person:julian assange

  • John Pilger : Au coeur du gouvernement invisible : Guerre, Propagande, Clinton & Trump - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
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    Le grand journaliste australien John Pilger, qui vient d’interviewer Julian Assange nous livre ici une critique du rôle des médias occidentaux au vitriol (Bertrand)

    Au cœur du gouvernement invisible : Guerre, Propagande, Clinton & Trump
     

    John Pilger
    Le journaliste américain Edward Bernays, est souvent décrit comme l’homme qui a inventé la propagande moderne.

    Neveu de Sigmund Freud, pionnier de la psychanalyse, c’est Bernays qui a inventé le terme « relations publiques » comme un euphémisme pour dire "manipulations et tromperies".

    En 1929, il a persuadé les féministes de promouvoir les cigarettes pour les femmes en s’affichant en train de fumer pendant la New York Easter Parade - comportement alors considéré comme outrancier. Une féministe, Ruth Booth, a déclaré, « Femmes ! Allumez un autre flambeau de la liberté ! Luttez contre un autre tabou sexuel !"

    L’influence de Bernays s’est étendue bien au-delà de la publicité. Son plus grand succès a été le rôle qu’il a joué pour convaincre le public américain de se joindre au massacre de la Première Guerre mondiale. Le secret, disait-il, était « l’ingénierie du consentement » de la population de façon à la "contrôler et [l’]enrégimenter selon notre volonté sans qu’elle le sache".

    Il a décrit cela comme « le vrai pouvoir de décision dans notre société" et l’a appelé le « gouvernement invisible ».

    Aujourd’hui, le gouvernement invisible n’a jamais été plus puissant et aussi peu compris. Dans ma carrière en tant que journaliste et cinéaste, je n’ai jamais vu la propagande s’insinuer dans nos vies comme elle le fait maintenant sans être contestée .

    Imaginez deux villes. Toutes les deux sont en état de siège par les forces du gouvernement de leur pays. Les deux villes sont occupées par des fanatiques, qui commettent des atrocités, comme décapiter les gens.

    Mais il y a une différence essentielle. Dans un des deux sièges, les soldats du gouvernement sont décrits comme des libérateurs par les journalistes occidentaux embarqués avec eux, qui relatent avec enthousiasme leurs batailles et leurs frappes aériennes. Il y a en première page des photos de ces héroïques soldats faisant le V de la victoire. Il est peu fait mention de victimes civiles.
     

    Alep (Avant/Après)
    Dans la deuxième ville - dans un pays voisin - se passe presque exactement la même chose. Les forces gouvernementales assiègent une ville contrôlée par la même espèce de fanatiques.

    La différence est que ces fanatiques sont pris en charge, fournis et armés par « nous » - par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Ils ont même un centre de médias qui est financé par la Grande-Bretagne et les USA.

    Une autre différence est que les soldats gouvernementaux qui assiègent cette ville sont les méchants, condamnés pour avoir agressé et bombardé la ville - ce qui est exactement ce que les bons soldats font dans la première ville.

    Déroutant ? Pas vraiment. Tel est le double standard de base qui est l’essence même de la propagande. Je parle, bien sûr, du siège actuel de la ville de Mossoul par les forces gouvernementales de l’Irak, qui sont soutenues par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne et du siège d’Alep par les forces gouvernementales syriennes, soutenues par la Russie. L’un est bon ; l’autre est mauvais.

    Ce qui est rarement signalé est que ces deux villes ne seraient pas occupées par des fanatiques et ravagées par la guerre si la Grande-Bretagne et les États-Unis n’avaient pas envahi l’Irak en 2003. Cette entreprise criminelle a été lancé sur la base de mensonges étonnamment semblables à la propagande qui déforme maintenant notre compréhension de la guerre civile en Syrie.

    Sans ce roulement de tambour de la propagande déguisé en information, ni le monstre ISIS [Daech - NDT] ni Al-Qaida, ni al-Nusra, ni les autres bandes djihadistes ne pourraient exister, et le peuple de Syrie n’aurait pas besoin de se battre pour sa survie aujourd’hui.

    Certains se souviennent en 2003 de la succession de journalistes de la BBC se tournant vers la caméra et nous disant que le choix de Blair pour ce qui s’est révélé être le crime du siècle était "justifié". Les réseaux de télévision américains ont produit la même validation pour George W. Bush. Fox News a rameuté Henry Kissinger pour s’enthousiasmer sur les preuves fabriquées par Colin Powell.

    La même année, peu de temps après l’invasion, j’ai filmé une interview à Washington avec Charles Lewis, le journaliste d’investigation américain renommé. Je lui ai demandé, "Qu’est-ce qui se serait passé si les médias les plus libres du monde avaient sérieusement remis en question ce qui s’est avéré être de la propagande grossière ?"

    Il a répondu que si les journalistes avaient fait leur travail, "il y a une très, très forte chance que nous ne serions pas allés à la guerre en Irak".

    Ce fut une déclaration choquante, et qui fut confirmée par d’autres journalistes célèbres à qui je posais la même question - Dan Rather de CBS, David Rose de The Observer ainsi que des journalistes et producteurs de la BBC, qui ont souhaité rester anonymes.
     

     
    En d’autres mots, si les journalistes avaient fait leur travail, s’ils avaient contesté et étudié la propagande au lieu de l’amplifier, des centaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants seraient encore en vie aujourd’hui, et il n’y aurait pas d’ISIS et aucun siège d’Alep ou de Mossoul.

    Il n’y aurait eu aucune atrocité dans le métro de Londres le 7 Juillet 2005. Il n’y aurait eu aucune fuite de millions de réfugiés ; il n’y aurait pas de camps de misère.

    Lorsque l’atroce acte terroriste a eu lieu à Paris en Novembre dernier, le président François Hollande a immédiatement envoyé des avions pour bombarder la Syrie - et plus de terrorisme s’en est suivi, de façon prévisible, comme le produit de la grandiloquence de Hollande sur la France « en guerre » et « ne montrant aucune pitié". Que la violence d’État et la violence djihadiste s’alimentent mutuellement est une vérité dont aucun dirigeant national n’a le courage de parler.

    "Lorsque la vérité est remplacée par le silence", disait le dissident soviétique Yevtushenko, "le silence est un mensonge."

    L’attaque contre l’Irak, l’attaque contre la Libye, l’attaque contre la Syrie se sont produites parce que le leader de chacun de ces pays n’a pas été une marionnette de l’Occident. Le dossier d’un Saddam ou d’un Kadhafi en matière de droits de l’homme était sans importance. Ils n’ont pas obéit aux ordres et n’ont pas abandonné le contrôle de leur pays.

