Colère à Grenoble après le mort d’Adam et Fatih, 17 et 19 ans, dans une course-poursuite avec la BAC
►https://www.revolutionpermanente.fr/Colere-a-Grenoble-apres-le-mort-d-Adam-et-Fatih-17-et-19-ans-da
Colère à Grenoble après le mort d’Adam et Fatih, 17 et 19 ans, dans une course-poursuite avec la BAC
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Grenoble : Le point sur la situation après une troisième nuit d’émeutes
▻https://www.20minutes.fr/societe/2464631-20190305-video-violences-urbaines-grenoble-point-situation-apres-t
Un adolescent de 16 ans grièvement blessé à l’œil
Au cours des affrontements de samedi soir, un garçon de 16 ans a été blessé à l’œil dans le quartier Mistral dans des circonstances qui restent vagues. Sa mère a porté plainte lundi, selon le parquet de Grenoble. Des voisins auraient indiqué à la Grenobloise que son fils aurait été victime d’un tir de balle en caoutchouc. « A ce stade, nous ne disposons d’aucune autre information », a précisé lundi soir le procureur de la République de Grenoble Eric Vaillant, qui a ouvert une enquête pour « violences volontaires avec arme suivies d’une ITT supérieure à huit jours ». Des faits qui n’ont pas manqué d’ajouter à la suspicion envers les forces de l’ordre d’une partie des habitants, selon plusieurs messages postés sur les réseaux sociaux.
Des compléments sur les affrontations, des point de vue de proches, etc.
▻https://twitter.com/clprtr/status/1102660522481254400
« On les a envoyés à la mort », accuse un proche. « On était vraiment sur de la chasse... On dirait du du gros gibier (...) on a ôté la vie à deux personnes, on a rendu des gens malheureux, Un scooter à 1000 euros, deux morts, ça se passe de commentaires »
#Maintien_de_l'ordre #violences_policières #violence_d'État #LBD40 @davduf
Troisième nuit de révolte à Grenoble après la mort d’Adam et Fatih - 4/5 mars 2019
▻https://www.youtube.com/watch?v=RRYQPN4Thd4
⎯ Tu te rappelles que tu ne dois jamais mentionner dans tes titres qu’ils étaient poursuivis par la police ?
⎯ T’inquiète.
via @vivelefeu
►https://twitter.com/vivelefeu
Après des jours d’émeute, faute de figurer dans le titre, le mot « police » figure dans la première phrase.
La mort de Fatih et Adam, révélatrice des fractures de Grenoble , Henri Seckel et Maud Obels.
Depuis la mort dans un accident de deux jeunes poursuivis par la police, les nuits de fièvre se succèdent dans le quartier du Mistral.
Jusqu’alors, les seuls messages de protestation visibles devant l’école Anatole-France concernaient le trop grand nombre d’élèves en classe de CP et la vitesse trop élevée des automobilistes. Sur la façade de cet établissement du quartier Mistral, dans le sud de Grenoble, sont venues s’ajouter ces jours-ci des inscriptions d’un autre genre : « La police tue la jeunesse de demain », « Vous allez payer », « Aucune pitié pour les porcs », « 500 euros pour chaque policier au sol ». Et aussi « F & A, on vous aime pour toujours ».
Environ 1 500 personnes se sont rassemblées, mercredi 6 mars, devant ces tags hostiles aux forces de l’ordre, pour une marche silencieuse à la mémoire de Fatih et Adam, 19 et 17 ans, que tous présentent comme de bons garçons, et qui ont trouvé la mort samedi à quelques hectomètres de là. Ils circulaient, sans casque et sans permis, sur un scooter volé à bord duquel ils auraient grillé des feux rouges et brisé des rétroviseurs, et ont été pris en chasse par deux voitures de police. La course-poursuite a emprunté un petit bout de l’A480, qui longe le quartier Mistral. L’accident s’est produit sur une bretelle de sortie. Le parallèle avec Zyed et Bouna, deux jeunes de 17 et 15 ans morts électrocutés en 2005 à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) dans un poste électrique en tentant d’échapper à un contrôle policier, a vite surgi.
