« Il faut changer la société, avant de changer Internet. C’est la seule façon de faire. »
Peter Sunde
►http://motherboard.vice.com/fr/read/le-fondateur-de-pirate-bay
« Il faut changer la société, avant de changer Internet. C’est la seule façon de faire. »
Peter Sunde
►http://motherboard.vice.com/fr/read/le-fondateur-de-pirate-bay
« Pour moi, nous devons nous concentrer sur le monde réel, car l’Internet copie le monde réel . Nous y recréons un mode de fonctionnement capitaliste. L’Internet attise donc le feu du capitalisme, tout en faisant semblant de vouloir connecter le monde entier. Mais son programme est clairement capitaliste. » Peter Sunde
On devrait donc laisser le système actuel s’effondrer, pour ensuite tout reconstruire sur ses ruines ?
Oui, en se concentrant sur le vrai combat, contre le capitalisme débridé. Je ne pouvais pas voter, mais j’espérais vraiment que #Sarah_Palin remporte la dernière élection présidentielle américaine. J’espère que #Donald_Trump gagnera la prochaine. Parce que ça détruira le pays beaucoup plus rapidement que si un mec un peu moins nul l’emportait. Notre monde ne pense plus qu’à l’#argent. C’est ça, notre plus gros problème. C’est pour ça que rien ne fonctionne correctement. C’est ce que nous devons changer. Il faut totalement revoir nos priorités.
Avec un peu de chance, la technologie nous fournira des #robots qui prendront tous les jobs, ce qui provoquera un #chômage de masse, à hauteur de 60%. Les gens seront vraiment malheureux. Ça serait génial, parce qu’on verrait enfin le capitalisme s’effondrer totalement . Il y aura une immense panique, du sang et des morts, mais ce futur où le système s’autodétruirait est la seule #issue positive que je puisse envisager. On ne peut qu’espérer que ça arrive le plus vite possible. Je préfèrerais avoir 50 ans plutôt que 85 quand ça arrivera.
cet article aussi est complètement #outch !
Je ne pouvais pas voter, mais j’espérais vraiment que #Sarah_Palin remporte la dernière élection présidentielle américaine. J’espère que #Donald_Trump gagnera la prochaine. Parce que ça détruira le pays beaucoup plus rapidement que si un mec un peu moins nul l’emportait.
Euh si on va par là, j’imagine que de voter Le Pen en 2017 sera la chose à faire.
S’agissant des Etats-Unis, d’avoir eu à la Maison blanche des types aussi stupides que Hoover, Ford, Reagan, Dan Quayle (vice président de Bush père), et enfin, last but not least , Bush fils, ne semble pas avoir conduit les Etats-Unis à une révolution prolétarienne de très grande ampleur.
C’est bien d’être enthousiaste, mais ça peut conduire à de graves déceptions.
Justement c’est de ce genre de déception - en tout cas pour ceux qui y croient - que pourra surgir une prise de conscience. Je ne pense pas que Peter Sunde soit si enthousiaste que ça en ce moment, mais plutôt que sa conscience (des problèmes) politique(s) s’est aiguisée avec le temps et qu’il le vit plutôt assez mal.
S’agissant des Etats-Unis, d’avoir eu à la Maison blanche des types aussi stupides que Hoover, Ford, Reagan, Dan Quayle (vice président de Bush père), et enfin, last but not least , Bush fils, ne semble pas avoir conduit les Etats-Unis à une révolution prolétarienne de très grande ampleur.
C’est bien d’être enthousiaste, mais ça peut conduire à de graves déceptions.
Le suicide comme arme de destruction massive
►http://www.dedefensa.org/article-le_suicide_comme_arme_de_destruction_massive_06_05_2013.html
• Les USA sont-ils sous l’empire d’un plan d’extermination du corporate power ? • Méditation crisique...
