person:joe strummer

  • Emission Janvier
    http://www.radiopanik.org/emissions/la-voix-de-la-rue/emission-janvier

    Retour sur les ondes pour cette émission de rentrée en direct !

    Nouvelles recrues, témoignages, débats....

    Interviews : Frank, Mohamed, Souki.

    Invités & animateurs : Serge, Sergio, Yunes, Jules, Amoura, Olivier, Alain,

    Musique : « Redemption Song » Johnny Cash & Joe Strummer, « The Man who sold the World » Nirvana

    Bonne année dans la SOLIDARITE !!!!

    http://www.radiopanik.org/media/sounds/la-voix-de-la-rue/emission-janvier_06159__1.mp3

  • FIP consacre son émission à la légende du rock-punk anglais à l’occasion de la sortie du coffret « Joe Strummer 001 ».


    spéciale #Joe_Strummer mardi 9/10 à 20h00

    https://www.fip.fr/emissions/speciales/2018/speciale-joe-strummer-10-09-2018-20-00

    Le 28 septembre sortait la première anthologie de Joe Strummer. Joe Strummer 001 retrace toute sa carrière, en dehors du groupe The Clash, sur le label Ignition Records. Il s’agit de sa période solo, de ses concerts avec les 101’ers, de ceux avec les Mescaleros, des musiques de film et des chansons totalement inédites comme des morceaux travaillés avec Johnny Cash ou Jimmy Cliff. Un coffret de ses expérimentations en 32 titres dont 20 raretés et 12 inédits restaurés et remastérisés accompagnés de notes personnelles de l’artiste. Le tout supervisé par sa veuve Luce et Robert Gordon McHarg III, initiateur par le passé, de plusieurs expositions autour de l’artiste.

    #Fip_radio

    • 1) punk rock warlord
      2) keys to your heart (joe strummer & the 101ers)
      3) fulero (zuco 103)
      4) trash city
      5) the guns of brixton (the clash)
      6) holidays in the sun (the sex pistols)
      7) i m gonna move right in (the velvet underground)
      8) rose of erin
      9) tennessee rain
      10) sandpaper blues
      11) theme from lawrence of arabia (teisco del rey)
      12) yalla yalla (joe strummer & the mescaleros)
      13) police and thieves (the clash)
      14) bbc world service
      15) london calling (the clash)
      16) junco partner
      17) rebel waltz (the clash)
      18) ride your donkey
      19) train in vain (the clash)
      20) armagideon time (the clash)
      21) reboot the mission (the wallflowers)
      22) filibustero
      23) afro cuban be bop
      24) techno d day
      25) julie s been working for the drug squad (the clash)
      26) let s go crazy (the clash)
      27) the magnificent dance (the clash)
      28) the magnificent seven (the clash)
      29) sandpaper blues
      30) rock el casbah (rachid taha)
      31) london is burning
      33) night scene (the rumblers)
      33) london’s burning (the clash)
      34) czechoslovak song / where is england (joe strummer & paul simonon )
      35) u.s. north (joe strummer & mick jones )
      36) over the border (jimmy cliff & joe strummer)
      37) viperland
      38) armagideon time (the clash)
      39) letsagetabitarockin
      40) pouring rain (joe strummer & paul simonon )
      41) garageland (the clash)
      42) get down moses
      43) below the bassline (ernest ranglin)
      44) long shadow (joe strummer and the mescaleros)
      45) it’s a rockin world
      46) wrong em boyo (the clash)
      47) mick and paul were different
      48) johnny appleseed
      49) the cool impossible
      50) redemption song (johnny cash & joe strummer)
      51) redemption song (manu codjia trio)
      52) blues on the river
      53) burnin streets
      54) silver and gold
      55) nica libre

  • http://www.alaindister.com

    Photographe et écrivain, Alain Dister a été le témoin privilégié de la culture rock, des années 60 à 2008.
    Du Summer of Love de San Francisco aux punks japonais des années 1990, on le trouve constamment sur les scènes émergentes, aux côtés de Jimi Hendrix, Led Zeppelin, Pink Floyd, Frank Zappa...
    Reporter légendaire des premières heures de Rock & Folk, il écrit de nombreux ouvrages sur les musiques, les contre-cultures, leurs grandes figures.
    Son travail photographique, entre documentaire et création, témoigne d’une approche singulière, à la fois tendre et objective, sur plusieurs générations de la Youth Culture.
    Il photographie, raconte les concerts, les rassemblements historiques, mais aussi les groupes backstage.
    Marqué par la Beat Generation, il rencontre souvent ses principaux acteurs comme Ginsberg ou Corso, et traverse pendant quarante ans l’Amérique du Nord en tous sens, captant au passage les routes, paysages, ambiances, bikers, motels, frontières, graffitis.
    Devenu lui-même une icône rock, l’emblème du rock critic, Alain Dister a exposé son travail de photographe dans des musées et galeries du monde entier.

