent encore lui revenir, même si les chances sont au final p... Deux millions d’Américains demandent aux grands électeurs...

  • Ce que dit l’échec d’Hillary Clinton sur le #sexisme
    https://www.mediapart.fr/journal/international/111116/ce-que-dit-l-echec-d-hillary-clinton-sur-le-sexisme

    Ce ne sont pas seulement #Hillary_Clinton et le parti démocrate qui ont échoué. C’est une femme qui a perdu face à l’incarnation du sexisme et de la #misogynie. Et c’est la possibilité qu’une femme devienne présidente de la première puissance mondiale qui s’est effondrée.

    #International #Amérique_du_nord #Donald_Trump #Etats-Unis #femmes #Gender_studies #genre #politique #présidentielle

  • Election de Donald Trump : pas vraiment une surprise !
    http://reformeraujourdhui.blogspot.com/2016/11/election-de-donald-trump-pas-vraiment.html

    Donald Trump a finalement emporté l’élection présidentielle aux Etats-Unis alors qu’il avait contre lui les médias, les marchés, les experts de tous bords, les sondeurs, les intellectuels et les vedettes du show-biz.Pour ces derniers, Hillary Clinton ne pouvait que gagner mais s’ils avaient observé attentivement la société américaine et entendu son malaise, ils n’auraient jamais exclu la possibilité d’une élection de Donald Trump… Après la victoire de Donald Trump sur la candidate démocrate, il n’est question que de séisme, de tremblement de terre, de 21 avril à l’américaine, voire de « 11-Septembre politique ». Sur les ondes de France Inter, quelques heures seulement après l’annonce du résultat, on a entendu l’éditorialiste du journal " Les Echos ", lancer sur un ton attristé : « Qu’avons-nous fait pour (...)

  • Le Brexit bis Le Devoir - 11 novembre 2016 - Christian Rioux
    http://www.ledevoir.com/international/actualites-internationales/484500/le-brexit-bis

    C’est Marx qui disait que, lorsque l’Histoire bégaie, elle produit d’abord une « tragédie » et ensuite une « farce » . Est-ce parce que j’avais vécu de près le Brexit que je n’ai pas été surpris outre mesure par l’élection de Donald Trump ? À moins de six mois d’intervalle, l’élection américaine nous aura donné l’impression étrange de revivre la même séquence historique. Dans la nuit du 23 juin et celle du 8 novembre, on retrouve en effet les mêmes ingrédients de base.
     
    Cinq mois plus tard, des quais de la Tamise aux rives de l’Hudson, ce sont la même colère et la même révolte populaires qui se sont exprimées dans les urnes. Ce sont pratiquement les mêmes couches paupérisées et déclassées qui ont fait irruption avec presque les mêmes mots, les mêmes débordements et les mêmes exubérances. Mais, le plus sidérant, c’est surtout de retrouver, à gauche et dans les médias, exactement le même aveuglement et la même cécité face à ce lent déplacement de plaques tectoniques, qui vient pourtant de provoquer une seconde éruption volcanique en moins de six mois.
     
    Quarante-huit heures avant le vote, il régnait à Washington la même assurance tranquille qu’à Londres en juin dernier. Bien sûr, on avait eu quelques sueurs froides durant cette campagne. Mais tout allait finalement rentrer dans l’ordre. Le peuple allait revenir à la raison, rentrer au bercail. Une fois les poursuites du FBI mises de côté, presque tous les sondages prévoyaient l’élection d’Hillary Clinton. Exactement comme ceux de Londres prévoyaient la reconduction du statu quo européen. À Wall Street, on sentait la même assurance béate que dans la City. Le chantage au cataclysme économique avait porté ses fruits. Trump et le Brexit n’étaient plus que de mauvais souvenirs. Le long fleuve tranquille reprendrait enfin son cours.
     
    Ceux qui tentent de faire de l’élection de mardi dernier une simple affaire de racisme et de misogynie se trompent royalement. Donald Trump a tout de même été élu avec le vote de 40 % des femmes et de plus du tiers des Latinos. S’il fallait en croire certains de nos analystes les moins subtils, l’Amérique serait même aujourd’hui dirigée par un « fasciste ». De grâce, revenons sur terre.
     