    Le même sort attendait Slobodan Milosevic après qu’il ait refusé de signer un « accord » qui exigeait l’occupation de la Serbie et sa conversion à une économie de marché. Son peuple a été bombardé, et il a été poursuivi à La Haye. Ce genre d’indépendance est intolérable.

    Comme WikiLeaks l’a révélé, ce ne fut que lorsque le dirigeant syrien Bachar al-Assad en 2009 a rejeté un oléoduc, qui devait traverser son pays en provenance du Qatar vers l’Europe, qu’il a été attaqué.

    A partir de ce moment, la CIA a planifié de détruire le gouvernement de Syrie à l’aide des fanatiques djihadistes - les mêmes fanatiques qui tiennent actuellement les habitants de Mossoul et de l’Est d’Alep en otage.

    Pourquoi n’est-ce pas dans les journaux ? L’ancien fonctionnaire du Foreign Office britannique Carne Ross, qui était responsable des sanctions opérationnelles contre l’Irak, m’a dit : « soit nous nourrissions les journalistes factoïdes avec des renseignements aseptisés, soit nous les mettions au congélateur. Voilà comment cela fonctionnait. ».

    Le client médiéval de l’Occident, l’Arabie Saoudite - à laquelle les Etats-Unis et la Grande-Bretagne vendent pour des milliards de dollars d’armement - est en train, en ce moment-même, de détruire le Yémen, un pays si pauvre que, dans le meilleur des cas, la moitié des enfants y souffrent de malnutrition.

    Regardez sur YouTube et vous verrez le genre de bombes massives - "nos" bombes - que les Saoudiens utilisent contre des villages pauvres et poussiéreux, contre des mariages et des funérailles.

    Les explosions ressemblent à de petites bombes atomiques. Les lanceurs de ces bombes en Arabie Saoudite travaillent côte à côte avec des officiers britanniques. Ce fait n’est pas évoqué au journal du soir.

    La propagande est plus efficace quand notre consentement est fabriqué par des gens avec une excellente éducation - Oxford, Cambridge, Harvard, Columbia - et qui font des carrières à la BBC, au Guardian, au New York Times, au Washington Post.

    Ces organismes sont considérés comme des médias libéraux. Ils se présentent comme éclairés, tribuns progressistes du zeitgeist moral. Ils sont anti-racistes, pro-féministes et pro-LGBT.

    Et ils aiment la guerre.

    Alors qu’ils plaident pour le féminisme, ils soutiennent les guerres rapaces qui nient les droits d’innombrables femmes, y compris leur droit à la vie.

    En 2011, la Libye, un Etat moderne, a été détruite sous prétexte que Mouammar Kadhafi était sur le point de commettre un génocide contre son propre peuple. Ce fut répété sans interruption dans tous les médias ; et pourtant il n’y avait aucune preuve. C’était un mensonge.

    En fait, la Grande-Bretagne, l’Europe et les États-Unis voulaient ce qu’ils aiment à appeler un « changement de régime » en Libye, le plus grand producteur de pétrole en Afrique. L’influence de Kadhafi sur le continent et, surtout, son indépendance était intolérable.

    Donc, il a été assassiné d’un coup de poignard dans le dos par des fanatiques, soutenus par l’Amérique, la Grande-Bretagne et la France. Hillary Clinton a applaudi sa mort horrible devant la caméra, en déclarant, « Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort !"

    La destruction de la Libye a été un triomphe médiatique. Alors que les tambours de guerre résonnaient, Jonathan Freedland écrivit dans le Guardian : "Bien que les risques soient bien réels, l’argument en faveur d’une intervention reste fort."

    Intervention - quel mot poli et bénin du Guardian , dont la signification réelle, pour la Libye, fut la mort et la destruction.

    Selon son propre décompte, l’OTAN a lancé 9.700 "sorties de frappes" contre la Libye, dont plus d’un tiers étaient destinées à des cibles civiles. Elles comprenaient des missiles avec des ogives à l’uranium. Regardez les photos des décombres de Misrata et de Syrte, et les fosses communes identifiées par la Croix-Rouge. Le rapport de l’Unicef ​​sur les enfants tués dit, « la plupart [d’entre eux] ont en dessous de l’âge de dix ans".

    En conséquence directe, Syrte est devenue la capitale d’ISIS.

    L’Ukraine est un autre triomphe médiatique. Des journaux libéraux respectables tels que le New York Times, le Washington Post et le Guardian, et les radiodiffuseurs traditionnels tels que la BBC, NBC, CBS, CNN ont joué un rôle crucial dans le conditionnement de leurs téléspectateurs à accepter une nouvelle et dangereuse guerre froide.

    Tous ont déformé les événements en Ukraine pour faire croire à un acte maléfique accompli par la Russie, alors qu’en fait, le coup d’Etat en Ukraine en 2014 a été le travail des États-Unis, aidés par l’Allemagne et l’OTAN.

    Cette inversion de la réalité est tellement omniprésente que l’intimidation militaire de Washington envers la Russie n’est pas dans les journaux ; elle est effacée derrière une campagne de diffamation et de diabolisation du même genre que celle dans laquelle j’ai grandi pendant la première guerre froide. Une fois encore, les Ruskoffs viennent nous chercher des noises, dirigés par un nouveau Staline, que The Economist dépeint comme le diable.
     

    Un logo parlant : le glaive désigne clairement le pays ennemi
    La suppression de la vérité sur l’Ukraine est l’un des blackouts sur l’information les plus complets dont je me souvienne. Les fascistes qui ont conçu le coup d’Etat à Kiev sont de la même espèce que ceux qui ont soutenu l’invasion nazie de l’Union soviétique en 1941. De toutes les peurs au sujet de la montée de l’antisémitisme fasciste en Europe, aucun dirigeant ne mentionne jamais les fascistes en Ukraine - sauf Vladimir Poutine, mais il ne compte pas.

    Beaucoup dans les médias occidentaux ont travaillé dur pour présenter la population russophone ethnique de l’Ukraine comme des étrangers dans leur propre pays, comme des agents de Moscou, presque jamais comme des Ukrainiens souhaitant une Ukraine fédérale ni comme des citoyens ukrainiens résistant à un coup d’Etat orchestré depuis l’étranger contre leur gouvernement élu.

