person:janet yellen

  • Natacha Polony Le sauvetage des centres-villes, une grande cause nationale (PolonyTV)
    https://www.crashdebug.fr/diversifion/13997-natacha-polony-le-sauvetage-des-centres-villes-une-grande-cause-nat

    Le premier à en avoir parlé c’était Pierre Jovanovic... en Octobre 2015..., pour ma part je confirme que même les galeries marchandes dans le centre commercial a coté de chez moi, se vide.... à n’en pas douter c’est la reprise !

    Ne vous inquietez pas (vous pouvez continuer à dormir) Janet Yellen, vas arranger tout ça...

    Source(s) : Youtube.com via Contributeur anonyme

    Informations complémentaires :

    Crashdebug.fr : Des communes installent des vitrines virtuelles pour remplacer les commerces vides

    Crashdebug.fr : Travaux Publics : 2015 est l’année la plus noire depuis 30 ans ! 15.000 emplois sont menacés

    Crashdebug.fr : Larrouturou : « En fait de retournement, on court à la catastrophe »

    Crashdebug.fr : À partir de ce soir, la France va vivre à crédit...

    Crashdebug.fr : La Stratégie du (...)

  • U.S. jobless rate falls to nine-year low, payrolls rise | Reuters
    http://www.reuters.com/article/us-usa-economy-idUSKBN13R0D9

    The U.S. unemployment rate fell to a nine-year low of 4.6 percent in November, as employers added another 178,000 jobs, making it almost certain that the Federal Reserve will raise interest rates later this month.

    The unemployment rate hit its lowest level since August 2007 because more people found work but also because the labor force shrank as more people retired, lowering the number of working-age people in the labor force to 62.7 percent.

    U.S. nonfarm payrolls increased by 178,000 jobs last month after increasing by 142,000 in October, the Labor Department said on Friday.

    • The unemployment rate hit its lowest level since August 2007 because more people found work but also because the labor force shrank as more people retired, lowering the number of working-age people in the labor force to 62.7 percent.

      cf. https://seenthis.net/messages/545586 où est référencée la note suivante :

      http://www.lecoursdeschoses.com/2016/10/travail/non-travail-angoisses-americaines.html

      En cherchant à expliquer pourquoi, malgré la baisse continue du chômage, les salaires n’augmentaient pas et tentant par là même de justifier le maintien de sa politique de taux très bas, [Janet Yellen, présidente de la réserve fédérale américaine] venait de mettre au centre de la scène économique l’étrange figure du « travailleur découragé ». Le refus de celui-ci de chercher du travail devenant un déterminant direct de la politique monétaire américaine et donc par là de l’ensemble du cycle économique mondiale.

  • Daily chart: Revenge of the nerds | The Economist

    http://www.economist.com/blogs/graphicdetail/2015/03/daily-chart-2?fsrc=scn/tw/te/dc/revengeofthenerds

    THE economies of the rich world increasingly depend upon skilled workers, and college degrees are in high demand. In 1972 a university-educated man aged 25-34 could expect to earn 22% more than a peer without a degree, according to the Urban Institute, a think-tank. Today that premium has risen to 70%. But if university pays, its benefits are not spread evenly across all graduates. A new report from PayScale, a research firm, calculates the returns to higher education in American universities. Its authors compare the career earnings of college graduates with the present-day cost of a degree at their alma maters, after taking account of financial aid.

    • Les jeunes diplômés sont dans la mouïse ? Ouh la, ça va pas être bon pour l’immobilier !
      #prêt_étudiant #chômage_des_jeunes_diplômés #déqualification massive…
      (j’adore l’angle !)

      In the past, college was a ticket to a brighter future. Now, it’s a ticket to immense debt and an uncertain financial future for far too many students. Student loan debt in the U.S. has now topped $1 trillion. According to the Federal Reserve Bank of New York, 44 percent of recent college graduates are underemployed — working in jobs that don’t require their degree — as of 2012.

      In a recent report to Congress, Fed Chairwoman Janet Yellen talked about the struggles of the Millennial generation saying “They’re certainly waiting longer to buy houses, to get married. They have a lot of student debt. They seem quite worried about housing as an investment. They’ve had a tough time in the job market.

      Those delays could have a serious impact on the U.S. economy as a whole and specifically the housing market. Derek Thompson of The Atlantic recently wrote “More years of school + more student debt + lower starting salaries + a nervous housing market + stricter rules for new home-buyers = no new home-buyers.