    Bien sûr qu’il y a eu des déclarations misogynes et xénophobes. Bien sûr que les outrances de Donald Trump dépassent celles de Nigel Farage. Mais, au-delà d’une véritable révolte contre la rectitude politique (qui accable les États-Unis plus que n’importe quel autre pays), ces excès n’expriment que la surface des choses et non pas le fond. Quel est-il, ce fond ? C’est la vérité toute simple que, après des années de mondialisation prétendument heureuse, nous découvrons soudainement que celle-ci fut beaucoup plus sauvage qu’on ne le croyait et qu’elle a fait des perdants. Et pas qu’un peu. Des perdants que personne ne voulait voir, tant nous obnubilaient le miracle technologique, les « bienfaits de l’immigration » , la société du spectacle et autres ubérisations du monde.

    Aujourd’hui, le réel reprend ses droits. Or quel est-il, ce réel ? Pendant que les bourgeois bohèmes des grandes villes, avec leurs écoles privées ou internationales, leurs nounous africaines et leurs gardiens d’immeuble marocains, se félicitaient de la « diversité » du monde, des restaurants ethniques, de leur dernier voyage à Marrakech et de leur nouveau gadget électronique fabriqué à Taïwan, la vieille classe moyenne, celle des anciens quartiers industriels dévastés et des banlieues décrépites où les écoles sont peuplées à 70 % d’immigrants, a crié son ras-le-bol. Ces « ploucs » ont décidé de mettre le poing sur la table, fatigués qu’ils étaient de se faire faire la morale par une gauche hors sol qui « considère le droit à des toilettes transgenres comme la grande cause morale de notre époque » , disait, en mai dernier, le politologue américain Walter Russel Mead. C’est le « consensus boomer » des 30 dernières années qui est remis en cause, écrit-il. Et, comme chaque fois que l’Histoire fait irruption sans prévenir, ce n’est pas beau, propre et poli. C’est même affreux, sale et méchant.
     
    L’échec d’Hillary Clinton n’est pas celui d’une femme, mais d’une gauche qui a troqué le peuple contre le clientélisme multiculturel. Un peuple qu’elle regarde de haut et qu’elle range dans « le panier des pitoyables » , pour reprendre les mots exacts de la candidate. Or on ne troque pas l’AFL-CIO contre les LGBT sans conséquences. L’addition des immigrants, des homosexuels, des musulmans, des noirs, des femmes et des queers ne fait pas un peuple. Cela fabrique plutôt des ghettos !
     
    Cette élection nous aura permis de découvrir une Amérique plus que jamais communautarisée et fractionnée en blocs ethniques, une Amérique cadenassée par la rectitude politique et aujourd’hui gouvernée par un démagogue. Et dire que c’est ce pays que l’on impose comme idéal au monde entier !
     
    En France, aujourd’hui, tous les regards se tournent évidemment vers la présidente du Front national, Marine Le Pen. Et cela, même si elle demeure un modèle d’élégance à côté de son vis-à-vis américain. Et chacun de se demander ce qu’il peut bien y avoir après le « drame » et la « farce ». Cela, Marx ne pouvait même pas l’imaginer…

    #Analyse #Brexit #Trump #Clinton #France #politique #Histoire

  • Trump’s America
    http://africasacountry.com/2016/11/trumps-america

    The world and many Americans are reeling in shock and anxiety at the election of Donald Trump as the next president of this mighty, but deeply disunited and disoriented country. All but a handful of opinion polls pointed to the victory of the incomparably experienced Hillary Clinton, to the historic possibility of electing America’s first […]

    #POLITICS #Anti-capitalism #Facism #Globalization #nationalism #USA

  • La Défense allemande pose un ultimatum à Trump lui reprochant de préférer Poutine à l’OTAN
    https://www.crashdebug.fr/international/12648-la-defense-allemande-pose-un-ultimatum-a-trump-lui-reprochant-de-pr

    En tout cas une chose est sûre c’est que Hillary Clinton voulait déclarer la guerre à l’Iran et a la Russie, et c’est pour moi une bonne nouvelle que Donald Trump veuillent avoir de bonne relation avec Vladimir Poutine.

    (c) Axel Schmidt Source : Reuters

    Dans une interview à la télévision allemande, Ursula Von der Leyen a appelé le président américain élu Donald Trump à clarifier son point de vue sur la Russie et comprendre que l’OTAN était une alliance de valeurs partagées et non une entreprise.

    « Monsieur Trump a besoin de comprendre, et ses conseillers le lui expliqueront, nous l’espérons du moins, que l’OTAN n’est pas une entreprise », a déclaré le ministre allemand Ursula von der Leyen dans un entretien à la chaîne allemande ZDF le 10 novembre. Au cours de sa campagne (...)

