person:julia roberts

  • Spotify. It’s Not Just for Music Anymore. - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2019/02/06/business/dealbook/spotify-gimlet-anchor-podcasts.html

    No longer does it aim to be a go-to destination for just music fans. It now sees itself as a provider of online audio, period.

    The company’s chief executive, Daniel Ek, emphasized the shift in direction in a blog post on Wednesday. “I’m proud of what we’ve accomplished, but what I didn’t know when we launched to consumers in 2008 was that audio — not just music — would be the future of Spotify,” he wrote.

    With the acquisitions, Spotify becomes the latest player to invest in a medium once considered a low-stakes sandbox in the larger media environment. Now that podcasts have become part of the listening routine for millions of people, major companies have recognized them as an important — but still relatively cheap — source of content.

    In September, the radio giant iHeartMedia bought Stuff Media, another influential producer, and recently Hollywood has begun buying up rights to popular podcasts. “Homecoming,” an Amazon series starring Julia Roberts, is based on a fictional podcast from Gimlet.

    “I don’t think Spotify woke up one day and realized that audio storytelling has some incredible emotional place in the life of their brand,” said Owen Grover, the chief executive of Pocket Casts, a podcast app. “Strategically, if they can get their users to listen to podcasts in place of music, it improves their margins.”

    While podcasts are hardly a new invention — they became part of Apple’s iTunes in 2005 — their popularity has surged in recent years. By some estimates, more than 600,000 podcasts are available through Apple, a number that does not include shows that are exclusive to other providers, like Spotify.

    But while it may seem as if every other person on earth is either a podcast listener or a podcast host, the money thrown off by the boomlet has been relatively modest. According to a study by the Interactive Advertising Bureau and PwC, the podcast industry as a whole generated $314 million in 2017, though that survey also predicts that by 2020 the number will more than double, to $659 million.

    Spotify, which went public in April, announced on Wednesday that it ended 2018 with 207 million active users around the world, 96 million of whom paid for monthly subscriptions. Its revenue for the year was 5.3 billion euros, about $6 billion, an increase of 29 percent from 2017.

    And while in 2018 the company lost €78 million, about $89 million, it had a net income of €442 million, or about $502 million, in its fourth quarter. Spotify’s gross profit margin also grew in that quarter, to 26.7 percent, from 25.3 percent in the previous three months.

    Despite Spotify’s dominance among music listeners (its chief rival, Apple Music, has 50 million paying subscribers), Mr. Ek, the company’s chief executive, predicted that “over time,” about 20 percent of all Spotify listening would involve something other than music.

    #Culture_numérique #Podcast #Spotify

  • Angelina Jolie comme SecGen de l’OTAN ?
    http://www.dedefensa.org/article/angelina-jolie-comme-secgen-de-lotan

    Angelina Jolie comme SecGen de l’OTAN ?

    21 décembre 2017 – Qui eût imaginé une seconde, par exemple en 1972, un Joseph Luns, “SecGen” tonitruant de l’OTAN, écrire un article avec l’actrice Raquel Welch sur leur ambition commune d’envisager quelques “jolies petites guerres” ? Ou encore, autre exemple dans les années 1990, côte-à-côte pour les mêmes mots, dans la même colonne, sur le même thème dont on vous dévoile au moins ceci qu’il est tout le contraire de la futilité, trouver réunies les plumes de Julia Roberts et de Javier Solana ? On peut ici garantir que l’une et l’autre hypothèse constituaient non seulement une impossibilité mais une pathétique incongruité, et cela sans pour autant mettre en cause la qualité, le rang, l’intelligence, le caractère de l’un(e) ou l’autre. Simplement, l’OTAN exerçait son empire (...)

  • « L’histoire qui se trame autour de Monsanto a tous les ingrédients d’un scénario à la Erin Brockovich »

    http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/03/06/le-cancer-de-monsanto_5089702_3232.html

    Dans sa chronique, Stéphane Foucart, journaliste au service Planète, explique comment une toxicologue de l’agence américaine de protection de l’environnement a expliqué dès 2013 qu’il est « fondamentalement certain que le glyphosate est cancérogène ».