Par ailleurs, il importe de constater qu’existe effectivement un état d’esprit conduisant à envisager des logiques d’élimination (d’extermination ?) de la population, sous la forme de l’argument énoncé techniquement de “forces du travail” devenues inutiles (d’ailleurs inutiles par l’action même du corporate power). On retrouve dans son fondement du capitalisme prédateur et darwiniste l’état d’esprit de la grande Dépression, avant l’arrivée de Roosevelt, lorsque le secrétaire au trésor Mellon (l’une des plus grosses fortunes des USA à cette époque) déconseillait au président Hoover, en 1931, de venir en aide aux chômeurs, estimant que le chômage allait permettre l’élimination des individus inaptes au travail, incompétents, dépourvus de “conscience laborieuse” (c’était l’expression favorite de Mellon). Ce darwinisme social prend aujourd’hui des allures de folie engendrant la situation extrême qu’on connaît, dans tous les cas telle qu’elle est exposée par le système de la communication, et contenant évidemment une dimension d’autodestruction qui n’était pas perceptible durant la Grande Dépression.
Banalisation de la pensée fasciste ?
Il naît beaucoup trop d’humains : pour ceux qui sont en trop, on a inventé l’État
disait Nietzsche, dans des propos à nouveau (bizarrement) relayés dans un journal de droite, à un moment où l’analogie avec 1929 devient de plus en plus saisissante...
►http://seenthis.net/messages/136029
On reconnait dans cette approche l’analyse malthusienne. Autrement dit une logique ancienne attribuée par commodité à Malthus pour la concision de son analyse. C’est à dire une pensée dépassée depuis 150 ans par les travaux d’une école de pensée toute entière dédiée à essayer de faire mentir ces prédictions.
Mais il est sans doute commode pour les gros bourgeois d’oublier que sans état pour défendre par les armes l’inégalité, l’exploitation et la propriété, ils serviraient depuis longtemps de viande à pita aux pauvres. L’état est le bras armé de la bourgeoisie, sa milice financée par l’impôt.
Euro, terminus ? | Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo)
►http://blog.mondediplo.net/2012-05-24-Euro-terminus
Sauf à avoir l’entendement tout à fait obturé, le résultat hautement probable d’une politique économique européenne qui n’aura rien appris de l’histoire, rien compris des erreurs d’il y a quatre-vingts ans, celles de Hoover, de Laval… et surtout de Brünning, pouvait être annoncé du moment même [1] où, fière de ses règles disciplinaires, de ses traités et de ses pactes, consciencieusement occupée à donner satisfaction aux marchés qu’elle a elle-même installés en position de tutelle, l’Europe, contre toute logique économique, a décidé qu’il n’était pas d’autre voie pour stabiliser les dettes publiques que la restriction généralisée. Il ne faut pas s’y tromper : la Grèce, sans doute le pays le plus fragile et le plus déséquilibré ex ante de la zone euro, n’est que l’éclaireur d’un parcours où bon nombre d’autres pays sont déjà engagés derrière elle — ne pas espérer de fin de crise si d’aventure un miracle, désormais il faut au moins ça, parvenait à sauver l’« éclaireur »... Source : Les blogs du Diplo
« Revenu garanti » III
►http://claudeguillon.internetdown.org/article.php3?id_article=54
laires, mais des revenus » il en déduit que « seul le revenu garanti est un facteur de création d’emplois nouveau [8] ». Pour sa part, Philippe Van Parijs, titulaire de la chaire Hoover d’éthique économique et sociale à l’université catholi
Le livre de Guillon est hallucinant de mauvaise foi. Il invente une fausse généalogie unifiée à cette revendication [#épouvantail] pour pouvoir ensuite en dénoncer à bon compte l’étatisme. Il se trouve que l’exigence d’un #revenu_garanti a plusieurs origines, contradictoires. Que des « utopistes » (les « distributistes ») soucieux d’harmonie sociale aient rejoint ou soutenu le gouvernement de Pétain ne permet en rien de conclure comme le fait Guillon à l’étatisme des tenants de la lutte pour un #salaire délié de la production et de la productivité, position anticapitaliste et non étatiste.
Voir, par exemple
La force d’une thèse honnie : le salaire variable indépendante. Paolo Virno
►http://www.lyber-eclat.net/lyber/virno/virno-salaire.html