L’Arabie Saoudite vient d’accorder la citoyenneté à un robot | Courrier international
▻https://www.courrierinternational.com/article/larabie-saoudite-vient-daccorder-la-citoyennete-un-robot
L’Arabie Saoudite vient d’accorder la citoyenneté à un robot | Courrier international
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Sur les 8 robots présentés dans la vidéo, 2 sont des copies d’un homme, en l’occurrence de leur inventeur, les autres sont des copies de #la_femme, ici la première répond qu’elle a 15 ans, l’autre peut lire des tweets avec une voix mâle …
pour la perpétuation des #stéréotypes #robots
▻https://www.youtube.com/watch?v=Qbqh7UmGh80
C’est un sujet très bien développé dans le bouquin d’Isabelle Collet, “L’informatique a-t-elle un sexe ?” (2006), où elle remonte à Frankenstein pour chercher les mythes fondateurs de l’informatique sexiste
▻http://www.isabelle-collet.net/isabelle.collet/Livre.html
Pour ce qui est de l’Arabie saoudite, je suppose que tout ce qui peut servir à détourner l’attention de leurs guerres & turpitudes est utile.
waa, super @fil, merci !
Oui, et malheureusement l’écho exceptionnel dans la presse sur les violences faites aux femmes semble masquer également la sidération politique dans laquelle aucune intelligence ne peut se mouvoir, un soufflé qui va retomber quand nos représentants n’auront plus besoin des viols
L’informatique a-t-elle un sexe ?, par Isabelle Collet
►https://www.monde-diplomatique.fr/2007/06/COLLET/14834
Magazines de « pirates »
►https://www.monde-diplomatique.fr/2007/06/COLLET/14835
Lady codeuse
▻https://www.monde-diplomatique.fr/mav/109/COLLET/19411
Informatique au féminin par Yovka Boneva
▻http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=f45b4010-f6f7-4c0f-84a9-5b7ea0bf6215
Plusieurs enquêtes réalisées dans le domaine de l’informatique montrent que la plupart des entreprises déplorent l’absence de candidates féminines alors qu’elles cherchent à augmenter la mixité dans leurs équipes. Cette difficulté est directement liée au faible pourcentage d’étudiantes dans les formations en informatique (10 % de L2 à M2 à l’université Lille 1). Pourtant dans les années 80, on comptait 20% de filles dans les filières informatiques. Isabelle Collet, docteure en sciences de l’éducation, chercheuse associée à l’Université de Paris X s’est penchée sur la question et a fait émerger les représentations liées aux métiers de l’informatique et pourquoi elles en éloignent les femmes. L’informaticien est en effet, souvent considéré comme un être solitaire et asocial passant sa journée à faire des tâches (...)
Informatique au féminin par Sophie de Kermel
▻http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=ca170ccd-e777-4c2e-b0af-0b0b61885cb2
Plusieurs enquêtes réalisées dans le domaine de l’informatique montrent que la plupart des entreprises déplorent l’absence de candidates féminines alors qu’elles cherchent à augmenter la mixité dans leurs équipes. Cette difficulté est directement liée au faible pourcentage d’étudiantes dans les formations en informatique (10 % de L2 à M2 à l’université Lille 1). Pourtant dans les années 80, on comptait 20% de filles dans les filières informatiques. Isabelle Collet, docteure en sciences de l’éducation, chercheuse associée à l’Université de Paris X s’est penchée sur la question et a fait émerger les représentations liées aux métiers de l’informatique et pourquoi elles en éloignent les femmes. L’informaticien est en effet, souvent considéré comme un être solitaire et asocial passant sa journée à faire des tâches (...)