  • Banquiers centraux, tous coupables ?

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/03/09/banquiers-centraux-tous-coupables_4878966_3234.html

    Elle bénéficie d’une couverture médiatique à faire pâlir de jalousie n’importe quelle star hollywoodienne. Pas une semaine ne s’écoule sans que ses faits et gestes soient analysés par une palanquée d’experts. Jeudi 10 mars, une fois encore, la Banque centrale européenne (BCE) sera au centre de l’attention de la planète finance. A l’issue de la réunion de ses gouverneurs, son président, Mario Draghi, devrait annoncer de nouvelles mesures pour tenter d’enrayer l’inflation faible qui mine l’économie européenne.

    Au programme ? Un élargissement probable des rachats de dettes publiques, aujourd’hui de 60 milliards d’euros par mois, prévoient les économistes. Ou encore une nouvelle baisse du taux de dépôt, aujourd’hui de – 0,3 %. « La BCE dispose de nombreuses options. Le problème, c’est que l’efficacité de certaines d’entre elles n’est pas garantie », résume Bruno Colmant, économiste à l’Université catholique de Louvain.

    Longtemps, les banquiers centraux ont été les héros de l’économie mondiale. Mario Draghi ? Le sauveur de l’euro. Ben Bernanke, le prédécesseur de Janet Yellen à la tête de la Réserve fédérale (Fed) ? Le génie qui a épargné une terrible dépression aux Etats-Unis. Mais depuis quelques semaines, le vent a tourné. Les experts doutent de leurs pouvoirs. Certains les accusent d’être des pousse-au-crime responsables des turbulences qui ont secoué les marchés en début d’année. Voire de faire le lit de la prochaine crise. A juste titre ? Les instituts monétaires ont-ils vraiment perdu la raison ?

    ( ...) Longtemps, les banquiers centraux ont été les héros de l’économie mondiale. Mario Draghi ? Le sauveur de l’euro. Ben Bernanke, le prédécesseur de Janet Yellen à la tête de la Réserve fédérale (Fed) ? Le génie qui a épargné une terrible dépression aux Etats-Unis. Mais depuis quelques semaines, le vent a tourné. Les experts doutent de leurs pouvoirs. Certains les accusent d’être des pousse-au-crime responsables des turbulences qui ont secoué les marchés en début d’année. Voire de faire le lit de la prochaine crise. A juste titre ? Les instituts monétaires ont-ils vraiment perdu la raison ? Alors que la croissance mondiale vacille de nouveau, ils sont devenus les boucs émissaires commodes d’un monde affolé. Explications.

    A quoi servent les banques centrales ?

    On parle tellement d’elles qu’on finit presque par l’oublier. En théorie, la principale mission des banques centrales est simple, même si elle varie un peu selon les pays : outre l’impression des billets, contribuer au bien-être économique des ménages en assurant la stabilité des prix, du change et de l’activité. Et ce, en complément des politiques budgétaires et structurelles menées par les Etats.

    Pour y parvenir, elles disposent de plusieurs outils de politique monétaire, dont le principal est la fixation du « prix » de l’argent, par les taux directeurs. Lorsque les banquiers centraux baissent ces derniers, les taux pratiqués par les établissements bancaires – lorsqu’ils se prêtent entre eux, puis lorsqu’ils prêtent aux ménages et aux entreprises – baissent à leur tour. Le crédit devient moins cher, ce qui favorise la consommation, l’investissement et la croissance. A l’inverse, une hausse des taux freine l’endettement et le risque de surchauffe des prix et de l’économie.
    Seulement, voilà : pendant la crise des subprimes, aux Etats-Unis, les banquiers centraux ont élargi leurs prérogatives et inventé de nouveaux instruments, toujours plus audacieux. Mais aux effets incertains...

    Pourquoi leur a-t-on confié l’économie mondiale en 2008 ?

    Les instituts monétaires ont appris leurs leçons. « Lorsque la crise de 2008 a frappé, ils se sont rappelés qu’après le krach boursier de 1929, les erreurs de politique monétaire ont plongé les Etats- Unis et l’Europe dans une dépression violente », rappelle Laurent Clavel, économiste chez AXA IM. Grand spécialiste de cette période, Ben Bernanke, à la tête de la Fed entre 2006 et 2014, a été le premier à agir pour éviter le scénario noir de 1929, suivi par la BCE, la Banque d’Angleterre (BoE) et la Banque du Japon (BoJ).