    Il y a là presque la joie d’esprit [en français dans le texte -NDT] d’une réunion de classe de bellicistes. Les batteurs de tambours du Washington Post qui incitent à la guerre contre la Russie sont les mêmes éditorialistes qui ont publié le mensonge selon lequel Saddam Hussein avait des armes de destruction massive.

    Pour la plupart d’entre nous, la campagne présidentielle américaine est un monstrueux spectacle médiatique, dans lequel Donald Trump est le méchant. Mais Trump est détesté par ceux qui ont le pouvoir aux États-Unis pour des raisons qui ont peu à voir avec son comportement odieux et ses opinions. Pour le gouvernement invisible de Washington, l’imprévisible Trump est un obstacle à sa conception de l’Amérique du 21eme siècle.

    Celle-ci consiste à maintenir la domination des États-Unis et à subjuguer la Russie, et, si possible, la Chine.

    Pour les militaristes à Washington, le vrai problème avec Trump est que, dans ses moments de lucidité, il ne semble pas vouloir une guerre avec la Russie ; il veut parler avec le président russe au lieu de le combattre ; et il dit qu’il veut parler avec le président chinois.

    Au cours du premier débat avec Hillary Clinton, Trump a promis de ne pas être le premier à introduire des armes nucléaires dans un conflit. Il a dit : « Je ne voudrais certainement pas être celui qui fait la première frappe. Une fois que l’alternative nucléaire se produit, tout est fini." Cela n’a pas fait la une des journaux.

    At-il vraiment voulu dire cela ? Qui sait ? Il se contredit souvent. Mais ce qui est clair est que Trump est considéré comme une grave menace pour le statu quo maintenu par la vaste machine de sécurité nationale qui fonctionne aux États-Unis, peu importe qui est à la Maison Blanche.

    La CIA veut qu’il soit battu. Le Pentagone veut qu’il soit battu. Les médias veulent qu’il soit battu. Même son propre parti veut qu’il soit battu. Il est une menace pour les dirigeants du monde - contrairement à Clinton, qui n’a laissé planer aucun doute sur le fait qu’elle est prête entrer en guerre avec la Russie et ses armes nucléaires et avec la Chine.

    Clinton a la formation, comme elle s’en vante souvent. En effet, son dossier est éprouvé. En tant que sénateur, elle a soutenu le bain de sang en Irak. Quand elle a été candidate contre Obama en 2008, elle a menacé de « totalement oblitérer » l’Iran. En tant que secrétaire d’Etat, elle a été complice de la destruction des gouvernements de Libye et du Honduras et mis en route la provocation de la Chine.

    Elle a promis de soutenir une zone d’exclusion aérienne en Syrie - une provocation directe à la guerre avec la Russie. Clinton pourrait bien devenir le président le plus dangereux des États-Unis de toute ma vie - une distinction pour laquelle la concurrence est féroce.

    Sans la moindre preuve, elle a accusé la Russie de soutenir Trump et de pirater de ses e-mails. Ces e-mails, publiés par WikiLeaks, qui nous disent que ce qu’affirme Clinton en privé, dans ses discours aux riches et aux puissants, est le contraire de ce qu’elle dit en public.

    Voilà pourquoi faire taire et menacer Julian Assange est tellement important. En tant qu’éditeur de WikiLeaks, Julian Assange connaît la vérité. Et permettez-moi de rassurer ceux qui sont inquiets, il va bien, et WikiLeaks fonctionne sur tous les cylindres.

    Aujourd’hui, la plus grande accumulation de forces dirigées par les Américains depuis la Seconde Guerre mondiale est en cours - dans le Caucase et l’Europe orientale, à la frontière avec la Russie, en Asie et dans le Pacifique, où la Chine est la cible.

    Gardez cela à l’esprit quand le cirque de l’élection présidentielle atteindra son point final le 8 Novembre, Si la gagnante est Clinton, un chœur grec de commentateurs écervelés va célébrer son couronnement comme un grand pas en avant pour les femmes. Aucun d’eux ne mentionnera les victimes de Clinton : les femmes de Syrie, les femmes d’Irak, les femmes de Libye. Aucun d’eux ne mentionnera les exercices de défense civile menées en Russie. Aucun d’eux ne rappellera Edward Bernays et ses "flambeaux de la liberté".

    L’attaché de presse de George Bush, avait un jour appelé les médias, des "facilitateurs complices".

    Venant d’un haut fonctionnaire travaillant dans une administration dont les mensonges, permis par les médias, ont causé tant de souffrances, cette description est un avertissement de l’histoire.

    En 1946, le procureur du Tribunal de Nuremberg a déclaré à propos des médias allemands : « Avant chaque agression majeure, ils ont lancé une campagne de presse calculée pour affaiblir leurs victimes et pour préparer psychologiquement le peuple allemand à une attaque. Dans le système de propagande, ce sont la presse quotidienne et la radio qui furent les armes les plus importantes."
    [Traduction : Bertrand Riviere - BNB] 

    Source : John Pilger

    https://gaideclin.blogspot.fr

  • Assange: Clinton & ISIS funded by same money, Trump won’t be allowed to win (JOHN PILGER EXCLUSIVE)
    https://www.rt.com/news/365299-assange-pilger-saudi-clinton

    John Pilger: The Saudis, the Qataris, the Moroccans, the Bahrainis, particularly the first two, are giving all this money to the Clinton Foundation, while Hillary Clinton is secretary of state, and the State Department is approving massive arms sales, particularly Saudi Arabia.

    Julian Assange: Under Hillary Clinton – and the Clinton emails reveal a significant discussion of it – the biggest-ever arms deal in the world was made with Saudi Arabia: more than $80 billion. During her tenure, the total arms exports from the US doubled in dollar value.

    JP: Of course, the consequence of that is that this notorious jihadist group, called ISIL or ISIS, is created largely with money from people who are giving money to the Clinton Foundation?

    JA: Yes.

  • BOOM ! Wikileaks confirme la vente d’armes à l’EI par Hillary Clinton - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/boom-wikileaks-confirme-la-vente-d-armes-a-l-ei-par-hillary-clinto

    Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, est un personnage controversé. Mais on ne peut pas nier que les courriels qu’il a collecté à l’intérieur du Parti démocrate sont réels, et il est prêt à exposer Hillary Clinton.

    Maintenant, il est heureux d’annoncer qu’Hillary Clinton et son Département d’État armaient activement les djihadistes islamiques, ce qui inclut l’État islamique (ISIS) en Syrie.

    Clinton a nié à plusieurs reprises ces revendications, y compris pendant plusieurs déclarations sous serment devant le Sénat américain.

