person:jennifer lopez

  • Ces disques, parfois honteux, qu’on écoutait quand on était ados
    http://www.konbini.com/fr/entertainment-2/albums-adolescence-top-disques

    Alors que la mode Facebook est actuellement à partager ses souvenirs musicaux d’adolescents, on a décidé, modestes journalistes de Konbini que nous sommes, de lever le voile, sans honte aucune, sur les albums qui ont marqué cette période charnière de notre existence – pas si lointaine pour certain(e)s. Le principe de cette enquête mémorielle ? Évoquer 10 à 15 disques qu’on a rincés entre nos 12 et nos 19 premières années d’existence. Histoire de faire le point, et de revenir, nostalgiques, sur ces morceaux qui ont formé, et parfois défoncé, nos oreilles innocentes.

    Ça donne un mélange assez fort en termes de culture musicale, de Sum 41 à Jennifer Lopez en passant par les incontestables Rage Against the Machine, le (mauvais) néo-metal à la française et des albums qui sont aujourd’hui considérés comme des classiques.

  • Coup de tonnerre dans la campagne présidentielle américaine | Institut Des Libertés
    http://institutdeslibertes.org/coup-de-tonnerre-dans-la-campagne-presidentielle-americaine

    Hier soir, à la télé, j’ai appris que le directeur du FBI avait décidé de relancer - à 10 jours des élections (clin d’oeil de la personne qui cause dans le poste) - les charges contre Mme Clinton. Et que Mme Clinton avait répondu à l’attaque en expliquant que ce directeur était un Républicain (second clin d’oeil de la personne qui cause dans le poste). Et pour « équilibrer » l’information, on nous explique que Jennifer Lopez en personne a reçue sur la scène de son concert Mme Clinton et que tout de même, le soutien de la communauté hispanique, c’est important dans une campagne comme celle-là...
    Puis on est passé à autre chose (on est passé au tremblement de terre italien avec les animations 3D qui nous présentent comme ça devrait péter fort en Californie un de ces jours, j’ai pas encore compris le lien de cause à effet ; chiche, on pourrait évoquer les tremblements de terre liés aux exploitations de gaz de schiste, puisqu’ils semblent ouvert sur le sujet des micro-séismes...).

    En fait, la simple liste ci-dessous est plus instructive que tous les journaux télévisés des 3 derniers mois sur le sujet d’Hillary Clinton.

    Depuis cette date fatidique de Juillet, beaucoup de choses se sont passées en sus de ce coup de tonnerre, qui commençaient à faire un peu désordre, et je les mentionne sans ordre d’importance particulier.

    – En premier lieu, nous avons eu une véritable révolte de tous les cadres dirigeants du FBI contre cette décision, les mêmes cadres faisant passer dans la presse de plus en plus d’informations montrant les pressions que le ministère de la justice avait exercé contre le FBI pour bâcler et fermer le dossier.

    – Ensuite, il a été appris que celui qui menait l’enquête au sujet des turpitudes (le numéro 2 du FBI) avait une épouse qui se présentait comme candidate démocrate en Caroline du Nord, dont le gouverneur est le plus ancien ami des Clinton. Rien d’anormal jusque là. Ce qui est plus étonnant est que les Clinton avaient subventionné la candidate à hauteur de $.. 650 000 , ce qui n’est pas rien. La femme du directeur qui mène l’enquête reçoit 650 000 dollars de la personne sur laquelle son mari enquête ? Voilà qui ressemble fort à une corruption et le directeur général adjoint aurait dû à tout le moins se désister.

    – Enfin, nous avons appris grâce à Wikileaks que le parti démocrate payait des mauvais garçons pour créer des incidents raciaux et violents lors des réunions organisées par monsieur Trump, ce qui est passible de prison et monsieur Podesta le Président du parti risque de se retrouver à l’ombre d’ici peu, lui aussi.

    – Toujours par Wikileaks, nous apprenons que Bill Clinton a touché plus de 30 millions de dollars de » speaking fees » payés par des entreprises du style UBS qui avaient des ennuis avec la justice américaine. Curieusement, ces ennuis s’atténuaient une fois les Clinton payés.

    – Rajoutons que la ministre de la justice dans l’administration Obama, très vieille alliée des Clinton a refusé de témoigner devant le Congrès sur les pressions qu’elle a exercé sur le FBI de peur de s’inculper elle même (utilisation du cinquième amendement pour les spécialistes).