    Une multinationale, une scientifique muselée par sa hiérarchie, une class action conduite par des avocats rusés et enfin la découverte d’une pièce à conviction explosive… L’histoire qui se trame depuis quelques mois en Californie a tous les ingrédients d’un scénario à la Erin Brockovich, le film de Steven Soderbergh nommé cinq fois aux Oscars en 2001, dont le prix de la meilleure actrice pour Julia Roberts.
    L’affaire ne commence pas dans les prétoires américains, mais au Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) – l’agence des Nations unies chargée d’inventorier les substances cancérogènes.
    En mars 2015, les experts réunis par le CIRC classent le glyphosate (le principe actif de l’herbicide Roundup) comme « cancérogène probable » pour l’homme. Ils estiment le produit mutagène, cancérogène pour l’animal, et citent plusieurs études épidémiologiques suggérant un lien entre le lymphome non-hodgkinien (un cancer du sang) et le produit phare de Monsanto – qui est aussi la pierre angulaire de son modèle économique (la vente liée du pesticide et des cultures transgéniques qui le tolèrent).

    La firme de Saint-Louis (Missouri) proteste, mais le mal est fait. Aux Etats-Unis, plusieurs actions en justice, individuelles ou collectives, voient le jour. L’une d’elles, plaidée devant la cour fédérale de San Francisco (Californie), rassemble plusieurs centaines d’employés agricoles et de fermiers touchés par un lymphome après avoir travaillé au contact de l’herbicide.

    Bien sûr, les avocats de Monsanto ne se laissent pas intimider. Fin avril 2016, par une coïncidence extraordinaire, le brouillon d’une expertise de l’agence américaine de protection de l’environnement (EPA) – lancée en 2009 – est mis en ligne par erreur. Les toxicologues de l’agence, réunis au sein du Cancer Assessment Review Committee (CARC), y estiment que le glyphosate est improbablement cancérogène. Les avocats de la firme de Saint-Louis en font leur miel même si le rapport, provisoire, est rapidement ôté du site de l’EPA.

    « Ce n’est pas éthique »

    Hasard des acronymes : d’un côté le CIRC, de l’autre le CARC. Deux groupes d’experts, deux avis opposés. Les avocats des plaignants se sont donc demandé par quelle étrangeté des experts pouvaient soutenir des opinions aussi divergentes.

    Cherchant une réponse à cette question, ils ont déniché une pièce à conviction redoutable. C’est un courriel daté du 21 mars 2013 et adressé par Marion Copley, une toxicologue galonnée de l’EPA, à l’un de ses supérieurs, qui supervise le CARC. La missive est terrible. Marion Copley écrit avoir, sur la foi de « décennies d’expertise en pathologie », « des commentaires qui pourraient être très utiles au CARC ».

    Le glyphosate ? La chercheuse énumère quatorze mécanismes d’action par lesquels la substance, dit-elle, peut initier ou promouvoir la formation de tumeurs. « Non seulement chacun de ces mécanismes est à lui seul capable de provoquer une tumeur, mais le glyphosate les enclenche tous de façon simultanée, ajoute Marion Copley. Il est fondamentalement certain que le glyphosate est cancérogène. » La scientifique, qui travaille depuis près de trente ans à l’EPA, écrit ces mots deux ans avant l’expertise du CIRC et alors que celle du CARC est entamée depuis plus de trois ans.

