person:john waters

  • Death on Film Night
    https://www.nova-cinema.org/prog/2019/171-offscreen-12th-edition/death-on-film/article/death-on-film-night

    •+ Nekromantik 2 Jörg Buttgereit, 1991, DE, DCP, vo st ang, 111’ « Nekromantik », le premier long métrage transgressif de Buttgereit, a été salué par John Waters comme « le tout premier film érotique pour nécrophiles ». Cette suite tout aussi transgressive (mais avec plus de moyens) fait directement suite au premier film, dans un flash-back de Rob se poignardant à mort au moment d’éjaculer. Monika, une infirmière nécrophile, déterre son corps en putréfaction et le ramène à la maison, mais est vite déçue par ce nouvel amant. Bientôt, elle est confrontée à un choix entre Rob, qui se décompose rapidement, et un nouveau petit ami, bien vivant. Le nettoyage, le démembrement et la décapitation de cadavres érotiques se combinent en un triangle romantique singulier, sans jugement. •+ (...)

  • Space Oddity
    https://www.nova-cinema.org/prog/2018/169-pink-screens/cloture/article/space-oddity

    •+ A ton âge, le chagrin c’est vite passé Alexis Langlois, 2018, FR, video, vo fr st ang, 33’ À mi-chemin entre John Waters et Jacques Demy, une comédie musicale badigeonnée d’une épaisse couche de kitsch qui pratique l’outrance et le mauvais goût avec appétence et délice. •+ Je fais où tu me dis Marie de Maricourt, 2018, CH, video, vo fr st ang, 17’ Sarah, jeune fille en situation de handicap, est sujette à de nombreux fantasmes et de plus en plus assaillie par ses désirs. •+ Ultra Pulpe Bertrand Mandico, 2018, FR, video, vo fr st ang, 36’ Dans une station balnéaire futuriste fleurant bon le sexe demi-sel, le tournage d’un film fantastique touche à sa fin. Joy, la réalisatrice, demande une dernière étreinte à Apocalypse, son amante et muse peroxydée. (...)

  • J’ai un putain de problème.

    Je n’arrive pas à expliquer à mon fils qui joue à « clash of clans » que la putain d’app que ses copains lui demandent d’installer et qui s’appelle « clash of light » est un truc vérolé de piraterie de merde. De toutes façons, ces jeux, outre que c’est de la merde, amènent un torrent de pubs d’incitations à télécharger d’autres jeux de merde, et je ne crois pas qu’un enfant de 11 ans soit capable de comprendre ce qui se joue sur sa tête, de comprendre à quel point sont pervers les créateurs de ces jeux et de ces environnements addictifs.

    Je ne sais plus trop quoi lui dire, juste l’envie irrépressible de détruire le ipad et de lancer un sam 7 sur la boite qui a créer de bouzin.

    J’aimerai bien savoir quelles stratégies utilisent les parents confronté à ce problème d’addiction des enfants aux écrans et à ces jeux de merde en boite.

    • Bill Gates et Steve Jobs ont élevé leurs enfants sans technologie — et cela aurait dû être un signal d’alarme
      http://www.businessinsider.fr/bill-gates-steve-jobs-limite-temps-decran-enfants

      Bill Gates attentif à ses enfants en matière de jeux vidéo
      Prends le lance-roquette ma chérie, c’est plus efficace 63
      1 min
      Par Vincent Hermann
      le jeudi 22 février 2007 à 07:30
      GatesBill Gates se sent visiblement très concerné par le temps que ses enfants passent devant un écran et plus particulièrement sa fille aînée, âgée de dix ans. Selon ses propres dires, elle n’était pas intéressée par les ordinateurs en général jusqu’à l’année dernière. Cette année en revanche, une grande partie de ses devoirs se font visiblement à l’aide d’un Tablet PC.

      L’homme explique : « Elle est devenue très avide et a découvert de nombreux jeux vidéo, dont un sur Xbox 360 nommé Viva Pinata, où vous prenez soin d’un jardin. » L’architecte en chef de Microsoft précise en outre que s’il laissait sa fille faire, elle pourrait facilement passer deux ou trois heures par jour devant son écran à veiller à la bonne marche de son jardin virtuel.

