person:laurent pinatel

  • Le coup de gueule de Laurent Pinatel : « Putain, il y a un paysan qui se suicide tous les deux jours ! » | Public Senat
    https://www.publicsenat.fr/article/politique/le-coup-de-gueule-de-laurent-pinatel-putain-il-y-a-un-paysan-qui-se-suic

    « Putain, il y a un paysan qui se #suicide tous les deux jours les gars quoi ! Et nous on est syndicalistes, on est là et on ne dit rien ? Non, ce n’est pas satisfaisant. Non, les #politiques_publiques ne sont pas satisfaisantes » a lancé Laurent Pinatel, entouré des responsables des autres #syndicats_agricoles, la #FNSEA, les #Jeunes_agriculteurs et la #Coordination_rural

    #confédération_paysanne #agriculture

    • CRISE BANCAIRE
      Le Congrès américain assouplit la régulation bancaire
      "Adopté par 258 voix contre 159, le texte, qui réduit de 38 à 12 le nombre de banques américaines soumises aux règles les plus dures, doit désormais être signé par le président américain."
      Source : Le Monde

      CRISE FINANCIÈRE
      Haute finance : ses pratiques délictueuses mettent en danger le grand public.
      "Voici un reportage que nous offre Arte (2017) sur la mort d’un banquier italien. Son tort ? Il a failli témoigner… Mais au-delà de cet assassinat, il est utile de voir comment les alliances des mondes politiques et financiers mettent en danger le grand public…"
      Source : Blog de Liliane Heldkhawan

      DÉMOCRATIE
      Tout allait bien…
      "En 2008, un jeune candidat aux primaires démocrates puis à l’élection présidentielle américaine soulevait l’enthousiasme des commentateurs par la méthode innovante mise en œuvre lors de sa campagne : moissonner les données personnelles de citoyens susceptibles de voter pour lui. La collecte fut si fructueuse que, selon le journaliste Sasha Issenberg, l’équipe de M. Barack Obama « connaissait le nom de chacun des 69 456 897 Américains dont les bulletins l’avaient propulsé à la Maison Blanche »."
      Source : LE MONDE DIPLOMATIQUE

      Marée populaire : les chiffres biaisés de France 2 sur « l’échec » de la mobilisation
      "Samedi 26 mai, près de 190 cortèges ont défilé dans toute la France à l’occasion de la « marée populaire » contre la politique du gouvernement Macron. Le soir même, le JT de France 2 fait le constat d’un « échec » de ces manifestations. Les journalistes de la chaîne publique reprennent une information ressassée par éditorialistes et « experts » dans de nombreux grands médias : la mobilisation serait en baisse depuis la précédente manifestation du 5 mai. Qu’en est-il vraiment ?"
      Source : ACRIMED

      EVASION FISCALE
      Le CAC40 en 2017 : plus de 16 000 filiales, dont 15% dans des paradis fiscaux
      "Une multinationale, ce n’est pas seulement un nom, une capitalisation boursière et une direction centralisée. C’est aussi un réseau complexe de centaines de filiales, localisées aux quatre coins dans la planète, liées entre elles par des relations financières, juridiques et actionnariales souvent opaques, ouvrant la porte à tous les abus."
      Source : OBSERVATOIRE DES MULTINATIONALES

      Comment l’Europe - et la France - s’accomode de ses paradis fiscaux
      "En matière de paradis fiscaux les choses n’ont pas beaucoup bougé, en apparence du moins, en dépit des scandales qui ont émaillé la dernière décennie, des « offshore leaks » jusqu’au Paradise papers. Dire que rien n’a été fait, serait abusif. Le Royaume Uni a notamment annoncé le premier mai, la transparence sur les propriétaires des sociétés sur ses 14 territoires d’outre-mer."
      Source : XERFI CANAL

      FRANCE
      Grève SNCF : ce qu’ont vraiment gagné les syndicats dans la bataille
      "Ce n’est pas encore la fin de la grève à la SNCF, mais on s’en rapproche,à entendre les déclarations des syndicats réformistes, Unsa et CFDT, qui évoquent une sortie du conflit mi-juin. En ce samedi, 25e jour de grève, l’heure est déjà au bilan. Qu’ont obtenu les syndicats au cours de ce bras de fer entamé début avril ? Tout cela pour quoi ?"
      Source : Nouvel Obs