    Bien mal entamée selon elle. Le propos se durcit. « Jess [c’est le prénom du destinataire], nous nous sommes toi et moi disputés de nombreuses fois à propos du CARC et tu me contredis souvent sur des sujets hors de ta compétence, ce qui n’est pas éthique, ajoute-t-elle, de plus en plus amère. Ta maîtrise obtenue en 1971 au Nebraska est complètement obsolète, en vertu de quoi la science du CARC a 10 ans de retard sur la littérature scientifique. »

    Les accusations vont crescendo : « Pour une fois, écoute-moi et arrête tes connivences et tes jeux politiques avec la science pour favoriser les industriels, écrit-elle. Pour une fois, fais ce qu’il y a à faire, et ne prends pas tes décisions en fonction de la manière dont elles vont affecter ton bonus. »

    Ce n’est pas tout. Marion Copley accuse aussi le destinataire d’avoir « intimidé les experts du CARC » et d’avoir « modifié » deux autres rapports après leur finalisation, « pour favoriser l’industrie ». Deux autres scientifiques de l’EPA sont mis en cause nommément… La lettre de Marion Copley pourrait peser très lourd. Non seulement sur l’issue de la procédure, mais sur l’avenir même du glyphosate : celui-ci est toujours en cours de réévaluation, aux Etats-Unis et en Europe. Le courriel de Marion Copley pourrait bien être à Monsanto ce que le cancer est aux humains.

    « J’aurais fait ce que j’avais à faire »

    Dans une requête transmise le 10 février à Vince Chhabria, le juge fédéral chargé de l’affaire, les avocats des plaignants demandent à ce que le supérieur de la toxicologue – qui n’a pas répondu aux sollicitations du Monde – soit entendu. « Lorsque l’on considère l’importance des expertises de l’EPA, et leur importance dans ce contentieux, il semble approprié de prendre [sa] déposition », a déclaré le juge Chhabria, le 27 février au cours d’une audition, selon l’agence Bloomberg.

    En attendant, il est raisonnable de réserver son opinion car, après tout, Marion Copley peut avoir écrit sous le coup de la colère ou cherché à nuire à des collègues honnis. Peut-être. Mais lorsque Marion Copley écrit ces lignes, elle se trouve à un moment très particulier de la vie, où il n’y a plus rien à gagner, ni à perdre. « J’ai un cancer, écrit-elle, et je ne veux pas que ces graves problèmes au sein du département soient mis sous le boisseau avant que je ne sois au fond de ma tombe. » Depuis quinze ans, elle lutte contre un cancer du sein et se sait condamnée. « J’aurais fait ce que j’avais à faire », conclut-elle.

    Quelques mois plus tard, le 21 janvier 2014, Marion Copley, 66 ans, était emportée par la maladie.

  • Hollywood : qui sont les nounous d’enfants de stars ? - Elle
    http://www.elle.fr/People/La-vie-des-people/News/Hollywood-qui-sont-les-nounous-d-enfants-de-stars-2972066

    Quand elle rentre chez elle le soir, son mari s’est habitué à ne pas lui demander comment s’est déroulée sa journée. La discrétion est évidemment de rigueur et spécifiée dans le contrat. Tout le monde sait ce qui arrive quand on parle trop : une horde d’avocat enragés, facturant 4 000 dollars l’heure, s’acharnent sur vous et « détruisent votre vie et celle de vos proches en un instant », menace Julie Swales. « Plus les filles sont discrètes, plus leur réputation est grande », sourit Katie Provinziano.

    La loi du silence ne touche pas que les employées. Les stars ne parlent jamais de leurs nounous non plus. Rares sont celles à en avoir parlé : Julia Roberts, Amy Poehler, qui d’autre ? « Ces personnes ont décidé d’être parents, mais ne tiennent pas forcément à apprendre eux-mêmes à leurs enfants à jouer au basket ni à les accompagner à toutes leurs leçons de piano, lance Stella Reid. Elles savent que des gens qu’elles peuvent se payer le font à leur place. Mais elles ne peuvent pas admettre publiquement que quelqu’un s’occupe “mieux” qu’elles de leurs propres enfants. » De la même manière, rares sont les célébrités qui acceptent d’apparaître sans maquillage. Dévoiler son besoin de faire appel à des nounous égratigne l’image de la femme parfaite. Qu’on soit célèbre ou pas, déléguer l’éducation de ses enfants pour se concentrer sur sa carrière est toujours mal vu. Mais, en cachant ses nounous au grand public, la star entretient le cercle vicieux où elle pose en femme parfaite, minant le moral des autres, de toutes celles qui se battent pour assurer dans leur travail et auprès de leurs enfants. Réussir dans sa discipline ou être mère, il faudrait choisir ? « Les stars féminines sont supposées remporter des oscars ou diriger un studio de cinéma, tout en prenant soin quotidiennement de leurs enfants, et sans jamais oublier le nom des profs de maths, explique Julie Swales. Bizarrement, les pères ne subissent pas cette pression sociale. »