    Né à Lyon, le 25 décembre 1941, Alain Dister est décédé à Paris, le 2 juillet 2008.

    #Alain_Dister #photographie

  • ILSE RUPPERT « PUNKS & TRIBES »
    https://laspirale.org/photo-533-ilse-ruppert- punks-tribes.html

    ILSE RUPPERT « PUNKS & TRIBES »Focus sur la scène punk et new-wave de la fin des années 1970 et du début des années 1980 avec Ilse Ruppert, photographe allemande. Où il est question de Berlin-ouest et de Berlin-Est, du Clash, de Ronald Reagan, d’Einstürzende Neubauten, de Frank Zappa et de Dennis Hopper.

    Ilse naît à Mespelbrum, un petit village d’Allemagne de l’Ouest, où elle vivra une enfance heureuse. Néanmoins, un événement la fait dévier cette voie calme et toute tracée : son premier concert, Screaming Lord Sutch et sa mise en scène macabre. Dès lors, la musique devient sa nouvelle religion, pas la pop aseptisée, mais la face sombre du #rock'n_roll et le mode de vie qui en découle.

    Elle tombe amoureuse de la photographie en 1976, à la vue d’un portrait d’elle réalisé par un ami mexicain,
    étudiant aux Beaux-Arts. Ilse achète un appareil le lendemain et part sur les routes. Autodidacte, ses premières expérimentations portent sur les paysages du Mexique, des Canaries et du Maroc. Fascinée par la #photographe révolutionnaire #Tina_Modotti, elle se tourne vers les êtres humains et leur portrait. En 1978, elle apprend les techniques du noir et blanc et installe son propre labo. Le succès est immédiat : des acteurs la demandent comme photographe de plateau, les réalisateurs la remarquent. « Ses photos ont la beauté des rêves et la cruauté des cauchemars », dira d’elle Hans Peter Cloos, le metteur en scène qui l’emmène à Paris en 1979, où il monte l’Opéra de Quatre Sous. Le magazine Interview utilise son portrait de Fassbinder, sa carrière est lancée, puis arrive le punk(...)

    #punk #new-wave #laspirale #squats_punks #Berlin-Est #contre_culture #reportage_gonzo #acid_house #raves


    @ladistroy

    20 mai 1980. Dans la salle de concert du Markthalle, le concert des Clash a été interrompu. Joe Strummer tient encore la Stratocaster qu’il vient d’exploser sur la tête d’un membre du public. Dans un coin, on discerne les premiers flics et leur chien. La rage qui monte dans la salle est presque palpable, jusqu’à entendre les cris échappés de toutes ces bouches ouvertes : « vendus ! ». Ce sont les prémices de la célèbre émeute d’Hambourg, où s’affronteront punks et membres des forces de l’ordre. Ilse est juchée sur de gigantesques amplis, absorbée par son seul cadre.

    Comment décrirais-tu cette époque aux jeunes générations, nées dans les années 1980 ou 1990 ?

    C’était comme d’attendre que la guerre nucléaire éclate... La guerre froide battait son plein. Des espions de tous les bords... Tchernobyl ! Tu te souviens ? Berlin-Ouest était entouré de militaires russes, leurs missiles pointés sur nous. Une ligne mortelle était instaurée et nous n’avions aucune idée de ce qui se passait de l’autre côté du mur.

    La population se composait d’immigrés turcs, de personnes âgées, d’artistes, de punks, de squatteurs, d’une faune alternative et de jeunes de l’Ouest qui voulaient échapper au service militaire. Les loyers étaient ridicules, la vie peu chère, comme les drogues. Ça a créé un terreau favorable aux artistes .