    Tout en baissant au maximum leurs taux directeurs, les banquiers centraux ont multiplié les mesures pour fournir aux banques les liquidités dont elles avaient besoin pour continuer de fonctionner.
    « Grâce à cela, ils ont évité la paralysie totale du système bancaire, qui aurait asphyxié l’économie réelle », rappelle Patrick Artus, chez Natixis, coauteur de La Folie des banques centrales (Fayard, 168 pages, 15 euros).

    Dans la foulée, ils ont innové pour relancer l’activité et les prix – car l’inflation faible est synonyme de croissance faible. Dès 2008, la Fed s’est ainsi mise à racheter des titres de dettes publiques (c’est le quantitative easing, ou QE), en créant massivement de la monnaie, dans l’espoir que ces liquidités contribuent au redémarrage du crédit. La BoE, la BoJ puis, en 2014, la BCE, l’ont imitée.

    Et les gouvernements, pendant ce temps-là ? « Après avoir fait de la relance, ils ont lâché l’affaire et ont laissé les banques centrales toutes seules aux manettes », assène Charles Wyplosz, économiste au Graduate Institute de Genève. « Désormais, ils attendent tout d’elles, comme si s’occuper de la croissance n’était plus de leur ressort », ajoute sa consœur Urszula Szczerbowicz, du Centre d’études prospectives et d’informations internationales.
    Certes augmenter la dépense publique pour relancer l’économie est aujourd’hui délicat, tant la dette des Etats est élevée : 245 % du produit intérieur brut (PIB) au Japon, 105 % aux Etats-Unis, 91,6 %, en moyenne, en zone euro. Mais les banques centrales ne peuvent pas, à elles seules, faire des miracles. Leur principal crime est d’avoir trop longtemps laissé croire le contraire pour rassurer les marchés, devenus accros à leurs liquidités...

    Pourquoi échouent-elles à relancer inflation et croissance ?

    Parce que le QE, la monnaie créée par les banques centrales, est passé de 6 % du PIB mondial à la fin des années 1990, à 30 % aujourd’hui. Mais ces liquidités ne sont pas parvenues jusqu’à l’économie réelle. Faiblesse de la demande, spéculation, frilosité... Elles ne parviennent pas à sortir du système financier.
    Pour tenter de les débloquer, la BCE et la BoJ ont donc passé leur taux de dépôt en territoire négatif – ce qui revient à taxer les banques pour les liquidités qu’elles laissent dormir à court terme dans les coffres des instituts monétaires. De quoi, en théorie, les inciter à plutôt prêter ces sommes aux entreprises.

    Las, malgré ces mesures massives, l’inflation reste atone en zone euro (− 0,2 % en février) et dans la plupart des pays industrialisés, où la croissance est décevante. La raison ? Les outils monétaires sont inefficaces contre certains des maux qui minent l’économie mondiale, comme la course aux bas prix entre les pays, l’anémie de la demande, l’affaiblissement de la productivité ou le vieillissement de la population. « Essayer de relancer le crédit alors que ménages, entreprises et Etats sont en phase de désendettement dans la plupart des pays est inefficace », ajoute Isabelle Job-Bazille, chez Crédit agricole SA.

    En somme, les politiques monétaires permettent surtout de gagner du temps. Elles ont administré un puissant antidouleur à l’économie en attendant que le véritable remède soit disponible. Celui qui permettra de relancer vraiment la croissance – et ce, par la hausse de la productivité et l’innovation.

    Se sont-elles lancées dans la guerre des monnaies ?

    Parmi les ruses testées par les banques centrales ces derniers mois, il y a la manipulation plus ou moins officieuse de leur devise. En se lançant dans le QE, début 2015, la BCE ne cherchait pas seulement à relancer le crédit. En augmentant la quantité d’euros en circulation, elle cherchait aussi à faire baisser le cours de la monnaie unique. De quoi donner un petit coup de pouce aux exportateurs européens. Mais aussi, faire grimper le prix des produits importés, et relancer un peu l’inflation. Ce qui a fonctionné un temps : entre mi-2014 et mi-2015, l’euro a perdu près de 10 % face aux autres devises.

