person:leonard bernstein

    • @intempestive Non pas d’un accident mais d’un truc nettement plus honteux, une opération de prothèse pour palier une arthrose du genou dûe au grand âge (et (un peu) à la surcharge pondérale).

      Je vais tâcher de venir ce soir. Cela m’a fait un bien souverain déjà la semaine dernière, de même un concert à la Dynamo et hier soir le Surnat’ (je vais y revenir, leur dernier spectacle est tout bonnement extraordinaire de générosité). Bernstein, dans toute sa vantardise, avait raison.

      En revanche, depuis que je peux descendre dans le garage et que je ne prends presque plus de médicaments, je me suis nettement calmé sur vidéo déréalisante, il est même étonnant de voir à quel point mon moral est meilleur.

      A ce soir peut-être

    • Merci @touti

      Bon c’était assez radical comme expérience, même pour les Instants. Je me souviens d’une discussion lointaine entre habitués des Instants, une fusillade avait eu lieu à l’arme automatique dans un cinéma aux États-Unis d’Amérique et une partie du public était restée malheureusement figée parce que le bruit des détonations se fondait admirablement dans la bande sonore du film, Batman si mes souvenirs sont bons et l’un de nous avait rétorqué que si l’alarme incendie des Instants se déclenchait un soir pendant un concert, peu de chance que cela fasse décamper qui que ce soit (l’alarme en question serait par exemple inaudible pendant un concert d’Otomo Yoshihide et ininterprétable pendant un concert de Pita ou de Denis Rollet par exemple). @intempestive et ses complices en ont fait une assez brillante démonstration ce soir.

      @intempestive S’il y a eu captation sonore ce soir, je suis preneur d’un extrait. Et c’était chouette de se voir même brièvement.

    • http://desordre.net/photographie/numerique/divers/videos/20181122_sirenes_instants.mp4

      Et trois messages reçus pendant le concert

      Nous avons ouï raconter d’un ménestrier de village qu’ayant trouvé à sa rencontre deux loups mâtins, il leur avait donné quelques petites provisions. Les loups ayant tout dévoré, le menaçaient encore. Le ménestrier, auquel il ne restait que son violon, leur joua un air qui mit ces animaux en fuite.

      Un associé de Sarah Anglais lui emprunta son générateur infrasonique, mit en place une installation artistique où l’instrument figurait en bonne place et annonça sur un panonceau les pouvoirs supposés de la fréquence magique. Les visiteurs et visiteuses se plaignirent de sensations étranges, demandant même à ce qu’on éteigne le générateur. Celui-ci n’avait pas été allumé.

      Il voulait par exemple traiter les maniaques au son d’une flûte d’ellébore, les maladies lymphatiques avec le thyrse ; mais de pareilles préventions paraissent être de la dernière ridiculité.

    • @intempestive @philippe_de_jonckheere Je connaissais une orthophoniste proche de Martenot qui se servait de l’instrument musical des Ondes pour faire ressentir le son à sa classe de sourds (chez Borel Maisonny, une oraliste). Il parait que pour certain·es c’était la première fois qu’il·s éprouvaient la sensation de moduler un son. (Cet instrument atteint facilement des fréquences basses)

    • hier, lors d’un autre set avec des basses très denses, une femme se tournait de différentes manières, visiblement pour expérimenter les vibrations que le son transmettait à son corps. Cela donnait une chorégraphie étonnante, très lente, parfois dos au performeur.

      @intempestive Je ne peux pas te dire que j’ai été très passionné par ce set -là (Denis Rollet) (je crois que je suis encore bêtement attaché à quelques notions musicales qui tiennent encore hors-jeu tout ce qui est musique de drônes laids), ni par les autres donc, à l’exception donc des Sirènes qui était une belle réussite de performance.

  • SWEET TOOTH
    http://www.radiopanik.org/emissions/soundtrack-de-minuit/sweet-tooth

    Playlist:

    CAN – Spoon Johann Sebastian Bach – Coffee Cantata (BWV 211) The Rolling Stones – Brown Sugar Leonard Bernstein – La Bonne Cuisine Nat King Cole – The Frim Fram Sauce Henry Purcell – If Music be the Food of Love The Pink Floyd – Candy and a Currant Bun Suzanne Vega – Caramel Luciano Berio – Cries of London, per 8 voci (1975) - Parts 6 and 7 The Supremes – Buttered Popcorn Carl Orff – Carmina Burana – 12. Olim Iacus Colueram Monty Python – Spam James Brown – Mother Popcorn The Pink Floyd – Apples and Oranges

    Contact us at soundtrackdeminuit@gmail.com

    Photo by Phedra

    #alimentation2017
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/soundtrack-de-minuit/sweet-tooth_03562__1.mp3

  • Le gauchisme de Park Avenue, par Tom Wolfe
    https://www.monde-diplomatique.fr/mav/151/WOLFE/57080 #st