      Lorsqu’on dirige la plus grande société de logiciels au monde, on pourrait croire que ses propres enfants sont noyés dans un monde fait d’écrans, d’ordinateurs et de consoles. Mais ce n’est a priori pas le cas, puisque Gates indique que lui et sa femme ont décidé que leur fille ne passerait pas plus de 45 minutes par jour devant les jeux vidéo durant la semaine, et pas plus d’une heure par jour durant les week-ends.

      Bill Gates semble concerné par le fait que sa fille se concentre sur le monde qui l’entoure ainsi que sur sa capacité à en parler librement. On ne peut pas dire que tous les parents imposent ce genre de limites à leurs enfants aujourd’hui. Mais à jouer à gérer un jardin virtuel, on peut être presque certain que l’on ne retrouvera pas sa fille aînée dans une quelconque histoire sordide et sanglante où les jeux violents seront encore pointés du doigt.
      https://www.nextinpact.com/archive/34843-bill-gates-microsoft-enfants.htm

    • Je ne sais pas si c’est de la stratégie mais déjà à peu près le même règlement horaire que Bill Gates. :)
      Il a le même âge que le tien.

      Enfin en semaine avec l’école c’est même plus strict que Bill, genre 30min. Et même c’est pire encore, c’est 30min d’écran que ce soit jeu vidéo ou dessin animé, donc s’il veut regarder Les as de la jungle ou Ninjago, ya pas de jeu vidéo du tout en plus, faut choisir.

      Du coup impossibilité matérielle de jouer à des jeux addictifs qui durent longtemps.

      Le week-end il a moins de limites qu’en semaine par contre (et moins que chez Bill aussi c’est plus qu’une heure par jour), ça peut durer plus longtemps, mais là encore, en additionnant dessins animés et jeux.

      Sinon, il y a aussi qu’il n’a pas de tablette ni de téléphone mobile (encore moins), et qu’il n’aura aucun des deux. Il a une Nintendo 3DS, qui a internet aussi dessus, mais les jeux sont du coup que des « vrais » jeux, c’est-à-dire que même si certains ont un mode multijoueur, c’est pas des supports à pub et à achats réguliers comme sont pensés la plupart des jeux sur plateforme mobile (le jeu ou autre activité n’est là que pour capter des infos et/ou montrer des pubs et/ou inciter à faire des achats pour avancer), même principe que dans les jeux sur facebook.

      Il a quelques jeux libres installés sur Ubuntu aussi, comme Minetest, un clone de Minecraft. Mais pas de FPS pour l’instant.

      Bref en résumé c’est surtout : un temps très limité en semaine + une vraie console avec dessus des vrais jeux dont beaucoup de jeux solos d’aventure : pas mal de Zelda, des jeux Lego en 3D, tous les trucs Mario… Vraiment fuck les jeux massivement multijoueur en ligne, même dans les vrais jeux pas de pubard, ça reste quand même une grosse plaie pour le cerveau et le temps des enfants.

      Bon après il a des copains qui ont pas mal de grosses consoles de salon ou de gros ordis, et qui jouent (aussi par leurs grands frères souvent) à des jeux en ligne genre Fortnite, ou les infinis du genre Minecraft. Et au collège là je ne sais pas comment ça se passera l’année prochaine… (À commencer par la première question, quand il va finir par demander un téléphone mobile comme 100% de ses copains. Sachant que moi-même je n’en ai pas.)
      C’est loin d’être réglé…

      J’oublie un truc aussi, à 11 ans, illes sont assez grand⋅es pour discuter et expliquer comme ça fonctionne, la publicité, les trucs captifs, etc. Faut pas tout balancer d’un coup, mais il me semble quand même que le mien a compris un certain nombre de choses (y compris les raisons pour lesquels je ne veux pas d’informatiques miniatures mobiles). Je suppose que les autres en sont capables aussi. :)

    • Le matin, aucun écran n’est toléré, il y a les rêves qui prévalent et le matin sert à les réinventer dans sa tête pas à s’abrutir devant un écran. Ça, c’était clair.