      Energie : l’échec annoncé de dix ans de dérégulation
      "La promesse est toujours la même. En brisant les monopoles publics au profit d’un marché concurrentiel, la dérégulation permettrait de faire chuter les prix et d’améliorer la qualité pour les usagers, devenus des « clients ». L’argument est de nouveau ressorti par le gouvernement dans le cadre de la réforme ferroviaire, dont l’examen au Sénat a commencé le 23 mai. Et si on jugeait sur pièces ?"
      Source : BASTAMAG

      Eloge de la redistribution
      "« Il y a trop d’aides sociales en France », assure Gérald Darmanin, le ministre de l’Action et des Comptes publics ; « Expliquer qu’on va réduire la dépense publique sans rien toucher aux aides sociales, ce ne serait pas cohérent et pas lucide vis-à-vis des Français », affirme lui aussi Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie… Incontestablement, au sein du gouvernement, l’air du temps est à la remise en cause des prestations sociales – même si la cacophonie des ministres empêche encore de comprendre quels sont ses projets exacts en la matière."
      Source : ALTERNATIVES ECONOMIQUES

      GÉOPOLITIQUE
      Niger : la société civile réprimée, le président Issoufou reçu avec les honneurs à l’Élysée
      "Le président du Niger Mahamadou Issoufou entame ce 4 juin une visite officielle à Paris, sur invitation d’Emmanuel Macron. Plusieurs ministres et le président du Sénat seront à sa disposition, tandis qu’il devrait obtenir près de 50 millions d’euros d’aide au développement. Au même moment, les principaux leaders de la société civile nigérienne subissent une brutale répression, croupissant dans plusieurs prisons gouvernementales."
      Source : BASTAMAG

      LIBERTÉS
      L’ONU épingle la France pour sa lutte antiterroriste et ses effets « préoccupants » sur les libertés individuelles
      "Pendant dix jours, Fionnuala Ni Aolain, rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la protection des droits de l’Homme dans la lutte antiterroriste a rencontré tous les acteurs qui jouent un rôle en la matière en France…"
      Source : 20 Minutes

      Pour une défense internationale de Julian Assange !
      "Le Comité international de la Quatrième Internationale (CIQI) et le Comité de rédaction international du « World Socialist Web Site » appellent d’urgence à une mobilisation internationale pour défendre le rédacteur en chef de WikiLeaks, Julian Assange. Après s’être battu pendant près de huit ans contre la persécution incessante de Washington et de ses alliés, le journaliste d’origine australienne est en danger de tomber dans leurs griffes."
      Source : WORLD SOCIALIST WEB SITE

      MATIÈRES PREMIÈRES
      La Confédération paysanne s’invite chez Bolloré
      "Plusieurs dizaines de personnes ont manifesté ce 5 juin 2018, à l’appel de la Confédération paysanne devant l’entrée d’un domaine viticole appartenant à Vincent Bolloré à La Croix-Valmer (Var) pour dénoncer « l’accaparement des terres » et les « spéculations sur le dos des paysans locaux ». « Nous dénonçons la financiarisation de l’agriculture : des personnes extérieures au monde agricole viennent faire du fric sur la terre des paysans en les excluant », déplore Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne."
      Source : La France Agricole

      L’Iran à court d’eau
      "En Iran, la pénurie d’eau devient une urgence nationale. Comment la république islamique a-t-elle sacrifié cette ressource vitale ? Un documentaire éclairant." [Iran/USA, même combat ?!]
      Source : Arte
      L’Azerbaïdjan met en place un corridor gazier géostratégique via la Turquie
      "Pendant qu’Etats-Unis, et Union européenne s’affrontent via taxes sur acier et aluminium, les pays de l’ex-URSS – tels que l’Azerbaïdjan – avancent chaque jour un peu plus dans le domaine gazier. Tentant de se tailler la part du lion sur l’échiquier énergétique mondial et sur le gigantesque marché énergétique européen. Une option qui vise notamment à réduire la dépendance de l’Europe au gaz russe, alors que les pays membres de l’UE se voient contraints ces dernières années d’accroître leurs achats auprès de la Russie, malgré les objectifs énoncés par Bruxelles."
      Source : LE BLOG FINANCE

      ÉTATS-UNIS
      L’espérance de vie continue de diminuer aux Etats-Unis
      "C’est un phénomène pour le moins alarmant que pointent du doigt des chercheurs américains. Pour la troisième année consécutive, l’espérance de vie aux Etats-Unis recule. La consommation de drogues (notamment des opiacées), d’alcool et les suicides contribuent à cette baisse inquiétante."
      Source : La Dépêche