Lire aussi A Grenoble, une nouvelle nuit tendue après la « marche blanche » en hommage à Adam et Fatih
« Question d’orgueil »
Au lendemain du drame, le procureur de la République de Grenoble, Eric Vaillant, s’est voulu aussi précis que possible sur le déroulement des faits, en s’appuyant sur une caméra de vidéosurveillance et le témoignage d’un chauffeur de car : « Il a vu dans son rétroviseur un scooter et un véhicule de police. Il a décidé de se serrer sur la droite pour leur laisser le passage, sauf que le scooter a décidé de doubler le car par la droite et s’est retrouvé coincé entre le car et le parapet. En l’état, il n’y a eu, selon nous, aucun choc entre le véhicule de police et le scooter. »
La démonstration n’a pas convaincu la totalité des 3 000 « Mistraliens ». Une photo d’une éraflure sur le pare-chocs avant de la voiture de police a atterri sur tous les téléphones, aussitôt interprétée comme la preuve d’une collision avec le scooter. « On les a envoyés à la mort, affirme Karim, l’oncle maternel d’Adam. On dirait que venir ici, pour les forces de l’ordre, c’est comme faire un safari, chasser du gros gibier. » « Les policiers ont de la rancœur parce qu’ils n’arrivent pas à agir sur ce quartier, c’était une question d’orgueil, il fallait absolument les attraper, explique un jeune homme souhaitant rester anonyme, comme les amis qui l’entourent, à la terrasse du snack La Cantine. C’est dommage qu’une simple question d’orgueil aboutisse à deux morts. »
« Si on commence à ne plus contrôler ce genre de personnes et à ne plus faire de flagrants délits, on reste au commissariat et on ne fait plus rien, répond Philippe Lepagnol, secrétaire départemental en Isère du syndicat de police Alliance, qui dit avoir vu les images de vidéosurveillance. Les jeunes ont pris des risques énormes, c’est ça qui les mène à l’accident, pas la police. On est des pères de famille, on sait faire preuve de discernement. On déplore ce drame, mais on est sereins sur les circonstances. »
L’épisode ne risque pas de réparer la fracture, qui semblait déjà définitive, entre policiers et jeunes du quartier. Les seconds dénoncent les « abus de pouvoir permanents » des premiers, les premiers le « sentiment d’impunité » des seconds. Lesquels n’ont pas plus confiance en la justice ni en l’enquête qui débute à peine : « Qu’est-ce que c’est que ce silence général sur les circonstances de l’accident ? Quelqu’un a quelque chose à se reprocher ? » Le temps – long – de la justice n’est pas celui – immédiat – de l’émotion.
La marche silencieuse s’est élancée à 16 h 30, et le cortège a fait ses premiers pas dans un paysage urbain défiguré, entre Abribus aux vitres émiettées et squelettes de voitures. La plupart des carcasses calcinées ont été enlevées, ne reste alors plus que le goudron qui s’est gondolé sous l’effet de la chaleur, et que parsèment des dizaines de douilles de grenades lacrymogènes usagées. Les enfants ramassent ces curieux jouets, et se font gronder par leurs parents.
Les stigmates des dernières nuits agitées dans le quartier sont partout. Depuis samedi, les lacrymos des CRS ont affronté les cailloux, boules de pétanque et cocktails Molotov parfois jetés directement depuis les étages des immeubles. D’autres secteurs de Grenoble (Villeneuve, Teisseire, Village olympique) et d’autres communes de l’agglomération (Echirolles, Fontaine, Saint-Martin-le-Vinoux) se sont embrasés également.
Soixante-cinq voitures ont flambé dans la seule nuit de lundi à mardi. L’épisode rappelle 2010, et les émeutes qui avaient suivi la mort d’un braqueur, tué par les policiers, dans le quartier de la Villeneuve.
Chantier permanent
Ces nuits de fièvre ont fait un seul blessé grave (une enquête a été ouverte sur le cas de ce jeune homme de 16 ans qui a perdu un œil) et entraîné une seule interpellation : un homme de 25 ans, condamné mercredi à huit mois de prison ferme pour avoir jeté une barre de fer et des parpaings sur des policiers. « S’il faut aller en prison, on ira en prison », explique un jeune du quartier ayant participé aux échauffourées, pour qui la violence est légitime : « L’imam nous a dit de ne pas être violents, et de monter une association. Mais est-ce que vous seriez venus si on avait monté une association ? »
Avant de se diriger vers le pont de Catane, à l’entrée duquel Adam et Fatih sont morts, les manifestants ont serpenté dans le quartier Mistral, bâti dans les années 1960, dont on se demande aujourd’hui comment ses concepteurs ont pu s’enthousiasmer pour ses hautes barres de 150 mètres de long sur 10 de large aux façades totalement planes, même si les premiers sommets du Vercors, en arrière-plan, agrémentent l’ensemble. Le quartier, chantier permanent, s’oriente vers quelque chose de plus aéré, de moins haut.
