Le bureau de belle facture du patron de #Radio_France (Canard enchaîné, 18/03/2015)
Le bureau de belle facture du patron de #Radio_France (Canard enchaîné, 18/03/2015)
Radio France mobilisée contre le cuir beige
▻http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2015/03/19/radio-france-mobilisee-contre-mathieu-gallet_1224425
Pour sa part, Libération est en mesure de révéler que le même Mathieu Gallet a demandé à son arrivée de faire changer les sièges en cuir beige de la Citroën C6 de son prédécesseur, Jean-Luc Hees, achetée en mai 2010. Mais que, face au coût trop élevé de l’opération, il a été décidé de lui fournir une Peugeot 508 neuve.
A l’INA, Mathieu Gallet se serait également montré dépensier
▻http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/03/31/a-l-ina-mathieu-gallet-aurait-depense-1-million-en-conseils-et-125-000-euros
Selon le journal, Mathieu Gallet a engagé six cabinets de consultants, lorsqu’il était à l’INA, qu’il a dirigé de 2010 à 2014, avant d’être désigné par le CSA à la tête de Radio France. Parmi eux figurent notamment Euro RSCG, OpinionWay, Roland Berger, Bernard Spitz Conseil et Chrysalis. A eux seuls, ces contrats représentent près de 800 000 euros, et ont été passés sans mise en concurrence, assure Le Canard enchaîné.
Mathieu Gallet a également dépensé 125 000 euros pour décorer et rénover ses deux bureaux, l’un au siège de l’INA à Bry-sur-Marne (Val-de-Marne) et l’autre dans une antenne de l’INA à Paris, toujours selon l’hebdomadaire.
Ascenseur social en chute libre, renvois d’ascenseur en hausse... Et le Canard de jouer son rôle dans la mise en scène des conflits internes à l’état social-libéral.
90 000 euros annuels pour le conseiller en image, #Denis_Pingaud
soit 7 500 boules/mois, c’est à dire 16,5 fois le RSA et ses 452€.
Olivier Schrameck : par le pouvoir du #CSA ancestral - Libération
▻http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2013/10/02/olivier-schrameck-par-le-pouvoir-du-csa-ancestral_936598
L’Elysée ne nommera plus qu’un seul conseiller du CSA - son président, faut pas déconner non plus - contre trois aujourd’hui. Les six autres membres, s’ils seront toujours choisis par les présidents de l’Assemblée et du Sénat, devront tout de même en passer par les commissions des affaires culturelles des deux chambres et surtout obtenir leur assentiment aux trois cinquièmes. C’est-à-dire décrocher un consensus gauche-droite. Le tout premier concerné par la nouvelle procédure, c’est le président de #Radio_France, Jean-Luc Hees. Et beaucoup plus tôt qu’il ne le pensait : le Sénat a décidé que son successeur (ou lui-même, Hees se gardant bien, pour l’instant, de sortir du bois) devrait être nommé trois à quatre mois avant la fin de son mandat, prévue pour mai 2014. Début des hostilités donc : tout de suite.
Stéphane Guillon, dommages et Inter - Ecrans
►http://www.ecrans.fr/Stephane-Guillon-dommages-et-Inter,14229.html
Les aboiements de Philippe Val contre lui, le harcèlement de Jean-Luc Hees multipliant les attaques à son encontre dans la presse, ça pèse ; ses insinuations d’antisémitisme aussi. C’est la fameuse chronique sur Eric Besson, celle qui scellera son sort : « Des yeux de fouine, un menton fuyant, un vrai profil à la Iago. » Guillon esquisse un regret. Celui de n’avoir pas écouté sa femme, qu’il encense à chaque page (oui, y a aussi un petit côté roman à l’eau de rose), qui lui a déconseillé la fameuse phrase. Phrase que Guillon « traîne comme un boulet », de même que Didier Porte son « Sarkozy enculé » : « Faut-il pour autant avoir des regrets ? Lorsque vous écrivez un papier par jour, il est impossible de ne jamais commettre d’erreur. Nous étions sous pression. Je me dis aussi que si cela n’avait pas été les "yeux de fouine" pour moi et le verbe "enculer" pour Porte, on aurait trouvé autre chose. » Sans doute, car plus que la chronique d’un licenciement annoncé, le livre de Guillon — comme celui de Porte, avant lui — est bien celle de la kärcherisation des médias du quinquennat finissant de Nicolas Sarkozy.