      Mais le soir… une fois j’ai craqué, j’ai pris l’écran neuf qui m’avait quand même couté bonbon et je l’ai jeté par terre en criant comme dans John Waters (Rewind rewind quand elle le tue avec un pilon de poulet) on éteint quand je dis d’éteindre. Après j’ai rigolé en pensant à John Waters qui est aussi con que moi des fois, (pas elle) et j’ai rallumé le bouzin, il n’y avait plus que l’angle en haut à droite qui renvoyait un morceau d’image animée mais le son fonctionnait encore bien, et puis quand on appuyait sur les morceaux de l’écran, ça mélangeait les couleurs comme si c’était de l’essence. Ça l’a pas fait rire du tout non plus. J’ai dit on fera une belle expo avec et puis au lit et elle a filé.

      J’ai encore l’écran télé dans sa boite, si vous avez une expo à organiser et vous ne savez pas quoi mettre au mur.

      La chtiote qui a grandi va peut-être porter plainte pour avoir été injustement terrorisée (j’ai honte en relatant cette affaire, j’avoue) ou entamer une psychanalyse plus tôt que moi.

    • Des jeux « de société » ensemble, avec eux, pour eux. Pas de GSM perso avant 13 ans. Un ordi familial dans le séjour, à se partager. Le laptop de papa si besoin. Ils ont 19 et 22 à présent du coup je reconnais que la pression est probablement plus forte aujourd’hui...

  • Queercore : How To Punk A Revolution
    http://www.nova-cinema.org/prog/2017/163-pink-screens-festival/seances/article/queercore-how-to-punk-a-revolution

    Yony Leyser, 2017, DE, VO ANG ST FR NL, 83’

    Lorsque la société dont vous rêvez n’est vraiment pas celle que vous avez, vous faites en sorte de la changer. Par exemple, en rédigeant des zines qui vont engendrer des hordes de révolutionnaires punks et queers, ou en tournant des films subversifs distribués largement afin que, petit à petit, la communauté que vous avez initiée se développe et se répande dans le monde entier, tel un raz de marée. Ce que nous raconte ce documentaire, c’est ça ! L’histoire de la scène queer radicale au milieu des années 1980, vue par Bruce LaBruce, G.B. Jones, Genesis P-Orridge, John Waters, Kim Gordon, Peaches, et bien d’autres encore ! Play

    Trailer : QUEERCORE - HOW TO PUNK A REVOLUTION https://vimeo.com/231684223

    lundi 13 novembre 2017 à (...)

  • Anna Biller in shorts #2
    http://www.nova-cinema.org/prog/2017/162-i-put-a-spell-on-you/anna-biller/article/anna-biller-in-shorts-2

    •+ Fairy Ballet Anna Biller, 1998, 35mm > video, vo ang st fr 11’ De par son coté visuellement kitsch, son propos érotique et païen, ce délire visuel et chantant évoque la liberté et le coté très personnel de John Waters ou Kenneth Anger, ou encore le vidéo-clip du « Tainted Love » de Soft Cell. Un travail poussé pour la réalisatrice jusqu’à l’élaboration des improbables costumes et décors entourant une Anna Biller poussant encore une fois la chansonnette. •+ The Hypnotist Anna Biller, 2001, 16mm, vo ang st fr 44’ L’un des films les plus sombres de ses premiers courts, celui-ci reproduit encore une fois à merveille l’image, le rythme, la finesse, le jeu d’acteur et les dialogues d’un temps révolu et insituable du cinéma gothique américain en Technicolor. Sur fond de haine (...)

  • COOKIE MUELLER « FEMALE TROUBLE »
    https://laspirale.org/photo-534-cookie-mueller- female-trouble.html

    Muse de John Waters et de Nan Goldin, cette reine de l’underground fut décrite par le cinéaste comme « un écrivain, une mère, une hors-la-loi, une actrice, une styliste, une go-go danseuse, une sorcière-guérisseuse, une harpie des arts, et par dessus tout, une déesse ».

    Native de Baltimore, une ville ruinée, minée par les conflits raciaux, la drogue et la criminalité, #Cookie_Mueller a croisé sur son parcours chaotique Jim Morrisson, Jimi Hendrix, la Manson Family, Anton LaVey, Basquiat, Keith Haring, les Ramones, Klaus Nomi, Patti Smith, Blondie, Sonic Youth et le photographe Robert Mapplethorpe. Ses écrits cultes, enfin traduits en français, sont publiés chez Finitude, l’occasion de revenir sur la légende de cette icône méconnue.