Événement - IRIST - Université de Strasbourg
►http://irist.unistra.fr/agenda/evenement/?tx_ttnews[tt_news]=8390&cHash=6f329341be40ab8103b2c157450b9985
De Wargame à Millenium : l’influence des #hackers de #fiction sur les représentations des métiers de l’#informatique
Isabelle Collet, Université de Genève
Image d’informaticien(s) dans une série d’#animation jeunesse, Code Lyoko
Mélissa Arneton, INS-HEA
Oui, on enseigne le « genre » à l’école (même ceux qui s’y opposent) | Slate
▻http://www.slate.fr/story/83745/le-genre-est-partout-ecole
Il est difficile de savoir quel est le nombre des enseignants qui déconstruisent le genre, spontanément ou de façon militante. Mais ils dépassent bien sûr les 600 classes pilotes qui testent actuellement l’ABCD égalité, depuis la maternelle au CM2.
« Nous n’avons pas d’outils pour les compter et les inspecteurs y sont plutôt hostiles, cela acte l’idée que l’école ne réussit pas dans sa mission d’égalité entre les sexes, ils ne peuvent pas l’entendre. Donc ces initiatives ne sont pas répertoriées. »
D’autant plus qu’« un certain nombre de profs le font encore sans l’identifier, parce que pour eux ça va de soi », explique Isabelle Collet.
Les enseignants en France ont toujours eu « une marge de manœuvre extraordinaire » concernant le contenu de leur cours, rappelle l’historien Claude Lelièvre, spécialiste de l’éducation.
Cette liberté est « fondamentale pour pouvoir s’adapter au public en face de nous » estime Florence, 39 ans, qui a enseigné douze ans en primaire et trois ans en maternelle, en Seine-Saint-Denis.
« Moi je change chaque année le contenu en fonction du degré d’éveil des élèves, des envies que je sens chez eux. »
Cela dépend aussi des « débats provoqués par la classe », souligne Stéphanie.
L’an dernier, en plein débat sur le mariage pour tous, elle a dû ouvrir un débat sur ce que c’était que d’avoir deux mamans, après avoir retrouvé un de ses élèves de maternelle, dont c’est le cas, en larmes : il s’était entendu dire que ce n’était « pas bien », « pas normal » et « interdit ».
Ces débats surviennent souvent sans militantisme derrière. « Ce sont des sujets qui viennent naturellement avec les petits », précise Anne institutrice depuis dix ans, du CE1 au CM2 et qui enseigne dans le Puy-de-Dôme. Elle estime ne jamais avoir eu affaire à un sexisme très marqué, mais avoir néanmoins eu l’occasion de parler de ces sujets.
« Mes fils les premiers ont donné le sein à leur poupée. Et dans les classes, plein d’occasions nous sont données d’aborder la question de la différence, de la tolérance, qu’elle soit sexuelle, quand un garçon ne veut pas jouer à la dînette ou autre, quand des enfants se tapent dessus. On n’a pas attendu Peillon pour en parler. »
Florence ajoute :
« La théorie du genre, je ne comprends pas bien ce que c’est. Mais si on parle du fait que les petites filles puissent faire des métiers comme les garçons ou que les garçons jouent à la poupée, ça bien sûr, je l’ai abordé dans ma classe. »
Cette enseignante explique que grâce à des albums montrant des filles pompiers ou des garçons coiffeurs, elle a montré à des CE1 que chacun était libre de faire ce qui lui plaisait.
Julie, 32 ans, qui enseigne depuis 9 ans à Salon-de-Provence (CE2/CM1) n’estime pas du tout que ce soit un enseignement prioritaire. Elle ne se considère pas du tout comme militante. Mais pour une leçon sur la météo, elle doit faire venir un scientifique pour parler de son métier. Elle s’efforce de trouver une femme « parce que les petites filles s’orientent plus difficilement vers des métiers scientifiques. Je veux leur montrer que c’est possible ».
Ces exemples sont des enseignements sur le genre, qu’ils soient ou non appelés ainsi et à différents degrés, qu’ils ne prennent que quelques minutes par an ou occupent des sessions entières. Ils déconstruisent une norme genrée.
C’est quand même tragique, toute cette #discrimination ...