  • BALLAST Laurent Pinatel : « Redonner un sens à l’agriculture française »
    http://www.revue-ballast.fr/laurent-pinatel

    Éleveur bio, producteur de lait dans la région Auvergne-Rhône-Alpes et porte-parole de la Confédération paysanne, Laurent Pinatel mène une lutte, au quotidien, contre la financiarisation de la paysannerie française. Contre le toujours-plus. Contre le productivisme qui malmène la qualité des produits. Mais une lutte, nous dit-il aussitôt, qui s’articule à bien d’autres combats menés au sein de la société — c’est à la convergence qu’il faut que nous œuvrions, unis autour d’un socle commun : la politique européenne et le système économique qui nous régit. Consommer, rappelle-t-il, est aussi un acte politique.

  • Comment (vraiment) sauver l’agriculture française avec 3 milliards - Terra eco
    http://www.terraeco.net/Pinatel-Dufumier-Xavier-Beulin-3,61529.html

    L’agriculture française est en crise. Les éleveurs de porcs bretons se sont fait distancer par les allemands. Le prix du lait de Normandie ne rivalise plus avec celui d’Australie… Qu’à cela ne tienne ! Une perfusion de quelques milliards d’euros devrait remettre le système d’aplomb. C’est en tout cas ce que préconise Xavier Beulin. Dans une interview au Journal du dimanche, le président de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles), premier syndicat agricole français, réclame « 3 milliards d’euros sur trois ans pour retrouver la compétitivité perdue ». Cet ingrédient devrait, selon le pédégé d’Avril-Sofiprotéol, une holding spécialisée dans le financement de l’agro-industrie, permettre à la France « de rattraper l’Allemagne dans les cinq ans ». Sa recette ? « Moderniser les bâtiments, automatiser les abattoirs, organiser les regroupements d’exploitations afin qu’elles soient plus productives ». Le tout, en supprimant les charges et en gelant les normes environnementales.

    Pendant que l’homme d’affaires rêve d’un élevage industriel reparti « pour quinze ans », d’autres, partisans d’une agriculture plus respectueuse de l’environnement, dépenseraient cet argent autrement. L’agronome Marc Dufumier et le porte-parole de la Confédération paysanne, Laurent Pinatel, nous détaillent comment.

    #agriculture

  • Agriculture : Pourquoi tous les paysans bretons n’iront pas à Paris
    http://www.20minutes.fr/rennes/1677147-20150901-agriculture-pourquoi-tous-paysans-bretons-iront-paris

    Ce mardi midi, une vingtaine d’agriculteurs était ainsi rassemblée sur la place de l’Hôtel de ville à Rennes pour une distribution de lait. « Nous n’irons pas à Paris car nous dénonçons le modèle agricole prôné par la FNSEA. Ce système est à bout de souffle et cela depuis près de trente ans. Il ne fait que créer du chômage et de la précarité dans le monde paysan », assure Jean-Sébastien Piel, membre de la Confédération Paysanne en Ille-et-Vilaine.
    « On va droit dans le mur avec cette industrialisation de l’agriculture »

    Producteur de porcs à Saint-Pern en Ille-et-Vilaine, il entend défendre un autre modèle agricole, « plus raisonné, plus autonome et plus économe ». « Je me bats pour redonner du sens à ce pourquoi on est paysans », assure le producteur, qui vend sa viande porcine à la ferme et dans les circuits de restauration collective entre 9 et 10 euros le kilo. Un prix bien supérieur à celui de 1,40 euro fixé au marché du porc breton à Plérin. « De toute façon, il y a déjà une surproduction de porcs en Bretagne et on demande aux éleveurs de produire encore plus. C’est un système industriel qui ne survit que grâce aux subventions, il faut vraiment en finir avec ça », dénonce-t-il.