    Portraits de Cookie Mueller par Nan Goldin, Robert Mapplethorpe, John Waters, Lawrence Irvine, Anthony Scibelli, Don Herron.

    #laspirale


    Cookie in Tin Pan Alley, New York City, 1983
    #photographie #Nan_Goldin http://www.artnet.fr/artistes/nan-goldin/cookie-in-tin-pan-alley-new-york-city-a-fQImYOIP8D1UeutFdmwt2w2
    http://www.artnet.fr/artistes/nan-goldin/3
    “Cochonneries” nouvelle de Dorothy Karen “Cookie” Mueller dans Ladyland - anthologie de #littérature féminine américaine des regretté 13E Note éditions.
    https://laisseparlerlesfilles.com/2014/05/12/ladyland-anthologie-de-la-litterature-feminine-americaine-fut

    Dreamland news is a site devoted to the life and work of filmmaker #John_Waters.
    Here you’ll find the latest news about Waters personal appearances, films, books, DVDs, his vigilant Fans, and a tribute to the one and only Divine.
    http://dreamlandnews.com

  • Sleepaway Camp
    http://www.nova-cinema.org/prog/2017/161/summer-camp/article/sleepaway-camp

    Robert Hiltzik, 1983, US, video, VO ANG ST FR, 83’

    Vu comme un succédané de « Vendredi 13 », le film en reprend en effet largement la formule : un assassin sème la terreur dans un camp de vacances au bord d’un lac, suite au traumatisme d’un accident nautique mortel. Mais il va beaucoup plus loin : les enfants/ados sont cette fois présents, le directeur de la colo est véreux et minimise les crimes (cf le bourgmestre de « Jaws ») pour ne pas perdre d’argent, les adultes sont d’affreux lubriques, et la scène finale - écho au premier film de la soirée - est éminemment perturbante. Le jeu des acteurs, très artificiel, donne au film un ton unique et cartoonesque, quelque part entre Herschell Gordon Lewis et John Waters.

    dimanche 2 juillet 2017 à (...)

  • Multiple Maniacs
    http://www.nova-cinema.org/prog/2017/159-offscreen/apocalypse-69/article/multiple-maniacs

    John Waters, 1970, US, DCP, VO 96’

    Lorsque John Waters visita l’Offscreen Film Festival en 2013, nous aurions voulu montrer ce film, mais pour des questions de droits, c’était impossible depuis des décennies. Aujourd’hui, nous disposons finalement d’une toute nouvelle restauration numérique de « Multiple Maniacs », le deuxième long-métrage de Waters après « Mondo Trasho » et avant le célèbre « Pink Flamingos ». C’est avec un malin plaisir qu’il se paie la tête des hippies dans cette délicieuse ode grotesque au mauvais goût et à la débauche. Le légendaire travesti Divine incarne la meneuse meurtrière de la « Cavalcade des Perversités » : une bande ambulante de freaks et d’originaux inspirée de la bande de Manson, « la Famille », composée de lécheurs d’aisselles, de (...)


  • Armand New York, Blaise Harrison, 2016

    Un résumé du moment passé à voir ce film
    Mercredi 27 avril au retour de l’Assemblée générale de Nuit debout. Il pleuvait, petite baisse d’enthousiasme pour ce mouvement. Retour chez moi, j’avais très faim, une tasse de thé, du mauvais tarama et une cigarette qui fait rigoler. 22H : pas vu de doc depuis un moment.

    A quels films il m’a fait penser
    Agréablement surpris par l’image en pellicule (8mm ou plus, je ne suis pas très fort) : ça donne tout de suite un air de grand film américain.
    Et puis viennent les images de tout un tas de teen movie (films pour ados) et en particulier : igby goes down. Ce film convoque consciemment toutes ces images. Armand et son réal mettent en scène un lien vers le cinéma. Les vues de New York ne m’ont pas rappelées grand chose (mais je ne suis pas un pro de Woody Allen).