Et même dans l’enseignement privé sous contrat ? :)
« Théorie du genre » : malaise au sein des écoles catholiques
▻http://www.lemonde.fr/ecole-primaire-et-secondaire/article/2014/03/14/enseignement-du-genre-malaise-au-sein-des-ecoles-catholiques_4383093_1473688
Ce qui nous arrive sur la toile par Xavier Delaporte
▻http://www.franceculture.fr/emission-ce-qui-nous-arrive-sur-la-toile-ce-qui-nous-arrive-sur-la-toi
Dates/Horaires de Diffusion : 9 Décembre, 2013 - 08:45 - 08:50
date de remontée fiction : Lundi 9 Décembre 2013
#femmes #femme
interessant domage que ca soit si court, j’en aurais bien ecouté une heure de plus ^^
Je relève ceci qui me semble interessant.
Isabelle Collet émet une hypothèse sans doute à creuser. Elle observe que les deux grands penseurs de l’informatique moderne, Alan Turing et John Von Neumann étaient deux grands génies, mais très misogynes chacun à sa manière, et surtout qu’ils avaient imaginé l’informatique comme le moyen de dupliquer l’intelligence, leur intelligence, sans l’intermédiaire du corps des femmes (c’est la machine étant le lieu de cette duplication). Une sorte de pécher originel de l’informatique qu’il s’agirait depuis de racheter et dont nous serions encore aujourd’hui les victimes (ou les agents, dans Place de la toile, li y a trop d’hommes). L’hypothèse d’Isabelle Collet n’exonère personne mais donne une idée de l’ampleur du travail.
ca me fait pensé à ceci « Les hommes sont les organes sexuels des machines »
►http://fkaplan.wordpress.com/2011/09/22/les-hommes-sont-les-organes-sexuels-des-machines
et ceci « le principe de la marmite »
►http://seenthis.net/messages/132696
en fait l’informatique serait la nouvelle marmite qui permettrai aux hommes de se reproduire sans femmes en attendant la mise au point de l’uterus artificiel.
Tout ca me fait fortement pensé au #transhumanisme et leur idée d’#immortalité.
Et le titre de l’émission est
Le problème des femmes en informatique
avéletexte :
▻http://www.franceculture.fr/emission-ce-qui-nous-arrive-sur-la-toile-le-probleme-des-femmes-en-inf
Concernant ce que souligne @mad_meg
l’informatique comme le moyen de dupliquer l’intelligence, leur intelligence, sans l’intermédiaire du corps des femmes
je note la relation avec #bigmother, la rassurante société de surveillance et de consommation qui vise à prendre la place maternante.
#labarbe
@touti c’est quelquechose que j’ai vu plusieurs fois dans les articles du site @le_cinema_est
Le fait que l’on combatte l’aspect symboliquement féminin dans l’informatique.
Par exemple la terrible #matrice de Matrix
Dans le dernier James Bond, c’est expliqué ici
▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/skyfall-2012-pour-que-bond-rebande
Dans Elysum que j’ai vu hier (ne pas lire la suite si vous ne l’avez pas encore vu) , il y a le personnage jouée par Judy Foster qui orchestre son coup d’état grâce à une manipulation de l’ordinateur central. On retrouve aussi cette idée de superordinateur maternant, qui protégè et soigne.
Ca me rappel aussi Shirka dans Ulysse 31 avec sa belle voix féminine et sa fonction de supermère qui veille sur l’équipage endormi.