    Paru en juin 1970 dans le New York Magazine sous le titre « Radical chic », ce reportage du romancier Tom Wolfe décrit une soirée organisée, le 14 janvier précédent, par le compositeur Leonard Bernstein dans son duplex new-yorkais de treize pièces avec terrasse. La fête avait pour objet de lever des fonds en faveur des Black Panthers…

    http://zinc.mondediplo.net/messages/53515 via Le Monde diplomatique

  • Finkielkraut n’a rien compris : Bob Dylan a tout à voir avec la littérature
    http://www.marianne.net/finkielkraut-n-rien-compris-bob-dylan-voir-litterature-100247153.html

    Qui menace donc la littérature ? Un essayiste, parlant avec l’autorité que lui confère l’habit vert, s’étrangle contre Bob Dylan : « Il n’a rien à voir avec la littérature ! » Le Nobel, pour un poète populaire, chanteur de surcroît... Ce même essayiste, qui protestait contre la seconde Palme d’or d’Emir Kusturica, pour Underground... Alain Finkielkraut, car c’est lui, avait même eu l’outrecuidance d’attaquer Underground sans l’avoir vu, au motif des origines serbes et bosniaques à la fois d’Emir, pour ensuite écrire un texte dément, qui commençait par « maintenant que j’ai vu le film »... Et ce film était condamnable, car il faisait appel à la musique, à ce rock yougo, tzigane, qui depuis le Temps des Gitans, rythme tous les films de Kusturica !

    En attendant que notre Immortel écrive un « maintenant que j’ai lu les textes des chansons et les chroniques de Bob Dylan », je voudrais dire deux trois choses de la littérature. Non, je ne pense pas que tout est égal à tout. Mais si l’on parle, par exemple de poésie française, il me semble difficile d’en exclure Serge Gainsbourg, Georges Brassens ou Etienne Roda-Gil, pour ne pas remonter à d’autres, considérés jadis comme écrivains mineurs, Boris Vian, Jacques Prévert et bien d’autres.

    La littérature est née du chant, et les clercs, gardiens de la langue latine pure, n’appréciaient guère la Chanson de Roland, cette poésie de troubadour écrite dans une langue populaire, le françois, mélange de bas latin et d’expressions franques. Le chant contemporain est né de la rencontre, sur la terre américaine, des rythmes d’esclaves noirs et des musiciens venus d’Europe, juifs, tziganes, italiens ou espagnols.

    « CE QUI NOUS TUE, CE SONT LES PETITS ÉCRIVAINS DU SYSTÈME »

    Bob Dylan est l’enfant de cette histoire, de nouveau croisée à celle d’une littérature américaine, passée par la Beat Generation, marchant Sur la route avec Kerouac suivi de Leonard Cohen, croisant la SF psychadélique de Californie et le protest song façon Pete Seeger... Comment peut-on, aujourd’hui, oser écrire que cette musique « détruit la musique savante », quand, depuis Kurt Weil, depuis Darius Milhaud et Arthur Honnegger, depuis Georges Gershwin et Leonard Bernstein, la rencontre avec les rythmes afro-américains a, au contraire, reconstruit la musique écrite !

    Il me faut développer, ailleurs, écrire un pamphlet peut-être... Mais ce qui détruit notre littérature n’est évidemment pas le mélange des genres. Je suis un romancier du premier et du second rayon. Je donne la moitié des académiciens français pour mes compagnons de Série Noire, Jean-Patrick Manchette, JB Pouy, Thierry Jonquet et Jean-Claude Izzo. Ce qui nous tue, ce sont les petits écrivains du système, présentant chaque année devant les prix de petites histoires fades, souvent mal écrites, que l’on voudrait nous faire passer pour de la littérature. La littérature, traverse tous les genres, surtout les mauvais, elle est dans la chanson populaire, le récit journalistique, le polar, l’humour, le dialogue et le scénario de cinéma et, figurez-vous, de bande dessinée.

    J’en ai par-dessus la tête des prétentions au magistère de gens qui ne se sont jamais confrontés à la poésie, au spectacle, au roman ou à la nouvelle. La littérature n’a pas de forme normative, elle ne se soumet pas. Et en ce qui me concerne, j’entends la pratiquer, sans me fixer dans un genre, like a rolling stone.

  • Leonard Bernstein : The Making of West Side Story | Medici

    http://www.medici.tv

    In 1985, Leonard Bernstein conducts and records his most popular work, the 1950’s musical West Side Story, for the first time! This multi-prizes winning video leads you behind the scenes during the whole rehearsal and recording process with the Maestro and such iconic singers as José Carreras and Kiri Te Kanawa.

    West Side Story is perhaps Leonard Bernstein’s best-known work, and one of the most popular musicals of the entire repertoire. The story is based on Shakespeare’s Romeo and Juliet, adapted to the post-war America, where ethnic conflicts grow stronger every day. The musical contains songs that have achieved enormous popularity throughout the world: the “Jet Song,” "America," “Tonight” and “I Feel Pretty.” While the 1985 recording of the score won one Grammy Award, the movie adaptation won no less than ten Academy Awards.