Pendant que les arbres attendent le printemps, la vaste esplanade centrale jonchée de détritus attend les éboueurs et les dealers attendent les clients. « Je n’ai jamais vu une ville de cette taille aussi pourrie et gangrenée par le trafic de drogue », avait dit de Grenoble le précédent procureur, Jean-Yves Coquillat. « Ce quartier est sans doute l’endroit où il s’était le plus structuré, mais ça a bougé », assure Eric Piolle, lointain successeur à la mairie de Paul Mistral (1919-1932), qui a donné son nom au quartier.
Appels à la haine
L’actuel édile écologiste ne nie pas les difficultés mais loue le travail de « couture urbaine » en cours, symbolisé entre autres par Le Plateau, centre socioculturel de grande qualité. Son directeur, Hassen Bouzeghoub, attaché à ce quartier qui l’a vu naître il y a cinquante-trois ans, n’en cache pas les défauts : « C’est une enclave urbaine, un quartier “du bout”, qui vient s’écraser contre un mur d’autoroute. Il concentre tous les problèmes – paupérisation, absence de mixité, échec scolaire, délinquance, chômage. Il y a un nouveau projet urbain depuis une dizaine d’années, mais on paie aujourd’hui vingt ans d’errance entre 1980 et 2000, qui ont abouti à un entre-soi, et généré des fonctionnements sociaux particuliers. La fracture sociale est intense. »
Plus encore lorsqu’un drame survient, parce qu’alors, « tout ressort de façon épidermique, analyse Eric Piolle. Certains se sentent désaffiliés, et cette désaffiliation peut se transformer en colère ». Les appels à la haine ont fleuri sur les réseaux sociaux depuis samedi. « Nous devons nous garder de nous laisser entraîner dans cette boue, dont nous sortirions tous salis », a dénoncé le maire mardi, à la veille de l’enterrement des deux garçons – en périphérie de Grenoble pour l’un, en Turquie pour l’autre. Avant et après la marche, les appels à cesser les violences se sont multipliés. « Ça ne sert à rien, ça ne fera pas revenir Adam », avait dit sa mère, Jamila, au Dauphiné libéré le matin. Appel à moitié entendu : la nuit de mercredi à jeudi a encore vu quelques voitures brûler et des cocktails Molotov tomber des fenêtres.
#Bac
A l’encontre » Etats-Unis. La puissance de la campagne #MeToo
▻http://alencontre.org/ameriques/americnord/usa/etats-unis-la-puissance-de-la-campagne-metoo.html
L’actrice Jane Fonda et l’écrivaine Jamilah Lemieux [écrivaine afro-américaine] expriment un autre type de scepticisme lorsqu’elles disent que la prise de conscience du #harcèlement et de l’abus sexuels n’a lieu maintenant que parce que la plupart des victimes qui s’expriment sont blanches .
• Le mieux va encore plus loin que J. Fonda. Dans un article intitulé « Weinstein, les larmes blanches et les limites de l’empathie des femmes noires » [5], elle déclare qu’il y a des limites au niveau de l’empathie des #femmes #noires face au harcèlement sexuel vécu par les femmes blanches parce qu’au niveau historique cette #empathie n’a pas été donnée en retour.
Il est tout à fait exact que les femmes noires ont vécu une expérience particulière d’être victimisées et même criminalisées lorsqu’elles ont pris la parole ou affronté leurs abuseurs. Le projet #Survived and Punished [survivantes et punies] qui rend compte de la #re-victimisation de celles qui s’insurgent contre les abus et la violence sexuelle décrivent en très grande majorité des récits de femmes de couleur.