    #En_vedette #Ça_s'est_dit_par_là... #International

  • Olivier Delamarche : « Malheureusement, Donald Trump ou pas, la situation actuelle est irréversible
    http://www.brujitafr.fr/2016/11/olivier-delamarche-malheureusement-donald-trump-ou-pas-la-situation-actuel

    A la surprise générale, Donald Trump a remporté l’élection présidentielle américaine face à Hillary Clinton. A la vue des derniers sondages et les performances de l’économie américaine, la victoire de sa rivale semblait pourtant inéluctable. En tenant...

  • Élection de Trump : la démondialisation balbutiante - EL DIABLO - Commun Commune
    http://www.communcommune.com/2016/11/election-de-trump-la-demondialisation-balbutiante.html

    Il y a quelque chose de jouissif dans la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine. C’est la panique qu’elle provoque chez les élites, la caste, les importants et les suffisants. Les journalistes vedettes des grands médias, chiens de garde du système, les économistes à gage qui récitent le bréviaire néolibéral, les politiciens mondialistes de gauche et de droite, beaucoup d’intellectuels drapés dans leur posture morale, tous sont tombés de l’armoire. Cela fait plaisir à voir !
    Cela montre simplement que le peuple ne les intéresse pas, qu’ils ne le comprennent pas et ne veulent surtout pas le comprendre. Pour tous ces gens biens, le monde se divise désormais entre ceux qui sont instruits, et qui ne peuvent qu’être favorables à la mondialisation, à l’évolution des mœurs, au multiculturalisme…, et les incultes qui restent congelés dans leurs identités frustres, leurs routines, leur horizon borné.
    Tous ces perroquets et perruches qui squattent les antennes de radio et télé matin midi et soir n’ont qu’un mot à la bouche : « populisme ». Un mot qu’ils ne définissent jamais et qui leur sert à masquer leur inculture sociale, historique et politique, leur paresse intellectuelle, leurs préjugés et leurs idées reçues. À aucun moment ils ne cherchent à comprendre ce qu’il se passe en profondeur dans la société. Ils ont traité Trump de « fasciste », de nouvel « Hitler », de « bouffon », de « clown »…
    Or, la victoire de Trump est à mettre en lien avec le référendum sur le Brexit (en train d’être remis en cause par une alliance entre les conservateurs et le Parti travailliste). À mettre en lien, aussi, avec le référendum en Grèce, trahis, lui aussi (par Monsieur Tsipras). À mettre en lien avec la montée des votes contre l’Union européenne, partout sur notre continent. Et à mettre en lien, en France, avec le vote FN.
    La meilleure synthèse vient pour moi du Wall Street Journal de ce matin qui titre « Trump chevauche la vague populiste ». Si on remplace « populiste » par « démondialisation », nous avons probablement capté l’essentiel du phénomène qui s’est produit outre-Atlantique. Le peuple rejette désormais de plus en plus la mondialisation.
    Mais nous en sommes à une phase balbutiante, où le peuple n’en est pas encore à une claire compréhension qu’il s’agit de la mondialisation néolibérale. Le peuple américain, comme le peuple britannique, agit un peu comme les canuts qui se révoltaient au premier tiers du XIXe siècle, se vengeaient de leurs maîtres, sans analyse des causes de leurs malheurs et des issues possibles. 
    Si j’étais américain des États-Unis, je n’aurais voté ni pour Donald Trump, ni pour Hillary Clinton. Celle-ci est un faucon, une représentante directe en politique du big business et de Wall Street. Donald Trump quant à lui, outre ses travers personnels, n’a pas de véritable projet cohérent et efficace de démondialisation. Le peuple l’a choisi pour « faire bouger » le système, c’est tout, parce qu’il n’avait rien d’autre sous la main. Car les classes populaires, qui autrefois étaient représentées politiquement par la gauche, s’en sont détourné. Nous sommes même à la fin d’un cycle, celui né au XIXe siècle avec le clivage gauche-droite.
    J’aurai voté carton rouge, comme font les arbitres de football lorsqu’ils veulent sortir du terrain des joueurs ayant commis des fautes. Bien sûr, il se serait trouvé de bonnes âmes pour expliquer que tel candidat est moins pire que l’autre. Mais peut-on raisonnablement continuer ainsi, à voter toujours par défaut, en choisissant le moins pire ? Mieux vaut délégitimer les candidats qui n’offrent aucune véritable perspective politique.
    Telle est la tâche exaltante à accomplir : créer le nouveau monde qui tente, confusément, de se frayer un chemin. Fabriquer les outils politiques qui pourront y contribuer est la vocation du Parti de la démondialisation (Pardem), c’est le sens de ma candidature à l’élection présidentielle.
    J.N.