    WikiLeaks est sur le point de prouver qu’Hillary Clinton mérite d’être arrêtée :

    Les responsables de l’administration Reagan espéraient obtenir la libération de plusieurs otages américains, et ensuite récupérer les bénéfices des ventes d’armes à l’Iran, pour financer les Contras au Nicaragua.
    Dans le second mandat d’Obama, la secrétaire d’État américaine Hillary Clinton a autorisé l’envoi d’armes fabriquées en Amérique au Qatar, un pays redevable aux Frères musulmans, et sympathique aux rebelles libyens, dans un effort pour renverser le gouvernement / Kadhafi en Libye, puis expédier ces armes à la Syrie afin de financer Al-Qaïda, et renverser Assad en Syrie.
     
    Clinton a pris le rôle principal dans l’organisation des soi-disant « Amis de la Syrie » (alias Al-Qaïda / ISIS) pour soutenir l’insurrection menée par la CIA pour un changement de régime en Syrie.
    Sous serment, Hillary Clinton a nié qu’elle était au courant des livraisons d’armes au cours de témoignage public au début de 2013, après l’attaque terroriste de Benghazi.
     
    Dans une interview avec Democracy Now, Julian Assange de Wikileaks indique maintenant que 1.700 courriels contenus dans le cache de Clinton connectent directement Hillary à la Libye, à la Syrie, et directement à Al-Qaïda et ISIS.
    Via The Duran

    Voici la transcription incroyable :

    JUAN GONZALEZ : Julian, je veux parler de quelque chose d’autre. En mars, vous avez lancé une archive consultable avec plus de 30.000 e-mails et pièces jointes envoyées vers et depuis le serveur de messagerie privée d’Hillary Clinton alors qu’elle était secrétaire d’État. Les 50,547 pages de documents couvrent la période de juin 2010 à août 2014 ; 7500 des documents ont été envoyés par Hillary Clinton elle-même. Les e-mails ont été mis à disposition de tous sous la forme de milliers de fichiers PDF par le Département d’État des États-Unis à la suite d’une demande de la Loi pour la liberté d’information. Pourquoi avez-vous fait cela, et quelle est l’importance, de votre point de vue, d’être en mesure de créer une base consultable ?
     
     
    JULIAN ASSANGE : Eh bien, Wikileaks est devenu la bibliothèque rebelle d’Alexandrie. C’est la collection la plus importante d’informations qui n’existe nulle par ailleurs, accessible pour tous, sous forme consultable, sur la façon dont les institutions modernes se comportent en réalité. Et tout ça est en marche pour libérer les gens de prison, où les documents ont été utilisés dans leurs affaires judiciaires ; tenir la CIA responsable des programmes de’interprétations ; alimenter les cycles électoraux, qui ont abouti à la fin, dans certains cas, ou contribué à la cessation des gouvernements, dans certains cas, pris la tête des services de renseignement, les ministres de la défense et ainsi de suite. Donc, vous savez, nos civilisations peuvent seulement être aussi bonnes que notre connaissance de ce que notre civilisation est. Nous ne pouvons pas espérer réformer ce que nous ne comprenons pas.
     
    Donc, ces e-mails d’Hillary Clinton se connectent avec les câbles que nous avons publié sur Hillary Clinton, la création d’une image riche de la façon dont Hillary Clinton travail au bureau, mais plus largement, comment le Département d’État américain fonctionne. Ainsi, par exemple, la désastreuse intervention, absolument désastreuse en Libye, la destruction du gouvernement Kadhafi, qui a conduit à l’occupation d’ISIS dans de grandes parties de ce pays, les armes allant vers la Syrie, poussées par Hillary Clinton, les djihadistes en Syrie, y compris ISIS, tout est là dans ces e-mails. Il y a plus de 1700 emails dans la collection Hillary Clinton, que nous avons publié, seulement sur la Lybie.

    Il apparaît qu’Hillary Clinton a fait un faux témoignage, comme son mari quand il était Président.

  • Assange explique qu’Hillary Clinton a bien armé le terrorisme...
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2950

    Selon une récente interview de Julian Assange, le responsable de Wikileaks, l’ex-secrétaire d’Etat Hillary Clinton savait bien que des envois d’armes provenant de Libye allaient vers la Syrie et ce depuis 2011. Il s’agit des arsenaux de Kadhafi et ceux livrées aux rebelles par l’alliance atlantiste. C’était un an avant les attentats de Benghazi qui lui a eu lieu en 2012. Ce qui explique la disponibilité des équipements militaires importants entre les mains des islamo-terroristes dans l’ensemble (...)

    conflits, situation, points chauds, monde, international, efforts, position, opinion, interventionnisme,

    / Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique , , Obama, USA, Israël, Proche-Orient, (...)

    #conflits,situation,_points_chauds,_monde,_international,_efforts,_position,_opinion,_interventionnisme, #Terrorisme_,islamisme,Al-Qaeda,politique, #Obama,_USA,_Israël,_Proche-Orient,_Palestine

  • Alerte Info : un contre-coup anti-Clinton Machine en cours aux Etats-Unis… (Steve Pieczenik) - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/alerte-info-un-contre-coup-anti-clinton-machine-en-cours-aux-etats

    Alerte Info : un contre-coup anti-Clinton Machine en cours aux Etats-Unis… (Steve Pieczenik)

    2 Novembre 2016, 11:59am |

    Publié par S. Sellami
    Alerte Info : un contre-coup anti-Clinton Machine en cours aux Etats-Unis… (Steve Pieczenik)

    Époustouflant !…

    Cette information vient d’être révélée par un vétéran du renseignement et de la machine administrative yankee : le psychologue spécialiste en guerre psychologique Steve Pieczenik, bien connu des médias alternatifs. Nous avons publié au cours des années des articles s’appuyant sur ses analyses et commentaires.

    Il vient de diffuser une vidéo relayée aux Etats-Unis et dans le monde entier par InfoWars et son propre site internet. Nous mettons cette vidéo en section commentaire. Durant son allocution il explique ce qui a été une évidence depuis des années, à savoir la guerre interne de deux factions dans les services de renseignement américains et par ruissellement dans les services occidentaux inféodés. Il explique que le gang Clinton, via la Clinton Foundation a kidnappé de longue date les hautes sphères du pouvoir à Washington et que devant le niveau de corruption sans précédent, une faction puissante du renseignement américain a décidé de tirer la chasse d’eau sur la fange ambiante. Pieczenik n’est qu’un porte-parole d’un mouvement s’étendant bien au-delà de lui.