    De même, l’un des objectifs du taux de dépôt négatif est d’encourager les capitaux à se placer dans un autre Etat, où les taux sont plus attractifs. Ce mouvement de départ est de nature à faire baisser la monnaie (les investisseurs en revendent pour aller ailleurs). Voilà pourquoi, la BCE, la BoJ, mais aussi la Banque nationale de Suisse, la Banque du Danemark ou la Banque de Suède s’y sont converties. « C’est une forme de guerre des monnaies », résume M. Artus.

    Car, voilà : dans le système actuel des taux de change flottants, une devise ne peut descendre que si une autre s’apprécie... « Or, aujourd’hui, personne ne veut d’une monnaie forte », explique Anton Brender, économiste en chef chez Candriam. Y compris les Etats-Unis qui, en 2015, ont laissé le dollar monter sans trop protester, car leur économie allait mieux. Mais leurs entreprises commencent à en souffrir.
    Ce qui pourrait convaincre la Fed – qui a entamé une lente remontée de ses taux directeurs en décembre 2015 – de marquer une pause lors de sa réunion des 15 et 16 mars. Autant dire que la guerre des monnaies ne fait que commencer. D’autant que la Chine a, elle aussi, entamé une politique de lente dépréciation du yuan.

    Préparent-elles la prochaine crise ?

    On l’a vu, les remèdes monétaires ne peuvent pas tout. Pour palier l’anémie de la demande – et, donc, celle de la productivité, de l’innovation et de l’investissement –, c’est aussi aux Etats d’agir, jugent les économistes. Ceux qui disposent de marges de manœuvre budgétaires, comme l’Allemagne, pourraient investir dans les infrastructures.

    La Banque européenne d’investissement (BEI) pourrait également profiter des taux zéro pour lever de l’argent et investir dans des grands projets européens (transition énergétique, par exemple), qui permettraient de gonfler la croissance future. « La BCE pourrait, d’ailleurs, aider, en rachetant des obligations de la BEI », suggère Jézabel Couppey-Soubeyran, économiste à Paris-I-Panthéon- Sorbonne.

    Problème : si aucun de ces projets ne voit le jour, les armes monétaires comme le QE pourraient finir par se muer en terrible poison. De fait, les liquidités massivement injectées depuis 2008 augmentent la volatilité des marchés financiers – on l’a vu en début d’année. Chaque fois qu’elles se déplacent d’une Bourse à l’autre à la recherche de meilleurs rendements, ces liquidités déclenchent des mini-krachs. Ces mouvements destructeurs sont aggravés par le fait que, en partie à cause des nouvelles réglementations financières, les banques ne jouent plus le rôle stabilisateur qu’elles tenaient autrefois sur certains marchés, par exemple de devises, où elles détenaient d’importants stocks d’actifs.

    Surtout, les mesures des banques centrales risquent, à terme, de favoriser la formation de bulles. Les taux bas poussent en effet les investisseurs vers les actifs les plus rentables, comme l’immobilier, les actions de la nouvelle économie ou encore, des obligations d’entreprises. Mais certains en achètent plus que de raison.

    En outre, ce phénomène a tendance à renforcer les inégalités – surtout aux Etats-Unis –, en favorisant les ménages dont le patrimoine est investi en Bourse ou dans l’immobilier. Et il soulève une angoissante question : l’explosion de ces bulles menace-t-elle la croissance mondiale, comme celle des subprimes en 2008 ? Pas forcément. Mais une chose est sûre : si cela se produisait, les banques centrales se retrouveraient cette fois sans munitions...

  • Stanley Fischer : du FMI à la Fed, en passant par la banque d’Israël | La-Croix.com
    http://www.la-croix.com/Actualite/Economie-Entreprises/Economie/Premier-vote-positif-pour-Stanley-Fischer-nomme-n-2-de-la-Fed-2014-04-29-1

    Stanley Fischer, confirmé mardi par une commission du Sénat américain à la vice-présidence de la Réserve fédérale américaine (Fed), est un économiste renommé à la carrière atypique qui l’a mené du FMI à la banque centrale d’Israël.

    Au poste de numéro 2 de la banque centrale des Etats-Unis, il secondera la présidente Janet Yellen qui a pris ses fonctions en février. Interrogé par le Congrès, il a défendu la politique monétaire ultra-accommodante menée depuis cinq ans.