Ca ressemble aussi a la philosophie des drones lorsque qu’il est question de virilisé l’usage de ces machines :
« Le drone apparaît comme l’arme du lâche, celui qui refuse de s’exposer. Il ne requiert aucun courage, il désactive le combat. Cela provoque des crises profondes dans les valeurs guerrières » (…)
« La guerre devient un télétravail, accompli par des employés de bureau, très loin des images à la Top Gun. Il n’est d’ailleurs pas étonnant que les premières contestations du drone aient été le fait de pilotes de l’Air Force. Ils refusaient la déqualification de leur travail, mais ils luttaient aussi pour le maintien de leur prestige viril…(…)
[Les noms techniques donnés aux drones] sont révélateurs. Predator, c’est le prédateur, Reaper, la faucheuse. Ce sont des images de bêtes de proie. Il y a aussi ce tee-shirt à la gloire du Predator sur lequel on peut lire : « Vous pouvez toujours courir, mais vous mourrez fatigué. » En anglais, drone se dit unmanned vehicle, ce qui signifie littéralement « des-hommé », mais on pourrait dire aussi « dévirilisé ». Il est en effet cocasse qu’une catégorie de drones ait été baptisée « Male », pour Medium Altitude Long Endurance en anglais (moyenne altitude et longue endurance en français). »
►http://www.lecinemaestpolitique.fr/after-earth-2013-drones-et-terroristes
Je me dit que l’industrie culturelle n’y est pas pour rien dans cette masculinisation de l’informatique et des machines, tellement l’aspect symboliquement féminin de cet technique est méthodiquement diabolisé dans les fictions.
Aussi publié sur Internet Actu, et épinglé par là : ▻http://seenthis.net/messages/211673
Effet de genre : le paradoxe des études d’informatique - Isabelle Collet
▻http://ticetsociete.revues.org/955#tocto1n5
Nous faisons l’hypothèse que le choix d’étude et l’exercice d’une profession sont des pratiques qui sont toujours médiées par un système symbolique.
Bon sang, #Hebdogiciel, c’était quand même du (gros) lourd !
►http://ia700803.us.archive.org/BookReader/BookReaderImages.php?zip=/19/items/hebdogiciel-french-165/hebdogiciel_numero_165_jp2.zip&file=hebdogiciel_numero_165_jp2/hebdogiciel_numero_165_0000.jp2&scale=4&rotate=0
mais un grand merci à Jason Scott qui a tout scanné pour #Internet
►http://www.archive.org/details/hebdogiciel-french
c’est plein de pépites !! ah le #BASIC en langue « de molière »… ►http://www.archive.org/stream/hebdogiciel-french-020/hebdogiciel_numero_020#page/n3/mode/2up
#histoire #informatique
et plein d’autres titres, cf :
►http://ascii.textfiles.com/archives/3421
– Amiga Dream
– Amstar
– Atari 1ST
– Banzzai Magazine
– CPC Magazine
– Cyberstratege
– French-Language Computer Magazines (Miscellaneous)
– Generation 4
– Hebdogiciel
– Joypad
– L’Atarien
– L’Ordinateur Individuel
– MEGA Force
– Micro et Robots
– Micronews
– Netbug Magazine
– PC Novice
– Player One
Quid du vol d’énergie des cafés grand-mère et du droit à l’oubli ?
▻http://www.archive.org/stream/hebdogiciel-french-136/hebdogiciel_numero_136#page/n0/mode/2up
▻http://ia700805.us.archive.org/BookReader/BookReaderImages.php?zip=/24/items/hebdogiciel-french-136/hebdogiciel_numero_136_jp2.zip&file=hebdogiciel_numero_136_jp2/hebdogiciel_numero_136_0000.jp2&scale=2&rotate=0
Le Basic in French ; le LSE ? Oui, 2 horreurs comme disait Papy Logo. Déjà l’époque où l’EN, sans encore d’UIFM, ne faisaient que détruire l’enseignement ...
ah mais heureusement il y a Abandonware !
►http://www.abandonware-magazines.org/affiche_mag.php?mag=7&num=1299&album=oui
qui diffuse aussi les scans de Planète Internet
Pourquoi les jeunes femmes désertent-elles le secteur des technologies ?
►http://www.itu.int/net/pressoffice/press_releases/2011/Advisory-01-fr.aspx
Que cache la chute du nombre de jeunes #femmes choisissant d’étudier les technologies de l’information et de la communication ? Bien que les qualifications dans le secteur des TIC offrent de bons débouchés professionnels et une rémunération supérieure à la moyenne, aux Etats-Unis, par exemple, la proportion d’étudiantes dans les cours de TIC, qui était de 37% il y a 25 ans, atteint à peine 29% aujourd’hui - et continue à décliner.
