person:jia zhangke

  • Le Rapport sexuel existe existera-t-il ? Félicie casse une corde de sa contrebasse, ce qui fait un peu de bruit tout de même, Fred Marty lui prête la sienne de contrebasse du coup elle peut jouer en trio avec Leo Dupleix et Taku Sugimoto, je rentre dans les dernières centaines de pages du Dossier M. de Grégoire Bouillier, Au musée Picasso Rutault fait la crapaud qui voudrait être un boeuf, un vrai nain de jardin, Alexander Calder, en revanche, avait apparemment des choses à échanger avec Picasso, je n’aurais pas cru, Sorry to Bother You de Boots Riley, Deux Fils de Félix Moati, quelques-unes de mes algues sont exposées en Arles avec des oeuvres dOlivia Rosa-Blondel et de L.L. de Mars, une pensée pour Dominique, Les Eternels de Jia Zhangke, la défiguration de Rueuil -Malmaison, Jérôme Noetinger et Lionel Fernandez aux Instants, suivis de Hippie Diktat, Les Etendues imaginaires de Yeo Siew-hua, Drancy, et ses perruches, les oeuvres photographiques de mon ami dentiste, de l’obscénité dans les beaux quartiers, le retour, saine et sauve, d’une jeune manifestante pour le climat, Tallman du Surnat’, la fin du Dossier M., Inculte a quinze ans, Magnolia de J.J. Cale, Robert Frank et Daphné Bitchatch ont des choses à se dire presque tous les jours sur ma table de travail, une merveilleuse jeune femme m’envoie une carte postale de Sainte-Madeleine de Vezelay, j’en suis presque ému jusqu’aux larmes, le trajet en train entre La Défense et Sèvres, tel qu’il est décrit par Peter Handke au début d’Essai sur la journée réussie, un dernier éclat de rire, merci Grégoire Bouillier, Tout ça pour ça ?, Dernier amour de Benoît Jacquot, l’Urgence d’agir, Maguy Marin de David Mambouch, Kandinsky dans la salle d’attente de l’orthophoniste, Vice d’Adam McKay, une petite partie de Mah Jong ? tentative de prolongement du magnifique Msueo Infinito de L.L. de Mars, il n’y a rien de plus dégoûtant au monde que de voir Xavier Dolan être à ce point amoureux de lui-même, rien, venez-voir Au Fil du temps de Wim Wenders au Kosmos le lundi 8 avril à 20H.

    http://www.desordre.net/photographie/numerique/divers/201903.htm

  • Au ciné : joyeux Noël dans l’économie dingo ! - Rue89 - L’Obs
    http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2015/12/22/cine-joyeux-noel-leconomie-dingo-262528

    Aux Etats-Unis (« The Big Short », d’Adam McKay) comme en Chine (« Au-delà des montagnes », de Jia Zhangke), le cinéma zoome sur les crises financières et sur le délabrement social qui les accompagne. Bienvenue dans la déraison économique.

    #cinéma #mondialisation (de la finance) #global_systemic_collapse

  • « A Touch of Sin », le nouveau film de Jia Zhang-ke - Vacarme cc @lewer @pguilli
    http://www.vacarme.org/article2342.html

    A Touch of Sin de Jia Zhang-ke, qui a reçu le Prix du scénario au dernier festival de Cannes, est enfin visible au #cinéma. Regard sans concession sur la #Chine d’aujourd’hui, ce film articule fiction et documentaire avec grand art. La sortie de son film est l’occasion de relire l’entretien qu’il avait accordé à Vacarme.
    http://www.vacarme.org/article2108.html

    • Pourquoi j’ouvre un blog sur la Chine
      http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-louis-rocca/020114/pourquoi-jouvre-un-blog-sur-la-chine

      Le deuxième événement est un débat parisien auquel j’ai participé à propos du dernier film de Jia Zhangke et à l’invitation d’un bon connaisseur de la Chine. C’est un film sur la violence dans la société chinoise -11 meurtres, j’espère ne pas en avoir oublier- et un suicide. C’est un beau film réalisé par un oscarisable chinois, jeune, intelligent et talentueux. C’est un film qui rencontre des difficultés avec la censure sans pour autant être marginalisée ; le gouvernement chinois ayant compris depuis longtemps ce qu’il pouvait tirer de la réputation et du talent d’un tel cinéaste. Ce film, dont j’aurai peut-être l’occasion de reparler, donne l’occasion aux arguments néo-conservateurs de se déployer avec une nouvelle jeunesse. Il montrerait une Chine d’une violence extrême, où cumuleraient les méfaits du capitalisme et l’absence de démocratie -sans que l’hypothèse d’un lien quelconque entre les deux ne soit envisagée. Ce serait horrible d’être chinois ! Dans la discussion qui a suivi la projection toute tentative d’analyser réellement le film -dans ses ambiguïtés, ses nuances, son ironie- fût balayée. Toute tentative de comparaison -la base de la réflexion intellectuelle après tout- avec d’autres sociétés, sans doute plus violentes, comme la sud-africaine, fût renvoyée à de la manœuvre rhétorique. La Chine, non démocratique, sans « société civile », sans « individu autonome » ne pouvait qu’être un enfer. A l’inverse, aucune société démocratique ne peut être un enfer.

      Voici donc la généalogie rapide de ce blog.

  • « A Touch of Sin », une fresque grandiose dépeint les abîmes de la #Chine actuelle

    C’est un impressionnant portrait de la #frustration, du #désespoir, de la rage et de la #violence en Chine qui décline les dix commandements à la manière du réalisateur #Jia #Zhangke.

    Je recommande hautement le visionnage de film pour appréhender les difficultés sociales et sociologiques de la Chine actuelle.

    http://www.rfi.fr/france/20131211-a-touch-of-sin-jia-zhangke-chine-abimes

    Revue de Presse Hebdomadaire sur la Chine du 09/12/2013