Toutes les personnes qui ont été touchées par le phénomène #MeToo doivent connaître – si elles ne la connaissent pas déjà – cette oppression spécifique à laquelle font face les femmes de couleur. Mais la campagne est justement l’occasion où l’empathie pour les expériences spécifiques que vivent les femmes de couleur peut se développer et essaimer, justement à cause du débat qui a commencé au niveau national.
• Il faudrait que les féministes mettent ces récits en première ligne plutôt que de leur adresser des reproches ou de minimiser à quel point il est déjà difficile pour beaucoup de femmes de prendre la parole sur ces problèmes. La réalité est que même des femmes blanches privilégiées, comme l’actrice Rose McGowan, ont été forcées de se taire pendant des décennies avant de pouvoir enfin briser le silence au sujet des abus qu’elles ont vécu.
Les vannes se sont ouvertes, permettant de parler des abus et du harcèlement sexuels, ce qui donne aux féministes la possibilité de permettre aux plus opprimées d’entre nous d’être entendues.
Robin Campillo à Utopia Bordeaux (8 juill 2017)
▻https://vimeo.com/230563294
Débat avec Robin Campillo et Arnaud Valois, à l’issue de l’avant-première de « 120 battements par minute » à Utopia Bordeaux le 8 juillet 2017, dans le cadre du festival Les Tropicales.
Vidéo réalisée amicalement par Jamila Jendari et Nicolas Beirnaert.
Les cantines scolaires
▻http://www.radiopanik.org/emissions/jeunes-radioactifs/les-cantines-scolaires-2
Chacun garde dans un coin de son esprit un mauvais souvenir à la cantine de son école :un horrible dîner chaud, des odeurs de réfectoire, des bols en plastique pour la soupe… pas toujours très appétissante.
Aujourd’hui, qu’en est-il de la qualité des cantines ?
Les jeunes Radioactifs vous en parlent dans leur émission du 24 mai 2017 sur les ondes de Radio Panik 105.4 avec comme invitées : Daphné Renders de l’FAPEO et Valentine Boone diététicienne à TCO service.
Jeunse Radioactifs : Manu, Jamila Régie : Aurore Stocher - Infor Jeunes Laken
#alimentation2017
▻http://www.radiopanik.org/media/sounds/jeunes-radioactifs/les-cantines-scolaires-2_03671__1.mp3
Les extrémistes gagnent du terrain. Le camp de Aïn el-Heloué glisse dans le giron de Daech
▻http://magazine.com.lb/index.php/fr/component/k2/item/15950-les-extr%C3%A9mistes-gagnent-du-terrain-le-camp-de-a%C3%AFn-el-he
Daech, comme le montrent les derniers rounds de violence dans le camp, infiltre Aïn el-Heloué par le biais de groupes palestiniens et de Syriens venus de Syrie ou d’autres factions déjà présentes sur place. L’influence de ces groupes, qui tentent d’attirer des clans et familles dans de nouveaux quartiers, connaît une véritable croissance. L’idéologie islamiste gagne du terrain, les bandes arrivées de l’étranger sont financées pour recruter des jeunes désœuvrés qui, appâtés par le gain, sont prêts à les suivre.
Le camp de Aïn el-Heloué glisse graduellement dans le giron de Daech. La formation des « Jeunes musulmans », qui contrôle actuellement de nombreux quartiers, fraternise avec l’organisation terroriste. On cite spécialement ceux de Tira-Safsaf-Minchiyé, une partie de Hittin et le camp des Tawarek. Ce qui, au total, représente plus de la moitié de Aïn el-Héloué vivant désormais sous la coupe de Daech et al-Nosra. La carte de la répartition des groupes se présente comme suit :
♦ Oussama Chéhabi : rattaché au Front al-Nosra. Il dirige un groupe de 30 éléments.
♦ Bilal Badr : 50 éléments, favorable à al-Nosra.
♦ Haytham el-Chaabi : 40 disciples, al-Nosra.
♦ Mohammad el-Chaabi : Daech.
♦ Jamal el-Ramid surnommé el-Chichani : émir de Daech dans le camp.
♦ Hilal Hilal, à la tête du groupe militaire de Daech.
♦ Toufic Taha et Raëd Jawhar : ils mènent deux groupuscules liés à Daech.