    Il explique également que cette faction à laquelle il appartient a utilisé Wikileaks et Julian Assange, avec le plein accord de celui-ci, pour diffuser le trop-plein de preuves accablantes pour le gang Clinton. Du coup, un autre masque semble aussi vouloir tomber : celui de Wikileaks, puisqu’annoncé de facto comme instrument d’une faction du renseignement américain, ceci validerait du même coup bien des hypothèse émises dans le temps au sujet de l’organisation et d’Assange lui-même.

    Nous n’en sommes qu’au tout début de cette affaire, mais si cela suit son cours normal, d’énormes répercussions à tous les niveaux doivent être attendues aux Etats-Unis et à l’étranger !…

    Est-ce une manœuvre d’intox ? C’est possible, mais le choix de Pieczenik comme porte-parole peut être interprêté comme un signe de confiance.

    A suivre quoi qu’il en soit dans les jours qui viennent. A une semaine de la farce des élections yankees, çà tape fort. Comment les merdias pressetituées vont-ils gérer l’affaire ? Il va être très très difficile de l’ignorer !…

  • The strange tale of a dating site’s attacks on WikiLeaks founder Assange
    http://www.mcclatchydc.com/news/politics-government/election/article110904727.html

    For an online dating site, toddandclare.com seems really good at cloak-and-dagger stuff. Disconnected phones. Mystery websites. Actions that ricochet around the globe.

    But the attention grabber is the Houston-based company’s target: Julian Assange, the founder of WikiLeaks, whose steady dumps of leaked emails from Hillary Clinton’s presidential campaign have given supporters of Donald Trump the only cheering news of the last few weeks.

    Washington agit pour faire taire #Wikileaks
    http://www.wsws.org/fr/articles/2016/oct2016/pers-o20.shtml

    Au milieu de la tentative actuelle pour faire taire #Assange, un coup monté encore plus bizarre et dégoutant a été concocté, en essayant de salir le fondateur de WikiLeaks avec des accusations de pédophilie et d’avoir reçu de l’argent russe.

    Au centre de ces allégations se trouve un service peu connu de rencontres en ligne, #Toddandclare.com, qui a tenté d’abord d’attirer Assange dans un traquenard pour créer une soi-disant publicité visuelle pour le site, pour laquelle il allait être payé 1million de dollars, ladite somme étant fournie par le gouvernement russe. Lorsque WikiLeaks a rejeté cette provocation absurde, le même site a affirmé qu’Assange avait été accusé de contacts inappropriés à travers le site avec un enfant canadien de huit ans en visite aux Bahamas. Cette accusation a ensuite été invoquée dans une tentative de faire pression sur l’ONU pour qu’elle cesse sa demande de mettre fin à la persécution d’Assange.

    Même un examen sommaire révèle que ces allégations constituent une #fabrication grotesque. La police des Bahamas a déclaré qu’il n’y a pas de charges ou de quelconque dossier contre Assange. L’agence de rencontres n’a pas de siège, numéro de téléphone ou d’activité commerciale nulle part aux #États-Unis, ayant toutes les caractéristiques d’une société fictive créée par le renseignement américain dans le but de traquer Assange.

    L’utilisation de telles tactiques montre à quel point la classe dirigeante américaine est terrifiée face à l’hostilité croissante des masses envers les deux principaux partis politiques et leurs deux candidats odieux. L’élite dirigeante craint que les révélations continuelles sur le fonctionnement interne d’un gouvernement des riches, par les riches et pour les riches finissent par enlever le peu qui lui reste de légitimité politique au sein de la population, et créer ainsi les conditions d’une radicalisation politique.

  • USA : Une pétition aux USA contre les machines de vote de George Soros
    http://www.brujitafr.fr/2016/10/usa-une-petition-aux-usa-contre-les-machines-de-vote-de-george-soros.html

    Julian Assange a annoncé lors d’une conférence pour les dix ans de Wikileaks que de nombreux documents concernant les élections américaines seront diffusés au cours du mois prochain. Chaque se... (= vers l’Union Nord Américaine) Professional Republicans...

  • 10月24日のツイート
    http://twilog.org/ChikuwaQ/date-161024

    Top story: Here’s What I Learned About Julian Assange While Working Alongside H… www.buzzfeed.com/jamesball/here…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 09:28:59

    The latest Papier! paper.li/ChikuwaQ/13277… Thanks to @ghirlandia @erierif @mslogophiliac #us #aleppo posted at 09:14:27

    Top story: The Guardian view on climate change: good news – but not yet good en… www.theguardian.com/commentisfree/…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 07:30:02

    Top story: Sean Penn Narrates Bob Honey Who Just Do Stuff: Download It for Free… www.openculture.com/2016/10/sean-p…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 05:36:49

    Top story: The ghost of AOL will haunt the Time Warner-AT&T deal - Recode www.recode.net/2016/10/23/133…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp (...)

  •  » Quand les hackers coupent Internet aux États-Unis – en rétortion pour Assange ?
    http://www.les-crises.fr/quand-les-hackers-coupent-internet-aux-etats-unis-en-retortion-pour-assan

    Comme on l’a vu, les États-Unis ont fait pression pour faire couper Internet à Julian Assange il y a 3 jours…

    Hier, Wikileaks sortait cette information :

    Hier, des hackers se sont attaqués à un des grands annuaires d’Internet (Dyn DNS – lire ici pour les pros), coupant l’accès à de grands sites (dont Twitter et Amazon) pendant quelques heures aux États-Unis et en Europe :

    Cela aussi concerné Les-crises :

    Julian Assange a demandé aux hackers d’arrêter – insinuant clairement qu’il s’agirait d’une mesure de représailles (à prendre au conditionnel donc, mais le gars est très bien informé…) :

    Concluant :

    Si c’est vrai, c’est intéressant – et cela montre la très grande fragilité de nos sociétés, et on fera le lien avec les propos du chef d’État-major US fort justes sur ce point…

    À suivre…

  • Hillary Clinton confie dans un email avoir voulu renverser Bachar el-Assad, pour « aider Israël » — RT en français
    https://francais.rt.com/international/21293-clinton-renverser-assad-aider-israel

    Publié par Wikileaks, un email envoyé par l’ex-secrétaire d’Etat apporte des détails sur les motivations qui ont poussé Washington à « aider le peuple syrien à renverser le régime de Bachar el-Assad ».