    – Et donc l’administration Obama et Obama lui-même sont compromis jusqu’au cou dans toute cette galère, et on le sait puisque le Président envoyait des emails sur le serveur illégal d’Hilary sous un pseudonyme, alors qu’il a toujours soutenu qu’il ne savait pas que madame Clinton avait son propre serveur (merci encore Wikileaks).

  • Ces fesses de Nicky Minaj et de Kim Kardashian qui divisent - Le ticket de Metro d’Ovidie
    http://www.metronews.fr/blog/ovidie/2015/07/22/ces-fesses-de-nicky-minaj-et-de-kim-kardashian-qui-divisent

    Premier problème, être libre de montrer ses fesses, c’est une chose. En faire son capital, c’en est une autre.

    Je n’ai rien contre le fait que les fesses fassent partie du capital de certaines personnes comme les pornstars et stripteaseuses dont c’est clairement et sans ambiguité le travail. Ce qui me pose plus problème, c’est le cas du porno déguisé en tant qu’argument marketing pour vendre du vent. J’en veux pour exemple Kim Kardashian et son ahurissante célébrité. Qu’est-ce qu’elle fait dans la vie ? Elle chante ? Elle écrit ? Elle crée ? Elle danse ? Elle est championne de course de poney ? Non, elle est célèbre sans n’avoir jamais rien créé si ce n’est son image d’icône de la télé réalité dont une immense partie repose sur la taille de ses fesses. Bravo, magnifique marketing, j’applaudis des deux mains. Dans le cas de Nicky Minaji on se réfère à Anaconda, on voit bien que la célébrité (ou plutôt la viralité) de l’affaire, repose uniquement sur l’omniprésence de fesses qui remuent dans tous les sens pour mieux hypnotiser le spectateur qui, soyons honnête, est plus fasciné par l’image que par la musique. Et d’ailleurs sa musique, on l’a tous remarqué, n’est jamais qu’un immense sampling de Baby got back, qui est tout de même une chanson écrite PAR UN HOMME et sortie il y a plus de vingt ans. En procédant ainsi les musiciennes ne se vendent pas elles, en tant qu’artistes, ni en tant qu’individus. Elles ne se vendent même pas en tant que corps tout entier comme peuvent le faire les mannequins ou modèles de charmes, mais uniquement en tant qu’une seule partie du corps parfaitement localisée, en l’occurrence le cul. Même Britney Spears a eu un jour un éclair de lucidité déclarant que les pop stars comme elles étaient condamnées à se déshabiller dans les clips et qu’on l’avait déjà poussée à aller plus loin qu’elle ne le souhaitait elle-même : « Il y a beau­coup de sexe dans ce que je fais. Mais parfois j’ai­me­rais reve­nir aux vieux jours où il n’y avait qu’une tenue par vidéo, et tu danses toute la vidéo, et il n’y a pas tant de trucs sexuels qui se passent « . Montrer son cul si on en a envie, oui. Être obligée de le montrer quand ton métier c’est musicienne parce que sinon plus personne ne s’intéresse à toi, pardon, mais c’est loin d’être une libération. Et je constate que la nudité n’est argument de vente que quand t’es jeune et bonnasse. Ou que tu fais tout pour paraître jeune (Jennifer Lopez) et que tu consacres ta vie entière à avoir un corps de bonnasse.

    #féminisme #corps #beauté #poids

  • JLo Won’t Perform in World Cup Opener in Brazil - NYTimes.com
    http://www.nytimes.com/aponline/2014/06/08/world/americas/ap-soc-wcup-jennifer-lopez.html

    Jennifer Lopez won’t perform the World Cup’s official song alongside fellow artists Pitbull and Claudia Leitte during the tournament’s opening ceremony in Brazil, FIFA officials said Sunday.

    Soccer’s governing body said Lopez cannot perform at Thursday’s event as earlier planned because of unspecified “production issues.

    Décidément, les catastrophes n’arrêtent pas de s’abattre sur la malheureuse Coupe du monde du Brésil…

    The [the official tune “We Are One”] has let down many Brazilians who complain that it sounds too generic for the nation’s Bossa Nova-crazed audiences and that it features foreign musicians singing mostly in English and Spanish. Leitte sings only a few seconds at the end of the song in her native Portuguese.