La subversion de Mohammad Dahlan
Selon un rapport qui a filtré d’une capitale européenne, Mohammad Dahlan s’est rendu en Arabie saoudite où il lui a été demandé d’agir pour assurer la domination du Front al-Nosra sur le camp de Aïn el-Heloué et de transporter ainsi la crise au cœur du fief du Hezbollah, le sud du Liban.
Pour accomplir cette mission, les ressources financières sont disponibles puisque l’application du plan commence par la distribution de fonds et d’armes à celui qui rejoint al-Nosra.
Rappelant l’épisode passé, lorsque Jamila, la femme de Dahlan, est arrivée dans le camp pour distribuer cinq millions de dollars, dont une grande partie a été versée à el-Lino, le rapport révèle que les principaux exécutants du plan, cette fois, sont Oussama Chéhabi et Bilal Badr, déjà affiliés à al-Nosra.
Si le plan réussit à être implanté à Aïn el-Heloué, les Palestiniens vivront une troisième Naqba, insiste le rapport, après celles de 1948 et de 1967. La prise de contrôle du camp par al-Nosra signifie sa destruction, encore plus que Nahr el-Bared.
J’assure déjà de toute mon admiration les analystes qui, lorsque les camps palestiniens brûleront au Liban, broderont sur les thèmes usuels : la rue sunnite/les palestiniens humiliés, le sectarisme/paranoïa du Hezbollah, les fondements très grassroot/politiques des mouvements islamistes armés… et se fâcheront très fort quand on évoquera les magouilles et les financements saoudiens.
les bandes arrivées de l’étranger sont financées pour recruter des jeunes désœuvrés qui, appâtés par le gain, sont prêts à les suivre
[…]
Mohammad Dahlan s’est rendu en Arabie saoudite […] pour assurer la domination du Front al-Nosra sur le camp de Aïn el-Heloué et de transporter ainsi la crise au cœur du fief du Hezbollah […] les ressources financières sont disponibles […] distribution de fonds et d’armes à celui qui rejoint al-Nosra
[…]
la femme de Dahlan, est arrivée dans le camp pour distribuer cinq millions de dollars
Quelques chanteuses de Reggae
En ce moment je cherche des chanteuses de reggae, j’en ai trouvé quelques unes de sympathiques. Si vous avez des propositions elles sont bien sur les bienvenues.
▻http://www.reggaemovement.com/ItemInfo/Etana-2011/etana1.JPG
Etana
Je pensais à la famille Marley et à Queen Ifrica, mais y en a plein là :
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Chanteuse_de_reggae
▻https://en.wikipedia.org/wiki/Category:Jamaican_female_singers
Sista Majesty ! Une long timer de Martinique, nostalgie 98 :)
▻https://fr-fr.facebook.com/pages/Sista-Majesty-Officielle/190229681017361
Le classique 98 de son premier album : Jah m’a donné un don !
▻https://www.youtube.com/watch?v=cvVc8CgS10c
Mais t’en trouve plein depuis, elle continue sa route…
▻https://www.youtube.com/watch?v=V3HQCDKsdYs
Hollie Cook, la fille de Paul Cook des Sex Pistols
►https://fr.wikipedia.org/wiki/Hollie_Cook
▻http://holliecook.com/pages/video
tube de mon adolescence : ▻https://www.youtube.com/watch?v=O0KFyWwU9Z0
c’est plus ragga que reggae mais bonAu pif. Il me semble que beaucoup de femmes étaient surtout actives avant le reggae qui me parait, avec le ska, masculin. Et voir l’age d’or des femmes en Jamaïque avec le rocksteady ou les influences soul rythm’n’blues étaient très importantes. Voire aussi early reggae.
Exemple avec Marthia Griffit qui dee 1974 à 1981 est membre des I-Threes, un groupe de choristes qui accompagnait Bob Marley & The Wailers, c’est pas vraiment une promotion.
Studio one Women.
▻https://www.youtube.com/watch?v=BLJZvdAfzwA&list=PL1BXC0gC0pamTG2Ka9PpCoprdFHREu-1g
Un nom qui nefigure pas sur la liste WP, shame .