  • Il y a 40 ans, le premier clash Solidaire - Han Soete - Jonathan Lefèvre - 10 Avril 2017
    http://solidaire.org/articles/il-y-40-ans-le-premier-clash

    8 avril 1977, Angleterre. Un album débarque dans les bacs. Son titre est explicite : The Clash. C’est le premier album du groupe du même nom, qui débarquait de manière fracassante pour changer la musique et le monde. 
    Les Sex Pistols ont été le premier groupe punk a savoir sortir des squats pour affronter les studios de TV de la BBC. Leur slogan : « No future ». Sur tout le continent européen, le chômage sévit chez les jeunes. Beaucoup se reconnaissent dans le nihilisme des Sex Pistols, d’Iggy Pop, des Ramones et autres groupes punk de cette époque. 

    The Clash , fondé en 1976, a emprunté une autre voie, celle de l’engagement dans la musique. « Je crois dans le socialisme, parce qu’il est plus humain, affirmait le chanteur Joe Strummer dans une interview. Il faut choisir au-delà du chacun pour soi, de l’égoïsme ou de ces salauds d’hommes d’affaires qui vont ramasser du pognon à la pelle. J’ai décidé pour ma part de considérer la société sous cet angle et de prendre mes décisions sur base de cela. C’est pourquoi je crois dans le socialisme. » Outre Strummer au chant et à la guitare, les Clash sont composés de Paul Simonon à la basse, Mick Jones à la guitare et Topper Headon à la batterie.

    Appel à la révolte


    En mars 1977 sort le premier morceau du groupe : White Riot (Émeute blanche). La chanson parle des émeutes du carnaval de Notting Hill de l’été 1976 où des jeunes Noirs ont affronté la police. Joe Strummer, qui a participé à la révolte des jeunes avec le guitariste Mick Jones, appelle les jeunes de la classe ouvrière à se révolter aussi contre le pouvoir.

    Un mois plus tard sort leur premier album, The Clash. Sur Career opportunities, ils parlent de la situation socioéconomique en Angleterre, du chômage des jeunes et du manque d’emplois corrects. En guise d’alternative, tout ce qu’on fait miroiter aux jeunes, c’est une carrière dans l’armée ou dans la police. La petite phrase « I won’t open letter bombs for you » (Je ne vais pas ouvrir des lettres piégées pour vous) renvoie à un boulot que le guitariste Mick Jones avait eu auprès de l’État britannique. Il devait ouvrir des lettres pour voir si celles-ci n’étaient pas piégées. 

    La bande sonore des années Thatcher et Reagan


    Les Clash connaissent sa grande percée avec son troisième album, London Calling, qui ne contient pas un, mais deux disques. Ils exigent cependant de leur maison de disques que le prix de ce double album soit le même que pour un simple. Enregistré en 1979, soit l’année où Margaret Thatcher est arrivée au pouvoir, « l’appel de Londres » va asseoir la popularité du groupe.

    Aujourd’hui encore, l’album, sorti dans les bacs en janvier 1980, est considéré par la revue Rolling Stone comme le meilleur album de cette décennie. 

    Dans London Calling, les Clash explorent des voies musicales plus larges. Le groupe s’essaie au reggae, à la pop, au rockabilly, au blues… Et presque chaque chanson a, comme dans les albums précédents, un sens politique. 


    L’album suivant, Sandinista !, un triple LP de 36 morceaux, est leur album le plus diversifié, mais aussi le plus difficile d’accès, le plus bordélique. Peut-être le plus riche aussi. Les Clash poursuivent leur voyage musical et politique et découvre le hip-hop, un genre qui a vu le jour quelque temps auparavant à New York, qu’ils intègrent à leur catalogue d’influence. Sur le plan musical, l’album annonce longtemps à l’avance la percée de la musique du monde et de son métissage avec la pop et le rock, qui se popularisera vers la fin des années 1980. L’accueil de la presse spécialisée est glacial, mais Sandinista ! allait finir par acquérir le statut de disque culte.

    Sandinista ! sort à une époque où, dans bien des pays – en Belgique notmamment – des gens de gauche et des syndicalistes se rendent au Nicaragua pendant leurs congés pour contribuer la révolution. Aussi la révolution sandiniste (le mouvement socialiste au Nicaragua) et l’anti-impérialisme (Washington Bullets) occupent-ils une position centrale.

    Combat rock


    En 1982 sort Combat Rock, le cinquième album du quartet. Le disque fait du groupe le plus grand groupe de rock du moment. Pendant 61 semaines, il ne quittera pas les charts américains.

    Entre-temps, les membres des Clash continuent en tant que militants politiques à participer à chaque combat de leur époque. Lors de la montée du Front national britannique (extrême droite), ils participent à la campagne « Rock Against Racism ». Et quand les mineurs entament leur grève historique contre Thatcher, les Clash vont jouer aux piquets de grève. 