    « La meilleure manière d’aider Israël à gérer la capacité nucléaire grandissante de l’Iran est d’aider le peuple syrien à renverser le régime de Bachar el-Assad », annonce d’emblée Hillary Clinton dans le document, révélé par l’ONG de Julian Assange, WikiLeaks, sur son site internet.

    L’email fait partie de nombreux documents déclassifiés par le Département d’État américain, suite à la découverte du serveur email privé que Clinton utilisait chez elle alors qu’elle occupait, entre 2009 et 2013, le poste de secrétaire d’État de l’administration Obama.

    Lire aussi
    Le ministre de la Défense israélien préfère voir la Syrie livrée à Daesh plutôt qu’à l’Iran
    Si l’organisation WikiLeaks date le courriel au 31 décembre 2000, il semble que ce soit une erreur de sa part, à en juger par le contenu du message, dans lequel on peut notamment lire que « la rébellion en Syrie dure maintenant depuis plus d’un an ». L’email daterait donc vraisemblablement du 31 décembre 2012, lorsqu’elle était en poste.

    Quoi qu’il en soit, l’actuelle candidate démocrate à l’élection présidentielle américaine y détaille sa stratégie à l’égard de la crise syrienne : « Le programme nucléaire iranien et la guerre civile syrienne peuvent sembler déconnectés, mais ils ne le sont pas. Ce dont les chefs militaires israéliens s’inquiètent – mais dont ils ne peuvent pas parler – est de perdre leur monopole nucléaire ».

    En effet, poursuit-elle, un Iran disposant de l’arme nucléaire permettrait à « d’autres adversaires [d’Israël], comme l’Arabie Saoudite ou l’Égypte, de se mettre aussi au nucléaire ».

    Mais surtout, ce qui préoccupe l’ancienne secrétaire d’Etat, c’est un axe Téhéran-Damas-Hezbollah tourné contre Israël. « Le résultat [d’un Iran disposant de l’arme nucléaire] serait un équilibre nucléaire fragile dans lequel Israël ne pourrait pas répondre aux provocations par des frappes militaires conventionnelles en Syrie ou au Liban, telles qu’elles sont pratiquées aujourd’hui. Si l’Iran devient un Etat doté d’armes nucléaires, Téhéran trouvera bien plus simple d’appeler ses alliés en Syrie et le Hezbollah à frapper Israël, sachant que ses armes nucléaires dissuaderont Israël de lui répondre ».

    Après avoir dressé ce constat, Hillary Clinton conclut en exposant sa solution : « La fin du régime Assad entraînerait la fin de cette alliance dangereuse. Le commandement d’Israël comprend bien pourquoi vaincre Assad est maintenant dans son intérêt (…). Ensuite, Israël et les États-Unis pourraient alors développer une approche commune une fois le programme iranien si dangereux qu’une action militaire devra être garantie ».

    Lire aussi : 60 courriels classifiés retrouvés dans la boîte personnelle d’Hillary Clinton

  • Les engagements de #Wikileaks dérangent les maîtres du chaos
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2934

    Pour faire taire le journaliste et lanceur d’alerte Julian Assange, deux nouvelles accusations lui ont été portées. Faute de pouvoir l’assassiner, comme est fait habituellement par l’agence CIA envers les personnes jugées nuisibles aux intérêts des Etats-Unis, alors qu’une histoire de drone pour le frapper a été plusieurs fois citée, l’agressivité ripostant à son travail de transparence, s’effectue désormais avec les bassesses… Dévoiler les dessous des Etats puissants et les comportements illégaux des (...)

    Actualité, événement, opinion, intérêt général, information, scoop, primauté

    / censure, presse, journaux, dictature, expressions, liberté, journaliste, poète, poésie, livre, écrits, #diplomatie,_sécurité,_commerce,_économie_mondiale, Obama, USA, Israël, Proche-Orient, Palestine , arts, culture, (...)

    #Actualité,événement,_opinion,_intérêt_général,_information,_scoop,_primauté #censure,_presse,_journaux,_dictature,_expressions,_liberté #_journaliste,_poète,_poésie,_livre,_écrits #Obama,_USA,_Israël,_Proche-Orient,_Palestine #arts,_culture,_littérature,_cinéma,_critique,_performances,_styles #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias

  • Washington moves to silence WikiLeaks - World Socialist Web Site
    http://www.wsws.org/en/articles/2016/10/19/pers-o19.html

    The cutting off of Internet access for Julian Assange, the founder of #WikiLeaks, is one more ugly episode in a US presidential election campaign that has plumbed the depths of political degradation.

    Effectively imprisoned in the Ecuadorian embassy in London for over four years, Assange now is faced with a further limitation on his contact with the outside world.

    On Tuesday, the Foreign Ministry of Ecuador confirmed WikiLeaks’ charge that Ecuador itself had ordered the severing of Assange’s Internet connection under pressure from the US government. In a statement, the ministry said that WikiLeaks had “published a wealth of documents impacting on the US election campaign,” adding that the government of Ecuador “respects the principle of non-intervention in the internal affairs of other states” and “does not interfere in external electoral processes.” On that grounds, the statement claimed, the Ecuadorian government decided to “restrict access” to the communications network at its London embassy.

    #contrôle #surveillance #états-unis

  • Duplicité et calcul politique, ce que révèle Wikileaks sur Hillary Clinton RTS Pauline Turuban, 18 Octobre 2016
    http://www.rts.ch/info/monde/8098139-duplicite-et-calcul-politique-ce-que-revele-wikileaks-sur-hillary-clinto

    Wikileaks dévoile chaque jour depuis début octobre des e-mails volés à l’équipe de campagne de Hillary Clinton. Des révélations susceptibles de renforcer la défiance de l’électorat à l’égard de la candidate démocrate.

    Depuis le 7 octobre, et malgré la coupure d’internet imposée à son fondateur Julian Assange lundi, le site Wikileaks rend publics chaque jour des milliers d’e-mails personnels piratés du président de l’équipe de campagne de Hillary Clinton, John Podesta.

    Julian Assange a promis des révélations continues d’ici à l’élection présidentielle américaine du 8 novembre, assurant avoir à sa disposition plus de 50’000 messages électroniques. Aperçu des principales révélations à ce jour.

    Des liens étroits avec Wall Street
    L’essentiel de cette fuite de documents porte sur la retranscription des conférences que Hillary Clinton a données devant des banques d’affaires en 2013 et 2014, un secret que la démocrate gardait jusque-là farouchement.