    • Le plan de Xavier Beulin qui va faire disparaitre les petits paysans
      http://reporterre.net/Le-plan-de-Xavier-Beulin-qui-va-faire-disparaitre-les-petits-paysans

      Et puis, même si le gouvernement donne les trois milliards d’euros demandés, où iront-ils ? Pas aux petits producteurs, assure le paysan : « Il y a toujours des seuils d’exclusion. Par exemple, il y a quinze ans, sur mon département il y a eu des aides pour les éleveurs en difficulté financière. Nous étions 250 producteurs. Les huit plus gros ont empoché 51 % de l’enveloppe d’aides. Dedans, il y avait des présidents de syndicats et de coopératives. Ils s’étaient servis. Voilà leur philosophie : ils pensent que les petits producteurs n’ont pas d’avenir donc que cela ne sert à rien de les aider. »

      Moins de charges, moins de normes environnementales

      Autre cheval de bataille de la FNSEA, les normes environnementales, dénoncées comme plus sévères en France qu’ailleurs. Xavier Beulin a plaidé pour leur suspension pendant un an. « Sur les directives européennes oiseaux, nitrates, habitat, la France fait plus que ce que demande l’Europe », déplore la vice-présidente de la FNSEA. La bête noire du syndicat est l’obligation d’enquête publique pour ouvrir un élevage de taille importante. Le gouvernement a déjà allégé la procédure pour les porcs et les volailles. « Il faut le faire pour les bovins maintenant », demande-t-elle. La FNSEA réclame aussi un assouplissement des règles pour la création de réserves d’eau et l’irrigation. Côté pesticides, elle souhaite que la France cesse de réduire la liste de ceux autorisés.

      « Si un tel moratoire est mis en place, les conséquences pourraient être dramatiques, s’inquiète Laurent Pinatel à la Confédération paysanne. Si l’on suspend la directive nitrate, c’est une autorisation à polluer plus, à détruire les sols. Le jour où l’on n’aura plus qu’un sol mort pour cultiver, on ne pourra plus compter que sur les produits chimiques pour le nourrir. On sera à la merci de l’agriculture industrielle. »

  • Ferme-usine de Monts : « Ils ont besoin de l’agriculture industrielle pour nourrir les pauvres »

    http://larotative.info/ferme-usine-de-monts-l-889.html

    Le 3 mars, près de 300 personnes étaient réunies à Joué-lès-Tours pour parler du projet d’extension de la ferme de Monts qui veut accueillir 2 200 bêtes. A cette occasion, Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne, a livré un discours plus global sur le problème de l’industrialisation de l’agriculture. On y a notamment appris que, pour le ministre de l’agriculture, "on a besoin de l’agriculture industrielle pour nourrir les pauvres".

    Nourrir la planète, à quel prix ? Nous on a envie de poser le problème à l’envers. C’est quoi le problème ? C’est la production agricole, c’est l’agriculture, ou c’est l’alimentation ? Il nous semble que la seule politique qui doit être menée de manière assidue et volontariste, c’est la politique de l’alimentation. La France est quand même la sixième puissance mondiale. C’est pas rien, mais dans la sixième puissance mondiale, il y a des gens qui ne mangent pas à leur faim. Il y a des gens qui mangent parce qu’il y a des associations caritatives qui les accompagnent dans leur recherche d’alimentation. Il y a des gens qui se privent de nourriture. Il y a des gens qui mangent mal, parce qu’ils n’ont pas les moyens de se nourrir correctement. Et tout ça dans la sixième puissance mondiale. Mais on est devenus complètement dingues ! On est dans une société qui produit de plus en plus de richesses, mais qui les répartit dans un angle de plus en plus petit. (…)

    Pour la première fois en France, on va faire de l’alimentation non pas chez les paysans, mais chez les industriels, dans des usines. Ça c’est vraiment un changement de société énorme. Et la responsabilité qui incombe à ce gouvernement qui laisse faire ça est énorme. On a décidé – puisqu’on n’a pas voulu l’arrêter – que l’alimentation serait désormais produite dans des usines. Et Stéphane Le Foll, le ministre de l’Agriculture, à la veille du Salon, nous a dit (alors qu’il disait depuis des mois « Les fermes-usines c’est pas mon modèle ») :


    « De toute façon, on a besoin de l’agriculture industrielle pour nourrir les pauvres. »

    Il y a là quelque chose qui me choque énormément. J’ai été élu sur ma commune pendant dix ans, donc il me semble que je crois encore aux valeurs de la République. Il me semble que c’est quelque chose de fondamental, le rôle de l’État, l’intervention de l’État, le fait qu’il y ait un État fort... Qu’un ministre de la République acte le fait qu’il y ait des pauvres et n’essaye pas de se dire : « Comment on va faire pour qu’ils le soient moins ? » mais « Comment on va faire pour qu’ils mangent ? », donc en gros « Comment on va faire pour qu’ils ne nous emmerdent pas »... Donc on va les nourrir avec le truc le moins cher possible. Et le truc le moins cher possible, pour tous ces gens qui mangent dans les cantines bio des ministères, c’est l’agriculture industrielle.