    Papier très intéressant.

    J’ai parlé dans « Chez soi » (au chapitre « Métamorphoses de la boniche ») de la menace que représente (à son corps défendant ou pas) l’employée de maison, la femme de ménage ou la nounou en tant que reproche vivant, en tant qu’incarnation de ce que l’employeuse devrait être si elle était une « vraie femme » (qui ne travaille pas au-dehors).

    Que l’employée soit vue par l’entourage et la société comme la « vraie femme » explique les rumeurs fréquentes (fondées ou pas) de liaison avec l’employeur, tout le monde trouvant logique qu’il la préfère. Il y a d’ailleurs un nouveau « nounougate » à Hollywood :
    US Magazine : Ben Affleck, 42, is dating the 28 year-old nanny
    http://www.celebitchy.com/439702/us_magazine_ben_affleck_42_is_dating_the_28_year-old_nanny

    #foyer #maternité #femme_parfaite #travail_domestique #éducation

  • Essure Sterilization Device Gets Complaints – And Erin Brockovich | TheNotMom
    http://thenotmom.com/essure-sterilization-device-is-getting-complaints-and-erin-brockovich

    But, webpage sections listing “Long-term Risks” and “Adverse Events” don’t mention that persistent or recurrent cramping can occur months or even years after the procedure. Thousands of women are saying that’s what happened to them when coils broke, migrated, or punctured the Fallopian tube.

    The biggest problem is that when Essure gained FDA approval, it earned preemption status, meaning women who experience negative symptoms can’t sue the company that makes it. The actual company that makes it is pharmaceutical giant Bayer. The women want the law changed.

    Enter Erin Brockovich.

    The world was introduced to ballsy and boobsy Erin B. by Julia Roberts’ portrayal of her in a 2000 movie. Since Erin led and won a E Brockovich1993 multimillion-dollar case against Pacific Gas and Electric Company with no formal law training (and had a movie made about her) she’s become one of the best known consumer advocates in the country.

    cc @mad_meg

    #stérilisation #contraception

    • Je viens de comprendre que ce machin est en alliage nickel-titane. Je sais qu’il y a beaucoup de gens qui sont allergiques au #nickel sans trop le savoir. Pour ma part, étant hyperéactive, je n’ose même pas penser à ce que ce truc donnerait dans mon corps. Pourquoi avoir fait un truc qui est implanté définitivement dans le corps en nickel (surtout que selon mon expérience, mon #allergie est acquise suite au perçage des oreilles à 13 ans) ?

      Le pire, c’est que je n’ai trouvé partout que des avis médicaux lénifiants sur la méthode, une unanimité à dire que c’est méga cool et sans risque. Depuis quand il existe des gestes médicaux absolument sans contre-indication et sans risque ? Comment peut-on écrire que le bousin est sans contre-indication pour la stérilisation des femmes alors que la prévalence d’allergie au nickel est de 3% chez les hommes et 17% CHEZ LES FEMMES ?