    Lors de ces interventions privées très lucratives - qui lui ont rapporté au total près de 22 millions de dollars - la candidate se montre bien plus accommodante avec le monde de la finance que ne le laisse penser sa position officielle. Lors d’une conférence en octobre 2013, elle se félicite d’ailleurs des "excellentes relations" qu’elle entretenait avec Wall Street en tant que sénatrice.

    Derrière les portes fermées d’établissements tels que Goldman Sachs ou JP Morgan, elle se garde de faire porter aux banques la responsabilité de la crise financière de 2008. Celle qui, en public, appelle à réguler le secteur, suggère en privé que personne n’est mieux placé pour orchestrer la réforme que les acteurs financiers eux-mêmes.

    Position privée, position publique
    Dans ces e-mails, la candidate démocrate à la Maison Blanche assume sa duplicité, arguant que les politiciens se doivent d’avoir une "position publique et une position privée" sur certains sujets pour des négociations fructueuses. Elle évoque encore la nécessité de "doser idéologiquement" ses discours pour satisfaire le plus grand nombre.
    Sur la question du commerce international, la démocrate semble bien avoir deux avis. Face aux banquiers, elle se dit en faveur d’un "commerce et de frontières ouverts", affirme rêver d’un "marché commun global" fondé sur le libre-échange. Une position sur laquelle elle est revenue durant sa campagne face au discours protectionniste de son adversaire Donald Trump, prenant même position contre un vaste traité de libre-échange commercial.

    De même, rappelle The Intercept, Hillary Clinton donne officiellement l’impression d’être opposée à la fracturation hydraulique. Pourtant les e-mails piratés révèlent qu’elle s’est félicitée, lors d’une conférence à la Deutsche Bank en 2013, d’avoir fait la promotion de cette technique de forage controversée "dans divers endroits du monde" en tant que secrétaire d’Etat.

     « Realpolitik » et culture du secret
    Les messages divulgués démontrent l’adhésion de Hillary Clinton à la "realpolitik". Dans un message relatif à la stratégie américaine au Moyen-Orient, Hillary Clinton écrit ainsi en 2014 ce que l’administration Obama a toujours nié, à savoir que le Qatar et l’Arabie saoudite, alliée des Etats-Unis depuis 70 ans, "fournissent un soutien financier et logistique au groupe Etat islamique et d’autres groupes sunnites radicaux". Selon la démocrate, il faut utiliser la diplomatie et le renseignement pour faire pression sur ces gouvernements.
    Lors d’une conférence à Goldman Sachs en 2013, elle affirme avoir été favorable à une intervention américaine "la plus secrète possible" en Syrie, tout en regrettant que les Etats-Unis soient "moins bons dans le domaine [des opérations clandestines] qu’auparavant".

    L’ex-secrétaire d’Etat fait encore savoir que les Etats-Unis ont menacé d’entourer la Chine de missiles de défense si Pékin ne fait pas davantage pour freiner le programme de missiles nord-coréen.

    Une candidate éloignée de la réalité des citoyens
    Enfin, les courriels piratés donnent l’impression générale d’une candidate - ex-First Lady - proche des élites, ayant fréquenté les arcanes du pouvoir durant des décennies, et de ce fait très éloignée des préoccupations des citoyens.

    En public, elle assure avoir de l’empathie pour les Américains de la classe moyenne dont elle assure être un "pur produit". Et pourtant, elle admet dans l’un de ses messages être déconnectée à cause de "la vie qu’elle mène et de la fortune dont son mari et elle bénéficient". Et de déplorer que l’opinion ait du mal à comprendre "les gens qui ont mené une vie couronnée de succès".

    Des révélations éclipsées par les scandales de Trump
    A ce jour, les fuites de Wikileaks ont été relativement éclipsées par les scandales dans lesquels le candidat républicain Donald Trump est empêtré, et Hillary Clinton dispose encore d’une confortable avance dans les sondages.

    Mais ce flux continu de petites révélations pourrait aussi être dévastateur pour la réputation de la démocrate. Elles mettent en lumière les secrets de campagne peu flatteurs d’une candidate à qui les accusations d’opacité collent à la peau. Désormais, les candidats misent sur le fait que celui qui aura été le moins discrédité sera élu.

  • Présidentielle américaine : Clinton attaquée pour ses liens avec Goldman Sachs - Amériques -
    RFI L Publié le 16-10-2016
    http://www.rfi.fr/ameriques/20161016-presidentielle-etats-unis-clinton-wikileaks-discours-goldman-sachs

    La cyberguerre entre WikiLeaks et Hillary Clinton se poursuit. Le site de Julian Assange a publié samedi 15 octobre trois discours prononcés par Hillary Clinton à la demande de la banque d’investissement Goldman Sachs, qui l’a rémunérée pour cela. Un épouvantail politique absolu.

    Hillary Clinton, contrairement à José Manuel Barroso, ancien président de la Commission européenne, ne travaille pas pour Goldman Sachs. Mais elle a accepté d’être rémunérée à trois reprises par l’établissement financier pour s’adresser aux acteurs de la finance.

    #Goldman_Sachs #WikiLeaks

  • Wikileaks : Hillary avoue avoir un discours pour le public et un autre pour Wall Street
    http://www.brujitafr.fr/2016/10/wikileaks-hillary-avoue-avoir-un-discours-pour-le-public-et-un-autre-pour-

    Julian Assange a annoncé lors d’une conférence pour les dix ans de Wikileaks que de nombreux documents concernant les élections américaines seront diffusés au cours du mois prochain. Chaque se... Wikileaks a enfin commencé a publié sur son site les emails...

  • Les conseils d’Assange, de Snowden et de Zuckerberg pour éviter la surveillance...
    https://www.crashdebug.fr/informatik/93-securite/12450-les-conseils-d-assange-de-snowden-et-de-zuckerberg-pour-eviter-la-s

    Les experts de la cyber-sécurité, Edward Snowden, Julian Assange, Mark Zuckerberg et Jacob Appelbaum se protègent de la surveillance par des méthodes sophistiqués. Pourquoi cacher un téléphone mobile dans un frigo et détruire définitivement toutes les informations est parfois nécessaire ?

    Edward Snowden a dévoilé les détails sur la surveillance par le renseignement américain des personnes à travers le monde, ce qui explique certainement ses habitudes paranoïaques.

    Au cours de sa rencontre avec le journaliste britannique Glenn Greenwald, M. Snowden a pris des mesures très étranges pour éviter les écoutes. Dès que le journaliste est entré dans la chambre d’hôtel de l’ancien agent américain, M. Snowden a comblé toutes les fentes dans les portes avec des oreillers et mis les mobiles dans le frigo. En (...)