    #music #west_side_story #bernstein

  • Der Uber-Boss für Europa ist etwa 30 Jahre alt.


    Sein Name und Werdegang lassen vermuten, daß er aus einer der 100 Familien stammt, welche Frankreicht kontrollieren, und er ebenfalls Wurzeln in der US-Dynastie Gore/Kennedy besitzt, oder in sie eingeheiratet hat.

    Pierre-Dimitri (pierre_dimitri) auf Twitter
    https://twitter.com/pierre_dimitri

    Pierre-Dimitri Gore-Coty auf LinkedIn
    http://fr.linkedin.com/in/pierredimitri

    Pierre-Dimitri Gore-Coty

    Regional General Manager at UBER
    Paris Area, France
    Internet

    Descriptif de Pierre-Dimitri Gore-Coty
    Poste actuel
    General Manager - West & North Europe chez Uber, Inc

    Postes précédents
    Investment Professional chez Benros Capital
    Investment Professional chez Goldman Sachs Principal Strategies (GSPS)
    Associate Consultant chez Bain & Company
    Analyst chez Goldman Sachs Principal Investment Area (PIA)
    Worker chez TLD Group

    Formation

    Columbia University in the City of New York
    Ecole centrale de Paris
    Lycee Henri IV
    Ecole Alsacienne

    Relations
    500+ relations

    Expérience de Pierre-Dimitri Gore-Coty
    September 2012 – Present (1 year 10 months) Paris
    General Manager - West & North Europe, Uber, Inc

    Investment Professional
    Benros Capital
    January 2011 – September 2012 (1 year 9 months)
    London, United Kingdom

    June 2008 – March 2011 (2 years 10 months)
    London, United Kingdom
    Investment Professional
    Goldman Sachs Principal Strategies (GSPS)

    April 2007 – July 2007 (4 months)
    Paris Area, France
    Associate Consultant
    Bain & Company

    September 2006 – March 2007 (7 months)
    London, United Kingd
    Analyst
    Goldman Sachs Principal Investment Area (PIA)

    June 2005 – August 2005 (3 months) China
    Worker
    TLD Group

    Compétences et expertise de Pierre-Dimitri Gore-Coty
    Start-ups
    Mobile Applications
    Internet
    Technology
    Entrepreneurship
    Hedge Funds
    Financial Markets
    Equities
    Financial Modeling
    Valuation
    Venture Capital
    Emerging Markets
    Investment Banking
    Private Equity

    Formation de Pierre-Dimitri Gore-Coty
    2007 – 2008 Columbia University in the City of New York
    2004 – 2006 Ecole centrale de Paris
    2002 – 2004 Lycee Henri IV
    Ecole Alsacienne

    Coty Inc.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Coty_Inc.

    Coty Inc. gehören heute unter anderem die Marken adidas, Aspen, Astor,[2] Celine Dion, Cerruti, Chloé, Chopard, Chupa Chups, Kylie Minogue, Davidoff, David und Victoria Beckham, Desperate Housewives, Esprit, Ethan James, Jil Sander, Jette Joop, JOOP!, Jovan, Lancaster, Jennifer Lopez, Vivienne Westwood, Isabella Rossellini, Pierre Cardin, Vanilla Fields, Marc Jacobs, Vera Wang, Halle Berry und Guess. Im Rahmen einer strategischen Partnerschaft vertreibt Coty gemeinsam mit der spanischen Puig Beauty & Fashion Group die Parfümmarken Nina Ricci, Carolina Herrera, Prada, Paco Rabanne und Antonio Banderas in den USA und Kanada.

    Der Umsatz betrug im Geschäftsjahr 2008 rund 4 Milliarden US-Dollar

    Gore Vidal
    http://www.independent.co.uk/arts-entertainment/books/features/gore-vidal-feuds-vicious-mother-and-rumours-of-a-secret-love-child-83

    His two extraordinary volumes of memoirs – Palimpsest (1995) and its sequel Point To Point Navigation, published in 2006 – recall friendships with Eleanor Roosevelt, Princess Margaret and Leonard Bernstein. He was close to John Kennedy and closer still to Jackie, a relative by marriage. “It is always a delicate matter,” he once wrote, “when a friend or acquaintance becomes president.” ("Oh we know, we know," sigh his millions of readers.)

    Al Gore
    https://en.wikipedia.org/wiki/Al_Gore#Early_life_and_education

    Gore was born in Washington, D.C., the second of two children of Albert Gore, Sr., a U.S. Representative who later served as a U.S. Senator from Tennessee, and Pauline (LaFon) Gore, one of the first women to graduate from Vanderbilt University Law School.[14] Gore is partly descended from Scots-Irish immigrants who first settled in Virginia in the mid-17th-century, and moved to Tennessee after the Revolutionary War.