►https://www.youtube.com/watch?v=lKKm9GkvXLc
TRACKLISTING
01. You Are My Desire - Rita Marley & The Soulettes 2:36
02. Don’t touch me Tomato - Phyllis Dillon 2:56
03. I am Gonna Love - Marlene Webber 3:04
04. When the Lights are Low - Joya Landis 2:59
05. I’m Gone - John Holt/Hortense Ellis 5:17
06. Aily - Cynthia Richards 3:01
07. All your Love - Dorothy Reid 2:17
08. Perfidia - Phyllis Dillon 2:31
09. Angel of the Morning- Joya Landis 3:05
10. Take You For a Ride - Girl Satchmo 2:48
11. Zippa de do da - Judy Mowatt & The Gaylettes 3:17
12. Sincerely - Dorothy Russel & Ken Parker 3:16
13. Right Track - Phyllis Dillon 2:30
14. Ay Ay Ay - Nora Dean 2:56
15. Work It - Dorothy Reid 2:31
16. Ethiopia - Aisha Morrison 2:27
17. I Can’t Forget About You Baby - Phyllis Dillon 3:06
18. You I Love - The Webber Sisters 3:18
19. Have you changed you’re mind - /Hortense Ellis & John Holt 4:13
« No woman no cry », les femmes dans la musique jamaïcaine - Culture - Points d’actu
▻http://www.pointsdactu.org/article.php3?id_article=1175
Au printemps dernier, le label parisien Jahslams a eu la bonne idée d’éditer la compilation « Queens of Jamaica ». Cette compilation unique permet de découvrir un pan entier de la musique jamaïcaine que l’histoire officielle a souvent occulté : les chanteuses de reggae. Même si dans les innombrables productions de l’île ces quarante dernières années, les chanteuses n’ont pas été légion, elles méritent bien qu’on s’attarde sur leurs enregistrements tant les pépites sont nombreuses.
Princesse Erika !
Anouk aussi, en France, elle n’a fait qu’un disque, mais je l’adore : Automatik Kalamity
Susan Cadogan, en Jamaïque, on l’a citée ?
Aussi, le groupe Black Uhuru était un trio jamaïcain de chanteu.se.rs en Jamaïque avec une femme et deux hommes : ça compte ?!
Dans Black Uhuru, Sandra « Puma » Jones était une vraie chanteuse du trio, pas une choriste.
ISA GARCÍA, chanteuse de Red Soul Community:
▻https://www.youtube.com/watch?v=FX6Ld8ZjYpI&list=PLCVcgCc8lu0FNH0Z51vJuXYnQB0VZNx3a
1 Nana McLean : Don’t Worry About me
2 Nina Soul : Sleeping Times
3 Marcia Griffiths : Feel like Jumping
4 Dawn PeNn : No No N o
5 Cecile Campbell : Whisper To Me
6 Denise Darlington : Feel So Good
7 Doren Schaffer : Try A Little Smile
8 Cecile Campbell : Leave In Misery
9 Webber Sister : Come On Home
10 Little Audrey : Sea Puss And Bammie
11 The Jay Tees : Buck Town Corner
12 Jennifer Lara : Consider Me
13 Myrna Hague : What About Me
14 Norma Fraser : First Cut Is The Deepest
15 Jerry Jones : Compared To What
16 Hortense Ellis : Secretly
Joyce Bond : Ob-La-Di, Ob-La-Da
▻https://www.youtube.com/watch?v=Qz-RyHasLzQ
Finalement, @mad_meg , est-ce que tu as fais une playlist youtube de femmes et de reggae aussi ?
Bon, ça fait 2 semaines que l’album de Soom T (sorti l’année dernière) tourne bien. :)
À la base elle a déjà une longue expérience ragga, dancehall, reggae, mais dans son premier vrai album, elle utilise ses compétences mais sur plein de sons totalement différents ! Genre funk, pop, électro. Et c’est super cool !
Et elle sait aussi bien toaster, que chanter super juste et beau.