  • Wikileaks : de nombreux documents sur les élections américaines seront publiés d’ici au 8 novembre (+infographie exclusive)
    http://www.brujitafr.fr/2016/10/wikileaks-de-nombreux-documents-sur-les-elections-americaines-seront-publi

    Julian Assange a annoncé lors d’une conférence pour les dix ans de Wikileaks que de nombreux documents concernant les élections américaines seront diffusés au cours du mois prochain. Chaque semaine durant dix semaines, des documents sur les élections...

  • Revue de presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce mardi 4 octobre 2016
    http://www.brujitafr.fr/2016/10/revue-de-presse-du-jour-comprenant-l-actualite-nationale-et-internationale

    Bonjour, comme à l’accoutumée, j’espère que vous allez bien. Petit pic de visite hier, on attend de voir si ça se confirme... Pour le reste, il y a du monde au portillon ce matin en matière d’actualité, et notamment Julian Assange qui doit faire des révélations...

  • #Revue_de_Presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce mardi 4 octobre 2016 (Maj)
    https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse/12429-revue-de-presse-du-jour-comprenant-l-actualite-nationale-et-interna

    https://www.crashdebug.fr/images/stories/addons/images/Images+globales/2015/decembre/revue_de_presse_02_12_2015.png

    Bonjour, comme à l’accoutumée, j’espère que vous allez bien. Petit pic de visite hier, on attend de voir si ça se confirme... Pour le reste, il y a du monde au portillon ce matin en matière d’actualité, et notamment Julian Assange qui doit faire des révélations explosives sur H. Clinton, alors on ne perd pas de temps et voici les nouvelles du jour. ; )))

    Amicalement,

    f.

    Actualités françaises :

    04.10.2016

    Evasion fiscale : comment le gouvernement a (encore) bloqué un amendement décisif… (Politis.fr)

    Assurance chômage : après la loi Travail, le gouvernement va-t-il encore se coucher devant le Medef ? (l’Humanité.fr)

    Les 40.000 logements étudiants promis par François Hollande se font attendre (Le Monde.fr)

    Factures d’électricité : un rattrapage de près d’un milliard d’euros pour les clients (...)

    #En_vedette

  • Pourquoi #WikiLeaks veut être le pire cauchemar d’Hillary Clinton
    http://www.telerama.fr/medias/pourquoi-wikileaks-veut-etre-le-pire-cauchemar-d-hillary-clinton,147739.php

    Outre un fact-checking point par point dans lequel le New York Times est accusé « d’échafauder une théorie du #complot », il conclut son argumentaire par une précision qui attire l’œil :

    « Le comité éditorial du New York Times soutient officiellement la candidature d’Hillary Clinton, même si cet article n’en fait pas mention. L’auteur principal, Jo Becker, a retweeté un gif animé d’Hillary Clinton le 3 mars. »

    #conspirationnisme

  • Pour la fondatrice du Parti pirate islandais, « il est toujours possible de hacker le système »

    http://www.lemonde.fr/festival/article/2016/09/17/pour-la-fondatrice-du-parti-pirate-islandais-il-est-toujours-possible-de-hac

    « LES GENS ONT L’IMPRESSION QUE LE SYSTÈME EST TRÈS COMPLIQUÉ ET QU’ILS NE PEUVENT RIEN Y CHANGER. MOI JE PENSE QU’IL EST TOUJOURS POSSIBLE DE HACKER LE SYSTÈME. PERSONNE NE S’ATTENDAIT AU BREXIT, PERSONNE NE S’ATTENDAIT À CE QUE TRUMP DEVIENNE UN CANDIDAT CRÉDIBLE À LA PRÉSIDENTIELLE AMÉRICAINE. ALORS POURQUOI PAS DES CHOSES CHOUETTES ? MAIS SI VOUS N’ESSAYEZ PAS DE CHANGER LES CHOSES, EH BIEN VOUS POUVEZ AUSSI BIEN RESTER CHEZ VOUS À REGARDER LA SÉRIE “MR ROBOT”. »

    Il n’est donc pas étonnant qu’une des priorités de l’élue consiste à protéger les lanceurs d’alerte et « leur faciliter la tâche pour qu’ils nous disent si quelque chose ne va pas dans notre système ». Non, elle veut pas offrir l’asile à Edward Snowden. Mais la nationalité islandaise : « L ’asile, ce n’est pas assez sûr, il pourrait être extradé ». L’ancienne porte-parole de WikiLeaks a aussi lourdement insisté sur le cas de Chelsea Manning, ancienne militaire américaine emprisonnée pour avoir fourni des centaines de milliers de documents secrets de l’armée au site de Julian Assange.

    « Il ne faut pas l’oublier. Elle a récemment essayé de se suicider. C’est elle qui a permis à WikiLeaks de décoller. Il n’y aurait pas eu de Snowden, de Panama Papers et autres sans Chelsea Manning. Si vous soutenez Snowden, à chaque fois que vous pensez à lui, pensez aussi à elle. »

  • L’inévitable radicalisation de WikiLeaks et les graves défaillances de notre société informationnelle

    https://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/020916/l-inevitable-radicalisation-de-wikileaks-et-les-graves-defaillances-

    Qu’a donc bien pu faire Julian Assange pour avoir été qualifié cet été de propagandiste du Kremlin et de menace pour la démocratie états-unienne, en sus des déjà classiques accusations de viol ? Juriste et chercheur en droit international, Juan Branco, qui a été membre de l’équipe de défense WikiLeaks, répond par un plaidoyer qui met en évidence la grossièreté des campagnes menées pour discréditer une nouvelle forme de dissidence.

    Qu’a donc bien pu faire cet été Julian Assange pour avoir été qualifié en quelques jours d’agent du KGB (sic), d’antisémite, de propagandiste du Kremlin, de menace pour l’intégrité de dizaines de millions de femmes turques et pour la démocratie états-unienne, en sus des déjà classiques accusations de viol, le tout relayé par certains des médias les plus puissants de cette planète, du New York Times au Bild ?

    Qu’a pu déclencher une si risible accumulation de caricatures, ne s’appuyant sur aucun élément concret, contre un homme dont la vie a été passée au peigne-fin par des centaines de médias depuis plus de dix ans, dont chaque visiteur, chaque mouvement, est scrupuleusement suivi par les agences de renseignement les plus puissantes du monde, sans qu’à aucun moment le moindre élément probant permettant d’étayer ces accusations n’ait été dévoilé ?