    Né dans l’ex-Rhodésie du nord (aujourd’hui Zambie), diplômé de la London School of Economics et du Massachusetts Institute of Technology (MIT), Stanley Fischer, 70 ans, a effectué une grande partie de sa carrière dans les institutions internationales avant de diriger la banque d’Israël. Il a la double nationalité américaine et israélienne.
    (...)
    Entre 2002 et 2005, il passe dans le secteur privé, en tant que vice-président de la banque américaine Citigroup, qui devra être renflouée quelques années plus tard pour éviter d’être emportée par la crise des crédits immobiliers à risque ("subprime").
    (...)
    Appelé à diriger la banque centrale israélienne en 2005, il prend à cette occasion la nationalité de l’Etat hébreu. En tant que gouverneur de la banque d’Israël, on le loue pour avoir aider le pays à traverser mieux que les autres la crise financière internationale.
    (...)
    Son statut d’ex-banquier central d’un autre pays n’a pas soulevé de questions lors de sa confirmation devant le Sénat américain.
    (...)

  • Sur Atlantico, le bon sens coule (parfois) à flot...

    La femme la plus puissante au monde donne une belle leçon de politique économique à l’Europe : la seule bulle dont devraient se préoccuper les banques centrales, c’est le chômage

    Janet Yellen, unique candidate au remplacement de Ben Bernanke à la tête de la Réserve fédérale américaine a été soumise le 14 novembre dernier aux questions des sénateurs de la commission bancaire. Ses déclarations ont pu faire état des préoccupations sociales d’un pays pourtant réputé pour sa radicalité économique.

    C’est ainsi que Janet Yellen a pu déclarer « notre objectif est de promouvoir un robuste rétablissement de notre économie », « notre objectif est le plein emploi. » Elle rappelle aux sénateurs que le taux de chômage américain a été réduit de 10 à 7,3% notamment grâce au soutien monétaire apporté par la Réserve fédérale, mais que ce taux est encore trop élevé pour arrêter le dit soutien. Sa préoccupation se dirige principalement vers les familles affectées par le fléau du chômage et mentionne le chiffre historiquement élevé de 36% de chômeurs de longue durée. Ces familles sont menacées, les mariages sont menacés, la situation est douloureuse. Il est alors primordial de faire de la lutte contre le chômage la priorité.

    (..)

    En Europe, Lorsque l’actuel président de la Banque centrale européenne Mario Draghi se prononce sur l’emploi, notamment en janvier dernier, voici le résultat « Notre mandat n’est pas le plein emploi », rien de plus. Le contraste est saisissant. Pour une Europe sociale, nous pouvons admettre qu’il peut y avoir un problème idéologique qui se caractérise par la divergence entre ces deux discours. En Europe, Les membres fondateurs auraient ils omis de se préoccuper de l’étendue du pouvoir d’une banque centrale pour se contenter de lui affecter la maîtrise des prix comme seul et unique rôle ?

    http://www.atlantico.fr/decryptage/janet-yellen-femme-plus-puissante-au-monde-donne-belle-lecon-politique-eco

  • La #Chine émet désormais des #obligations libellées en #euros

    Voilà qui devrait déplaire aux #Etats-Unis et encore plus à la Fed (Réserve Fédérale Américaine) et à Janet Yellen, sa nouvelle patronne : les entreprise chinoises sont désormais présentes sur le marché des obligations libellées en euro. Le Dieu dollar n’a plus désormais qu’à bien se tenir.

    Article un peu technique mais très éclairant sur l’enjeu de l’émission d’obligations dans une devise en particulier, ici l’euro.

    http://www.leblogfinance.com/2013/10/la-chine-emet-desormais-des-obligations-libellees-en-euros.html

    Revue de Presse Hebdomadaire sur la Chine du 28/10/2013

  • The Numbers Behind the Numbers

    http://www.nytimes.com/video/business/100000002512390/the-numbers-behind-the-numbers.html?nl=todaysheadlines&emc=edit_th_20131023

    The Numbers Behind the Numbers

    By Erica Berenstein October 22nd, 2013

    A look at how Janet Yellen, President Obama’s pick to lead the Federal Reserve, may interpret the latest jobs report, and what those numbers say about how how the economy is really doing.

    Weak Job Gains May Cause Delay in Action by Fed - NYTimes.com
    http://www.nytimes.com/2013/10/23/business/economy/us-economy-added-148000-jobs-in-september.html

    Even before the federal government shutdown and debt ceiling crisis this month, the nation’s economy was lagging and job growth was sluggish. And the recent dysfunction in Congress seems likely to make the situation worse.

    #etats-unis #chômage #statistiques