    Quelles images dans ce film m’ont le plus étonnées
    Un peu au début : Armand est au bord de la mer, travesti. Il imite en fait Divine (c’est un acteur de 80kg qui s’est toujours travesti, elle est devenue une icône gay en particulier grâce au film très choquant de John Waters :
    http://www.imdb.com/name/nm0001145/?ref_=fn_al_nm_1 )
    Le gros plan sur les cheveux d’Armand qui est vraiment très beau. A ce moment là on a déjà une idée de la sexualité d’Armand mais une idée par le texte du film, à ce moment-là c’est l’image en entier qui se transforme.

    Quels propos m’ont le plus touché
    J’ai apprécié que ce film ne soit pas seulement constitué de la découverte de l’homosexualité d’Armand. Le film fait d’Armand un personnage entier et complexe. Les éléments vis-à-vis de la mort de sa mère et de ses réflexions sur la vie et la mort (toujours accompagnés par la légèreté du principe du voyage).

    A qui j’aimerai montrer ce film
    Les gamins hommes de son âge, pétris de stéréotypes ridicules et de réflexes homophobes dangereux. En bref, j’aimerai le montrer à des collégien.ne.s.

    Ce que je dois absolument dire au groupe
    Ce film utilise beaucoup des outils du cinéma et pas ceux dont les potentiel.le.s spectateurs et spectatrices des multiplexes ont l’habitude (voix désynchro ou post-synchro, images argentiques , etc.). Pour moi, ce film n’est pas absolument exceptionnel mais tout dédié à une asso comme la notre.

    https://vimeo.com/152685807


    #comptoir_du_doc #Rennes #documentaire #cinema #critique_a_2_balles #armand_new_york #blaise_harrison #2016 #Court_métrage

  • Baltimore, Where You At ?
    http://www.nova-cinema.org/prog/2015/148-hard-to-be-a-god/astro-black-mythology/baltimore-where-you-at

    Tim Moreau, 2013, FR-US, vo en st fr, 53’ Baltimore est une nouvelle fois à l’honneur sur l’écran du Nova, après la venue de John Waters, ou les projections de Martha Colburn ou Matt Porterfield. Aujourd’hui, c’est le réalisateur lillois Tim Moreau qui évoque cette ville définitivement intrigante. Une plongée dans la scène club underground de Baltimore où danse, extravagance, fraternité répondent à l’énergie dense et dure émise par la ville. Moins coté que le « son » de New York ou Detroit, la musique que l’on appelle partout « Baltimore Club » (entre (...) vendredi 10 avril 2015 - 22h , dimanche 3 mai 2015 - 18h , #Film (...)

  • Baltimore, Where You At ?
    http://www.nova-cinema.org/prog/2015/148-hard-to-be-a-god/astro-black-mythology/article/baltimore-where-you-at

    Tim Moreau, 2013, FR-US, vo en st fr, 53’ Baltimore est une nouvelle fois à l’honneur sur l’écran du Nova, après la venue de John Waters, ou les projections de Martha Colburn ou Matt Porterfield. Aujourd’hui, c’est le réalisateur lillois Tim Moreau qui évoque cette ville définitivement intrigante. Une plongée dans la scène club underground de Baltimore où danse, extravagance, fraternité répondent à l’énergie dense et dure émise par la ville. Moins coté que le « son » de New York ou Detroit, la musique que l’on appelle partout « Baltimore Club » (entre (...) vendredi 10 avril 2015 - 22h , dimanche 3 mai 2015 - 18h , Film Tim (...)

  • Le son et l’odeur
    http://www.franceculture.fr/emission-ce-qui-nous-arrive-sur-la-toile-le-son-et-l-odeur-2014-06-16

    Dates/Horaires de Diffusion : 16 Juin, 2014 - 08:45 - 08:50

    Dans son édition d’hier, le Journal du dimanche annonçait que nous étions «  à l’aube d’une révolution sensorielle  ». Rien que ça. Quand on vous prédit le bouleversement de vos sens, vous avez envie de savoir pourquoi, et comment. Eh bien, parce que bientôt, votre téléphone pourrait ne plus seulement vous transmettre du son, ou de l’image, mais il pourrait diffuser des odeurs. Vous ...

    date de remontée fiction : Lundi 16 Juin (...)