Ah tiens en suivant les liens je découvre l’allemande Sara Lugo :
►https://www.youtube.com/watch?v=R3_b9ILs8A0
Marie d’Alam, un groupe de Bx, chez Baco Records, viennent de sortir un nouvel album (très bien) pour leur dix ans :
▻https://www.youtube.com/watch?v=jcc5M6qMDpE
Trouvé cette chanteuse dans un magazine, Etana, super voix
▻https://www.youtube.com/watch?v=r6GMBCaagok
▻https://www.youtube.com/watch?v=MRDDOubyXg4
▻https://www.youtube.com/watch?v=Bs0i2KxUjU8
CHRISTINE - One Saturday Night [1977]
▻https://www.youtube.com/watch?v=YttxC80iv9E&list=RDYttxC80iv9E&t=146
Jamila Falak, qui sort un single du genre woman pride, pour la BO d’un film JA
►https://www.youtube.com/watch?v=z_4sobLzEVY
Et quoi on a pas parlé de Jamila Falak sur ST encore ? Corrigé :
▻https://seenthis.net/messages/754284
Des chanteuses de reggae avec le #Booboozzz_All_Stars là:
►https://seenthis.net/messages/762351
Par exemple:
Booboo’zzz All Stars Feat. Laurène - Venus As A Boy (Björk Cover)
►https://www.youtube.com/watch?v=ULPxasWIo4o
Booboo’zzz All Stars feat. Rébecca M’Boungou - Owner Of A Lonely Heart (Yes Cover)
►https://www.youtube.com/watch?v=ghLJilb1rG0
SHELLY THUNDER dubplate (Sound Sensation)
JUNIE RANKS - COUNTERACTION + DUB
▻https://www.youtube.com/watch?v=KrZBCq1usVQ&list=PLstmOof0U51KvrHDTXTTnIaiRFKxiPTwB&index=13
Ranking Ann - A Slice Of English Toast
▻https://www.youtube.com/watch?v=ZeAhswTyibk&list=PLD742FF89F2740BC6&index=12
SISTER CHARMAINE - Foreign mind + version (1982 High music)
▻https://www.youtube.com/watch?v=R1aUDoQkTLo
A l’occasion d’un documentaire sur le reggae anglais, je découvre le Lovers’ Rock, une version « smooth » du reggae avec beaucoup de chanteuses :
►https://seenthis.net/messages/860734
Louisa Mark, Carroll Thompson, le groupe Brown Sugar, Janet Kay...
▻https://www.youtube.com/watch?v=jEaP0e7_INM
▻https://www.youtube.com/watch?v=MeimeGWNCAo
MILLIE SMALL - ENOCH POWER (1970)
►https://www.youtube.com/watch?v=vUz9Cyvvtyw
Plus connue pour My Boy Lollipop
►https://seenthis.net/messages/852101
Hortense Ellis sur le bandcamp de Studio One :
▻https://altonhortenseellis.bandcamp.com/album/alton-hortense-ellis
Pas vraiment une chanteuse dédiée, mais un morceau reggae dub avec Saffiyah Khan qui pose sur The Specials
▻https://seenthis.net/messages/1016310
►https://www.youtube.com/watch?v=hp0jsKJ0vRg
Esclavage patrimonial
par Sebastien Navarro
▻http://cqfd-journal.org/Esclavage-patrimonial
Le 31 décembre 2012, un rassemblement était prévu à Perpignan (Pyrénées-Orientales) pour soutenir Badia placée sous le coup d’une OQTF. Puis tout fut annulé. Épuisée, elle venait d’être hospitalisée.
Quelques jours auparavant, elles étaient cinq clandestines à sortir au grand jour pour raconter leur histoire : Badia, Nadia, Kenza, Jamila et Fatima. Cinq femmes sans-papiers ayant en commun, outre leur origine marocaine, de s’être échappées d’un enfer conjugal. Fatima : « Je suis rentrée en France le 30 avril 2011. Je n’avais jamais eu l’idée de vivre ici. J’étais la seule fille de mes parents, j’étais inscrite à la fac de droit. Mon mari était français et m’avait promis que je pourrais poursuivre mes études en France, qu’on allait faire notre maison mais on est restés dans sa famille. On est huit à la maison, je suis la dernière à manger. Il m’a interdit la fac, de regarder la télé ou de parler à mes parents au Maroc. C’est mon beau-père qui est méchant : si je casse quelque chose dans la cuisine, il le dit à son fils et il me tape et m’insulte. » Á bout de forces, Fatima a appelé un cousin à l’aide qui a fait intervenir une association : « Ils ont constaté les bleus sur mon corps. Mais les gendarmes du village ont dit que j’étais une menteuse. Qu’est-ce qu’on peut faire ? On ne sait rien de la loi française. » Fatima s’est enfuie.