    On arrive à une agriculture de type industrielle, une grosse agriculture, qui a une capacité à capter les primes absolument phénoménale, des montants de primes énormes ; une agriculture qui est plutôt une agriculture de riches, puisqu’elle capte beaucoup de primes. Cette agriculture de riches, elle va donc produire une alimentation pour les pauvres. Et la petite agriculture, qui capte peu de primes, qu’on peut considérer comme une agriculture de pauvres, elle va nourrir les riches. C’est complètement débile. (…)

    #agriculture #alimentation #paysannerie #pauvreté

  • Mille vaches : le récit de la journée « démontage » où l’affaire a basculé
    http://www.reporterre.net/spip.php?article5938

    Pour remettre le projecteur sur la ferme-usine des Mille Vaches qui, selon eux, signe l’arrêt de mort des petits paysans, la Confédération paysanne a mené une action de démontage. Le gouvernement a choisi la réponse répressive : le porte-parole du syndicat, Laurent Pinatel, a passé la nuit de mercredi et à jeudi incarcéré, ainsi que quatre autres paysans. (...) Source : Reporterre

  • Ferme des milles vaches : pourquoi la #Justice poursuit-elle seulement les syndicalistes ?
    http://www.bastamag.net/Action-contre-la-ferme-usine-des

    Les opposants à la ferme-usine des mille vaches, en Picardie, ont le sentiment d’une justice à deux vitesses. Le 12 mars, le tribunal administratif d’Amiens a refusé la suspension des travaux de construction de la ferme. Au même moment, le porte-parole de la Confédération paysanne, Laurent Pinatel, est convoqué à la gendarmerie, suite à une action syndicale contre ce méga-projet. Il a décidé de ne pas s’y rendre et expose dans une lettre au Procureur ses motivations. Monsieur le Procureur, Je tenais à (...)

    #Débattre

    / Agriculture , Justice, Quelle #Agriculture_pour demain ?

    #Quelle_agriculture_pour_demain_ ?

  • Le ministère de l’Agriculture s’engage à exclure les semences de ferme de la loi sur la contrefaçon
    http://www.bastamag.net/Victoire-paysanne-la-semence-de

    « C’est une grande victoire pour les paysans, l’exception agricole sera inscrite dans la loi sur les contrefaçons », se réjouit Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne. Une centaine de paysans avaient occupé hier, mardi 21 janvier, des locaux du Groupement national interprofessionnel des semences (Gnis). Parmi les occupants, une dizaine d’entre eux avaient décidé d’entamer un jeûne de deux semaines pour faire connaître leur revendication. Motif de leur colère : l’adoption par les (...)

    #En_bref

    / Agriculture , Biodiversité, #Main_basse_sur_les_semences

    #Agriculture_ #Biodiversité

  • Mobilisation contre la folie des fermes-usines - Politis
    http://www.politis.fr/Mobilisation-contre-la-folie-des,25123.html

    .....

    Derrière l’exemple extrême de la « ferme aux 1 000 vaches », étable géante qui sort de terre sur deux communes proches d’Abbeville, dans la Somme, c’est une tendance de fond que dénonce cette semaine une partie des organisations écologiques et agricoles.

    L’industrialisation des élevages n’est pas un phénomène nouveau, mais « il s’accélère, témoigne Laurent Pinatel, porte-parole de la confédération paysanne :

    « Les jeunes qui s’agrandissent obtiennent des droits de produire. On leur colle un emprunt sur le dos au nom de la modernisation des bâtiments. Ils se retrouvent contraints à toujours plus de productivité. Nous sommes en train de perdre le fil du métier de paysan ! »

    C’est la fuite en avant productiviste. Les fermes-usines obligent les producteurs à se tourner vers un modèle axé sur l’exportation et font craindre d’importants risques sanitaires. Développement accéléré des maladies, recours massifs aux antibiotiques ou aux anti-inflammatoires, qui se retrouvent, une fois le lisier utilisé comme engrais, dans les sols. En faisant monter la pression sur le foncier, ces mastodontes de la production paysanne sont aussi des freins au développement d’une agriculture à échelle humaine.....

    #agriculture
    #fermes-usines
    #ferme-aux-mille-vaches