    #Information #Internet #Direct

  • John Waters : Leslie Van Houten : A Friendship, Part 1 of 5
    http://www.huffingtonpost.com/john-waters/leslie-van-houten-a-frien_b_246953.html

    http://www.monstersandcritics.de/downloads/downloads/articles19/199928/article_images/Rosemaries-Baby-Mo-23-04-ARTE-22-00-Uhr_3.jpg

    I have a really good friend who was convicted of killing two innocent people when she was nineteen years old on a horrible night of 1969 cult madness. Her name is Leslie Van Houten and I think you would like her as much as I do. She was one of those notorious “Manson girls” who shaved their heads, carved X’s in their foreheads and laughed, joked, and sang their way through the courthouse straight to death row without the slightest trace of remorse forty years ago. Leslie is hardly a “Manson girl” today. Sixty years old, she looks back from prison on her involvement in the La Bianca murders (the night after the Tate massacre) in utter horror, shame, and guilt and takes full responsibility for her part in the crimes. I think it’s time to parole her.

    http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/7/77/Leslievanhouten.JPG

    Leslie Van Houten has served more time than any Nazi war criminal who was not sentenced to death at Nuremberg. She has served more time that any of the Nazi defendants who were sentenced to life in prison except for Hitler’s deputy, Rudolph Hess, who died in his fortieth year in prison (the exact amount of time Leslie has now served). She’s served more time than Lt. #William_Calley who was originally sentenced to life in prison for the #My_Lai massacre of hundreds of Vietnamese civilians. She has served longer than the surviving female member of the Baader Meinhoff Gang, a German terrorist group who murdered thirty-four people for left-wing “politics” and “revolution.” This group began with the student protest movement in 1968, the same year Charles Manson was recruiting his hippy army of LSD soldiers. Brigitte Mahnhaupt was convicted of nine political murders and sentenced to five life sentences, but served just twenty-four years. Another member, Irmgard Molle, convicted of a 1972 bomb attack in Heidelberg that killed three American soldiers, was released in 1994 after serving twenty-four years. Courts ruled that “the decision for probation was reached based on the determination that no security risks exist today.” And none of these radicals even said they were sorry!

    But how sorry is sorry enough? Albert Speer, Hitler’s architect and armaments minister, and one of the few Nazi defendants to take responsibility for Nazi war crimes, even though he denied knowing of the Holocaust, struggled with this question. When Gitta Sereny interviewed him for her amazing book Albert Speer; His Battle with Truth, after he had been released after serving all twenty years of his sentence in Spandau prison, she asked the same kind of question about responsibility for the crime that the parole board asks Leslie. While Leslie participated in a much tinier version of a fascist regime, there are definite similarities in the issue of degrees of guilt. Was there something “inherently evil” inside Leslie, as Stephen Kay has charged? Was there a “lack of morality” underneath Speer’s initial attraction to “the cause,” wondered Ms. Sereny? “If I just answer that question with a ’yes,’” a free Speer honestly responded after decades of reflection, “it would be too simple. For of course now I think it was immoral. But what does that mean? Nothing. How can it help our understanding of these terms which is what you and I are trying to do here, I presume, for me to say, ’Yes, yes mea culpa.’ Yes, of course, mea culpa, but the whole point is that I didn’t feel this and why didn’t I? Was it Hitler, only Hitler, because of whom I didn’t understand? Or was it a deficiency in me? Or was it both?”

    #Fritz_Lang #Peter-Lorre #Ulrike_Meinhof #Hitler #Roman_Polanski #Rosemaries_Baby

  • George Kuchar, Underground Filmmaker, Dies at 69 - NYTimes.com
    http://www.nytimes.com/2011/09/08/movies/george-kuchar-underground-filmmaker-dies-at-69.html?_r=3

    George Kuchar, a filmmaker whose campy yet ardent low-budget movies inspired underground directors like John Waters and David Lynch in the 1960s, and helped kindle the do-it-yourself moviemaking aesthetic now ubiquitous on YouTube, died on Tuesday in San Francisco. He was 69.


    #cinéma #mort