    Lors de leurs tournées, sans argent en poche, ils vont parfois passer la nuit chez des fans. Une manière pour eux de rester connectés au monde, aux problèmes économiques, à l’injustice, au racisme… Le groupe se dissout en 1984 en raison de frictions internes et des problèmes de drogue du batteur Topper Headon. Il n’aura pas existé pendant dix ans mais aura changé la musique et inspiré des millions des jeunes dans le monde entier. En guise d’épitaphe du groupe, Joe Strummer résumera : « On est venu, on a dit ce qu’on avait à dire, on s’est cassé. »

    Et aussi https://seenthis.net/messages/574340 (Articles repérés par Hervé Le Crosnier)
    #The_Clash #rock #punk #musique_et_politique #Angleterre #margaret_thatcher #Nicaragua #Rock_Against_Racism

  • 4月6日のツイート
    http://twilog.org/ChikuwaQ/date-150406

    Papier is out! paper.li/ChikuwaQ/13277… Stories via @seiichitsuchiya posted at 09:15:47

    「飛行船野郎」って、意味わかんねえし。 posted at 08:40:43

    Top story: Wattpad : le Youtube de l’écriture ? | La Feuille lafeuille.blog.lemonde.fr/2015/04/05/wat…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 08:30:06

    “@articulospensar: Venice, 1900. @historyepics”

    posted at 08:28:57

    “@AsiaArgento: Joe Strummer & Mark Stewart (1977) ”

    posted at 08:28:30

    “@CHANNINGPOSTERS: A really sweet #HappyEaster photo from the 1960s. ”

    posted at 08:28:15

    Comme ça.

    posted at 08:18:43

    “@AsiaArgento: Joe Strummer & Mark Stewart (1977) ” via @Darkjipe

    posted at 07:52:07

    “@adalbertoasf: Soichi Sunami - Martha Graham in Rhapsodies, 1928 ”

    posted at 07:50:50

    Top story: @laurentchemla: ’Oh bah c’est dingue ! Charlie est contre la loi don… , see more (...)

    • De chez moi je ne peux voir et écouter que la vidéo des Mescaleros. Merci à Google vs. GEMA. Grooveshark a même cessé complètement son service en Allemagne à cause de la dictature de ces quelques vieux c... de la variété et du spectacle musical dit « classique » qui dominent l’association. C’est à ch... .

  • Émeutes-shopping (CQFD)
    http://www.cqfd-journal.org/Emeutes-shopping

    La flambée de violence de cet été en Grande-Bretagne a pour origine une politique de casse sociale plus que trentenaire. Et les grands discours moralisants qui stigmatisent le comportement de la jeunesse ne servent qu’à dissimuler cette dure réalité. par Rémi« Are you taking orders or are you taking over ? » [Allez-vous exécuter les ordres ou vous relever ?] En 1977, dans une chanson des Clash, le regretté Joe Strummer interroge le privilège de race d’une jeunesse ouvrière blanche qui, à la solidarité de classe, préfère le confort d’être moins maltraitée que les Noirs. L’apostrophe des Clash est lancée juste à la suite des émeutes de Notting Hill. Avant de devenir en partie le havre des bourgeois bohèmes adeptes du chinage, le quartier de Notting Hill a été par deux fois le terrain de violences policières contre la communauté issue des Caraïbes – en 1958 et 1976. La sirène qui résonne dans la dernière version du morceau des Clash annonce des lendemains qui déchantent pour l’ensemble des franges les plus défavorisées de la société britannique (...) Source : CQFD

  • Billy Bragg: Music Needs to Get Political Again | | AlterNet
    http://www.alternet.org/story/152183/billy_bragg%3A_music_needs_to_get_political_again?page=entire

    In the Clash interview from 1976 that was reprinted in the NME ‘riot issue’, Joe Strummer boldly said “We’re hoping to educate any kid who comes to listen us, just to keep them from joining the National Front”. That certainly worked in my case. When Notting Hill went up in smoke, I didn’t get it, yet, a year or so later, the first political activism that I ever took part in was the first Rock Against Racism Carnival in London. I’d been drawn by the fact that the Clash were top of the bill.

    But making political pop should not be a matter of setting Karl Marx to music. I’ve heard that stuff and it never sounds right. Pop becomes political when it stops being self-pitying and self-aggrandising and starts to speak truth to power.