      "Sulfate de nickel : C’est le premier allergène chez la femme. Il est principalement présent dans les bijoux de fantaisie et dans le métal d’utilisation courante [21] (boutons métalliques, fermetures éclair, pinces, agrafes, pièces de monnaie, outils, etc). Une grande cause d’allergie au nickel
      provient du perçage des oreilles dans l’enfance. Non seulement les boucles d’oreilles mais également les « perceuses » et l’appareil pour percer les oreilles doivent être constitués de métal ne larguant pas de nickel. "

      "Le Centre international de recherche sur le cancer classe le nickel dans les substances possiblement cancérigènes pour l’homme. L’exposition chronique au nickel est un facteur de risque du cancer du poumon, inscrit à ce titre dans les tableaux de maladies professionnelles.
      Le nickel est le plus allergisant de tous les métaux."

    • il semble y avoir pas mal de problèmes avec les implants essure. La contre-indication en cas d’allergie au nickel ne m’a pas été signalée quant on m’a fait la pose.
      voire ceci

      L’allergie au Nickel est une contre-indication à la pose des implants Essure. Le nickel est un métal contenu dans de nombreux alliages. Les allergies au nickel sont repérées au cours de la consultation par l’interrogatoire : les patientes allergiques ont fréquemment des lésions d’eczéma avec les bijoux fantaisie ou le bouton des pantalons. En cas de doute des tests allergologiques pourront être réalisés. L’allergie au nickel avérée fera opter pour un autre mode de stérilisation (cœlioscopie).

      http://www.centre-gynecologie-obstetrique.com/fr/domaines-specialites/id-12-la-sterilisation-essure

      et ici des temoignages de femmes qui nt de violentes douleurs depuis la pose des implants :
      http://www.allodocteurs.fr/question-sante-quelles-sont-les-suites-de-la-sterilisation-par-la-techn

      #allergie

  • Touffue tout femme - Next
    http://next.liberation.fr/sexe/2012/12/17/touffue-tout-femme_868324

    « Vous allez voir : ça va revenir à la mode, les poils », annonçait Laetitia Casta en 2007, alors qu’on lui reprochait d’arborer des aisselles poilues dans le Grand Appartement. Britney Spears et Julia Roberts lui ont emboîté le pas. Aujourd’hui, même Mme Tout-le-Monde remet en question la norme de l’épilation. Lors des dernières présélections suédoises pour l’Eurovision, une bibliothécaire s’est plu à lever les bras pour acclamer sa candidate… et à faire découvrir dans le même geste des dessous de bras broussailleux. Une initiative saluée par une prof d’éducation sexuelle qui crée une page Facebook de soutien « Laissez repousser vos poils ». Le résultat rappelle le Tumblr « Hairy Pits Club » qui rassemble, depuis 2010, de fières velues de tous les pays.

    #épilation

    • C’est aussi ce que j’ai remarqué.. D’ailleurs j’avais fait une petite recherche il y a quelques temps et sur les forums qui parlent d’épilation et on retrouve des fillettes de 11, 12 ans, qui se rasent ou s’épilent et ont des complexes à cause du duvet de leur ventre ou de leurs bras. C’est effrayant.

      Ce que l’article ne dit pas, c’est que faire enlever leurs poils aux gens, c’est toute une industrie - les rasoirs la cire les dépilateurs les crèmes les esthéticiennes etc. Et même pas besoin d’obsolescence, puisque ça repousse tout seul ! C’était déjà bien avec juste les femmes, mais maintenant que les hommes et les enfants s’y mettent, c’est la fête.

  • Vers la fin des publicités trop retouchées? - L’Express
    http://www.lexpress.fr/styles/diapo-photo/styles/beaute/vers-la-fin-des-publicites-trop-retouchees_1178932.html

    Des faux-cils pour vanter les vertus d’un mascara, un fond de teint qui fait rajeunir Julia Roberts ou encore une crème anti-rides qui photoshope le teint... Autant d’artifices -numériques ou non - que les autorités de régulation de la publicité ne tolèrent plus.