En gros, tu as beau être aussi compétente que tes collègues masculins, tu serais toujours considérée comme moins « apte », comme si le sens technique avait une composante génétique plantée exclusivement sur le chromosome Y
Ton hypothèse suppose que les filles savent mieux qu’avant ce qui se passe dans l’entreprise ? et que du coup elles se tourneraient vers d’autres secteurs qui seraient moins machistes ? Je suis plutôt convaincu par la thèse d’Isabelle Collet expliquant que c’est toute une culture masculinisante qui s’est formée et renforcée autour de l’informatique, à travers notamment des revues pleines de pubs de femmes à oilpé vantant des disques bien durs, des machines « trop puissantes », etc. Bref l’informatique comme une Formule 1. Or c’est pas vraiment la réalité de ces métiers. ►http://www.isabelle-collet.net
En amont, le système éducatif reste très sexiste quand même et on ne pousse guère les nanas vers les métiers techniques, plus la com’
Je n’ai pas de solution magique mais je pense qu’une des actions possibles est de montrer aux filles qu’il y a des femmes dans les métiers techniques (en actualisant un peu les exemples, pas en citant sempiternellement Marie Curie et Ada Lovelace)
C’est pas, encore avant l’informatique, les maths et les sciences dures qui sont considérés comme des trucs de mecs, les filles étant supposés être davantage littéraires ? Au lycée, les classes de S sont peuplées en majorité de mecs et les L de filles.
Je confirme, @fil, je ne sais pas ce qu’est Lady Ada. Et pourtant, il m’arrive d’être sur l’IRC de SPIP (en fait, très peu de nanas connaissent l’IRC !). Je confirme aussi ce que dit @baroug : étant très bonne en sciences et en littérature, on a plutôt tenté de m’orienter en lettres. Alors que le second de la classe, moins bon en sciences, a été fermement encouragé à partir en filière S. Cela dit, j’ai choisi des études scientifiques.
J’ai déjà raconté mon premier traumatisme féministe, à l’âge de ma fille, quand la maîtresse m’a rendu mon devoir de maths, le meilleur de la classe, en disant : « c’est très bien... pour une fille ».
J’ai été estomaqué, parce que c’était juste très bien et cela n’avait rien à voir avec le fait que j’étais une fille.
Maintenant, pour répondre à @stephane , mon recrutement dans le service informatique, ça a été quelque chose. Dans une boite qui était globalement un gynécée, le service info était le seul service 100% masculin. Le chef a fait la gueule de voir une fille lui être imposée et m’a placardisée méchamment pendant 1 mois ou 2, le temps de se rendre compte que j’étais tout même une geek, très sympa (contrairement aux apparences, dans la vraie vie, je suis quelqu’un d’assez accommodant) et compétente, ce qui ne gâche rien. Au final, j’ai parfaitement été intégrée dans l’équipe et nous avions trouvé un fonctionnement vraiment efficace à nous tous malgré (ou grâce à ?) ma féminité.
Par contre, du point de vue des utilisateurs, ça n’a jamais beaucoup évolué : même si j’ai prouvé que j’avais des compétences techniques, même pour changer le toner de l’imprimante, ils préféraient toujours « attendre qu’un des garçons soit disponible ».
#mysoyne #informatique
Je pense qu’il y a plusieurs raisons à la sous-représentation des femmes en informatique. Cet article donne une explication, possible, parmi plusieurs autres :
merci Stéphane ; je note ce passage :
On objective measures of math performance, these women were outscoring men. But their identification with mathematics was not tied to their interest, determination, or talent. It was connected to whether their teacher was a woman or a man.
(...) No matter the evidence, they believed they were imposters.
It is true that fewer women than men break into science and engineering careers today because they do not choose such careers. What isn’t true is that those choices are truly “free.”
Un dossier complet vient de paraître aux Cahiers pédagogiques
►http://www.cahiers-pedagogiques.com/spip.php?page=numero&id_article=7268