  • LES TRUMPERIES DE SARKOZY et consorts - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/preview

    LES TRUMPERIES DE SARKOZY et consorts
    10 Novembre 2016, 23:46pm | Publié par S. Sellami

    Nicolas Sarkozy s’apprêtant à retourner sa veste.

     

    De façon assez cocasse, l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis commence à provoquer la remise en cause, voire la désintégration, de tout le discours des politicards français.

    D’ores et déjà, en matière de virage à 180° , Sarkozy apparaît comme le champion des bonimenteurs, ce qui n’étonnera que ceux qui n’ont toujours pas compris que cet homme est un escroc.

     

    Ce que Sarkozy disait sur Trump AVANT l’élection américaine

    « Qu’est-ce que j’ai à voir avec Monsieur Trump ? »
    http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2016/09/22/25002-20160922ARTFIG00338-sarkozy-qu-est-ce-que-j-ai-a-voir-avec-monsieur-t
    « Ce monsieur ne mérite pas tant d’intérêt que cela. Ce qui est assez effrayant c’est l’impact qu’il a. Je trouve terrifiant qu’il y ait 30% d’Américains qui peuvent se reconnaître là-dedans. » (…) « Ça fait frémir. Ça me fait frémir aussi sur l’état d’une partie de l’Amérique profonde », a ajouté Nicolas Sarkozy, dénonçant le « populisme » et la « vulgarité » du candidat républicain à la Maison Blanche.
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/03/23/97001-20160323FILWWW00392-l-effrayant-trump-fait-fremir-sarkozy.php

    « Je souhaite la victoire d’Hillary Clinton »
    http://www.europe1.fr/politique/entre-trump-et-clinton-sarkozy-a-choisi-2856514

     

     

    Ce que Sarkozy dit sur Trump APRÈS l’élection américaine

    Élection de Donald Trump : Nicolas Sarkozy « a honte » de la réaction de Jean-Marc Ayrault
    http://www.europe1.fr/politique/election-de-donald-trump-nicolas-sarkozy-a-honte-de-la-reaction-de-jean-marc

    « Le message du peuple américain doit être entendu comme le choix du Brexit par les Britanniques. Il exprime une volonté de changement. Il exprime le refus d’une pensée unique qui interdit tout débat sur les dangers qui menacent notre nation »
    http://www.lepoint.fr/presidentielle/nicolas-sarkozy-se-voit-bien-dans-les-pas-de-donald-trump-09-11-2016-2081999

     

    Conclusion

    Sitôt les résultats connus, les grands médias asservis au système ont immédiatement associé la victoire de Trump à la supposée dynamique du FN et de Mme Le Pen. Ils ont ainsi tenté de faire mousser comme d’habitude le leurre FN puisque le parti de la Famille Le Pen est la « roue de secours » du système qui ne remet en cause réellement ni l’UE, ni l’euro, ni l’Otan -.

    De leur côté, les politicards LR/PS essayent maintenant de récupérer le résultat de l’élection américaine.
    Même Emmmanul Micron s’y est mis !

    http://www.lci.fr/elections-americaines/elections-americaines-comment-les-politiques-francais-tentent-de-recuperer-la-vi
    http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/election-presidentielle-2017/20161109.OBS0974/le-pen-sarkozy-macron-ces-candidats-qui-revent-de-l-effet-trump

    Tout cela est pitoyable.

    François XAVIER
    Adhérent UPR des Hauts-de-Seine
    10 novembre 2016

  • Présidentielle américaine : Bernie Sanders prêt à travailler avec Donald Trump
    https://www.crashdebug.fr/international/12642-presidentielle-americaine-bernie-sanders-pret-a-travailler-avec-don

    Bernie Sanders aurait du gagner ces élections américaines, mais Hillary Clinton l’a fait évincer des démocrates pour caracoler en tête. Bref, elle a voulu forcer le destin, eh bien elle a gagné... ; ))))

    Amitiés,

    f.

    Bernie Sanders

    ETATS-UNIS « Si Donald Trump entend vraiment mener des politiques visant à améliorer les vies des familles de travailleurs dans ce pays, moi ainsi que d’autres progressistes sommes prêts à travailler avec lui », a-t-il souligné….

    Pendant la course à l’investiture démocrate, il avait galvanisé des foules de jeunes en appelant à une « révolution politique ». Bernie Sanders, qui avait finalement été battu par Hillary Clinton, a affirmé mercredi être prêt à travailler avec le nouveau président élu Donald Trump s’il compte vraiment « améliorer la vie des familles de travailleurs ». (...)

    #En_vedette #Ça_s'est_dit_par_là... #International