    #publicité #cosmétiques

  • « Et Hollywood créa la femme », de Rita Hayworth à Julia Roberts - Arte
    http://videos.arte.tv/fr/videos/et_hollywood_crea_la_femme-6393552.html

    Depuis le milieu des années 1980, le chick flick, littéralement « film de poulettes », est devenu un classique du cinéma américain, au même titre que le western ou le film noir : Quand Harry rencontre Sally, Coup de foudre à Notting Hill, Pretty woman, Le diable s’habille en Prada, Sex and the city... Tous ont fait un carton aux box-offices américain et mondial, avec un schéma et des codes bien rodés.
    Adaptation moderne du fantasme de Cendrillon, dont les thèmes principaux sont la quête de l’amour et du prince charmant, les chick flicks en disent long sur l’image de la femme et son évolution dans le cinéma américain. Comment s’est-elle transformée, de Scarlett O’Hara à Julia Roberts en passant par Bette Davis ? Trente ans après la révolution féministe, les « films de filles » sont-ils le reflet d’un retour en arrière ? Affranchie de certains tabous, l’héroïne américaine a gagné son indépendance financière. Mais est-elle pour autant libérée ?

    Un documentaire intéressant, mais qui se termine sur l’arnaque « Sex and the city » et oublie de souligner la place envahissante prise par la mode et le shopping comme signes de « libération » dans les « chick flicks » de ces dernières années...

    « Et Hollywood créa la femme », de Clara et Julia Kuperberg, France, 2009, 52 minutes. A revoir pendant encore quelques heures sur Arte+7 (je me réveille un peu tard)

    Un extrait ici :
    http://vimeo.com/19805708

    #cinéma #actrices #femmes #mode #consommation #SATC

  • Content is not king, Andrew Odlyzko, 3 janvier 2001 :
    http://www.dtc.umn.edu/~odlyzko/doc/history.communications2.pdf

    Unfortunately for these companies, content is not the key. Content certainly has all the glamor. What content does not have is money. This might seem absurd. After all, the media trumpet the hundred million dollar opening weekends of blockbuster movies, and leading actors such as Julia Roberts or Jim Carrey earn $20 million (plus a share of the gross) per film. That is true, and it is definitely possible to become rich and famous in Hollywood. Yet the revenues and profits from movies pale next to those for providing the much denigrated “pipes.” The annual movie theater ticket sales in the U.S. are well under $10 billion. The telephone industry collects that much money every two weeks! Those “commodity pipelines” attract much more spending than the glamorous “content.”

    In the following sections I develop the argument that connectivity is more important than content. The evidence is based on current and historical spending figures. I also show that the current preoccu- pation by decision makers is not new, as similar attitudes have been common in the past. I then make projections for the future role of content and connectivity, and discuss implications for the architecture of the Internet, including wireless technologies.

  • L’Oréal’s Julia Roberts and Christy Turlington ad campaigns banned
    http://www.guardian.co.uk/media/2011/jul/27/loreal-julia-roberts-ad-banned
    L’Oreal obligé d’annuler une campagne pour cause d’abus de retouche.
    #photoshop #pub
    PS : @seenthis pas trouvé comment faire MAJ+TAB sous iPhone.
    “The ASA ruled that both ads breached the advertising standards code for exaggeration and being misleading and banned them from future publication.”

  • Expendables : unité spéciale un concept massacré par Sylvester Stallone (2010) [Rotwang] Mes critiques en 2010
    http://www.bandofmovies.fr/forum/viewtopic.php?p=363008#p363008

    Résumé : On va prendre des anciennes gloires de l’action movie des années 80, des catcheurs qui savent faire la gueule, une action star actuelle, pas plus de 10 images/plan pour les scènes d’action et on va les faire sauver les habitants d’une île dirigée par le flic sympa de Dexter qui est en fait contrôlé par le frère de Julia Roberts. Un gros salaud qui avait tué Dorothy Stratten en son temps. Comment ça je mélange tout ? C’est moi qui mélange tout ?

    #critique #cinéma #film #for:comitedesalutpublicgmail.com #for:l.serisgers.cci.fr #for:twitter